repère
D´ou je sors repaire moi la fatigue de la fin de semaine et le retour de Sangoky surement !
Non, le manque de repères dans l´espace c´est de la dyslexie .
Bon votez .
non mais je l´ai...
C´est la 2ème raison la vraie .
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:40:46 avertir modérateur
* La dyslexie ce sont que nous manquons de repère dans l´espace (ma soeur l´était )
Pas forcément Juve :
Dyslexie > La dyslexie est un trouble spécifique et durable affectant l´identification des mots écrits.
Gogo pk tu rigoles? =)
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:43:44 avertir modérateur
* non mais je l´ai...
pas et on s´en fiche .. on sait que tu es malien ou je ne sais trop quoi, pas la peine de cacher tes racines car tu ne sais pas bien parler français
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:44:01 avertir modérateur
* * LeGoLas003 profil
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:40:46 avertir modérateur
* La dyslexie ce sont que nous manquons de repère dans l´espace (ma soeur l´était )
Pas forcément Juve :
Dyslexie > La dyslexie est un trouble spécifique et durable affectant l´identification des mots écrits.
Ah ok, ma soeur elle manquait de repères .
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:44:04 avertir modérateur
* Gogo pk tu rigoles? =)
J´ai cru a un jeu de mot .. avec lexique car il en aurait besoin pour parler le français ..
je suis partit chercher loin hein ..
gogo ouh la ! :o
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:45:13 avertir modérateur
* * K-Skun profil
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:44:04 avertir modérateur
* Gogo pk tu rigoles? =)
J´ai cru a un jeu de mot .. avec lexique car il en aurait besoin pour parler le français ..
je suis partit chercher loin hein ..
Ah ok
Bon je vais Me-Da .
Bon Ap´ , !! !
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:45:48 avertir modérateur
* gogo ouh la ! :o
je sais je suis fou !
Pas forcément Juve :
Dyslexie > La dyslexie est un trouble spécifique et durable affectant l´identification des mots écrits.
Ah ok, ma soeur elle manquait de repères .
~> Je n´ai jamais dis le contraire. Peut-être que cela a un double sens, ou bien que tu te trompes de mot Juve, mais la dyslexie c´est ce que je viens de te faire (j´ai véréfie avant de poster ) !
Plasma Posté le 23 novembre 2006 à 19:45:13 * K-Skun profil
J´ai cru a un jeu de mot .. avec lexique car il en aurait besoin pour parler le français ..
je suis partit chercher loin hein ..
a donc c´est gogo , j´aurais du m´en douter dans ce cas...
et yuna__ tu as trouver qui t´as fait bannir ? qui n´etais pas moi.
Moi je pense qu´il confond avec dyscalculie
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:45:13 avertir modérateur
* * K-Skun profil
* Posté le 23 novembre 2006 à 19:44:04 avertir modérateur
* Gogo pk tu rigoles? =)
J´ai cru a un jeu de mot .. avec lexique car il en aurait besoin pour parler le français ..
je suis partit chercher loin hein ..
et il fait L
mon dieu
La dyscalculie, trouble méconnu de l’apprentissage
(MFI) Parmi les troubles de l’apprentissage, pour lesquels une rééducation par des spécialistes est nécessaire, on cite souvent la dyslexie, qui affecte la lecture et l’écriture. La dyscalculie, qui concerne l’acquisition des mathématiques, reste encore largement méconnue. Elle peut cependant avoir d’importantes conséquences, tant sur la scolarité que sur l’insertion professionnelle.
Elève en CE2, Julie continue à écrire le nombre quatre cent quatre-vingt treize « 40042013 », se contentant de juxtaposer les différents nombres qu’elle entend. Cet exemple est l’une des manifestations possibles de la dyscalculie. Car ce terme désigne en fait une large panoplie de troubles différents, d’autant que les spécialistes eux-mêmes, orthophonistes ou neuropsychologues, ne s’accordent pas sur sa définition.
Il existe donc plusieurs écoles sur le sujet : trouble limité à la fonction calculatrice pour les uns, allant jusqu’aux troubles du raisonnement logico-mathématiques pour les autres. « Il n’y a pas de consensus à l’heure actuelle sur la définition de la dyscalculie », confirme Irène De Zotti, professeur de mathématiques et psychologue cognitiviste, pour qui il s’agit avant tout de difficultés dans l’apprentissage du nombre et des opérations.
Des difficultés liées au nombre et au calcul
Certains enfants, explique-t-elle, ne parviennent pas à comprendre ce qu’est un nombre : incapables d’établir un lien entre le symbole et la quantité, il leur est impossible par conséquent de comparer deux valeurs, d’évaluer de petites quantités et de maîtriser le système numérique, compétence que l’on considère comme devant être acquise à la fin du CM2. D’autres sont obligés, quel que soit leur âge, de compter sur leurs doigts pour trouver le résultat d’additions, même simples – y compris des sommes inférieures à dix – et sont dans l’incapacité de retenir les tables de multiplication. D’autres types de troubles affectent les procédures de calcul : les enfants commettent des erreurs systématiques en posant leurs opérations ou les confondent. Ils peuvent par exemple commencer une soustraction qu’ils terminent en addition.
Bien sûr, ces difficultés peuvent se rencontrer chez tout enfant en phase d’apprentissage ; elles s’effacent au rythme des progrès et il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Il peut aussi s’agir d’un blocage par rapport à un enseignant ou une méthode d’enseignement, et dans ce cas, un changement de classe ou de pédagogie permet de surmonter l’obstacle. Chaque élève a son propre style d’apprentissage ; il ne faut donc jamais hésiter à recourir à différentes approches et proposer plusieurs formes d’explications. Certains enfants comprennent mieux par exemple en visualisant grâce à des schémas ou des dessins, et dans le cas des mathématiques, les manipulations manuelles avec des petits bâtonnets peuvent par exemple faciliter l’apprentissage.
Un dépistage souvent trop tardif
Ce qui distingue la dyscalculie, justement, c’est son caractère durable, explique Isabelle De Zotti : le trouble persiste dans le temps et subsiste malgré toutes les tentatives pédagogiques. Aucune forme d’enseignement, aucune méthode ne parvient à déclencher le déclic de la compréhension. Le travail du rééducateur consiste alors à fournir des stratégies pour compenser ce trouble.
« D’ailleurs, certains enfants élaborent d’eux-mêmes des stratégies parfois très compliquées qui masquent leurs difficultés. Ce qui démontre bien que la dyscalculie peut concerner des enfants tout à fait intelligents, sans pathologie particulière. Mais du coup, il arrive souvent que les problèmes de dyscalculie passent inaperçus ou ne soient mis en évidence que tardivement, deux, trois ans après le CP, parfois même plus tard, au collège », déplore cette enseignante-psychologue. Elle s’est donc lancée dans un travail universitaire dont le but est d’élaborer un outil de diagnostic de ces troubles du calcul, afin de permettre une prise en charge précoce des enfants concernés. Car, non-rééduqués, ces troubles peuvent représenter un handicap, plus ou moins sérieux en fonction de leur gravité, sur le plan scolaire, professionnel ou même de la vie courante. Les dyscalculiques peuvent par exemple se trouver en grande difficulté lorsqu’il leur faut manipuler de l’argent. Aller faire ses courses devient très compliqué…
Pour le Groupe d’études sur la psychopathologie des activités logico-mathématiques (Gepalm) et les praticiens formés par cet organisme, il existe d’autres formes de la dyscalculie pouvant affecter le raisonnement, la logique, la résolution de problèmes ou la géométrie. Quelles que soient ses formes, la dyscalculie, peu étudiée scientifiquement jusqu’à présent, garde une grande part de ses mystères : ses causes notamment restent largement méconnues.
non , j´ai rien
je deteste le français , je le parle mais j´aime pas l´ecrire...
j´aime bien l´ecrire , mais pas lire des livres juste pour bicher l´ecriture d´un mot en particulier...
prefere le bambara...