Bonjour/Bonsoir,
Il y a 2 jours j'ai lu une histoire, cette histoire ma emporté loin et ma fais malheureusement rappeller des moment de ma vie .
Je me suis dis que je pouvais partager ce roman/histoire, sa me tien vraiment a coeur .
J'éspère que vous allez aimer
Voici le résumé de cette histoire, si jamais sa ne vous plait pas tant pis pour moi . :
Simple dit :
-"Oh,oh, vilain mort" quand kléber, son frère, jure et peste.
Il dit :
-" J'aime personne, ici" Quand il n'aime personne, ici.
Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent.
Il joue avec des Playmobil ( en avant les histoire ), et les beaud'homme caché dans les téphélones, les reveils et les feux rouges. ( fautes faites exprès )
Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental.
Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. ( Qui est son frère )
Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie, à la mort.
Il va tuer Malicroix, l'institution pourdébiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple failli mourir de chagrin . Monsieur Pinpin, dans ces cas là, il pète la gueule
Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber à l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là, tout devient compliqué.
Vous voulez connaitre l'histoire pleine d'émotions et d'actions et d'amours ?
non .
J'attendrais demain, pas grave
Il est peut-être tard pour vous lire ? Campos17 help me
Chapitre 1 : Où monsieur Pinpin pète le téléphone.
Kléber jeta un regard oblique à son frère. Simple imitait le bruit des portes du métro à mi-voix : « Piiii… clap. »
Un homme monta à la station et s’assit à côté de Kléber. Il tenait en laisse un berger allemand. Simple se trémoussa sur la banquette.
- Il a un chien, dit-il.
Le propriétaire du berger dévisagea celui qui venait de parler ( qui est simple ). C’était un jeune homme aux yeux clair écarquillés.
- Il a un chien, le monsieur, répéta-t-il, de plus en plus agité.
- Oui, oui, lui répondit Kléber en essayant de le rappeler à l’ordre d’un froncement de sourcils.
- Tu crois je peux le caresser ? dit Simple en avançant la main vers le chien.
- Non ! aboya Kléber.
L’homme regarda l’un après l’autre les deux frères comme pour évaluer la situation.
- Moi, j’ai un lapin, lui dit le jeune homme au yeux clairs. (Simple )
- Mais ne parle pas aux gens que tu ne connais pas, gronda Kléber.
Puis il se décida et se tourna vers l’homme au chien :
- Excusez-le, monsieur, c’est un débile mental.
- Un i-di-ot , rectifia l'autre en détachant les syllabes.
L'homme se leva et, sans un mot, tira sur la laisse de son chien. Il descendit à la station suivante.
- Connard , maugréa Kléber.
- Oh, oh, vilain mot, dit son frère .
Voilà pour le début, je vous promet que pleins de rebondissements, de l’actions et de l’humour vont apparaitre .
Bonne lecture.
Que du mal pour rien
Kléber eut un soupir mélancolique et jeta un coup d’œil sur la vitre. Il y vit se refléter sa bonne gueule d’intello aux fines lunettes cerclées. Rasséréné, il se cala au fond de la banquette et consulta sa montre. Simple, qui épiait chacun de ses gestes, tira sur les manches de son sweat et examina ses poignets d’un air critique.
- Moi, j’en est pas de montre.
- Tu sais très bien pourquoi. Merde, c’est là !
- Oh, oh, vilain mot.
Kléber se dirigea vers la sortie mais se retourna au moment de descendre. Simple, qui avait d’abord suivi, s’était arrêté.
- Mais vite ! cria Kléber.
- Elle veut me couper !
Kléber l’attrapa par la manche de son sweat et le tira vers le quai. La porte automatique se referma derrière eux. Clap.
- Elle ma pas eu !
Kléber le reprit par la manche et le traîna vers un escalier.
- Pourquoi j’ai pas de montre ?
Vous voulez savoir pourquoi ?
sweet?
Okay
Sweet!