L'odeur de la rage de Matt
Membre depuis 0 jour
tellement tout le monde s'en fout
Je suis un nouveau né
C'est qui au fait ?
Un des plus grands dans l'histoire du cyclisme
çalu :sourire:
'connais pas.
Un peu de culture vous fera pas de mal
Gino Bartali incarne l'image du Florentin de son époque. Profondément croyant, travailleur, dur au mal. Jamais, sans doute, dans l'histoire du sport, un champion n'a suscité une telle admiration collective. Bartali n'était pas seulement aimé et respecté, il faisait l'objet d'une vénération de la part du public. Du bord de la route, les femmes et les enfants lui lançaient des pétales de rose à chacun de ses passages. Certains s'agenouillaient même. Malgré cette incroyable aura, qui fit de lui le champion le plus mystique de l'histoire du cyclisme, "Gino le pieux" ne s'est jamais départi de sa simplicité. L'homme était aussi humble que le champion pouvait s'avérer impitoyable. Il n'a que 20 ans lorsqu'il décroche le premier de ses sept maillots de meilleur grimpeur sur le Giro, en 1935. Les deux années suivantes, c'est le maillot rose qu'il va s'offrir. Deux évènements vont alors marquer sa carrière et indubitablement la freiner. L'émergence de Fausto Coppi, de cinq ans son cadet, et l'éclatement de la Seconde Guerre Mondiale, qui lui fera perdre, plus encore qu'à Coppi, les plus belles années de sa vie cycliste. Combien Bartoli aurait-il remporté de Tours de France et de Giro sans ce terrible conflit? Personne ne le saura jamais, mais il lui faudra attendre neuf longues années pour signer sa troisième, et dernière victoire dans le Tour d'Italie, en 1946. Bien sûr, Coppi lui fit de l'ombre, même si les deux champions se sont souvent évités. Mais la gloire de l'un a nourri la légende de l'autre, et vice versa. La rivalité Bartali-Coppi, plus encore que celle qui opposa Anquetil à Poulidor, a divisé tout un pays.
= dopé
aucun intérêt
Je sens la rage affluer des membres de ce topic, alors que CE pseudo poste.
(en fait, non, fake )
Cyclisme, en même temps.
L'histoire de Coppi ne peut être distinguée de celle de Gino Bartali. Tout opposait les deux hommes. Gino le Pieux et Fausto (tout est dit dans le prénom) l'athée. Le champion de la Démocratie chrétienne et le chouchou de la gauche. Le rigoriste face à l'homme moderne. Gino, homme de tradition. Fausto l'aventureux, qui se met au banc de la société en quittant femme et enfants pour rejoindre "la Dame blanche." Il y a autant de caricature que de vérité dans le parallèle entre ces deux trajectoires et les deux coureurs avaient plus à partager qu'on n'a voulu leur faire croire. Parce qu'il fallait les opposer. Le paradoxe veut que Bartali, si croyant, dégageait une profonde humanité quand Coppi, qui croyait plus en lui qu'en Dieu, avait quelque chose de divin dans sa façon de courir.
C'toi l'dopé
Bartali > Coppi
Safina menée.
Safina voit Sa finale s'échapper
Titre de l'équipe
Jerry n'empêche de Soderling le dopé
Les cris d'Azarenka.
Breakée.
Tsukasa Nishino ou Hiiragi ?
Je parle pas japonais