Toujours.

1. suumas Voir le profil de suumas
2. Posté le 29 novembre 2008 à 17:15:59 Avertir un modérateur
3. Tu te sens seul ?

1. suumas Voir le profil de suumas
2. Posté le 29 novembre 2008 à 17:25:19 Avertir un modérateur
3. Toujours.

C'est pas une raison pour sombrer dans la schizophrénie.

N'importe quoi merc.

Seul 5% des patients atteint de schizophrénie sont touchés par la "double-personnalité".
La schizophrénie, c'est d'abord la coupure avec la réalité, le repliement autistes, les hallucinations (auditives ou visuelles), les vertiges fréquents etc...

salut

Salut 2010

Bon, pd de Merc, je te provoque en duel.

Salut All-Starr-2010.

Bon, j'vais jouer à SC4.

• noeliste_geudin Voir le profil de noeliste_geudin

* Posté le 29 novembre 2008 à 17:30:01 Avertir un modérateur
* Salut 2010
* Lien permanent

nan , tu peux me dire All

Ouais mais All yen a qui vont croire que je leurs parle

Bye Holo.

Merc c'est quoi ton ID PSN ?

Sephiriath.

En fait en tout premier lieu, vu que toutes les bonnes PSN étaient prisent, je me suis resigné à prendre le PSN Okami90 (mon année de naissance, oui ça craint ! ), j'y ai joué 90 % de mes parties dessus. Puis après j'ai tenté d'en prendre une du même nom qu'un de mes pseudos, et la seule vraiment inconnue qui restait c'était Sephiriath.

Donc t'as qu'à m'ajouter sur celle-ci.

Je suis égoïste, narcissique et dédaigneuse.
Comme tous les assoiffés de gloire du troisième millénaire,
en quête de paillettes et de rédemption, je fais
de l’Art nombriliste. Un art chewing-gum, qui se masturbe
en se regardant créer.
Ecrire sur autre chose que moi-même m’ennuie : je
préfère de loin raconter ma vie, sans me soucier de
l’intérêt limité que cela revêt, plutôt que de raconter
l’existence imaginaire d’un personnage que j’aurai bricolé
moi-même et auquel je ferai subir les pires épreuves
qui soit : autodestruction, deuils, abandon, dénue-
9
ment, folie, électrocution, et pourquoi pas suicide si je
suis d’humeur macabre.
Faire de moi-même un personnage de roman flatte
mon narcissisme et caresse mon ego : j’existe alors
dans la réalité mais aussi dans la fiction, funambule aux
pas incertains flânant le long d’un horizon blême.
Une personne modeste est considérée comme terne et
ennuyeuse; une personne narcissique est vue comme
pathétique et stupide. Entre ces deux extrêmes il n’y a
rien : taisez votre talent ou bien répandez le partout
où vous passez, quitte à en éclabousser ces autres qui
ne vous ont rien demandé. Puisqu’il faut sans arrêt
choisir son camp, pour faire plaisir au dieu
Manichéisme qui agite les fils de nos marionnettes, je
choisis l’égoïsme notoire et fais de moi l’héroïne désenchantée
de mes propres mots.
Trouver un sujet de livre est long et fastidieux. L’envie
d’écrire est tapie au fond du coeur, désir moite violent,
mais ce que l’on croit être la plus grande liberté du
monde n’est en réalité qu’un assemblage de contraintes
pernicieuses : il faut assembler ses idées en une
forme cohérente et suivre le fil harmonieux d’une histoire,
sous peine de servir au lecteur une soupe indigeste
qu’il n’hésitera pas à recracher.
Bien trop d’images, de fulgurances et de mots pour en
tirer quelque chose de concluant : je me rabats donc
sur la seule possibilité qui s’offre aujourd’hui à moi :
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fouiller mon être jusqu’à la cicatrice, et transformer en
mondes imaginaires les morceaux d’existence que j’aurai
sauvés de la noyade.
J’appartiens à cette catégorie d’êtres humains que l’on
appelle adolescents, et dont l’on prononce le nom avec
la même appréhension que lorsque l’on parle de bandits,
de hooligans ou de terroristes. Je ne vois pas vos
visages, mais je devine la répulsion qui s’y creuse à la
lecture de cette phrase: inconsciemment ou non, vous
m’avez déjà affublée des qualificatifs « ingrate », «
insupportable » et « stupide ».
J’incarne la jeunesse pop-corn du XXIème siècle :
comme titre de gloire, il y a mieux.
J’appartiens à une génération qui aime à se prétendre
désenchantée, mais qui porte en elle le plus grand
espoir du monde : à notre âge, les plaines sont encore
vierges et le mot impossible n’existe pas. Nous pouvons
encore nous rêver rockstars, acrobates, stars de
cinéma ou bien astronautes : l’avenir nous tend les
bras, et si nous n’avons pas actuellement le talent qui
pourrait nous aider à réaliser nos rêves, cela n’a
aucune importance : nous pouvons toujours nous dire
qu’il sera acquis dans quelques années, lorsque nous
aurons enfin combattu cette fainéantise qui nous empêche
présentement d’apprendre le piano.
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Le petit bigleux abonné aux râteaux peut toujours se
consoler en échafaudant dès maintenant les plans de sa
vengeance future, lorsqu’il aura abandonné ses pulls
tricotés par mamie au profit d’un élégant costume
Christian Dior et qu’il sera devenu le célibataire le plus
convoité de Paris ; la fille fadasse et sans amis qu’on
laisse moisir au fond de la classe soigne sa haine en se
disant qu’un jour, lorsqu’elle fera la couverture de Elle
en petite culotte, elle fera se mordre les doigts tous
ceux qui n’ont jamais daigné la regarder : l’artiste
maudit que tout le monde regarde avec des yeux effarés
trouve son salut en se projetant dans l’avenir, un
avenir où des légions de fans viennent panser les antiques
blessures qui le poussaient, dans sa prime jeunesse,
à se raser les veines dans sa baignoire.
Le champ est libre : nous avons une vie entière pour
devenir des rock stars, faire le tour du monde en business
class, devenir président de la République, écouter
Another One Bites To Dust en roulant à contresens sur
l’autoroute, mixer dans les discothèques japonaises,
fonder une famille, devenir champion de curling,
gagner au loto, tuer quelqu’un, faire une overdose
d’héroïne, nous marier quatre fois, sauter par la fenêtre
en hurlant « Banzaï ! ».
Ce n’est pas le coeur qui bat derrière la poitrine, c’est
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l’espoir. Les chemins se déroulent sous nos pas, s’entrecroisent,
prennent des multitudes de directions différentes
: tout ce que nous avons encore à vivre, à
connaître, à aimer puis haïr, ce jardin des possibles suspendu
dans la fumée noire de l’avenir, ces désillusions
que nous n’avons pas encore, ces certitudes aussi dures
et froides que la pierre.
Chez un adolescent, le désespoir n’a qu’une vocation
éphémère : car toute vie qui débute est exempte de
fatalité.Tout est possible, tout est envisageable, même
les plus belles utopies : ce qui est irréalisable
aujourd’hui ne le sera plus demain, puisque le futur
métamorphose tous les désirs en réalité. Fragiles mais
forts, nous avons la possibilité de nous détruire à n’importe
quel moment pour renaître de nos cendres.
Nous ne croyons pas en nos rêves, mais nous avons foi
en l’avenir.
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Ok, je vais de ce pas t'ajouter.
Là je suis sur un compte tempo, histoire de pas pourrir mon compte principal.

http://livre.fnac.com/a2484761/Caroline-Fevrier-Generation-des-enchantes

pourrir mes stats*

Tain j'ai demandé le ban pour flood Ichigo.

Ok Damian, je t'accepterai lors de ma prochaine connexion.

D'ailleurs, tu peux aussi m'ajouter sur Okami90, je l'utilise également pour le fun, lorsque je ne me soucie pas des stats.