Intéressé par mon histoire, tu es venu sur ce topic pour que je te la conte.
Je suis Akari, une fille d'apparence ordinaire, mais bon, je suis quand même un peu timide et je me laisse plutôt faire, n'osant que rarement m'opposer à ce qui me fait face. Plutôt dirais-je que je suis sa mémoire, car ce qu'il reste de moi à présent ne seras plus jamais capable de vous restituer cette histoire avec un minimum d'exactitude, vous en verrez de toute façon la raison.

Comme à l'habitude pendant les vacances, je me réveille, plus exactement, on me réveille à 11heures, comme les vacances me le permettent, je me couche vers des heures bien tardives, profitant d'une nuit de discussion avec mes quelques amies en lignes. Comme à l'habitude chaque matin, je prend mon petit déjeuner, il à beau être alors 11heures et demi mon petit déjeuner m'est important, même juste avant un déjeuner qui s'en retrouve raccourci. Ce jour là, il n'y a plus de jus d'orange.
Comme à l'habitude lorsqu'il n'y a plus de jus d'orange, je dois descendre dans la cave pour en rechercher.

Comme à l'habitude lorsque je dois descendre dans la cave, j'ai peur.

Cette peur m'est inexplicable, ceci étant, je m'efforce de faire avec.
Bien sur, ce n'est pour l'instant pas de la terreur, non, juste une petite peur que je ressent.
Je n'ai pas particulièrement peur du noir, je n'ai pas particulièrement peur des petits espaces clos.

J'allume la lumière, je descend la première marche.
Je sens la tension monter dans ma poitrine, mon rythme cardiaque s'accélère.
Je continue de descendre dans la pièce mal éclairée et humide, j'attrape la bouteille que je venais cherchais, et je remonte.
Avant cela, je regarde rapidement en me retournant la pièce source de cette peur irrationnelle. Cette pièce me fait à chaque fois plus peur.
On dirait qu'elle aime ça.
Je remonte.
Je termine mon déjeuner.

"Cette pièce me fait à chaque fois plus peur".
Je dis ça, car, oui, je le sens, la peur que je ressent en pénétrant cette pièce est de plus en plus grande chaque fois.

---

Le milieu des vacances.
Maintenant, c'est de la terreur que je ressent en allant dans cette cave.
Pour ranger des courses qui viennent d'être faites, je dois y descendre.
Je m'en serai bien passée.
Mais ma mère est là avec moi, ça me rassure un peu, normalement.
Cette fois, la terreur que je ressentais les autres fois, qui montait graduellement, fut remplacée par de l'horreur soudaine.
En bas, dans un coin de la pièce, se trouvait un ver noir, une bête apparemment gluante, et se tortillant sur le sol.
J’eus lâché les courses sur le sol, et par la même un cri de dégout et d’effroi mêlés.
Ma mère, soupirant, me demande ce qu'il pouvait bien encore m'arriver.
Je montre le coin de la pièce.
Elle regarde, se tourne vers moi. Ne réagit pas.
C'est alors que je compris que cet endroit avait vraiment quelque chose d'anormal.
De toute évidence, ma mère ne pouvait voir cette chose horrible qui n'aurait jamais pu être créée par la nature en aucun cas, une abomination sans nom.
Je reprend les courses, fais le rangement en tentant de cacher ma peur.

Depuis cet évènement, j'évite le plus possible d'aller dans la cave.
A chaque fois, la bête sera là.
A chaque fois, la bête aura grandi. Toujours dans le coin.

---

Je reviens de deux semaines de vacances avec une amie, ces vacances m'auront quelque peu soulagée, bien que mon angoisse à cause de la bête soient toujours présents.

Je dois ranger les courses dans la cave.
Cette fois, ma mère n'est pas là pour me rassurer.

Je descend la première marche.
Je sens la bête.
C'est la première fois depuis mon retour des vacances que je rentre dans la cave, je n'ai pas vu la bête depuis maintenant 2 semaines.
Je descend la seconde marche?
Je sens la bête, elle m'a senti.
Je descend la troisième marche.
Un horrible bruit de poisse se fait entendre d'en bas.
La terreur m'emplis bien soudainement.
Je veux faire demi-tour.
Mais il est trop tard. Car la bête m'a senti.
Mes pupilles se dilatent, je transpire, j'ai chaud.
Vais-je avoir le courage de faire demi-tour ?
Je ne veux pas reculer.
Non. Je veux reculer.
Je ne peux juste pas.
Mes jambes se déplacent toutes seules.
Si j'atteins la cinquième marche, là où l'escalier forme un angle, alors moi et la chose nous verrons. Je sais que je ne pourrai alors plus faire demi-tour.
Je descend sur la quatrième marche.
Je tremble, je pleure, même.
Je descend sur la prochaine marche, la cinquième.
Mon visage est comme résolu, sans expression, mon regard vide se tourne vers la bête, qui a bien grandit en deux semaines.
Elle remplis maintenant la moitié de la pièce.
Une boule visqueuse géante, noire, brillante, comme vernie, remplissant toute la moitié de la cave.
Elle a des membres, une bouche, juste un trou, à peine plus grand que moi, s'ouvrant et se refermant avec un bruit d'éponge pressée.
Ses membres, d'énormes appendices visqueux se mouvant dans l'air lourdement, il doit bien y en avoir une dizaine.
Je ne pense alors plus à rien.
Je ne contrôle plus mon corps.
Et je m'avance, en direction du monstre, ses mouvements se ralentissent.
Son avant s'abaisse, il s’aplatit, comme attendant ma venue, m'invitant à venir sur lui.
L'odeur est nauséabonde, je continue d'avancer.
Je fais le premier pas sur le monstre, posant délicatement mon pied sur sa chair noire gélatineuse.
Je fais un deuxième pas.
Déjà les appendices s'approchaient de moi, des tentacules, lisses.
Ils se dirigent vers vers pieds, l'un d'entre eux frôle mes jambes, laissant un liquide collant, comme de la salive, sur ma peau. Tremblant à mon toucher.
Je continue à avancer.
Je me dirige vers sa bouche, qui s'ouvre lentement, tendue, impatiente à l'idée de me savoir avalée.
Il n'y à pas de dents. Tout n'est que matière molle.
J'entre dans la bouche, les tentacules se tortillent, je me retourne vers l'extérieur.
La bouche se referme, petit à petit, il fait maintenant noir, dans la bête noire.
Le monstre m'avale, je m'allonge en lui.
Je ne suis pas sensée pouvoir respirer, pourtant, je le peux, comme si un organe quelconque fournissait un approvisionnement en air qui me permis de survivre.
L'intérieur de la bête comporte des tentacules, qui s'enroulent lentement le long de mes 4 membres, tels des serpents, et m'empêchant tout mouvement.
Cela n'est de toute façon pas nécessaire, je n'oppose aucune résistance.
Mes habits sont arrachés, dirigés vers l'extérieur pour être recrachés.
Je suis maintenant nue.
La bête se déplace.
Où ? Elle remplis la moitié de la cave, il n'y a aucun moyen pour qu'elle puisse sortir en aucun endroit.
Elle se déplace, où ? Certainement dans un autre monde, tout comme il est impossible pour une telle chose de venir du même monde que le miens, nous retournons maintenant sur le siens.
La terreur que je ressentais est décuplée, je n'ai plus que ma pensée pour moi, impuissante.
Je le sais maintenant, nous ne sommes plus dans le même monde.
Les tentacules me frôlent, me touchent.
Cela me dégoute, je veux partir, ne rien voir, ne rien entendre. Mais je n'y peut rien.
Un petit tentacule brillant légèrement dans le noir approche, le bout est brillant, plus large.
Il se dirige vers moi, rampant.
Il s'approche de mon visage.
Pénètre dans mon oreille.
La douleur causée par cela est intense, terrible.
Mais rapidement, soudainement, elle est remplacée par autre chose.
Du plaisir, cette chose me procure du plaisir.
Elle aura du arriver dans mon cerveau, elle doit le modifier.
Bientôt, tout ce dont j'ai envie sont ces tentacules.
Je ne pense plus qu'à eux.
Je veux... Qu'ils me fassent.
Je veux qui me caressent délicatement, je veux qu'ils me pénètrent.
Mon corps tout entier deviens source de plaisir.
Je ne ressens plus que cela.
J'ai l'impression d'être devenue une zone érogène tout entière.
Petit à petit, je recommence à pouvoir bouger à ma guise.
De tout façon, je n'ai plus envie de sortir.
Je n'ai plus peur.
Le petit tentacule rentré dans mon oreille sort, l'embout phosphorescent n'est plus là, arraché et resté dans mon crane, pour terminer mon éducation.
Gémissant, dans la joie, j'attrape un tentacule, je le gobe, il frémis, tremblant.
Un plus gros tentacule s'approche de moi, il à une ouverture, il est gros, et à l'air solide.
Je sais quel est son but.
Déposer des oeufs.
Il rentre en moi.
J'hurle de plaisir.
Il est gluant, a comme des anneaux.
Je vois les énormes oeufs approcher, de grand globules noirs et bleus.
Le tentacule grossit à leur passage, je peux suivre l'avancée des petits que je vais porter.
Un, deux, trois... Ce sont 6 de ces énormes choses qui entrent en moi.
Un fou rire s'empare de moi, mon ventre grossi par la progéniture me procure douce sensation.
Un autre tentacule arrive, pour me nourrir.
Je l'attrape et l'insère dans ma bouche, il se tend, durci.
Et propulse un liquide épais et chaud directement dans ma gorge.
Il se retire, un autre le remplace. Une bonne dizaine de fois.
Tout le reste de la journée (Je le suppose, m aperception du temps s'est alors détraquée), je me fais assaillir par une centaine de tentacules au total.
Le monstre doit avoir bien grandit alors.
Épuisée, je me fais trainer par deux appendices, j'ai du mal à respirer.
Le plaisir s'est fait ressentir tout le jour durant.
Je suis emportée, soulevée, des tentacules s'enroulent autour de mon cou, autour de mon corps, la tête pendante.
Plusieurs jours durant, les tentacules me font.
Au bout d'une semaine, mon ventre tremble.
Les tentacules m'écartent les jambes, comme par réflexe.
Et des vers sortent de moi.
Les oeufs ont éclos.
Les vers tombent, et s'éloignent.
Je suis nourrie.
Des oeufs sont une fois de plus remis en moi.
Cela résume le reste de ma vie, je ne sers plus à rien d'autre qu'un réceptacle, une incubatrice pour les enfants de ce monstre.
Je suis son esclave.
Il me paie avec le plaisir.

First + WTF ?!

Je up

Up et lisez ces spécial

Jai arrêter au moment ou sa devenait dégueulasse ....
L'auteur ce pucix sans dec

G pa lu

J'ai stop à "Akari"

Lisez jusqu'au bout

Vous lisez ?

Nn et toi ?

J'ai lu et omagad wtf ??
C'est ultra bizarre
Mais j'aime bien

J'ai tout lu. Allez savoir pourquoi j'ai bander

Up

Up

Up

jerry

c'est fini la fic ou il y'aura une suite ?

Non c'est fini et puis elle date de 2014

Up

Up