peut etre mais j'ai pas envie pour l'instant
ok ben un jour
Y a un modo qui lurk
Miam Ayu
SacDAyu ?
Sacdayu
yolo
http://f.angiva.re/7g2Pk
http://puu.sh/7SHaw
http://f.angiva.re/uPknR so lewd saber
http://f.angiva.re/qOS8z
rofl la fiche de S&W a été supp
PS: Je vais pas sur le Anime After Story c'est un vrai dépotoir
on nous a invoqués
Pourquoi on supprime les critiques sur les animes lol
tellement tsundere le forum avec l'aas
Les messages à plus de 3 lignes sont supprimés sur l'aas.
Alors c'est vrai qu'après re-lecture de la petite critique des deux premiers épisodes de Zearth, y'a un certain nombres de trucs qui me donnent envie de RAGER. Parce ce que ARIA n’est pas le dernier truc sympa à la mode qu’on regarde et puis qu’on oublie 2 mois après non, c’est l’anime le plus extraordinaire que j’ai vu et une série qui a marquée énormément de personnes qui l’ont vu. Y’a trois trucs qui font que ARIA est un chef d’oeuvre : Les personnages. L’univers. Le Plaisir.
Et bien les personnages sont juste parfaits. Moi je me suis attaché a eux et je les ai trouvés tous extras. Aucune n’est mise de côté, toutes possèdent un développement phénoménal, du début à la fin, les personnages évoluent, mûrissent (Alice), prennent confiance en elle (Aika), restent fidèles à elles-mêmes (Akari), suivant les traces de leur aînées respectives. On apprend toujours de nouvelles petites choses, par des flashbacks. Les ondines ont toutes un but, un rêve, individuel et collectif.
Et oui le casting étant très largement féminin, parce que gondolier est un métier de femme, contrairement a la réalité, cela s’explique très facilement par la gravité plus faible sur Aqua que sur Manhome (i.e. la Terre), rendant ainsi le maniement de la rame plus aisé et plus élégant, plus adapté a une femme, Alicia étant la reine incontestée à ce niveau la, on a parfois l’air stupide avec un gros sourire sur le visage en l’observant faire ses manœuvres, telle une déesse sur l’eau, si si. Et donc les seuls personnages masculins sont Akatsuki, un pur tombeur et un vrai badass, qui est souvent très drôle en fait. Puis Al et ses manières de vieux, ses métaphores vous feront rire au début, elles vous toucheront en plein cœur a la fin de l’anime. Y’a aussi l’autre empaffé et sa moto qui vole, moins important.
Les chats sont lourdingues par contre, contrairement à ce que veux vous faire croire Zearth, c’est un peu la grosse tâche en plein milieu de l'affiche, ils sont pas drôles et ultra niais, on dirait vraiment du fanservice pour bébé, pour qu’ils ne s’ennuient pas trop, bref la catastrophe complète, personnellement il a fallut attendre l’épisode 7 de the Origination pour que je commence a éprouver un peu de sympathie pour ce gros chat tout moche, donc par pitié faites l’impasse la-dessus et supportez les jusqu’ici, aussi désagréables soient-ils.
Je vais pas y’aller par 4 chemins, l’univers d’ARIA est merveilleux. Neo Venezia est un peu la représentation idéalisée qu’on fait de Venise, les clichés de la ville romantique et parfaite qu’on s’imagine lorsque l’ont y a jamais mis les pieds (évidemment, la réalité est un petit peu plus amère). C’est une utopie, un paradis complètement dénué de toute forme de vice et de violence, loin de toutes les saloperies habituelles qu’on a l’habitude de voir dans les animes, loin de la violence et du fanservice, le monde d’Aria est pur et donne furieusement envie de s’y réincarner, ne serait-ce que pour goûter au bonheur d’une promenade en gondole en compagnie d’une ondine.
Mais Kozue Amano ne s’est pas contentée de créer son univers à elle de toute pièces, y’a eu gros un travail qui a été réalisé au niveau de la création de l’univers et du background, les souffleurs de verre, le café de la place Saint Marc, tout ça c’est très connu, je ne peux que vous inviter à visiter ce blog tenu par un vrai passionné, ultra complet au niveau des correspondances Neo Venezia/Venise : http://veniceorigination.blogspot.com/2009/01/pilgrims-guide-to-venice.html
L’histoire se déroulant dans un futur assez éloigné et évolué, l’auteur a pensé a tout un tas d’aménagements spécialisés pour faire vivre ce petit monde, c’est de la que naîtront les salamanders et les gnomes, par exemple. D’un autre côté, il reste toujours les vieux de la vieilles, les artisans qui restent fidèles aux traditions et qui veulent les faire perdurer, ce qui est d’ailleurs le cas des ondines, puisque ce moyen de locomotion reste tout de même archaïque et extrêmement lent pour le contexte. C’est tout ceci qui rends le monde de Neo Venezia si vivant et si attachant, tout est cohérent, enchanteur, immersif. Ca va encore plus loin que cela, puisque l’univers laisse une énorme part a la magie, au surnaturel et aux phénomènes inexpliqués. Oui il y’a une grosse part de fantastique dans ARIA et vous verrez bien ça de vous-même.
Et le tout est heureusement servit par une réalisation convenable dans The Animation, plus que correcte dans The Natural, sublime dans The Origination. La série entière s’étant étalée entre 2005 et 2008, l’évolution se fait légèrement sentir et l’augmentation du budget alloué aussi, et franchement, on a le droit a des panoramas d’une beauté rare, on a parfois envie de se plonger dedans tellement c’est magnifique.
Bon dour je vien du futur
Un scandale qu’on ose dire que la musique est inexistante dans ARIA, parce qu’avec choro club, senoo, Akino Arai, la regretée Eri Kawai et sa voix d’ange, le casting musical est parfait. La musique participe activement à l’immersion dans l’ambiance de l’anime, faut savoir que les saisons ont une importance énorme dans le monde d’ARIA, ça se ressent encore plus dans le manga mais ça c’est une autre histoire, la musique s’adapte au climat, on a tendance a entendre des instrus aigus et des pianos en hiver au rythme des flocons de neiges alors que ce sont les cordes qui prédominent en été, des ballades légères en guitare ou des morceaux plus lourds a base de violon, donnant une impression de chaleur, de suffocation, la musique est un peu comme la température de l’anime, les thèmes chantés prennent aux tripes et sont inoubliables.
Le dernier truc qui ressort lorsqu’on regarde un épisode d’Aria, c’est le plaisir qu’on en tire. Déjà petit conseil de la maison, ne regardez jamais plus de 2 ou 3 épisodes par jour, c’est une overdose de calme et vous risquez de vous endormir avant la fin, ce qui m’est arrivé plusieurs fois et qui est bien facheux. Alors le mieux est de regarder a petite dose, le soir, après une sale journée de merde et exténué par le monde réel tout pourri. Parce que Aria détend comme aucune autre série ne le fait, vous allez connaître ce sentiment qu’on appelle la plénitude. On oublie tout, on se sent bien, et puis on s’endort paisiblement, les évènements ayant eu lieu dans le précédent épisode d’Aria nous garantissant une parfaite nuit de sommeil paisible et réparateur, LOULE.
Ca c’était pour la première facette, les vertues apaisantes d’Aria, et bien figurez vous que ce n’est pas l’unique vertue, parce que Aria n’est pas seulement un somnifère et une source de bien-être, c’est aussi une source de Bonheur. Sérieusement, ARIA peut redonner goût à la vie a un dépressif chronique suicidaire et je plaisante pas. J’ai pleuré de joie a de nombreuses reprises, parfois parce que les personnages ont accomplis quelque chose de fabuleux, parfois parce que j’ai été touché d’une rencontre, d’une leçon a en tirer, et d’autres fois pour aucune raison particulière, juste parce que c’était putainement magnifique. ARIA est un motivateur pour la vie, cette série veut faire passer un message. Profiter de chaque instants et surtout ne rien regretter, toujours aller de l’avant même si la nostalgie peut être parfois très dure a supporter. Ca peut paraître super cliché comme ça, ça l’est. Et alors ?
ARIA the Origination transcende a peu près tout ce que j’ai vu niveau animes, j’étais en mode robinet qui fuit durant tout le long, j’étais heureux en même temps que les personnages, je me sentais bien, c’est la plus belle conclusion pour le plus bel anime qui existe, tout simplement. Et une fois que ça s’arrête, ça fait un peu mal aux fesses, parce qu’on a jamais envie que ça s’arrête, ARIA est comme un doux rêve dont on ne voudrait jamais se réveiller, alors on se repasse de temps en temps des épisodes qui nous ont marqué, et puis on se rabat sur le manga et sa publication au compte-goutte à cause des ces éditeurs incompétents…
Aria est une série qui est passée inaperçue alors que c'est un pur bijou, regardez la.
Bof pas trop tsundere
yang