Enfin "touché", en fait c'était bien plus bizarre que simplement "touché"...
C'est super étrange ce qu'il s'est passé, et j'avoue que je me suis pas mal remis en question depuis trois jours, donc laissez moi un peu vous expliquer le truc.
Y'a trois jours donc, j'arrive chez un de mes meilleurs potes. Pour info, je le connais parce qu'en fait c'est le frère de ma copine. Très vite on s'est bien entendu, et au fil des années (je suis avec elle depuis plus de 4 ans), c'est vraiment devenu l'un de mes meilleurs amis.
Il m'arrive donc souvent de faire des choses avec lui sans ma copine. Normal quoi.
Et y'a trois jours je me suis pointé chez lui pour passer l'après-midi sur BlazBlue.
J'arrive chez lui, on s'installe comme d'habitude, et là en se mettant sur le canapé il lâche un putain de cris ! Genre gros cris de douleur.
Surpris, je lui demande ce qui ne va pas. Et là il me répond qu'il a un putain de gros bouton dans le dos, un truc qui lui faisait mal depuis déjà un bon mois mais qu'il a laissé dégénérer en pensant que ça partirait seul.
Sauf que ça ne partait pas. Et lui il avait peur d'y toucher le con.
Un peu étonné je lui dis "OK" et on commence à jouer et grignoter des saloperies.
Sauf que régulièrement il se plaignait de son bouton, et ça avait l'air de lui faire super mal, mais vraiment.
Du coup au bout d'un moment je lui ai dit de me le montrer, histoire que je vois si je peu faire quelque chose.
Au début il ne voulait vraiment pas, mais il a vite céder. De toutes façons ça ne pouvait pas être pire.
Il a s'est donc mis torse nu. Et putain quand j'ai vu le truc j'ai HALLUCINÉ !
C'était du niveau d'un tas de trucs qu'on trouve sur YouTube quoi...
C'était super gros, rond, genre une demi balle de Ping-Pong, limite plus large même. Avec la peau HYPER tendue, genre prête à exploser, et une toute petite tête jaune purulente cernée de rouge.
J'ai été chercher des mouchoirs parce que je sentais qu'on allait en avoir besoin, et j'ai commencé à appuyer doucement.
il gueulait comme un porc et à peine je touchais ça lui faisait hyper mal. Moi qui croyais qu'avec une pression pareille le gros furoncle exploserait sans problème. Mais non, il était super dur et résistant. Et à peine je le touchait il avait super mal.
Qui plus est ce gros malin n'avait pas la moindre épingle ou la moindre lame vraiment tranchante dans son appartement quoi... Rien pour percer le truc, bravo...
Je me suis donc retrouvé un peu coincé, et lui il avait les larmes aux yeux tellement il avait mal...
Et franchement ça m'a brisé le coeur de le voir comme ça.
Et c'est là que c'est parti en couille...
Je ne sais pas pourquoi, mais instinctivement j'ai commencé à lui caresser le dos, pour essayer de le réconforter et de le soulager un petit peu. Et lui il continuait à retenir ses sanglots.
Puis je l'ai carrément enlacé par derrière, en lui embrassant la nuque et en faisant bien attention à le pas effleurer son furoncle.
Puis, tout en lui caressant le torse, j'ai fais descendre mes baisés lentement le long de sa nique, puis le long du haut de sa colonne, pour ensuite me diriger lentement vers son furoncle au fil des baisés. Délicatement.
J'avais vraiment envie de le soulager, de mettre fin à ses souffrances. Et lui il ne disait toujours rien.
Ma bouche arrivé à coté de son furoncle, je n'ai pas hésité une seule seconde...
Toujours aussi délicatement, j'ai d'abord effleuré de mes lèvres la grosse protubérance ronde et sous pression. Puis j'ai très légèrement passé ma langue dessus, en alternant avec de légers baisés.
Je ne voyais plus un furoncle. Non, plus du tout. Je voyais un sein de femme. Un sein extrêmement excitant, et que j'avais envie de téter.
Oui, j'avais envie de le téter et de boire son lait maternel...
J'y suis allé très doucement. Des petits baisés, je suis passé à un vrai suçon délicat, tout en continuant à caresser son torse.
J'aspirait le furoncle comme avec ma bouche, comme si j'étais une ventouse. Exactement comme les nourrissons le font avec les seins de leur mère.
Mais j'étais plus délicat.
J'avais l'impression qu'il souffrait, mais qu'il y prenait du plaisir en même temps.
J'aspirait de plus en plus fort, et au bout de plusieurs minutes ma salive avait ramollie son épiderme mais surtout la tête purulente qui jusque là était trop sèche et dure pour laisser l'intérieur s'écouler.
Je léchais la tête du furoncle comme s'il s'agissait d'un téton, et je la sentais devenir de plus en plus molle.
Mieux, elle grossissait ! La peau morte, la lymphe et le pus séchés, en se ramollissant, devenaient plus extensibles, et formaient donc une petite bulle remplie de "lait" prête à céder n'importe quand pour enfin laisser ce dôme putride se vider de son nectar.
La simple idée de pouvoir boire cette ambroisie m'excitait comme pas possible...!
Et après avoir bien fait monter la sauce au rythme des suçons et des coups de langue, j'ai d'un seul coup aspiré bien plus fort !
Et là...! Là le "téton" a cédé ! Et le pus a giclé dans ma bouche !
D'abord un gros jet puissant et long !
Mon partenaire, à ce moment là, à laisser s'échapper un énorme cris de soulagement. Comme un orgasme salvateur après une longue douleur.
Rien que d'entendre sa jouissance et son soulagement, a faillit me faire jouir. Et le jet de pus dans ma bouche a définitivement poussé mon excitation dans ses limites.
J'ai éjaculé.
J'ai éjaculé en même temps que son furoncle "éjaculait" dans la bouche. Et mes mains se cramponnaient à ses pectoraux si fermes.
Un moment de pur extase...!
Le goût aigre-doux du nectar putride coulant dans ma bouche et le bien-être provoqué par mon orgasme m'ont carrément fait perdre une seconde l'équilibre, sous le coup du plaisir.
Pendant cette seconde, je ne savais plus ou j'étais.
Nos deux corps fébriles après ce duo éjaculatoir, mon amis et mois somme d'abord restés inertes, serrés l'un contre l'autre, moi avec la bouche toujours sur son furoncle pour ne pas laisser couler le pus que je n'avais pas encore avalé.
Après quelques secondes, le temps de reprendre nos esprits, chacun de nous savait que ça n'était pas finit. Même si le plus dur était fait.
Reprenant mon travail, j'ai avalé ce que l'énorme jet avait expulsé dans ma bouche. C'était entre le liquide et le crémeux... Divin !
Puis je repris mes suçons, mes ventouses. Et là tout ce faisait avec une grande facilité. À chaque aspiration, une grande lapée de pus s'écoulait du furoncle, exactement comme si je tétais un sein.
Et à chaque lapée, mon partenaire poussait un râle de soulagement.
J'ai continué comme ça un certain temps.
Puis arrivé vers la fin du contenu, le pus liquide à laissé place à une accumulation de graisse purulente, beaucoup plus compacte. Elle avait une texture proche du beurre tendre, et un goût de levure de bière rancie et légèrement acide.
C'était la source de tous. C'était cette accumulation anormale de sébum qui avait finit par s'infecter, devenir purulante, pour qu'ensuite une grande quantité de pus liquide viennent s'y ajouter à cause de l'infection.
Pour cette crème, j'ai du aspirer bien plus fort. Elle sortait comme d'un berlingot Tic et Tac...!
Mais en bien plus compacte, et donc encore bien plus savoureux...!
L'avaler laissait une sensation "farineuse" dans la gorge, comme de la crème de châtaigne Clément Faugier.
Après quelques suçons très vigoureux, j'en eu finit avec cette pâte. Avec la source de toute cette souffrance.
J'ai alors pris un petite temps de réflexion. Puis après ce long moment, j'ai enfin retiré ma bouche de son dos, et relâché l'étreinte de mes mains sur ses pectoraux, les laissant glisser jusqu'au bat de son ventre pour mieux le serrer dans mes bras.
J'ai posé ma tête sur son omoplate droite, le visage tourné vers ce qui fut il y a encore peu de temps son sein dorsal.
La bosse avait incroyablement rétrécit ! Sie les chaires malades étaient encore gonflées, l'énorme boule sous pression avait disparue pour laisser place à un simple relief qui disparaitrait d'ici quelques jours.
Après un long silence dans cette position, il prit enfin la parole, pour simplement me dire "Merci...".
Je soupirais en souriant, puis lui embrassait à nouveau délicatement la nuque d'un unique baisé.
"De rien. ".
Puis je me suis levé, sans qu'il ne dise rien. J'ai pris mes affaires, et suis parti en ne lui adressant qu'un simple "Bon, j'y vais. ".
Et voilà ou j'en suis maintenant. Depuis on ne s'est pas recontactés, et entre temps j'ai vu ma copine, sa soeur. Logique vu qu'elle habite avec moi...
Je ne sais absolument pas quoi pensé de cet incident. Je ne me sens même pas mal, ni coupable, ni dégoûté. Je ne me sens pas non plus "nouveau", comme si j'avais découvert le vrai moi.
J'ai toujours autant envie de ma copine et je la baise toujours avec autant d'entrain.
Repensé à ce moment avec son frère ne m'excite même pas, mais ça ne me dégoûte pas non plus.
C'est un souvenir complètement neutre. C'est très étrange.
Je ne sais franchement pas quoi en penser du coup...
Je sais pas, j'ai pas lu
Mr Gonade, pour vous servir
J'ai tout lu et ...
WTF ?
Réinfecte son furoncle tu pourras le resucer !
Bah vas y fait un résumé maintenant CochonIrlandais
WTF
Osef + J'ai pas lu
Fallait que j'te l'dis
Ah oui mon ami
Kom c pas touchant
En plus, c'est pas vrai vraiment
FAKE
Pavé césar, ceux qui ne t'ont pas lu te saluent
D'habitude je fais l'effort de lire les pavés mais là...
Nouveau fantasme, le B + F
Délice
J'ai tout lu j'ai vomis
J'ai pas lu
bordel
"Puis, tout en lui caressant le torse, j'ai fais descendre mes baisés lentement le long de sa nique, puis le long du haut de sa colonne, pour ensuite me diriger lentement vers son furoncle au fil des baisés. Délicatement. "
Cherchez l'erreur
Y a vraiment des mecs qui n'ont rien à faire
Cisla d'or
J'ai tout lu
J'ai lu + DDB pour choc