Avec des anciens du 15-18 (dont LeopoldStotch et moi) on vient vous demander un peu d'aide pour un projet imposé par notre école
En gros on doit se réunir en groupes de 10 pour organiser un projet sur l'année, genre dénicher des sponsors tout ça... le problème c'est que là rien qu'au niveau de notre page Facebook on se fait devancer par d'autres groupes genre "Milan Fashion Week" ou "Sex in the City"...
Donc voilà on espère juste que vous allez nous filer un petit coup de main, que ce soit les new fag ou les old fag
http://www.facebook.com/MeetingCultureJeune
Merci
D'ailleurs on vous tiendra compte de notre classement si on arrive à bien monter, mais déjà si on reçoit 1/100ème de l'aide qu'avait pu recevoir le mec du concours Orangina, on va éclater tous les autres groupes
Owi likez les gens c'est trop super
C'est bon tu relaches ma femme et mes gosses maintenant?
Putain ce trafic ça bide sec
On voit l'effet des vacances sur le 15-18
Non jeune pomme.
De-de-dep-deepthroat
Viens pas polluer le topic stp déjà qu'il est assez vide comme ça, c'est pas pour le remplir de saloperies
Ceci n'est pas un up.
http://www.youtube.com/watch?v=v-VqipEQJpg
2 posts, ce bide trop sale
Cassoulet
Un plat de cassoulet
Lieu d'origine Languedoc
Place dans le service plat principal
Température de service chaude
Ingrédients ragoût de haricots blancs secs avec confit de canard, lard, couenne, jarret de porc, saucisses
Mets similaires feijoada
fabada asturiana
faves ofegades
Accompagnement vin rouge
Fitou, Corbières ou Minervois
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Le cassoulet (de l'occitan caçolet) est une spécialité régionale du Languedoc, à base de haricots secs généralement blancs et de viande. À son origine, il était à base de fèves. Le cassoulet tient son nom de la cassole en terre cuite émaillée fabriquée à Issel.Sommaire [masquer]
1 Histoire du cassoulet
2 Composition
3 Les constantes
3.1 Le haricot
3.2 La cassole
4 Accord mets / vin
5 Promotion
6 Plats voisins
7 Notes et références
8 Bibliographie
9 Voir aussi
Histoire du cassoulet[modifier]
Cassoulet de Carcassonne
La légende, rapportée par Prosper Montagné1, place l'origine du cassoulet dans la ville de Castelnaudary, durant la guerre de Cent Ans (1337-1453). Durant le siège de Castelnaudary par les Anglais, les assiégés affamés auraient réuni tous les vivres disponibles (haricots secs et viandes) pour confectionner un gigantesque ragoût ou estofat pour revigorer les combattants. Ceux-ci purent alors chasser les Anglais et libérer la ville. Cette légende qui conforte le sentiment nationaliste et fait du cassoulet un défenseur des valeurs françaises ne résiste cependant pas vraiment à l'analyse. Certes la ville de Castelnaudary a grandement souffert pendant la guerre de Cent Ans. Elle fut d'ailleurs partiellement brûlée par les troupes du Prince Noir le 31 octobre 1355. Cette légende reflète ainsi le désir de prendre une revanche sur l'histoire. D'autre part, les haricots, originaires du continent sud-américain, n'ont été introduits en Europe que beaucoup plus tard (XVIe siècle), il s'agit donc plus probablement de fèves ou de doliques (moujette ou mounjette en occitan)2 qui étaient consommées à l'époque en ragoût.
Un des livres de cuisine les plus anciens, Le Viandier de Taillevent, décrit une recette de ragoût de mouton aux fèves probablement inspirée des Arabes3.
Mais cette légende met en évidence la nature même du plat : un plat fait de restes et très énergétique. C'est donc à l'origine une recette familiale paysanne, faite de graines (fèves, doliques, puis plus tard, haricots blancs) dans lesquelles mijotent les viandes disponibles dans le garde-manger des paysans de l'époque. Le plat est laissé sur un coin de la cuisinière tôt le matin, mijote ainsi pendant la journée et est consommé lors du repas du soir4.
Le cassoulet, qui s'appelle encore au XVIIe siècle estouffet, prend au XVIIIe siècle, le nom de cassoulet du nom du plat dans lequel il mijote, la cassole. La querelle sur le pays d'origine du cassoulet apparaît dès la fin du XIXe siècle quand la revue méridionale publie en 1890 un article affirmant que le seul cassoulet authentique vient de Castelnaudary5. Anatole France appuie cette version quand il écrit « II ne faut pas confondre le cassoulet de Castelnaudary avec celui de Carcassonne qui est un simple gigot de mouton aux haricots. ». La question se nationalise vers 1900 quand le critique gastronomique Edmond Richardin lance un débat sur ce sujet dans la gazette parisienne6. Chacun prend alors parti pour un pays (Castelnaudary, Carcassonne, Toulouse) en oubliant l'existence de versions locales comme Villefranche-de-Lauragais, Narbonne, Montauban, Pau ou Pamiers. En 1911, Le cassoulet est chanté par le poète félibre Auguste Fourès qui retranscrit un chant anonyme de 18507. Ce plat s'invite sur la table de l'Élysée par le biais d'Armand Fallières6.
De nos jours, on trouve, dans la grande distribution, des conserves de cassoulet dans une version que renient les puristes. Il existe cependant, dans la région, des versions gastronomiques apertisées tout-à-fait remarquables. Sa confection est très codifiée mais varie selon les écoles.
Composition[modifier]
Le cassoulet est un plat traditionnel dont la base est un ragoût de haricots blancs longuement mijoté pour être fondant en bouche — c'est là le secret de la réussite. Dans ce ragoût sont ajoutés, selon les versions, du confit d'oie ou de canard, du lard, de la couenne, du jarret de porc, de la saucisse, de l'agneau ou de la perdrix. On peut y trouver aussi de la tomate, du céleri ou de la carotte. Il peut être ou non recouvert de chapelure8.
Il est l'objet d'une querelle ancestrale entre trois villes : Castelnaudary, Carcassonne et Toulouse. La controverse porte sur l'origine du cassoulet, sa composition et les qualités gustatives des cassoulets préparés dans chacune des villes.
Le cassoulet de Castelnaudary est fait à partir de haricots blancs du Lauragais, il contient du confit d'oie, du jarret ou de l'épaule de porc, de la saucisse et de la couenne de porc9, une carotte, un poireau et une branche de céleri10. Il finit sa cuisson dans un four de boulanger dans lequel brûlent des ajoncs de la Montagne Noire. Le cassoulet de Carcassonne peut contenir de la perdrix rouge et un morceau de mouton. Le cassoulet de Toulouse contient du confit de canard et une saucisse de Toulouse, de la carotte et de l'oignon. On le recouvre parfois de chapelure avant de le passer au four. Le nombre de fois où il faut durant la cuisson au four, casser la croûte qui se forme à surface du plat est l'objet de grandes querelles d'experts (entre 6 et 8 fois selon les versions).
Pour arbitrer cette rivalité, Prosper Montagné (Carcassonne, 1865-Sèvres, 1948), un gastronome languedocien devenu cuisinier à Toulouse, a recours à une métaphore :
« Le cassoulet, c'est le Dieu de la cuisine occitane ; Dieu le Père, c'est le cassoulet de Castelnaudary, Dieu le Fils c'est celui de Carcassonne et le Saint-Esprit celui de Toulouse. »
Les constantes[modifier]
Malgré toutes les variantes de ce plat, on retrouve deux constantes : le haricot servant de base et la marmite permettant la cuisson.
Le haricot[modifier]
Haricot blanc
On utilise traditionnellement, pour la confection du cassoulet, du haricot-lingot ou du haricot-coco. Certains cuisiniers tentent un retour aux sources en le préparant avec des fèves. Le haricot commun (phasoleus vulgaris), probablement une variante domestiquée du phaseolus arborigineus11, est originaire du Pérou. Il a été rapporté en Europe vers 1528 par un chanoine italien. Catherine de Médicis vient en France en emportant dans ses bagages quelques graines de ce produit. Comtesse du Lauragais, elle encourage la culture de cette légumineuse dans le sud de la France. Il devient durant le XVIIe siècle et jusqu'au XIXe siècle une base importante de la production et de la consommation locale12.
Après la Seconde Guerre mondiale, cette culture locale a été abandonnée au profit de cultures plus rentables. Le cassoulet est alors fabriqué avec des haricots importés. Mais la qualité du produit en a souffert, les haricots importés provenant de mélanges, il était difficile d'obtenir une qualité constante et un niveau de cuisson homogène. Vers le milieu des années 1990, se crée un syndicat des producteurs de haricots à cassoulet dont la vocation est de promouvoir la production du haricot lauragais. En 10 ans, la production a ainsi été multipliée par presque 20 (de 35 tonnes à 600 tonnes).
Les haricots cultivés dans la région de Mazères ou de Pamiers sont souvent recommandés pour la confection du cassoulet13,Ariège News14,. Le haricot coco de Pamiers avait presque entièrement disparu mais un programme de réintroduction mis en place par la CAPA (coopérative agricole de la plaine d’Ariège) a conduit à un renouveau de la production (22 tonnes en 2006).
La consommation de haricots, importante encore au XIXe siècle a grandement chuté pour tomber à environ 150 à 200 grammes par mois et par personne. Avec la réhabilitation du haricot régional, le syndicat des producteurs de haricots à cassoulet et la CAPA espèrent redonner du prestige à une nourriture riche en fibres, sucres lents et protéines.
La cassole[modifier]
Cassole
La cassole est un récipient en terre cuite à la forme d'un cône tronqué. Elle est vernie intérieurement pour en garantir l'étanchéité15.
Accord mets / vin[modifier]
Le cassoulet se sert traditionnellement avec un vin rouge de la région (Fitou, Corbières ou Minervois)16.
Promotion[modifier]
La confrérie de l'académie universelle du cassoulet
À Castelnaudary, s'est montée depuis 1970, une confrérie du cassoulet dont l'objectif est de promouvoir le cassoulet chaurien. Le grand maître en est, depuis 2004, l'ancien rugbyman Laurent Spanghero. Chaque année, s'organise une grande fête17 du cassoulet durant laquelle des dégustations sont offertes. Un concours regroupe aussi les meilleurs spécialistes du cassoulet de Castelnaudary. Dans cette ville, le cassoulet est un véritable enjeu économique : 80 % de la production française de cassoulet (75000 tonnes) est produit par six industriels de Castelnaudary18.
À Carcassonne a vu le jour une « académie universelle du cassoulet »19. Le projet initié par le restaurateur carcassonnais André Pachon20 , et finalisé par Jean-Claude Rodriguez tend à promouvoir le cassoulet dans toute sa généralité. Une route des cassoulets a été proposée qui permet un voyage dans les meilleures tables de la région et propose plusieurs variantes de ce plat. L'académie universelle du cassoulet intronise aussi des chefs à travers le monde (Belgique, Canada, Japon)21.
Plats voisins[modifier]
Il existe de par le monde de nombreux plats ou ragoûts à base de haricots ou de fèves. Un plat d'origine médiévale est le févoulet qui est un cassoulet aux fèves. Le cassoulet brésilien s'appelle le feijoada, il se compose de haricots noirs, on peut y trouver des abats, de la palette de porc salée, du bœuf séché et du piment. La fabada asturiana ou cassoulet des Asturies est consommée au nord-ouest de l'Espagne. Il est confectionné avec un haricot spécialement cultivé dans la région la faba ou haricot des Asturies. Aux Antilles, on cuisine un cassoulet avec des pois savons secs10. En Catalogne, les faves ofegades est un cassoulet qui se fait encore avec des fèves et qui a la même origine que le cassoulet occitan22. Au Québec, les fèves au lard sont un plat traditionnel composé de haricots mijotés longuement avec du lard. Les trois principales variantes sont : sauce tomate, à la mélasse et au sirop d'érable. Cette dernière variante est très populaire à la cabane à sucre.
Ce bide
Là c'est clair que j'ai les larmes aux yeux tellement c'est un bide qui pique le cul
décris nous un peu ton projet
En somme on doit organiser un meeting entre toutes les écoles de Grenoble (nous on est des l'ESC) autour des jeunes, avec conférences sur la politique (avec des invités genre Michel Onfray, Clémentine Autain...), des tremplins, des concours d'orateurs, photo...
j'ai mis un like
Merci bien chef
Chaud le mendiant qui se penche pour un like.
J'vois que ça monte un peu au niveau des likes, merci
Up là on est bientôt au topic rouge, et on sera plus vu
J'appelle un point d'extraction!
"Hélicobide en approche"