Pareil que Golden
Tellement bon, t'es dedans

Ouais mais Rick a le charisme d'une moule.
J'attend enfin une vraie série avec des zombies ou c'est intéressant et un poil plus poussé au niveau des personnages, qui m'agacent tous au plus haut point.

Sur ce, je vais sur L4D. Bonne journée les amateurs de zombies.

J'adore Rick , son caractère et tout

J'comprend pas pourquoi certain ne l'aime pas

Perso, j'préfère Shane, bizarre non ?

Glenn > All

Gale Anne Hurd, productrice : “‘The Walking Dead’ est une sorte de soap, dur et brutal”

Effrayante, passionnante… la plus zombie des séries débarque sur NT1. Analyse d'un phénomène mondial avec sa productrice et son actrice principale, Sarah Wayne Callies.

Attention, cette interview révèle des éléments de l’intrigue des saisons 1 et 2.

NT1 attaque vendredi 2 novembre 2012 la diffusion de la première saison de la série horrifique, The Walking Dead qui suit un groupe de survivants d’une apocalypse zombie. Un divertissement sombre, sanglant, tiré du comic book de Robert Kirkman. Nous avons pu en discuter avec Gale Anne Hurd, sa productrice, et l’actrice Sarah Wayne Callies, qui incarne Lori, la femme du héros, Rick Grimes, ancien flic à la tête du groupe

Si vous deviez présenter The Walking Dead à quelqu’un qui ne connaît pas la série, que lui diriez-vous ?

Sarah Wayne Callies : C’est une histoire de survie, de la survie d’un groupe d’humains qui doivent lutter non seulement contre les monstres qui s’attaquent à eux, mais aussi contre ceux qui menacent leur humanité, en eux.

Gale Anne Hurd : La série pose la question de la sauvegarde de notre humanité dans un monde où toute humanité a quasiment disparue. Qui sont les « morts qui marchent » ? Les zombies ou les survivants ?

A quelle distance vous situez-vous du comic book dont vous avez tiré la série ?

G.A.H : Nous avons, avant tout, pris sa moelle, son ambiance crépusculaire, son humour noir, son « réalisme », puis, avec l’accord de Robert Kirkman, nous nous sommes éloignés de l’intrigue. C’est d’ailleurs Kirkman lui-même, qui produit et écrit certains épisodes, qui nous a suggéré de prendre des libertés. La BD est un peu l’autoroute au centre de notre récit. Nous empruntons régulièrement des petites routes de campagne, mais nous revenons toujours à l’autoroute.

The Walking Dead réalise les meilleures audiences du câble américain, et touche un large public, malgré son sujet violent…

S.W.C : Le sujet de fond de la série est très simple et peut toucher tout le monde. Par exemple, mon personnage cherche à sauver son mariage dans des circonstances délicates, elle veut élever son fils et hésite entre le surprotéger et le confronter au nouveau monde qui l’entoure. C’est une problématique universelle. Les zombies offrent un contexte qui permet d’exacerber les sentiments et les réactions des personnages, mais c’est avant tout une histoire de famille.

La thématique zombie est très populaire ces temps-ci. Comment expliquez-vous cette tendance ?

G.A.H : Les gens ont peur. Peur de la crise économique. Peur des catastrophes naturelles. Peur de réaliser que nous nous trouvons sur une ligne fragile, près à sombrer dans quelque chose de terrifiant. L’apocalypse zombie leur offre un moyen d’affronter cette peur et d’y réfléchir sans avoir à se projeter dans une situation réaliste, qui ressemblerait de trop près à ce qu’ils redoutent. Les relations intimes entre les héros de la série leur offrent ensuite de quoi s’attacher, de quoi s’identifier à ceux qui évoluent dans ce monde irréaliste. L’addiction est donc double, parce qu’elle procure un échappatoire aux peurs, et parce qu’elle fonctionne comme pour les soaps : on continue à regarder pour savoir où vont les personnages. Finalement, The Walking Dead est une sorte de soap, dur et brutal.

S.W.C : Les gens craignent de voir disparaître le monde tel qu’ils le connaissent. Je ne crois pas que The Walking Dead aurait été aussi populaire dans les années 90, quand l’Amérique était en paix et que presque personne ne se souciait de savoir si la banquise fondait…

Sarah, le public vous connaît essentiellement pour votre rôle dans Prison Break. Vous êtes attirée par les rôles sombres ?

S.W.C : Si l’on peut dévoiler que la saison 3 de The Walking Dead se passe essentiellement dans une prison, on peut plus généralement dire que je finis toujours derrière les barreaux (rires). Prison Break et The Walking Dead ne sont pas les deux seules séries pour lesquelles j’ai passé une audition, mais le business semble vouloir me voir avant tout dans ce genre de rôle. Je n’aurais rien contre une série où j’aurais le droit d’être un peu plus chic, d’avoir autre chose pour costume que des vieux pantalons et des chemises couvertes de sang, de graisse et de boue… et dans laquelle je ne risquerais pas de mourir à chaque épisode !

2e partie !

Ce qui sous-entend que Lori va mourir ?

S.W.C : Dans le comic book, la mort de Lori est un élément clef de l’évolution du personnage de Rick, le héros de The Walking Dead. Dès la première saison, j’ai fait savoir à Frank Darabont (le showrunner des deux premières saisons, désormais parti, ndlr) qu’il aurait tort de ne pas suivre la BD et d’épargner Lori. S’ils veulent me tenir en vie éternellement, j’en serai ravie, mais je ne suis pas assez égoïste pour refuser le destin de Lori… Mon job, c’est de servir l’histoire de la série, et si la meilleure façon de le faire, c’est de partir, de mourir, alors je le ferai.

Vous pensez parfois à ce que ça vous ferait de vous voir à l’image la cage thoracique arrachée par une bande de morts-vivants ?

S.W.C : Ce n’est pas tant ça qui me terrifie que la scène suivante, celle où il faut « revenir », en zombie. Jon Bernthal est un très bon ami, et nous avons parlé de la mort de Shane, son personnage. Ce qui a été le plus dur, pour lui, c’est de se voir transformé en mort-vivant, de s’asseoir de longues minutes pour mettre son maquillage… Je ne sais pas si ça fait sens, mais c’est bien plus dur de jouer un mort qu’une personne qu’on tue.

Vous tournez dans la région d’Atlanta, loin de Los Angeles, et dans des conditions qu’on dit très pénibles…

G.A.H : Nous avons tout simplement voulu filmer la série dans les décors authentiques de la BD. La « skyline » d’Atlanta joue un rôle clef dans l’identité visuelle des livres, et il nous semblait devoir la faire apparaître dans la série. Ceci étant dit, Atlanta propose aussi un abattement fiscal de 30% sur les tournages…

S.W.C : Mais, c’est vrai, les conditions sont particulièrement dures. Il peut faire pas loin de 40 degrés et tout le monde sue abondamment. Il y a des moustiques partout. On en bave tellement qu’on a décidé de lancer un parfum, Eau de Walking Dead, un truc à base de sueur, de crème solaire, de jus de cafard, de sang et de boue !

G.A.H : On a un peu l’impression de bosser dans les tranchées. Tous les soirs, l’ensemble de l’équipe doit être soumise à un test pour vérifier que personne n’a de tiques…

S.W.C : En fait, la fatigue et les efforts physiques font partie de l’apparence de nos personnages. Au final, on nous demande d’avoir l’air le moins maquillé et le moins glamour possible. La caravane maquillage du tournage de The Walking Dead est une épreuve : on en ressort pire qu'en entrant. Ça n’aurait pas de sens que Lori, qui ne dort qu’une nuit sur trois, qui n’a pas toujours une douche à disposition et qui se bat pour survivre, soit coiffée et apprêtée…

On dit que vous faites régulièrement des cauchemars où les zombies vous croquent. Même après trois saisons ?

S.W.C : Ça va mieux. Pendant la première saison, c’était quasiment toutes les nuits. A tel point que je suis allé voir Frank Darabont, et que je lui ai suggéré d’en glisser un ou deux dans le scénario. J’ai naturellement très peur des zombies, et il faut imaginer que le plateau de la série est parfois envahi par des dizaines de types très efficacement grimés. Je me souviens de ma première scène face à eux, et du réalisateur qui me criait « regardes-les, et prends l’air terrifié ! » Je n’ai pas eu besoin de « prendre l’air », j’avais vraiment la trouille !

Une série comme The Walking Dead aurait-elle pu être produite il y a dix ans ?

G.A.H : Nous sommes définitivement tombé au bon moment. AMC voulait proposer quelque chose de plus sombre. Il faut se souvenir que c’est une chaîne du câble "basic", c’est-à-dire accessible à un public assez large, avec des pubs. Les œuvres aussi sombres, comme Les Soprano, Oz ou aujourd’hui True Blood – qui n’est pas aussi noire que The Walking Dead – sont toutes sur des chaînes du câble « premium », sans pub et sur abonnement, comme HBO. Si la violence n’est pas gratuite, vous pouvez aller loin à la télé américaine. Particulièrement quand vous décapitez des monstres, et non des êtres humains. Evidemment, la frontière est ténue avec notre série…

AU FAIT ATTENTION : Y'a DES GROS SPOILS notamment sur une le contenu du comic

LePacte SPOILER Merci de me Spoiler la mort de Lori , t'aurait pu préciser avant de poster

Eh merde ... désolé

Pas grave façon c'était prévisible

"Je me souviens de ma première scène face à eux, et du réalisateur qui me criait « regardes-les, et prends l’air terrifié ! » Je n’ai pas eu besoin de « prendre l’air », j’avais vraiment la trouille ! "

Jerry

Le pire, c'est ça :

" On dit que vous faites régulièrement des cauchemars où les zombies vous croquent. Même après trois saisons ?

S.W.C : Ça va mieux. Pendant la première saison, c’était quasiment toutes les nuits. A tel point que je suis allé voir Frank Darabont, et que je lui ai suggéré d’en glisser un ou deux dans le scénario. J’ai naturellement très peur des zombies, et il faut imaginer que le plateau de la série est parfois envahi par des dizaines de types très efficacement grimés. Je me souviens de ma première scène face à eux, et du réalisateur qui me criait « regardes-les, et prends l’air terrifié ! » Je n’ai pas eu besoin de « prendre l’air », j’avais vraiment la trouille !

Ouai chaud de faire des cauchemard sur ça

J'ai découvert cette série il y a 2 semaines et bon dieu, je n'avais pas autant aimé une série depuis les 2 premiéres saisons de Prison Break

La saison 1 est excellente, ce suspens dans Atlanta, Lori qui dégoute donc tout le monde avec Shane..

Le seul reproche que j'ai a faire a cette saison c'est qu'on ne prend pas le temps de connaitre certains personnages, comme Amy qui meurt malheureusement trop vite pour moi, bon après Ed on s'en fout, Jim c'est dommage mais sans plus, et après la black servait un peu rien..

On arrive donc a la saison 2, et ben je la trouve encore meilleure que la saison 1. Je m'explique : même si le début se met lentement en route, on a le droit a du suspens avec la disparition de Sophia, la blessure de T-dog et Carl. Mais surtout, on en apprend un peu plus sur la psychologie des personnages et d'uen très bonne maniére je trouve

Ok, c'est un peu long parfois, mais on voit Shane péter carrément un câble après avoir tuer Otis, on déteste de plus en plus Lori ( ), Daryl et Dale de plus en plus attachant.. Avec de rebondissement aussi, la grange et donc Sophia, Dale qui malheureusement meurt, la fusillade au bar, l'attaque massaive a la fin..

La saison est donc très bonne pour moi, avec une première partie avec des rebondissement, suspens et connaissance des persos et une seconde partie ou tout s'accélère, de l'action et aussi de l'émotion. On nous " endors " pour mieux nous suprendre et tout cela sans nous ennuyer pour autant je trouve.

fin

Très bonne série donc, et je dois dire aussi que j'aime beaucoup le réalisateur avec de très beaux films ( la ligne verte, les évadés )

Voila, me tarde de voir cet épisode 4 !

Dans le comics on retrouve Jim (en zombie) dans la prison non ?

Biscuit : C'est exactement ça !

Golden : Aucune idée

J'imagine pas Rick mourir même à la fin ...

En tout cas, le comic ne se finira certainement pas par une solution pour résoudre la maladie
Quand Robert Kirkman décidera d'en finir, tout le monde mourra certainement, c'est qu'une question de temps

Tu veut dire que le monde sera rempli de rôdeur ?

Non impossible

Y'aura un remède

J'pense pas, après ces que des suppositions