Bah reprends plus vite alors.

Eh, respect pour le travail hein

Mais SWEET !

Moi aussi, je travaille !

Tu me laisse 15 minutes, okay ?

Ok !

Salut à toi

Tu en a marre des règles abusifs de JVC ?

- Des admins qui bannissent pour rien...
- Pleins de fonctions inutiles...
- De l'argent qu'on ne peut pas dépenser
- Devoir taper le code de confirmation pendant 2 ans...

Alors rejoins-nous !

- Un forum sans aucun code de confirmation!

- Un forum avec moins de règles pour plus de fun!

- Des grades inédis

- Pleins de smileys inédit sur les forums.

- Les fonctions, citer, ignorer, éditer.

- Beaucoup de pseudos collectors encore libre !

- Une communauté sympa

Alors venez nous rejoindre.

http://www.serenity-fr.eu

~Inscription sans mail de confirmation.

OMFGAY, je coule

Bha non, pas de pron en fait, surement plus tard

Chapitre X

Après avoir viré l’autre salaud de MON immeuble (ouais, moi vivant, s’il revient ici, il ressortira avec une balle dans le buffet), je rentre dans ce que mes parents ont présenté comme étant ma chambre ... Je ne reconnais rien, et pour cause, ils avaient déménagé suite à la mort de ma sœur, mais surtout suite aux excellents résultats de l’entreprise de papa, ou plutôt à sa promotion au poste de PDG de son entreprise ... Je jette rapidement mon sac contre le fauteuil, avant de m’écrouler sur le lit ... Laura frappe doucement à ma porte, puis l’ouvrit, et a l’air inquiet quand elle voit que j’ai toujours mon pistolet sur moi ... Je vois son malaise, je me lève, je m’approche de la table, et je ne trouve rien d’autre à faire que d’éjecter le chargeur plein pour le poser avec l’arme ... Elle semble un peu désarçonnée par mes accès de colère ... Je lui tends la main pour l’inviter à me rejoindre, et je la prends dans mes bras ...

Son corps frêle et fragile contre mon corps musclé et puissant ... Elle, 1m77, 65kg, moi, 1m91, 98kg ... A ce moment je comprends que la force des hommes est faite par la fragilité de leurs femmes ... Alors qu’elle ferme les yeux, sa tête appuyée contre mon torse, je pose mon menton sur le haut de son crâne ... Elle pleure, de joie ... Je pleure aussi, mais c’est différent ... Moi, c’est comme si ces cinq ans ressortaient tous d’un coup ... Quand elle s’en aperçoit, elle prend ma tête entre ses mains et m’embrasse tendrement ...

Ma mère entre, sans frapper comme à son habitude, et Laura s’écarte brutalement de moi ... Nous rougissons tous les deux, l’air gêné ... Ma mère me prévient qu’elle et mon père vont dîner dans un restaurant, le genre resto hyper chic du XVIe, avec du champagne dans des seaux en or et du caviar à la louche, avant d’aller à l’opéra (normal, mes parents adorent l’opéra) et qu’elle me laisse 100€ pour aller manger ... Je la remercie, elle sort ... Je regarde Laura, elle me regarde avec un de ses regards coquins qui m’énervaient avant, mais maintenant, ce petit regard en coin en se mordillant la lèvre me donne envie de l’embrasser ... Ce que je m’empresse de faire d’ailleurs ... Enfin, seulement après m’être assuré que mes parents étaient partis bien sur ... Elle me saute dessus, je la maintiens au-dessus du sol, son visage un peu plus haut que le mien, et nous nous embrassons, heureux de retrouver l’amour, ensemble ...

Super! Sweet!

Cool

Tu es allé voir ma FIC?

Euh, non, lien ?

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-110006690-1-0-1-0-fic-3-annees-de-ma-vie.htm

Enjoy

Alors?

Ouais, c'est sympa mais j'ai l'impression que sa part limite en une histoire d'espionnage, et j'ai bien senti le clin d'oeil au M1911 de Mr. Metallica

Mais le problème c'est ça... Au début j'avais envie de faire une histoire classique de lycéen mais depuis que j'ai lu la tienne j'ai de plus en plus envie de partir vers le polar... et en même temps rester dans la vie lycéenne...

Je sais pas en fait

Ah ouais

Bah perso je pense que ça risque de partir un peu pareil ...

Chapitre XI

Sachant qu’il n’était que 17h35, j’avais le temps de passer chez l’armurier en bas de l’immeuble, j’avais repéré un holster d’épaule assez sympathique Bah ouais, j’allais pas sortir avec mon pistolet dans le calbar toute ma vie !... J’y descends avec Laura, et j’entre dans la boutique ... Je m’approche donc de ce holster d’épaule en cuir marron, le genre cow-boy, ou bien le genre GI de la seconde guerre mondiale ... Je l’achète, et nous partons en marchant, Laura et moi, main dans la main, en quête d’un restaurant qui veuille bien de deux « jeunes » amoureux ... Finalement, quand on en a trouvé un, je me dis que c’était le moment de la brancher, juste histoire que j’aie pas mis un costume noir avec une chemise blanche pour rien !

Donc nous arrivons à notre table, juste à côté de l’aquarium (un genre de piscine avec des poissons dedans plus qu’un aquarium, mais bon ...) ... En gentleman que je suis (enfin, que je suis redevenu), je lui tire sa chaise, qu’elle puisse s’assoir ... Pendant qu’elle regarde la carte des plats, j’ai tout le loisir d’admirer sa belle robe bleue, moulante, mais pas trop ... Avant de remarquer une bande d’enfoirés qui regardent Laura d’un peu trop près, surtout en faisant des commentaires ... Je me lève calmement, comme pour aller aux toilettes, et en passant à côté d’eux, je m’arrête et reconnais Killian ... Ouais, Killian, le fils de ma famille d’accueil, avec deux ans de plus quoi ... Il me dit simplement

« Eh, connard, elle est bonne ta meuf, tu me la laisse ce soir ? »

Laura se retourne, l’air effaré, il se lève et se dirige vers elle ... Il la prend par le bras le salaud ... Action ? Réaction, je sors mon arme, je me jette sur lui, et je lui colle mon pistolet contre la tempe ... Mon arme étant bien évidemment unique, il la reconnait, et me regarde avec de grands yeux, comme un poisson sorti de l’eau ...

« Lâche-la, sinon, tu peux être sûr que cette arme te montrera son action ... »

Je sais pas pourquoi je lui ai dit ça, mais sa a l’air de faire son effet, vu qu’il lâche ma Laura, pour finalement me décrocher une droite dans le nez ... Etant plus grand et fort que lui, je le prends par le cou, je le soulève au-dessus du marbre du sol, et je le jette sur la table de ses amis ... Je vois alors un homme en costume, la cinquantaine, qui me regarde avec insistance ... Pas avec un air hostile ou apeuré, comme les autres, mais avec un regard ... Impressionné ...

Le reste du repas se passa sans encombre, et au moment où nous sortons, cet homme vient me voir ... Il veut me parler en privé ... Je le suis en dehors du restaurant, ou il me donne simplement une carte de visite, en me demandant d’appeler ce numéro ... Dominic Caruso ... Jamais entendu parler, mais avant que j’aie eu l’occasion de lui demander qui il était, il avait disparu ... Je rejoins Laura, et lui propose d’aller au cinéma, histoire de bien finir la soirée ... Arrivés devant le cinéma, je vois arriver les emmerdes ...