Bon bon bon...
Acclamez votre orateur preferé.
Commencons par la conclusion,puisque vous avez rien à foutre de ce qui va suivre ( entre nous,j´vous comprend :D ) :Je quitte le topic.
Enfin,je quitte,c´estun bien grand mot,j´avais totalisé un total de 1 petit,minuscule,ridicule post...
Mes raisons^^
-La premiere et principale,c´est tout de meme le fait que je sois un peu arrivé " à l´improviste".
En effet,vous aviez tous deja preparé les relations entre vos persos,ce que vous alliez faire,et moi j´etaisun peu genre " touriste" ( pas qu´un peu en fait ; ) )
Donc c´est un peu dur...Et c´est inutile.
-Deuxieme raison,qui existait deja à mon inscription,mais que je considerais comme secondaire:Ryzom.
En effet,je me suis mis à ce MMORPG,et ce genre de jeu,vous savez comment c´est:Il y a des gens là bas qui comptent sur vous,et si vous voulez pas vous retrouver à la ramasse par rapport à vos compagnons et devenir un boulet,il faut pas faire du " casual play".
Bref,erff m´avait repondu que ça ne demandait pas une enorme disponibilité,donc j´avais choisi de venir quand même ( Pour vous faire plaisir ^^)
Bref,voilà,je vous souhaite une bonne continuation, et n´oubliez pas que le plus important,c´est...
UN VENDEUR DE CREPE DANS CHAQUE VILLE!!!!
Desolé ^_^´
On s´voit sur msn pour la plupart
euh... sans commentaire xD
Sinon bye
( moi, des que jme suis completement desintoxiqué, je poste)
Frédérick passait son temps dans le cloître de Saint Ignius, traînant derrière lui sa mélancolie et son mal de vivre. Le départ de Lyude avait sonné pour lui comme la fin d’un rêve, non qu’il ait particulièrement apprécié la présence de l’ange ou qu’il ait aimé l’avoir à ses cotés, mais du moins cette rencontre folle l’avait sortit de son état de torpeur dans laquelle il recommençait à sombrer.
Enfermé dans sa chambre il passait des jours mornes, suivant le train de vie des autres paladins, assistant aux entraînement et prières quotidiennes… sauf que lui n’était pas paladin, certes il en avait les capacités, mais pas la foi! Car le Seigneur devait bien se moquer de lui, présent sur une terre qu’il ne reconnaissait plus et qui ne le connaissait pas…. Ses cauchemars étant les seuls liens qui semblaient passer outre son amnésie.
Mais, comme si la visite de l’ange avait débloqué quelque chose en lui, il eu un rêve bien plus étrange que d’habitude cette nuit là… A peine s’était-il mit au lit et avait soufflé la bougie à la flamme vacillante que Morphée l’avait saisit pour le mener là où son esprit n’était encore jamais allé, et Morphée ressemblait fort à la folie en cette nuit.
Il était dans le monastère, habillé de son uniforme, armé de son épée… et visiblement une nouvelle fois seul dans un songe qui promettait une nouvelle fois de lui faire friser la folie.
L’air semblait si lourd qu’il en avait les mouvements comme ralentit, ainsi c’est avec une sensations de peiner pour avancer que Frédérick fit quelques pas vers la porte de la cellule qui lui servait de chambre, mais il y avait un problème: cette porte était ouverte!
A présent conscient d’être dans un rêve, Frédérick passa sa porte, arrivant dans le long et froid couloir qui distribuait les cellules des autres paladins… et meme s’il s’attendait à être dans un de ses nouveaux cauchemars, il reçut un choc!
Le sol était teinté de rouge, entre rouille et sang séché, la vermine grouillait sur les murs, et la moisissure semblait la reine des lieux, et les quelques chandeliers qui autrefois éclairaient ce couloirs était devenus…
Mais c’était trop atroce, et il détourna son regard hypnotisé par ce qui désormais diffusait une lumière crue et violente sur les lieux… des corps crucifiés et brûlant, hurlant silencieusement à travers une gorge ouverte d’un large sourire qui se consumait tout comme le reste de leurs chairs! Le feu de ces… Humains?/Monstres?/Choses? Éclairait néanmoins les alentours, et Frédérick se força à relever la tête, ne serais-ce que pour vérifier si le/les auteurs de ces morts ne se trouvait pas à proximité…
Et en effet, des choses étaient présentes dans le couloir désormais emplit de l’odeur de la chair brûlée… loin du Bébé à deux têtes que Frédérick avait déjas vus, ces choses semblait bien moins évoluées, mais en nombre largement assez grand pour faire frémir le corps du paladin…
Des créatures sur deux jambes, avec un unique bras pendant d’un tronc ou cicatrices ouvertes et suintantes côtoyaient peau tombante ou peut-être une couche de moisissure que Frédérick prenait pour tel? Toujours était-il que les créatures, meme dépourvues d’yeux ou d’oreilles, en apparence du moins car Frédérick ne parvenait pas à distinguer quoi que ce soit sur les amas de chairs, se mirent à marcher lentement vers lui, prit dans la meme atmosphère épaisse qui semblait les ralentir tout autant que le Paladin, qui contemplait cette milice ce choses gluante et saccadées se mettre en marche vers lui.
Frédérick: C’est un cauchemar, rien n’est réel… je sais que c’est un rêve…
Il entendit un rire sinistre résonner à ses oreilles, un rire qui le fit sursauter et qui alla lui glacer les tripes, comme un souffle mortel… un rire qu’il ne connaissait que trop bien… son propre rire, ou plutôt sa voie se prêtant à un simulacre d’hilarité, mais emplit de folie, hoquetant, sifflant, hurlant… alors que Frédérick portait ses mains à sa bouche pour constater que ses lèvres ni sa gorge ne bougeaient!
C’est alors qu’il releva les yeux pour vois que les créatures de cauchemars avaient cessées de s’approcher. Désormais immobiles, elle tombaient unes à unes, frappées à mort par une force invisible qui les tailladaient, faisait sauter leurs têtes ( ???) et démembrait leurs corps difformes et viciés par milles maladies.
Tout cela connaît mal à la tête de Frédérick… le rire qui était le sien sans l’être, les choses crucifiées sur les murs comme des torches macabres, leurs graisses brûlant pour éclairer le vaste couloir, les créatures qui tombaient dans un massacre invisible… et son front qu’il sentait brûlant, ses mains refusant d’aller le toucher, comme si une réelle fournaise aurait pu s’en dégager pour les brûler…
Frédérick: NOOOOOOOOOOOON! ASSEZ!!! SORTEZ DE MA TETE!!!
La douleur l’emportât une nouvelle fois sur la raison, il se redressa, son front moins douloureux, mais avec une ferme intention de massacre dans les yeux… tuer, tuer, massacrer, mutiler, donner ses douleurs à ses morts, pour stopper cette brûlure qui lui vrillait la tête!
Peut-on souffrir lors d’un rêve? Pour Frédérick la réponse était absolue: OUI!
Désolé mais je trouve pas mes mots, je vois pas les scénes que je retranscrit comme des bouzes que je jetterais sur une page, alors je ^prefere ne pas persister dans un massacre écrit et espérer que demain mon cerveau et mes mains trouveront les mots... -_-
meme reflexion ke van, sauf ke la c plutot, post pourave
C’est à ce moment là qu’il commença à le voir. Lui, Ca, ou qu’importe comment il pouvait le désigner.
Être noir, qui seul luttait contre les abominations, les massacrant plus que les tuants, alors que les créatures ne pouvaient meme pas riposter sous la violence et le vitesse des assauts… C’était lui qui émettait ce rire si semblable à celui de Frédérick, lui qui était l’invisible massacreur!
L’homme dont le corps semblait n’être qu’une immense ombre en relief portait une arme qui semblait être similaire à celle de Frédérick… du moins pour ce que celui ci en voyait, le métal étant recouvert de sang poisseux et de débris de chairs arrachés au créatures de l’homme ( du moins selon sa stature) massacrait avec un air de joie malsaine.
Mais une fois la sinistre hécatombe achevée, la chose noire se retourna vers Frédérick… et là le paladin comprit toute l’immensité de l’horreur!
Ses yeux…. Ses yeux étaient normaux, ses yeux étaient ceux d’un homme normal… ses yeux!
La créature courue sur le guerrier saint, ne ressentant pas le ralentissement de l’atmosphère du cauchemar, et stoppa net à quelques mètres de Frédérick, son épée pointée vers lui!
La chose n’était en fait pas noir, du moins pas par couleur de peau… Frédérick comprit vite aux croûtes épaisses et sèches que l’individus était recouvert d’une sorte de couche de charbon, comme si il était brûlé vif et que sa peau, au lieu de disparaître, avait formé cette couche dure et craquante, poussiéreuse de fumée de charbon…
Chose noire: ….Souviens-toi de moi comme tu aimerais te souvenir de toi meme…
Frédérick: ! !!!!
Dans un hurlement de rire, la chose fondit sur lui et lui perça le front de sa lame, laissant non une réelle douleur physique mais plutôt mentale s’emparer de la tête du paladin! Son front le faisait à nouveau souffrir, et plus que jamais il le sentait brûler, comme si des flammes y naissaient! Comme si lui aussi son corps allait se consumer pour ressembler à la créature brûlée vive!
Un voile sanglant descendit sur ses yeux, les nappant de rouge, Frédérick releva sa tête vers l’inconnus mais il avait disparut, bien que dans son champ de vision ne reste l’épée de celui-ci, toujours fichée dans son front!
Mais le sang à travers lequel il se forçait à voir éclaira la scène sous un autre jour, dans le couloir de son cauchemar, plus rien n’était pareil… voir meme tout était pire!
Les corps brûlant et crucifiés aux murs… leurs habits… c’étaient des paladins!
Les cadavres massacrés par le brûlé, leurs habits, leurs armes… des paladins!
A ses pieds, le dernier mort, ses cheveux blonds… ce visage fin meme défiguré par l’horreur… Frédérick avait Ky Kiske, le chef des paladins, mort, à ses pieds.
Où étaient les monstres qui étaient là à leurs places? Quel était cette folie? Une illusion? Il était certes dans un cauchemar, mais… et si il ne rêvai pas?
Il regarda l’épée dans son front, n’osant pas l’en tirer… tout cela était si fou…
Cette lame, ce n’était pas la sienne. C’était celle de Ky!
Frédérick: …par pitié dites-moi que je rêve!
Et il tomba en arrière, basculant à l’infinis comme si il n’atteindrait jamais le sol avant de fermer les yeux sur ses visions…
Il avait froid, et mal aux yeux… comme si il venait de verser toutes les larmes de son corps en dormant…
Frédérick rouvrit les yeux, se sortant de son cauchemar.. Pour replonger dans un autre, mais bien réel celui-la!
Que faisait-il par terre sur une route? Pourquoi était-il là et pas dans son lit, à Saint Ignius?
Il se releva et s’examina avant de blêmir… il était couvert de sang!
La peur revenue accompagnée des brides de son rêve… et si…?
Le monastère n’était pas à portée de vue, et Frédérick avait trop peur de découvrir une réalité en s’y rendant… il remarqua qu’il était sans son bouclier bien qu’il portait épée à sa taille. Tirant l’arme de son fourreau, il faillit tomber genoux à terre quand il vit des traces rouges dessus!!! Mais il se força à y faire attention et remarqua que ce n’était que des piqûres de rouilles qui commençaient à naître à la base de la lame, il rangea donc l’arme sans la sortir plus de sa gaine, puis partit sur la route..
Certes il ne savait pas où aller, mais il portait les habits des paladins et pourrait donc demander asile à chaque églises, et pour la nourriture il trouverait bien un travail à réaliser, il était jeune et fort, il ne se faisait pas de soucis sur sa survie… juste sur sa santé mentale… Saint Ignus… et si…?
Sur ce il força son pas, ne voulant plus penser à ces horreurs, et priant pour qu’il se trompe!
Le soleil commençait à décliner, alors que Lyude et Ryûko s’étaient remis en marche depuis une bonne heure. Ils n’avaient trouvé ni logement, ni nourriture. Ils marchaient dans des rues alors bien moins agitées que durant l’après-midi, lorsqu’ils se trouvèrent sur une place face à une imposante église.
- C’est sans doute mieux que dehors. remarqua-t-elle en regardant Ryûko qui commençait déjà à s’endormir dans ses bras.
L’Ange rentra dans l’imposante église dont l’intérieur était richement décoré. Il n’y avait personne à l’intérieur, le silence régnant totalement. Les bancs des fidèles étaient parfaitement alignés face au cœur de l’église, l’autel au centre étant orné de fleurs et d’autres présents. Au-dessus il y avait un deuxième étage où trônait un orgue gigantesque mais pour l’instant silencieux. Les vitraux qui ornaient les murs étaient colorés et représentaient des scènes diverses. L’un des vitraux attira particulièrement l’attention de la jeune femme : c’était le seul qui représentait un Ange. C’était un Ange masculin, qui semblait remonter vers le ciel, acclamé par des humains contemplant son ascension.
Lyude alla vers un banc placé dans l’ombre, le plus à droite de la nef. Elle s’allongea, toujours en serrant Ryukô dans ses bras et elle s’endormit immédiatement, trop épuisée pour chercher un autre endroit où dormir.
Le lendemain matin, Lyude s’éveilla doucement, réveillée par les rayons du soleil qui filtraient à travers les vitraux et par Ryûko qui lui lécha le visage. Lyude se leva, quelques fidèles très matinaux la dévisageant d’un air interrogateur. Elle vérifia que ses ailes étaient bien cachées sous la cape, puis sortit de l’église, après avoir jeter un dernier regard au vitrail représentant l’ange.
A l’extérieur, la ville s’éveillait elle aussi doucement, en même temps que le soleil se levait.
L’ange recommença à marcher dans les rues, à la recherche de quelque chose à manger et d’une carte pour savoir où était située cette ville.
Loki préféra plutôt l´emmener chez le médécin du village car il n´avait poin appris les " gestes qui sauve". Il prit la jeune femme dans ses bras et demanda aux villageois où se trouvait donc le médécin. Ils lui indiquèrent le chemin et il se mit en route rapidement. Curieux, Hiryuu prit le sac très lourd de la jeune femme, sa canne et son katana et se mit à suivre son compagnon. Après quelques minutes, ils arrivèrent enfin chez le soit disant docteur. Celui-ci fit moult massage cardiaque et bouche à bouche à la jeune fille pour qu´elle puisse survivre. Elle respira enfin et il la posa sur un lit pour plus de repos.
" Bon Hiryuu, on y va ? demanda Loki
_ Vas y toi, moi je reste là... repondit il.
_ Mais que veux tu ?
_ Cela ne regarde que moi...
_ Bon d´accord ! Sois pas agressif, bon j´vais acheter la carte ! A tout à l´heure ! " Dit il
Quelques minutes plus tard, bien avant le retour de Loki, la jeune femme se réveilla quelque peu étourdie.
tada
Shin: je savais que t´allais jouer ton flemmard, mais y a pas que sur Ryzom que y a de sgens qui compte sur toi. Moi je comptais sur toi pour le pic... bon bah amuse toi bien avec tes 768 de RAM
Le reste du monde XD: bah alors? un coup de blues parceque je suis po là ? aller je m´y met, ca va être tout le monde à Troya ! !!
Une semaine. Une très longue semaine. Trois jours de pluie, deux de grisailles, et deux trop ensoleillés... Yann a marché s´arrêtant dans divers villages , ou auberges perdues. Sans jamais payé, il a traversé le quart du royaume a pied, sans manquer d´énergie, et encore moins de motivation, à atteindre Troya, la capital qui porte le même nom que le royaume.
La nuit est froide, le vent souffle, avec un petit vent tout aussi frais. Un crachin qui refroidi encore plus l´atmosphère, rend Yann souriant. Il est en plein centre ville, en pleine nuit, seul dans Troya. Même pas de balladeurs. Il ne voit même pas l´ombre d´un brigand. Il semble chercher, voir même attendre quelqu´un...
" Il faut que je les trouve tous..."
Ses cheveux mouillés jusqu´à la raçine, restent collés à ses joues. Il goûte de tout son long, ne semblant pas être dérangé par la pluie, son long manteau de cuir le couvran assez pour ne pas se retrouver " tremper"...
Il commence à perdre sévèrement patience et à écarter des pavés à l´aide de son épée...
Alors qu´il vient d´écarter toutes les dalles, et tous les pavés da la place du marcher, il commence à tapper du pied, faisant raisonner dans la ville, le bruit metallique de ses vieilles jambières.
j´en suis resigner a faire des posts de 2 lignes 1/3, càd de pas respecter la règle
Quelques instants de silence plus tard, Loki revint, avec une carte, prêt à repartir. Ce dernier semblait être heureux que la jeune femme soit en bonne santé. Hiryuu lui raconta alors son handicap et surtout, qu´il n´avait eu aucune réponse à ses questions. La jeune femme se leva en direction de nos deux amis et leurs demandèrent, grâce à l´écriture, qu´elle voulait se joindre à eux, par peur d´une autre attaque de ces mystérieuses personnes. Loki accepta à coeur joie, car il pensait que cette présence féminine allait sensiblement égayer l´atmosphère lors de leur route. Bien sûr, il se tourna vers Hiryuu et lui demanda son avis, tout en réfléchissant à une quelconque argumentation, afin de le convaincre.
Mais étrangement, son compagnon accepta, sans vraiment y mettre du coeur, mais sans soupirer non plus. La jeune femme inscrivit alors son prénom sur le bout de papier, qui était Sybil.
A présent trois, nos amis s´apprêtèrent à partir, quand soudainement la demoiselle se retourna et se dirigea vers son sac rempli d´objet. Loki eût alors l´initiative de demander si elle voulait que ses biens l´accompagnent dans la route, ce qu´elle agréa de la tête. Celui-ci eût alors l´idée d´aller acheter une petite charette, afin de facilité le transport des objets. Cependant, ce dernier réalisa, encore, qu´il n´avait pas un rond sur lui. Il demanda alors à ses compagnons s´ils avaient de quoi payer. C´était Hiryuu qui sortit les pièces de ses poches pour les donner à son compatriote, afin qu´il ait la possibilité d´acheter le chariot.
Ceci fait, Loki rejoignit ses compagnons. Sybil y posa alors son sac légèrement lourd. Nos amis scrutèrent alors la carte. Leur but était la capitale du royaume, c´est-à-dire Troya. Il fallait donc traverser un long chemin afin d´y arriver, ainsi qu´une forêt. Avant celle-ci, il y avait un petit village, qui servirait de relay, car bien qu´il ne faisait pas encore très tard, la fatigue les prendraient rapidement, et donc, cet hameau leur serait d´une grande utilité.
Sur ce, ils partirent donc dans la direction de Troya, en ce jour moyennement ensoleillé. Le voyage était paisible, bien qu´un silence de mort y régnait. L´air était assez doux, le vent ne se présentait que par des petits mistrals, alors que la nuit tombaient lentement sur leur chemin. Un peu plus tard, ils arrivèrent à ce village, pour se diriger à la taverne et y commander de quoi se restaurer. Après le repas du soir, nos amis se dirigèrent vers l´auberge, où ils purent se loger pour une soirée.
Frédérick marchait encore, trempé jusqu’aux os bien que ne ressentant pas le froid. La pluie battait alors qu’il marchait vers la capitale, Troya . Là bas il était au moins sur de trouver un quelconque travail.
Visiblement la pluie avait laver les routes des marcheurs, voyageurs et meme brigands, aussi le paladin sans terre d’accueil progressait vite, « empruntant » par moment les chevaux des postes de relais hippiques qui bordaient les routes principales sur lesquelles circulaient parfois les messager porteurs d’écrits devant être remis en express.
Bref c’est au bout d’à peine 2 jours qu’il arriva au larges porches de fortifications de Troya, la ville principale du royaume éponyme. Passant un poste de gardes déserté à cause du déluge, il se faufila comme un voleur ( là j’aurais rajouté « voleur humide » mais bon, c’eu brisé l’harmonie du texte) à travers les rues, cherchant là ou il serait accepté et nourrit. Mais rien!
En désespoir de causes il alla à la grand’ place, là ou était censé se réunir les auberges, magasins, étals de nourritures… et ou il espérait trouver de quoi manger et dormir au sec!
Yann, assis sur le rebord d´une fontaine apperçoit un homme au loin. Il semble pressé de trouver un abri, et paraît assez sympathique.
" En voilà un ! " Pense Yann.
Il se lève du monument, puis avance à pas lents vers l´homme. Ils ne se voient pas vraiment, en raison des trombes d´eaux qui ont remplacé le crachin.
Yann tend sa main:
-"Bonsoir ! Besoin d´aide!?" Dit il.
-"Bonsoir! Il me faut une auberge, ou un quelconque refuge!" Bafouille - t - il à travers la pluie.
Yann tend son bras vers une grande maison. Les deux hommes se hâtent de pénétrer dans ce qui est une auberge plus accueillante que l´exterieur.
-"Je me présente, je suis Yann, Yann De Cross, et vous donc?"
Frédérick: Frédérick Godwill, je suis un ex-paladin du monastére de Saint Ignus, à torois jours de marche vers l´est, merci de votre auspitalité, je mourrais de froid dehors.
Il enleva sa cape et ses gants trempé pour les poser prés du feu, ne guardant que sa chemise collée à son corps ma foi assez musclé. Il ébrouha ses cheveux et replaca la plaque de métal qui lui protégeait le front avant d´aler prendre table avec Yann De Cross.
Frédérick et son nouveau compagnon d´un soir commandérent un bouillon, voulant tout d´abord ses réchouffer...
Frédérick: Loin de moi de renier votre charité, mais que me vait la chance d´être ici à votre table?
Le matin fut enfin venue et nos trois compagnon pouvait reprendre leur route. Le voyage n´allait pas s´annoncer bien plus gai que le précédent. Cependant Sibyl ( Attention à l´orthographe Erfff ^^) gardait espoir et se dit interieurment que tout les trois, deviendraient amis un jours ou l´autre puisque, sûrement, ils passeraient beaucoup de moment ensemble, les bons comme les mauvais.
Loki, lui se posait de nombreuses questions, à commencer par: Quelle est la véritable identité d´Hiryuu ? Pourquoi voulait il poser des questions à Sibyl ? Que cherche-t-il réellement ?
Enfin bref... Sibyl griffona quelque chose sur le papier grace à sa plume puis elle fit tapotté son ongle sur le bois de la charette. Hiryuu et Loki se retournèrent pour savoir de quoi il retournait.
La jeune fille leur sourit et leur montra ce qu´elle avait marqué. On pouvait y lire " Comment vous appelez vous ? "
Ce fut Loki qui s´empressa de répondre.
" Moi c´est Loki, et lui c´est Hiryuu ! " Dit il avec un large sourire.
Hiryuu se retourna alors et leur fit signe de reprendre la route. Loki expliqua alors à Sibyl que leur compagnon était toujours de la sorte, enfin de ce qu´il en connaissait.
Ils arrivèrent rapidement à cette forêt qui leur barrait la route, et s´y engouffrèrent afin de poursuivre leur route. Celle-ci était paisible, les chants des oiseaux se firent entendre, alors que le silence s´imposait chez nos trois compères. Les rayons qui passaient les feuillages étaient sources de chaleur dans la fraîcheur verdoyante. L´air frais se mêla au parfum de la verdure, un mélange d´odeur exquise.
Quelques heures plus tard, ils sortirent de ce lieu et n´étaient plus qu´à quelques centaines de mètres de la capitale, Troya. Depuis l´incident avec Sibyl, rien de très important ne s´était passé aux yeux d´Hiryuu. Cependant, ce n´était pas pour cela qu´il allait baisser sa garde, car il ne connaissait rien de ses deux compagnons, qui pourraient être des espions.
En quelques minutes, ils arrivèrent aux imposantes portes de la majestueuse ville, et furent interpelés par les gardes qui vérifiaient leur chariot. Ceci fait, nos amis y pénétrèrent, sans vraiment savoir ce qu´ils allaient trouver ici.