Pas d´avis pas de suite surtout...

PS: 100 messages !

deja lol

et bien voila un avis
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toujours aussi bien

Nan trop tard cher camarade, la suite demain au mieux.

_onilink_ posté le 15 fevrier 2007 a 20:43:25

la suite demain au mieux.

oui mais quand demain

(lapres midi le midi ou le soir)je sais je fais chier avec mes demandes pr la suite mais jadore a la folie ta fic

Dépêches toi _onilink_

ouais depeche toi la suite la suite la suite la suite

aller plus vite

Tout le monde, sauf le Malin, se retourna vers la voix inconnue.
Link l’épée à la main, le bouclier dans l’autre se tenait fièrement à l’entrée de la clairière. Le chef s’agita alors sur son trône et ordonna à sa garde de capturer l’intrus.
L’armée Mojo s’avança prudemment, les lances pointées en avant. Le héros vert banda son arc et décocha une flèche qui transperça de part et d’autre un soldat qui s’affaissa sur le sol en piaillant. Des cris s’élevèrent de la foule, les créatures commencèrent à avoir peur. Le combattant se mit en position de combat, l’épée au dessus de la tête. Un Mojo immergea silencieusement de la terre dans son dos, et l’assomma au crâne, ce dernier s’écroula.

Quelques minutes plus tard.
-C’était audacieux, vraiment, très audacieux, lui souffla Ganondorf, le héros vert étant ligoté derrière lui au même tronc.
-J’essayai de vous sortir de cette situation.
-En tous cas c’est réussi, leur chef a l’air bien énervé. Je retiens surtout le petit, lui et sa diplomatie, tu parles !
-Les primitifs chauffent l’eau d’une grande marmite, pas évident de deviner qui aura l’honneur de s’y baigner.
Zelda fixait Link de ses grands yeux bleus, il se sentit tout à coup très mal à l’aise.
-Pourquoi elle me regarde comme ça ?
-Que veux-tu donc que j’en sache, elle essaie sûrement de te faire passer un message d’amour…
La princesse détourna son regard.
-Il faut qu’on sorte d’ici ! lâcha tout à coup Link.
-Et c’est maintenant que tu y penses… Bon j’ai ma petite idée. Ces sauvages n’ont pas serrés suffisamment les liens. On va faire exactement ce que je vais dire. Nous allons remplir nos poumons du plus d’air possible, rester quelques secondes la poitrine gonflée à bloc et tout expirer brusquement. Tu as saisis ?
Son interlocuteur leva un sourcil :
-Heu… oui à peu près je pense.
-Bien, allons-y.

Un peu plus loin, Will demanda à Zelda :
-Tu crois qu’ils font quoi ?
-On dirait qu’ils étouffent !
Samus leur chuchota :
-Mais non regardez ! Leurs cordes tombent, ils se sont libérés !
Le roi aperçut les fugitifs qui s’évadaient et hurla des ordres, traitant ses soldats d’incapables. Link demanda à Ganondorf :
-Deux contre cinq cents, c’est raisonnable ?
-Ils ne savent pas se battre.
-C’est pour ça qu’ils t’ont capturés tout à l’heure.
Le Malin n’eût pas le temps de répliquer, il estourbit du poing un Mojo qui se ruait sur lui.
-Réglons ça à la lame, dit Link en tirant son épée.
Le héros vert asséna un coup véhément sur un ennemi et lui écrasa la tête d’une frappe de bouclier. Il sa baissa, parant une autre attaque puis transperça son assaillant. Il combattit avec ardeur, des morceaux de bois volaient de toutes parts, des petits cris aigués retentissaient. Ganondorf déclencha un tremblement de terre, terrorisant de plus belle les créatures, qui commençaient à reculer, effrayés par la vigueur et la détermination de leurs adversaires.
Un peu plus loin, Zelda murmura des incantations, les flammes des torches fusèrent et jaillirent de toutes parts, lâchant des gerbes de feu sur l’armée en panique.
-Les Mojos s’enfuient ! s’écria Will.

Le roi observait le groupe d’un œil furieux, Ganondorf le prit par le cou.
-Alors tu as voulu nous manger, hein ? maugréa-il en grinçant les dents.
Le Malin lâcha le chef qui tomba par terre, puit suivi ses compagnons hors de la clairière.
Ils se reposèrent, assis sur des souches, et avalèrent quelques vivres.
Une fois ce moment de repos terminé, Link déclara :
-Après avoir cheminé longtemps dans la forêt, j’ai découvert le temple du temps.
-C’est bien, dit Samus, nous n’aurons pas à chercher.
-Suivez moi, c’est par là.
Ils précédèrent les pas de Link, et déboulèrent dans une autre clairière, apparemment vide. Zelda, regarda le héros vert, puis s’enquit :
-Où est le temple ? Je ne vois rien.
-Ma foi il est juste devant vous !
-Cet endroit est vide ! tonna Ganondorf.
Will feuilleta un livre puis expliqua :
-Le temple est invisible à nos yeux ! Seul le héros du temps peut déceler sa présence et y entrer.
Link sourit, confirma ses dires d’un signe de tête, puis pénétra dans le temple, vestiges du passé et de l’époque jadis.

Les murs blancs du gigantesque édifice répandaient dans la salle une clarté plus pâle que celle qu’émanait la lune, des énormes statues représentaient fidèlement les anciens rois de l’histoire d’Hyrule, des courbes argentées omniprésentes incrustaient littéralement le plafond, les vitraux laissaient écouler des raies dorées de lumières; le tout procurait au visiteur une sensation de puissance et de domination que nulle autre ne pouvait égaler.
Ce dernier gravit les marches et entra dans une autre salle plus petite située plus loin.
Un rayon de soleil filtrant à travers l’unique vitre de la pièce éclairait l’épée de légende, enfoncée dans un socle.
Le héros du temps l’empoigna, et la retira brusquement, manquant de tomber en arrière.
Il la contempla un instant, puis caressa des doigts la lame fine et légère.

Dans la plaine d’Hyrule, seuls, au milieu de la tempête, deux hommes sont couchés au sol, les yeux clos, la respiration saccadée, tout espoir de survie ôté de leurs pensées. Une voix grave raisonna au milieu des cendres et de la poussière :
-Le jugement est inévitable, votre destin approche…
Elle se tut, laissant ses mots faire leur effet et reprit :
-Quelle que soit la situation, l’issue est toujours présente, même si, parfois, elle est hors de portée… La disparition de deux combattants aussi aguerris que vous semblez l’être serait une perte regrettable, aussi je vous propose un pacte ; rejoignez la prestigieuse Elite, combattez aux cotés du maître bachelier et vous serez exemptés…
De leur cœur, les voyageurs acceptèrent. Ils disparurent sans laisser de trace.

Link sortit du temple, brandissant Excalibur devant ses compagnons.
Zelda lui adressa un sourire et l’interpella :
-Ce n’est pas tout. Nous allons nous rendre à la tour du jugement pour une deuxième raison : imprégner ta lame de lumière, d’énergie pure.
-La lumière étant le seul moyen de vaincre Ganondark, continua Will.
Le héros du temps sortit son ancienne épée, et s’approcha du garçon :
-Tiens je te l’offre, elle est très simple à manier.
-Merci.

Une troupe de cavaliers débarquât au village Cocorico. Un homme à l’allure massive mit pied à terre, les cheveux grisés, les yeux dénudés de vie. Vêtu d’une tunique blanche et usée, de gants en cuivre épais, et d’un plastron noir qui l’enserrait. Ses bottes s’enfonçaient dans la terre à chacun de ses pas.
Un villageois sursauta à son approche.
-Où sont allés les étrangers ?
-Je l’ignore !
-Je ne le répéterai pas.
-… Ils ont parlés d’une forêt perdue… quelque chose dans le genre ! glapit-il. C’est tout ce que je sais !
-Ca ira.

Les aventuriers sortirent de la forêt, regrettant la chaleur du soleil.
-Nous devons franchir la chaîne des monts du Péril, informa Will.
-Tu connais quelque chose sur cette région ? demanda Samus.
-Pas vraiment, hormis ses occupants. Il faut savoir que la pluie incessante provoque de nombreux torrents, le peuple aquatique des Zoras vit en paix quelque part aux environs de ces eaux, dans des cavernes souterraines. Les Gorons en revanche, peuplent les montagnes les plus sèches, où ils cultivent abondamment les choux explosifs, leur nourriture favorite. Ces deux espèces ne se fréquentent jamais, du moins d’après ce que sais.
-Si nous aurons encore des problèmes, je compte sur toi pour les régler une fois de plus avec diplomatie, tonitrua Ganondorf avec sarcasme.

Les voyageurs parcouraient une fois de plus la plaine, bravant la pluie et les bourrasques. Le temps se calma assez rapidement, des flocons de neige flottaient dans les airs, portés par la brise du vent.
-C’est impossible ! s’exclama le garçon. Il ne neige jamais dans cette région !
Le froid s’amplifiait, et toujours aucune trace de montagnes en vue.
Samus et Zelda grelottèrent, les femmes étaient habillées moins chaudement que les hommes. Link soupira, c’était dans sa nature de se soucier d’abord des autres. Un projectile glacé frappant sa tête interrompit brusquement ses pensées.
-Mua ha ha haa !
-C’était pas marrant Ganondorf ! Cette neige est une source de malheur, et toi tu t’en sers comme divertissement.
-C’est bon, si on ne peut même plus se marrer maintenant…
La sinuosité des monts apparut clairement, ils étaient en vue depuis un moment mais la couleur de la neige qui les recouvrait se confondait avec le blanc total du ciel.
-Ils sont gigantesques, souffla Will, impressionné.
Link se retourna et s’écria :
-Il nous faut de la chaleur, Samus et Zelda vont mourir de froid !
Zelda puisa ce qui lui restait de force pour dégager le ciel, et s’évanouie.
Le héros du temps la porta dans les bras, espérant que la chaleur du soleil va durer.

vive
onilink!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!jadore jen suis tout retourné

Heu merci.
Allez encore un ou deux autres avis et je mets la suite ce soir.

Heu.....je crois que ce sera toujours moi qui donnera des avis (enfin on sait jamais)

et voila un avis

ta fic est toujours aussi cool. continue (eleve ecrivant bien les fics,na pas beaucoups de fautes dorthographe dans ces devoirs dexpressions ecrite........continue et tu passera ton brevet de smacheurs expérimenté..... ces tes profs qui ecrivent ca dans ton carnet de note

enfin en bref jadore je suis
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Excellent Et envoie immédiatement la suite (avant que mon pc recommence à redémarrer )

Euh merci.
Mais je veux un AUTRE avis ou je fais un malheur.

Ah pardon je t´avais pas vu "bizaroid".

Le groupe s’arrêta devant un lac gelé.
-Traversons le, proposa Ganondorf.
-Non, contesta Will, il y a des risques que la banquise craque, contournons la.
-Tu as vu la taille du lac ! Je traverse, c’est beaucoup plus rapide.
Ils se résignèrent à suivre le Malin.
-Vous voyez, comme je l’avais dit, il n’y a aucun risque, c’est du solide.
En milieu de chemin, l’inévitable se produisit ; la glace se craquela.
-Arrêtez d’avancer ! avertit Samus.
-On ne va tout de même pas resté coincé au centre du danger ! tonna Will.
Les fissures s’élargirent.
-Courez ! ordonna Link.
Ils se mirent à traverser la banquise du plus vite qu’ils purent, la glace se brisant derrière.
-On en a tiré une leçon, lâcha Will, ne plus écouter les décisions et les conseils de Ganondorf.
Le Malin maugréa, de la vapeur s’exhalant de sa bouche. Les voyageurs parcoururent la distance qui les séparait du pied des montagnes et furent surpris de découvrir un large tunnel qui s’engouffrait dans les profondeurs.
Will chercha vivement dans son bouquin une indication sur le sujet :
-Cette galerie a été creusée par les Gorons, pour permettre aux Zoras de vivre en dehors de leur territoire.
-Par où allons-nous franchir la chaîne ? demanda Samus. Par-dessus ou par-dessous ?
-Par-dessus ! lança Ganondorf, j’éprouve de la curiosité pour les Gorons.
-Non non et non, rétorqua Will, les cavernes sont beaucoup plus sûres et il y fait nettement moins froid.
Ganondorf grogna et leur tourna le dos. Link s’enquit :
-J’espère qu’ils sont vraiment pacifiques, cette fois.
-Espérons dans ce cas, répondit Will.

-Vous avez invité des potes ? demanda le Malin.
Samus fronça les sourcils :
-Comment ?
-Alors qu’elle est cette cavalerie, qui approche au loin ?
Ses compagnons se retournèrent et constatèrent avec stupeur que c’était vrai.
-Qui peut bien nous suivre comme ça ? s’interrogea Ganondorf.
-Je connais ces étendards…. (Il plissa les yeux) mon dieu… c’est l’Elite nous sommes perdus !

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J´ai oublié de préciser, dans la petite suite (c´est déjà mieux que rien hein) c´est William qui parle en dernier.

C´est très bien mais ne m´appelle pas bizaroid

c encore mieux quavant.plus je lis ta fic,plus je sens que tu te raproche du grand dieu miraculeux ficeurs de l´histoire du monde "Le grand maitre Hunk" ta fic est sensationnel

Heu... je suis honoré.