Francis, c'est un nouveau, il est du côté obscur ! , Tue le
Chapitre 1 : le Renégat, après son braquage , meurt d'une inexplicable crise cardiaque.
1) Mourir
2) Mourir
3) Réfléchir sur l'identité du possesseur du Death Note.
nan, ça ira, je ne veux pas (ou du moins plus) que tu perdes ton temps), termine juste les chapitres avant 4h du mat au moins et je t'en serais reconnaisssant pour la journée, puis le lendemain je te redemanderai incessamment le prochain chapitre
Pourquoi ça marche pas avec moi ?
pour le chap.1 de Klonn (je dis biend e bien de Kloon, pas l'officiel de Francis qui arrivera un jour ou l'autre, ou du moins je l'espère et non je veux pas que tu m'expliques pourquoi t'es en retard), j'hésite entre la 1) et la 2) donc je vais développer 1 peu:
Le Renégat décida de mourir puis il se dit qu'il ne devait pas mourir comme ça (car un badass meurt de manière badass, pas d'une crise cardiaque parce qu'il a pris trop de choléstérol au p'tit déj ) et décida de mourir.
Francis en position suce-boule "CONGRATULATIONS GUYS, it's wonderful, and you really deserved it ! Hope the Season 2 will be as good as the first ! Good luck. "
J'en conclu que tu devais nous donner le chap 1 le 8 juillet et que tu vas nous la donner le 9 juillet ! Tu te dois donc de rattraper cette journée de retard, donc la suite initialement prévu le 10 juillet, tu nous la donneras le 9 juillet
Donc deux chapitres en même temps, au boulot
Cisfran > Je ne critique pas tous les écrits d'une part (mais on en a déjà discuter), d'autre part, je critique rarement sans fonder cette dernière.
Argument irrecevable donc,
Bientot fini?
soloon (kloora ) j'aime bien tes propositions, la dernière en particulier
je crois qu'on a perdu Francis....
Remarque c'est tant mieux, on est maintenant sûrs qu'il bosse le chapitre parce que je le vois pas dormir à cette heure-ci, pas vous?
Le chapitre 2 est encore plus long a venir qu'un but du brésil
Bon, désolé s'il y a moins de musique. J'espère que vous apprécierez quand même.
Bonne lecture !
_____________________________ CHAPITRE 1 _____________________________
__________ Les Assassins : Le Sicaire (Ramirez) & le Hacker (MisterAZ) ___________
- As-tu une idée de ce qu'ils vont nous demander, cette fois ? s'interrogea Maz en s'arrêtant.
Rami ferma les yeux et s'arrêta à son tour, avant de se retourner vers son collègue en grognant : s'il y avait bien une chose qui l'exaspérait au cours d'une mission, c'était l'hésitation.
- Je ne suis pas payé pour me poser ce genre de question, et toi non plus, répondit-il.
- Et depuis quand ne fait-on que les choses pour lesquelles nous sommes payés, Rami ?
Le Sicaire plissa les yeux en fixant son compagnon, et grogna une nouvelle fois en guise de seule réponse. Il fit alors volte-face et reprit sa route en direction du 13rue Hoche, là où le rendez-vous avait été fixé. Le Hacker fut forcé de lui emboîter à nouveau le pas, sachant pertinemment que son collègue se rendrait sur le lieu convenu, avec ou sans lui. En effet, il était inutile de jouer au plus têtu avec Rami : on en sortait forcément perdant. Néanmoins, cela n'empêchait pas Maz de continuer à questionner son binôme, tête de mule ou pas.
- Que t'ont-ils dit ? reprit-il en fixant le Sicaire.
- Rien.
- Oh, allons ! Ils ne t'ont pas quand même pas appelé pour te dire "hé salut Rami, ça te dirait de se retrouver 13rue Hoche pour une partie de cartes ?" ! ironisa Maz.
- Figure-toi que si. Tu commences à connaître nos employeurs.
- Hein ? Mais à quoi est-ce que ça rime, au juste ?
- Réfléchis. Ils ne peuvent pas risquer de nous parler sur une ligne publique, telle que celle qui est installée dans notre planque. Alors ils appellent ... Fixent un rendez-vous dans un endroit où il y a une cabine téléphonique ... Et nous rappellent à cet endroit là. Ainsi, ils peuvent nous donner les vrais termes de la mission pour laquelle nous sommes contactés, expliqua-t-il.
Les deux acolytes marchaient en même temps, et Maz réfléchissait à ce procédé, qu'il trouvait aussi simple qu'ingénieux. Il cessa alors de questionner Rami, et se contenta de marcher à ses côtés jusqu'à la dite cabine téléphonique, en se demandant de quoi il pouvait bien s'agir.
Arrivés sur place, une femme tenait le combiné et semblait en pleine querelle avec son mari. Ne voulant pas user de violence frontale, et n'ayant pas tout son temps à cause de l'Agence qui risquait d'appeler d'un moment à un autre, Rami lança un regard en coin au Hacker qui acquiesça aussitôt en ouvrant son ordinateur. ça n'est qu'après deux trois clics et quelques formules mystérieuses tapées sur le clavier que le combiné se mit miraculeusement à balancer des ultrasons si puissants qu'ils arrachèrent un hurlement à la pauvre dame, qui s'éloigna tout d'un coup de la cabine. Le Sicaire se racla la gorge et prit place sans perdre de temps, juste au moment où le téléphone sonna : le timing était parfait.
Il décrocha alors en fixant les touches de l'appareil.
- Treize, affirma-t-il sèchement.
Maz plissa les yeux en fixant son acolyte, attendant de comprendre de quoi il était question. Une mission avec un hélicoptère, un immeuble et une explosion ? Non merci !
Soudain, Rami sursauta, ce que le Hacker remarqua aussitôt. Il raccrocha ensuite, après avoir dit "Entendu." à son correspondant téléphonique, puis il se retourna lentement vers Maz.
- Shark est en vie ... Et nous devons l'éliminer.
______________________ Templier : Le Savant (Doarry) ______________________
Le scientifique mit finalement pied à terre, après pas moins de sept heures de train.
Il prit alors le temps de regarder partout autour de lui, malgré la quantité impressionnante de personnes qui grouillaient autour de lui, à l'image d'une fourmilière.
Doarry sortit alors sans attendre de la gare et observa une nouvelle fois les lieux.
Aaah ... Paris de l'an 1976 !
Bien sûr, il n'y était pas venu pour flâner, loin de là ! Mais après un tel voyage, il avait tout de même le droit de profiter un peu du paysage, non ? Et puis, il n'y avait personne pour le ramener à l'ordre ou lui dire ce qu'il avait à faire, si ce n'était lui-même. Étrangement, il était en pleine forme et avait la vivacité d'esprit des grands jours. C'était sûrement grâce à ce jus de clémentines pressées ! Et dire que le Diable incarné dans ce serveur Allemand l'avait tenté en lui proposant un verre de vin ... Autant se griller tous les neurones de suite !
Bref. Maintenant qu'il était là, il savait quoi faire. A peu près. Le soucis étant qu'il ne devait rien faire qui n'altère le futur, il se devait d'être extrêmement méthodique dans la moindre de ses actions, et devait longuement peser le pour et le contre à chaque fois. Le plus simple aurait été d'être spectateur au sens propre du terme ... C'est-à-dire invisible à l'oeil des hommes et femmes. Mais ça n'était pas le cas. Il allait devoir s'introduire dans cette expédition sans trop faire de ... Dégâts. Le Savant s'était informé, et connaissait l'endroit où se situait le siège social d'Abstergo à Paris. Il n'avait pas changé, même en 2026. La différence entre lui et le peuple étant qu'il savait ce qu'il se cachait derrière cette société multinationale.
Doarry arriva alors sur place, et au moment de pénétrer dans le bâtiment un homme en sortit, en face de lui. Celui-ci lui tint donc la porte pour qu'il puisse entrer, ce que le Savant apprécia même s'il en profita pour observer le personnage. Chapeau melon, moustache et barbichette de mousquetaire, main gauche dissimulée dans l'ouverture du manteau, yeux verts ... En effet, Doarry savait que personne ne venait au siège social d'Abstergo par hasard, et qu'avec un tel accoutrement, l'homme qui venait de lui tenir la porte n'était pas un simple chercheur.
La scène parut durer plusieurs minutes, mais il n'en était rien. Une fois que le scientifique fut à l'intérieur du bâtiment, l'inconnu en profita pour sortir et s'éclipsa dans les rues parisiennes sans plus attendre. Doarry plissa les yeux, dubitatif, puis il se rendit finalement à l'accueil.
- Bonsoir. Matricule 42 ; je souhaite consulter le dossier 203.
- Bonsoir Agent. Le dossier 203 ... 203 ...
Le secrétaire se figea, et leva lentement les yeux en direction du Savant. "Il n'y a pas de dossier 203, Agent" ajouta-t-il sur un ton qui transpirait la méfiance. Doarry tiqua en soupirant.
- Ne jouez pas avec ma patience. Je parle de l'expédition au sujet du Saint-Graal.
- Chhht ! Chut malheureux ! murmura l'homme en écarquillant les yeux.
- Vous n'avez pas l'air de savoir qui je suis. Laissez-moi immédiatement consulter ce dossier, sans quoi j'en parlerai à votre supérieur hiérarchique. Porter atteinte au bon déroulement d'une enquête de cette importance pourrait vous faire perdre votre poste, voire pire encore.
- Très bien, très bien. Attendez un instant. Bon sang ...
La minute qui suivait, Doarry avait en main le dossier qui concernait la dite expédition. Il n'y avait que trop peu d'informations pour le moment ; rien qu'il ne sache déjà. Ce qui l'intéressait en revanche, c'était le nom des protagonistes, à savoir les Templiers impliqués :
Jet LaTour
Flash Morrison
Sunshine Morel
Le Savant pesta discrètement : trois noms ? Où Diable étaient les six autres ? Cette enquête n'allait pas être de tout repos, même en temps que spectateur ... Il rendit alors le dossier au secrétaire en lui intimant du regard de garder cette petite histoire pour sa pomme, puis il quitta le bâtiment d'un pas rapide, mais non sans réfléchir intensément.
Une chose était sûre : l'homme qui lui avait tenu la porte à son arrivé sur les lieux était l'un des trois hommes dont le nom était écrit sur le dossier de l'expédition. Mais qui ... ?
___________________ L'Inspecteur (sora) & Le Clown (Loki) ___________________
( https://www.youtube.com/watch?v=iimFES38HLo )
- Un suspect ? Alors vous avez attrapé un de ces bonobos ? Très bien ... Amenez-moi à ce fils de catin, répondit l'Inspecteur en prenant un air solennel en contradiction avec ce qu'il disait.
Son collègue fronça les sourcils, se demandant quel genre de substance illicite Sora avait-il bien pu prendre, et ne prit même pas la peine de lui expliquer qu'il n'allait pas interroger un singe mais bien un être humain. Même si les délits de celui-ci pouvaient permettre de douter de sa moralité ... Les deux hommes se dirigèrent donc vers l'arrière du commissariat.
- Je dois vous prévenir Inspecteur, notre suspect n'est vraiment pas normal ... avoua le policier.
- Je sais, ne te fais pas de soucis. On a pas vraiment l'habitude d'avoir des primates dans nos cellules. Oui ils sont poilus et ont un prognathisme relativement effrayant, j'en conviens, mais il ne faut pas se laisser intimider. Ils sont malins. Très, très, très malins, expliqua Sora.
- Inspecteur ... Je vous parle d'un être humain.
- Tu es perturbé, je comprends. Savais-tu qu'il y avait environ 94% de ressemblance entre l'Homme et le Bonobo, du point de vue chromosomique ? Je sais, c'est à s'y méprendre, mais nous ne pouvons décemment pas les considérer comme des êtres humains.
Le policier tapa rageusement du pied face à l'obstination de Sora, et décida de laisser tomber les explications. Les deux hommes arrivèrent finalement au niveau de la cellule, et c'est tout naturellement que l'Inspecteur ne compris pas de suite de quoi il était question.
- C'est une blague ? demanda-t-il, courroucé.
- Mais non ... Cet homme a beau être un clown, il est complètement givré.
- Mais je me contre-fous de ce gars là ! Où est le bonobo ?
- IL N'Y A PAS DE BONOBO, INSPECTEUR !
Sora plissa les yeux, et regarda alors le suspect de haut en bas, ce qui poussa l'intéressé à faire de même en retour. Très vite, on lui raconta les méfaits de l'arlequin, ce qui fit pâlir l'enquêteur. Il comprenait finalement qu'il y avait plus dangereux que les singes.
Soudain, un policier arriva dans la pièce avec un café. L'Inspecteur s'en saisit aussitôt, en l'arrachant presque des mains de l'homme qui l'avait initialement amené pour le suspect.
- Mais ... C'est Loki qui avait demandé ce café !, s'exclama-t-il.
- "Loki", hein ... Eh bien moi non plus je n'ai pas eu le temps de prendre un café ce matin. Alors voilà. Dis-moi le Clown, pourquoi as-tu commis autant d'atrocité ? demanda Sora.
- Des atrocités ... ? Allons ! J'ai apporté joie et félicité à ces enfants ! hurla le prisonnier de sa voix torturée. Est-ce comme cela que l'on récompense les bons samaritains ... ?
- Ok il est taré, conclut l'Inspecteur.
Loki esquissa alors un sourire carnassier qui joignait inexplicablement ses deux oreilles, et permettait d'admirer sa dentition qui était intégralement composée de canines. En voyant cela, l'enquêteur ouvrit grand les yeux, puis c'est à ce moment qu'un énième policier fit son entrée dans la pièce. "Inspecteur ! On nous a informé de l'explosion d'un entrepôt dans le 4ème arrondissement !", dit l'un. Sora n'eut même pas le temps de répondre qu'un second commis arriva en hurlant. "Inspecteur ! Un braquage de banque dans le 9ème arrondissement !".
Il plongea alors ses yeux dans son café, se demandant ce qu'il se passait en ce moment.
1) Aller consulter les enregistrements vidéo du braquage.
2) Se rendre sur les lieux de l'entrepôt détruit.
3) Continuer d'interroger Loki le Clown.
_________________________ Le Renégat (supaltair) _________________________
La police n'avait pas été bien difficile à semer.
A vrai dire, elle n'avait même pas poursuivi Supalta le temps d'un instant. En effet, il s'était enfuit juste à temps, si bien que personne n'avait pu retrouver sa trace.
Il arriva donc au niveau de sa planque, dans un modeste immeuble du 13ème arrondissement, et sortit de sa voiture les deux sacs remplis de billets à la main. En sortant de sa voiture, il entendit un petit bout de discussion entre deux jeunes, qui parlaient apparemment d'une grosse soirée organisée dans le 3ème. Le genre de soirée à gros effectif, avec drogues, alcool et belles jeunes femmes. D'un naturel taciturne, le Renégat n'aurait habituellement pas accordé le moindre intérêt à ce genre d'événement, mais là ... Il en retournait d'autre chose, un peu comme pour son braquage de banque, plus tôt dans la journée.
- Une petite fête, hein ? demanda-t-il aux jeunes en s'approchant d'eux.
- Euh ... Ouais. Un mec plutôt blindé de thunes organise un gros truc chez lui ce soir, ça va être fou ! C'est sur le toit de son immeuble, n'importe qui peut venir j'crois ! expliqua l'un.
- Ouaip ! Donc même toi ! Enfin, change toi par contre, et puis voilà ... ajouta l'autre.
Supalta esquissa un sourire mesquin derrière son bandana. Les deux adolescents le dévisagèrent avec méfiance, mais il n'en avait que faire. Il s'assura qu'il tenait bien fermement les deux sacs dans les mains, et monta dans sa planque, où il déposerait l'argent.
Un piteux endroit, carrément atypique. Pas vraiment en bordel mais ... Loin d'être soigné, avec le strict minimum. Il fallait dire que depuis l'accident, et depuis sa désertion, il ne lui restait plus grand chose. Que cela soit du point de vue matériel, ou même lorsqu'il était question d'objectif.
Supalta se laissa alors tomber sur son lit, et fixa son plafond avec insistance.
Le braquage avait forcément attiré l'attention ... Forcément. Que cela soit de la police, de l'Agence, ou d'Abstergo. C'était certain. Même si l'on était en 1976, les moyens de suivi ne manquaient pas, et savaient être étonnamment performants lorsque l'on y mettait du sien. Ainsi, si quiconque souhaitait retrouver Supalta, et y mettait les moyens nécessaires, alors ça ne serait pas impossible. En allant à cette soirée ... Le Renégat se garantissait une bonne dose de divertissement, et peut-être quelques rencontres bien sympathiques.
Un événement qui s'avérait être une promesse de bonne humeur.
First
Super !
L'inspecteur et le clown vont bien ensemble selon moi
Et j'adore le texte sur le vagabond, on se trouve dans son univers déjanté, à côté de la plaque, sans souci
Je suis content d'avoir brièvement croisé Jet
Et étonné que rien ne soir parvenu à l'inspecteur sur des gamins morts
Yeah!
Alors, Shark est en vie. Je dois le relier dès maintenant au renégat ou c'est q'une fausse piste?
Ma future mission? Faire picoler un gars... ah bah bravo Francis, en voila des exemples à donner!
La par contre, j'ai bien aimé le texte du vagabond, complètement pété je l'aime bien le p'tit gars (bien que tu lui donne un petit air naïf et insouciant qui donne envie de lui foutre des claques, ce que je trouve on ne peut plus nécessaire au texte )
(putain, on dirait une question de code ses choix )
Le paragraphe de Sun me fait un peut penser à la mémoire dans la peau, dans le genre je trouve ça pas mal ressemblant
Par contre, petite deception pour sora, le faire s'enliser dans ce délire de bonobo... je pense que ça aurait plus collé qu personnage de faire des jeux de mots douteux, plutôt que ce cirque. Pour moi, c'est quand même un gars strict, sérieux, et c'est pas une buse...
Sinon, la description physique du Clown est légèrement dérangeante, à souhait
Et le renegat qui veut s'inviter à une fête après un braquage, normal
En tout cas, le scénar à l'air bien en place, et tes capacités de conteur ne sont plus à démontrer
Au fait, je tiens à dire un truc par rapport à l'ordi du Hacker qui est potentiellement un anachronisme énormissime : eh bien non ! En fait, je vois un peu l'Agence des Assassins comme un groupe secret disposant de scientifiques exceptionnels. C'est comme dans certains films où on voit des sociétés, des groupuscules et autres qui disposent d'une technologie beaucoup plus avancée que celle de leur époque, pourtant il s'agit bien d'humains.
Get it ?
Il n'y a naturellement aucun ordinateur portable en 1976.
Mais l'Agence des Assassins dispose d'un prototype, qui est en la possession du Hacker.
Jerry, je passe vraiment pour un clown