Il vous sied bien de ne plus entraver la justice Minienne, en prenant des initiatives tant impolies que non-maniérées et indélicates. A l'avenir, prenez soin de contacter préalablement et judicieusement, bien entendu, les services compétents, les nôtres, afin d'optimiser le retour à l'ordre, dans la discipline digne de ce nominatif attribué aux soins effectués tout du long par le grand Min, moi, pour qu'aucun autre incident ne soit mit à la traîne quant à sa réparation réelle et efficace.
Si vous perpétrez encore une et une seule fois un acte d'une telle incompétence juridique, sociale et économique, vous serez considéré comme étant un rebelle envers les lois et bons jugements de notre bon roi, moi, et tout bon rebelle qu'il soit se voit dans l'obligation juridique, sociale et économique d'être remis en conditions " juridique, sociale et économique " pour rendre à nouveau ce royaume le havre de paix qu'il a toujours été sous le règne de notre bon roi, moi.
Bien à vous.
Chef des services hiérarchiques qui s'occupent des chefs et de leurs services sanitaires.
A bon entendeur, votre fidèle compagnon, le roi Min.
( et toc ( ) )
Bien dit ( et toc je poste en vert )
Je m'incline respectueusement devant votre magnitude.
! CRAC !
Putain mon dos !!
Je sollicite un arrêt de travail auprès de votre magnificence royale pour permettre à mon anatomie de recevoir les soins adaptés à la suite d'un accident survenu lors de ma démonstration de fidèle dévotion à l'égard de votre Seigneurie.
Votre admirateur, Doudou.
(Et voilà, mon stylo qui fuit maintenant, tant pis je fais une croix pour signer, y a des jours où on devrai vraiment rester couché, j'vous jure)
Mon très cher collaborateur qui a un tic dans le Tak de son magnifique nom vous parviendra des soins profus et intenses de compassions paisibles,
( )
T'a pas pu résister à la tentation de faire un jeu de mot
Le 28 avril 2016 à 12:22:05 itak3 a écrit :
T'a pas pu résister à la tentation de faire un jeu de mot
c'est un homme, il entre dans un café, et plouf!
didn't get it
Si on commence à faire des blagues on va aller loin
DU café, c'est liquide parbleu
Le 28 avril 2016 à 20:52:14 itak3 a écrit :
Si on commence à faire des blagues on va aller loin
Remarquez, les déçus de Primal peuvent revenir
Maintenons les braises dans l'âtre et tamisons les lumières, ils se sentiront chez eux en arrivant et au moment de s'endormir on les bordes en leur chantant doucement l'hymne du Kyrat.
Au réveil on leur sert un bol de lait de yack bien chaud accompagné d'une tartine de c4 et HOP ! direction Durgesh !!
Finis les balades au clair de lune, le torse ouvert aux quatre vents et le service trois pièces qui ballote dans la toundra.
Fallait pas déserter les rangs bande de petits salopards
Salace mais blague quand même, qu'en pensez-vous mes maîtres ?
rofl, j'ai lu " traîtres " ...
Bienvenue chez toi, Douma, voici les outils de réparation, clé à molette, tournevis, et Cie et voici les outils de travail, clé à molette, tournevis et Cie. A gauche, un magnifique présentoir de choses et d'autres, chez les artistes, ça s'appelle, attend, comment disent-ils déjà? ah oui, ça me revient, ils l'appellent " le tableau des souffrances ", pff, quel nom ridicule, dire que celui-là rigole à pleins poumons! Ou peut-être pas. Mais on s'en moque.
Vite, voici le meilleur pour la fin, la table " rase " , ma préférée.
On connait tous la table à manger, la table à forger, la table à charcuter, pour les bouchers enfin, ceux qui s'occupent du bétail de prairie, pas de celui du sentier...
Mais celle-ci, dure comme l'acier, légère comme le bois, belle comme une toile vierge qui ne demande qu'un artiste ne vienne y poser sa signature...
Ma chère Douma, ma Doudou, voici ici, pour toi, le top au top du top topissime, Durgesh ... version 2!
Oh oui ! J'ai hâte d'emménager dans ce paradis des sens dévoilés, exacerbés, rêvés et enfin réalisés.
Douma saura te montrer toute sa gratitude pour autant de sollicitude, je te promets une immense fresque que j'intitulerai "dolorosa di sagno", titre peu évocateur au demeurant mais laisse toi envahir par l'émotion quand tu verras de tes yeux le résultat de mes nuits endiablées au rythmes des tambours fous.
Une demeure au cœur des montagnes de neiges éternelles, un chemin tortueux creusé à même la roche par les ongles de milliers d'hères effrayées, voilà qui réjouira mon âme et réchauffera mon corps endolori par la brise du matin.
Longue vie à toi, Al Pagan mean, mon roi et mon guide.
Douma
...
Il est bon quand même,
On le nomme modo ?
Quelle poésie
C'est l'occase de poster ma photo concours érotique début XX pour rester dans l'ambiance
En même temps on dirait une photo du Dernier rite, autant lancer de nouvelle élection comme proposé par la modération
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2 votes pour doudou!
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Vous aimez la poésie ?
Attention one-shot du siècle passé, par votre serviteur...
L’enfant du soleil
C’est une plaine baignée de lumière,
Désert de sable balayé par les vents,
Tourbillons d’un éternel été, étouffants.
Les montagnes sont absentes,
Les collines se meurent,
La pierre s’effrite.
Il ne pleut jamais par ici.
Pas de brume matinale non plus.
Il y eu le jour mais aucune nuit.
Le soleil trône majestueusement dans le ciel.
Sa justice est implacable pour tous.
Souverain d’un royaume de poussière.
L’homme est parti de cette terre désolée,
La vie n’y a plus sa place.
Le Créateur s’est détourné de ce lieu.
Et pourtant, dans cet océan de sécheresse,
Un Etre semble défier la nature hostile.
Contraste étonnant entre sa hardiesse et sa fragilité.
Surgit de nulle part, une silhouette se détache de l’horizon, grande et vêtu de noir, une femme s’avance.
Son pas hésitant trahi son age ancien.
Sous un éternel soleil de midi, elle s’arrête enfin.
A ses pieds, l’Etre se dévoile : Une tige, des feuilles, des épines, un bouton.
Agenouillée au dessus du frêle édifice la femme retire son voile, son visage est marqué par une vie rude, ses cheveux blancs ont perdu de leur souplesse.
Accablée par tant de solitude, son cœur est lourd.
Elle vit seule, et chaque jour est une nouvelle épreuve.
De ses yeux coule un torrent de larmes, seule source d’eau vive pour maintenir en vie le petit Etre.
Sous l’ondée, le bouton frémit et commence à s’ouvrir.
Puis, dans une explosion de vitalité, les pétales sortent de leur léthargie.
Une rose noire vient de naître.
La fleur s’épanouie, décuple de volume, les pétales deviennent tissus et un enfant apparaît en son milieu : c’est une fille.
Heureuse d’avoir accompli son devoir la vieille femme se retire.
Revêtue de son ample manteau, l’enfant se lève.
Se mettant en marche, elle jette un regard attendri à sa mère.
Dès demain, elle reviendra, elle aussi, accomplir son devoir.
Dans le désert, une vieille femme s’est éteinte, son corps a ensemencé le sol.
Dans ce paysage désolé, un bourgeon va surgir, bientôt mis à la merci des éléments.
Mais une âme salvatrice l’abreuvera de ses larmes, liqueur salée mêlée d’amour et de tendresse.
Le cercle est refermé.
Moi modo ? Je suis un compagnon, un suiveur, une humble présence, le chaton sur vos genoux.
Je n'agis pas, je veille...