Je croyais que c'etait fini
pas très inspiré, mais je m'inscris quand même.
Je m'inscris.
"[sora98]
Posté le 19 avril 2013 à 17:13:46
Je croyais que c'etait fini"
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Il est Aphrodite, c'est pour cela qu'il est plus revenu.
Une ombre... Je n'arrivais pas a la distinguer , a cause de l'obscurité de la nuit... Ca se rapprochait de moi... Je ne savais pas ce que c'etait, juste que c'etait une menace.
Je courais, je devais lui echapper, mais c'etait vain... Elle allait plus vite que moi. Elle me rattrapa. Lorsque cette ombre me toucha, je fus plongé dans les tenebres. Il faisait froid. J'avais peur, j'avais mal au coeur. Je me sentais sombrer lorsque tout a coup...
Je me réveillai. J'était dans ma chambre, tout seul, dans la pénombre .
Mon pavé : L'obscurité vous joue des tours...ou pas.
La demeure est plongée dans l’obscurité. J’essaye désespérément d’allumer la lumière mais les ampoules de l’immense lustre en cristal restent éteintes. L’orage qui déchaine sa fureur sur les arbres du parc et les ardoises du toit a du provoquer une coupure de courant. Ou alors les années d’abandon ont réduit le vieux réseau électrique en un amas de fils inutiles. Au fond, peu importe. Seul compte l’orage dehors. Et Lui. Lui, cet être qui semble me suivre depuis mon départ de la capitale, que je crois voir à chaque coin de rue, derrière chaque mur, que je devine dans chaque ombre, chaque craquement du plancher disjoint de l’ancien manoir. Pourtant ce n’est pas possible, ce ne peut pas être…non, c’est impossible. J’étais là lorsque nous avions découvert son sang sur les dalles du hall d’entrée, j’étais là quand la police avait sorti l’épave de la Maybach de sa gangue de boue, au fond du lac. Ils avaient conclus à un meurtre, même si le corps n’avait jamais été retrouvé. Et pourtant…cette longue silhouette enveloppée dans un manteau noir, le cou ceint par un léger foulard blanc et le crâne surmonté d’un haut de forme à l’ancienne mode, cette démarche unique que son accident de cheval lui donnait, un regard transperçant…tout en lui me rappelait le Vieil Homme du Manoir, ce noble aigri envers les hommes, vivant cloitré dans son domaine, ne sortant que pour profiter des plaisirs de son magnifique cabriolet crème. Je me souviens encore de l’époque, où, enfant, je me rendais chez lui pour accompagner ma mère, sa cuisinière, l’une des rares personnes qu’il acceptait de recevoir. Nous avions été si étonné lorsque le notaire nous avait appris que le domaine nous revenait. Malheureusement, nous ne pouvions plus rester dans la région, et la propriété avait été mise en vente. Je crois avoir vu les restes de la pancarte tout à l’heure, sur le portail.
Et voilà qu’aujourd’hui, des années plus tard, j’ai l’impression que le Duc me suit. Voilà pourquoi je suis revenu ici. J’espérais y trouver des réponses. Pour l’instant, la seule chose que j’ai récolté, c’est une double crevaison. Et bien sûr, je n’ai qu’une roue de secours ! Si je connaissais l’imbécile qui a laissé tomber une boîte de clous sur le chemin !
Enfin, au moins le plafond su salon ne fuit pas ! On ne peut pas en dire autant de celui des chambres. J’en suis réduit à attendre le jour sur le sofa. Soudain, j’entends le crissement de pneus sur les graviers de l’allée. La lueur des phares, entrant par les fentes dans les volets balaye brièvement la pièce. Je me glisse jusqu’à la porte, l’entrouvre, et, à la lumière d’un éclair, je vois la voiture. Il s’agit d’un cabriolet de collection blanc, non, crème ! Je blêmis, ce n’était pas possible, j’avais moi-même vu les restes de cette voiture, ses vitres brisées, son capot arraché, sa poupe enfoncée !
Brusquement effrayé, je courus à l’étage, dans l’ancienne salle d’arme, et, brisant une vitrine, je me saisis d’un sabre de cavalerie et d’un vieux revolver, que je savais être en permanence chargé. Je me tapis dans un recoin, derrière une autre vitrine, et j’attendis. N’entendant plus rien, je me levais, puis, allant jusqu’à une fenêtre, j’ouvris les volets, et l’un deux se décrocha et s’écrasa dans la cour, se disloquant sous le choc. Le cabriolet était toujours là, et je compris soudain mon erreur, en le voyant ainsi, de face. Il était bien de la même couleur, mais ce n’était pas la fameuse Maybach du Duc, mais une Mercedes.
L’homme qui me suivait en descendis, et je pus constater que ce ne pouvait être le Duc, il était bien trop jeune. Il s’adressa à moi, et me dit qu’il essayait de me parler depuis des jours. Fils du notaire du village, il me suivait car il cherchait à racheter ce domaine, qui l’avait toujours passionné. Après un moment d’hésitation, je refusais, préférant garder ce domaine remplit de souvenirs d’enfance pour le rénover et lui redonner sa splendeur. L’homme accepta tout de même de me ramener au village. Je pris mes affaires dans ma voiture et récupérais un petit papier glissé sous l’essuie-glace, pensant qu’il s’agissait d’une pub que je n’avais pas remarqué au départ. En passant le portail, je regardais machinalement le billet, et vis qu’il ne s’agissait pas d’une pub, juste d’un morceau de carnet, annoté d’un simple mot : « Merci ». Levant la tête, je vis une voiture qui nous croisait, conduite par un homme en manteau noir. Nos phares firent briller des yeux au regard qui semblait capable de sonder n’importe qui. Une Maybach cabriolet crème, cette fois, aucun doute. Je frémis légèrement.
J'avance petit à petit, je pourrais poster mon oeuvre ( ) bientôt
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thème: L'obscurité
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On a jusqu'à quand?
Je pensais arreter samedi prochain, et faire les votes le dimanche.
Apres, on verra avec le nombre de textes postes
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Voilà mon texte. En espérant qu'il vous plaise
Obscurité
Lorsque je me réveillai, je ne savais réellement si c’était le cas. Je pensais avoir ouvert les yeux, mais il faisait aussi sombre que le paysage des paupières fermées. Je fermai et ré-ouvrai mes yeux à deux reprises pour être sûre. Mes prunelles bougeaient d’un coin à l’autre, tentant d’analyser ce qui m’entourait. Je n’arrivais pas à bouger, un horrible mal de crâne me lancinait, lorsque je tentais de réorganiser mon esprit.
…
C’était un samedi. Je m’étais réveillée aux alentours de onze heures, le soleil me frappant droit sur le visage. J’aimais cette sensation chaleureuse du matin, l’astre s’invitant dans mon petit studio. M’étant levée, je traversai ce dernier, me dirigeant vers la salle de bain. Je découvris dans le miroir ma sale tête. Je m’attachai ma crinière brune en chignon, avant de me débarbouiller le visage et de me démaquiller.
…
J’arrivai enfin à me mettre en position assise, adosser à un mur en béton, froid et humide. Je sentais mes poils se dresser. Je me trouvais dans une atmosphère horriblement froide, humide, où chacun de mes bruits se répétaient en chorus. Mais la pire sensation était celle de ne pas connaitre les dimensions de la pièce. J’étirais mes jambes pour tenter de trouver un mur, mais j’avais peur de trouver un gouffre. Je ne me suis jamais sentie aussi petite, perdue dans un monde infiniment grand.
…
L’après-midi, je vagabondais au marché, touchant, examinant les étals. J’aimais à décorer ma maison de petite chose futiles et fantaisistes. Comme ce chat arc-en-ciel que j’acquis pour moins de quinze livres. Aussi, je m’offris un perfecto. Le vendeur, d’ethnie arabe, me remercia. Son accent m’arracha un sourire, lorsque je me heurtai soudainement à une personne. Un homme.
…
Je me rendis compte que mes yeux étaient fermés. Je ne savais si j’avais dormi ou étais restée éveillée. Je n’avais-là aucune notion du temps. Je ne savais si mon premier souvenir datait de cinq minutes ou cinq heures. J’essayai de compter les secondes dans ma tête, mais je me rendis compte que ce fut ridicule. Quelle heure pouvait-il bien être ?
…
L’homme, qui s’avérait se nommer Edgar, et moi avions discuté le reste de l’après-midi jusqu’à dix-neuf heures dans un pub. Il venait d’Ecosse et semblait être un charmant garçon. Il me faisait rire, du moins. Je lui dis mon nom, lui expliquai son origine germanique, mais que j’étais toutefois une Londonienne de souche. Je lui demandai ce qu’il faisait en ville –raison professionnelle, répondit-il–, puis nous nous rendîmes compte de l’heure tardive lorsque nos ventres gargouillèrent. Il m’invita à dîner pour le lendemain.
Je le vis toutefois en avance, tandis que je lui avais passé la bonne soirée quelques minutes avant. Il se tenait à l’entrée de mon appartement, tout sourire.
…
Je m’étais habituée à la douleur au crâne, si bien qu’elle disparut petit à petit. Je me sentis de me lever. Me tenant au mur, je tentai de me mettre debout. Mes jambes étaient faibles, tremblaient, mais je réussis finalement. Je ne lâchais le mur, marchant de son long jusqu’au premier coin. Lentement, je l’atteignis. Il n’était pas si loin. Le second non plus, il me fallut cinq ou six pas.
Soudainement, dans un vacarme, une porte s’ouvrit. La lumière me tortura les yeux. Un homme s’avança vers moi en trombe, m’attrapa les poignets, me plaqua contre le mur. Lorsque je réussis à ouvrir les yeux, je découvris le corps d’Edgar gisant au sol. Je ne réussis à distinguer les traits du type qui me tenait, mais je sentis sa main gagner ma jupe qu’il arracha. Il me lança au sol, et je sentis sa virilité, horriblement, atrocement, abominablement me pénétrer.
Mais...Mais... C'EST DU PORNO MA PAROLE?!!
je m'inscris thierry
pparlement Exactement
Nan, en fait non. A moins que la quasi totalité des œuvres artistiques (et je n'ai pas la prétention de dire que mon humble texte en est une) sont de la pornographie
j'aurais à mon avis pas le temps d'écrire.
Ah moins que je réecrive une rédac' de l'année dernière dans ces cas là ok Même si ce sera assez primitif
Tu me déçois, j'attendais un bon porno et paf.