• Crée une faille.*

C'est moi qui a fait ça ?! A moins que... Alec Alcatraz...

C'est le mec de Jet qui m'a appris ! Au lieu de m'engueuler, écris mes nouvelles aventures !

• Se tourne vers Jet.*

J'ai le droit de lui arracher la tête à mains nues ? Avec le sang partout et tout le tralala ?

Fais le /

La tête de qui?

• S'approche d'Alec du passé.*

Non, futur, tu n'as pas le droit !

Et pourquoi ça ?!

Car on est complémentaire. Tu es moi et je suis toi. Tu me tues, tu te tues.

T'es complémentaire avec Bobby Elway, pas avec moi.

C'était le des aventures d'Alec Alcatraz, l'assassin schizophrène, à vous les studios.

( Musique du post : http://www.youtube.com/watch?v=ugjZcY_jBMQ )

Séquence 1 : Existe-t-il vraiment une différence entre le passé et le présent ?

Base Principale des Templiers / Abstergo Industrie : De nos jours.

Soudain, sur cette image, tout commence à se dégrader, comme si le tout fondait et ensuite, une autre personne, qui pourtant ressemblait beaucoup à Lena ouvrait les yeux dans une machine appelée l'animus. Légèrement paniquée, étonnée aussi, c'est la première fois qu'elle ressent quelque chose comme ça. Elle s'appelle Elena, elle a été enlevée par Abstergo lors d'une soirée, alors qu'elle sortait juste les poubelles de sa ville, en France. À partir de là, on la laissée dans le noir pendant presque une journée complète, entre voiture et avion, ça changeait beaucoup. Elle n'avait jamais voyagé en avion avant, elle aurait aimé que ce soit dans d'autres conditions que celles là, enlevée, tout simplement et pourtant, personne n'a rien dit, personne n'a remarqué ou relevé qu'elle était là. Elle était drogué pour ne pas faire de bruits, mais pourtant, on a quand même dû la voir. Elle a sombré dans l'inconscience dans l'avion, elle s'est réveillée dans une prison dorée, tout de blanc et de gris, même de noir. Et on la forcée à se coucher et à enregistrer la mémoire qui les intéressait.

Elle regarde l'homme assez jeune qui l'observe comme si elle était d'un autre monde, d'une autre planète, il était mignon comme garçon, mais c'était un de ses kidnappeurs, il y en avait un autre, un plus âgé, qui lui contrôle tout, il supervise, on doit juste obéir et se taire quand il dit quelque chose, c'est de suite. L'homme assez jeune a un visage sans poils avec des cheveux plus ou moins long pour un garçon, une mèche sur le visage bronzé, ses yeux bleu l'observant derrière ses cheveux noirs. Il ne disait rien mais je ne lisais rien de mauvais dans son regard. L'autre homme avair l'air fatigué, il est assez âgé selon les rides qui ornent son visage et son crâne dégarni, ses yeux se cachent derrière ses lunettes, sa peau pâle se fond parfaitement dans le décor avec son uniforme.

- Mademoiselle, veuillez retourner dans l'animus. Prenonça le vieil hommee, les yeux rivés sur l'écran, une tasse de café à la main, celle ci se trouvant devant sa bouche, buvant de temps en temps.

- Non, je ne veux pas y retourner, c'est ... Étrange. Prononça la jeune blonde.

L'homme tourna son regard sur la femme et recula un peu son siège à roulette pour pouvoir se lever, s'approchant de la fille pour l'attraper par la gorge et la regarder bien droit dans les yeux.

- Tu sais, on en a pleins des comme toi, jolie coeur, alors, si tu tiens un minimum à rester en vie, couches toi et retournes dans l'animus. Dit-il avec une teinte d'énervement avant de la repousser sur la machine.

La jeune femme, résignée, regarda le sol un instant puis remarquant que l'homme la regardait avec un regard dur, elle se recoucha juste et entra dans l'animus, comme il l'avait demandé.

_____________________

Paris, 1895.

Deux jours avaient passés après la rencontre avec cet homme, j'avais appris qu'il était un assassin, une sorte de confrérie se battant pour la liberté, pour libérer le monde des templiers, ceux qui la pourchasse. Ses deux parents étaient assassins, c'est pour ça qu'ils sont morts, mettant ça sur le compte de leur fortune. Mais ils avaient et ont toujours une fille et maintenant, c'est elle la cible. Cet homme, Marcus, connaissait ses parents et la connaissait sans vraiment qu'elle l'ait vu. Maintenant, c'est à elle de porter le flambeau, prendre la relève, devenir une assassin. Son entraînement débuta naturellement, au départ, c'était simple mais au fur et à mesure ça c'est compliqué. Au départ, elle a juste appris à grimper puis après à se battre puis à parler, enfin à jouer la comédie, elle a appris des tas de choses sur l'art de l'assassinat.

Puis, au bout d'un moment, vint le moment de sa première cible, sa première véritable cible, elle avait appris à récolter des informations correctement, comme il se doit, elle devait s'occuper d'un riche noble templier, venu en visite à Paris pour comploter pour détruire ceux aux pouvoirs. Elle a appris auprès de divers sources qu'il était dans une taverne chique de Paris, il y passe le plus clair de son temps et sort parfois pour rencontrer diverses personnes hautes placées. Le jour de son assassinat est celui où il rencontrera la personne au pouvoir, la personne à abatre. Il y a divers moments où elle pourra l'assassiner sans se faire remarquer, si elle fait provoquer un incident, ce serait plus difficile de l'assassiner mais la salle serait plongée dans une telle hystérie que pour finir, si il meurt, personne ne le remarquerait.

Elle entra dans le château par une fenêtre ouverte et se cacha dans les étages supérieurs le début du discours. Elle remarqua un baril de poudre, elle s'en approcha et attendit paisiblement le début du discours et dés que celui ci commença. Les paroles prononcées par le chef de toutes cette populace étaient bourrées d'espoirs. Elle alluma le baril à l'aide d'une lanterne et le jeta dans le vide. Une explosion s'en suivit, puis des cris, des personnes poussant pour sortir, s'enfuyant tout simplement. Ils essayaient de les calmer mais rien n'y fait. Elle descendit le plus possible et se cacha dans l'ombre de sa cible, celle-ci cherchant une sortie, elle s'approcha de lui et l'empêcha de crier à l'aide de sa main et le tira du mieux qu'elle peut vers une salle isolée.

Elle le poussa contre le mur.

- Dis moi tout ce que tu sais.

L'homme assez âgé ria au éclats, ses courts cheveux gris étaient assez secs. Ses yeux éteints l'observaient, amusés.

- Tu crois que je te le dirai ? Assassin.

Elle sortit un pistolet, Marcus lui ayant donné pour mettre fin aux jours du noble, elle le pointa, sa main tremblant sous le poids de l'arme et surtout, elle avait peur, de mettre fin à une vie mais elle s'apprêtait à appuyer sur la gachette.

- Ce pays sera bientôt à nous, nous lui apporterons la paix, nous lui donnerons un avenir car nous sommes l'avenir, les assassins appartiennent au passé, vous n'avez plus votre place dans notre jeu, c'est pour cela que nous vous éliminons, peu à peu, nous prennons le dessus sur vous. Vous n'êtes plus beaucoup. Nous avons l'argent, nous sommes plus puissant que vous, vous êtes devenus insignifiants, nous gagnons cette guerre et vous ne pourrez rien ...

Le coup partit et la balle se logea dans son crâne, elle glissa l'arme dans la main du cadavre et sortit par une fenêtre, pâle et légèrement choquée. Ce jour là, elle le passa au bord d'un étang, à faire des ricochets.

J'aime bien

Mon post ?

Oui /

Hips !

Bilbo revient du dragon vert /

Je peux créer le mien ?

Bien sur Elpadre.

• Regarde son texte.*

• Regarde un paresseux qui passe dans les parages.*

• Regarde son chat bailler.*

Chéri, je vais me coucher !

Pour une raison, inconnue, j'ai une énorme flemme d'un coup...

Jet , j'ai gagné /

Non, j'ai foiré aucune manip' Lens'.

Bon bah j'espère que mon correcteur sera du même avis

Lord : Je vais dire 2 points et 300 d'argent et 400 xp /

Fais chier, JVC refuse de poster le message car il est trop long.

Je mets trois semaines à pondre un texte, et le jour où je le finis, on m'empêche de le poster. Là mon seuil de tolérance explose.

Mission :

Chapitre 232
Le festival des retrouvailles.
27 juillet 1514, village de Meratto, non loin de Padova.

Cela faisait une journée entière que nous chevauchions vers Meratto, Jean et moi-même. Jean était une nouvelle recrue française que nous avaient envoyés les assassins Parisiens. C'était sa première vraie mission, et on m'avait chargé de veiller de lui. Notre mission : protéger l'entrepôt du village, car les Templiers allaient profiter de la fête de la moisson pour le brûler. Cette ville appartenant aux Assassins, cela aurait été bête de ne rien faire. Nous arrivâmes alors à Meratto. Des champs entouraient le village, et je pus voir des paysans labourer. Un moulin se tenait un peu plus loin, en bordure de la rivière qui longeait le village. Nous entendions des rires monter du village.

"J'aimerai bien habiter dans ce petit village si idyllique ! Déclara Jean, un sourire jusqu'aux oreilles."

Jean devait avoir l'âge de Clark. Il était roux aux yeux bruns et avait une petite barbe de trois jours.

"C'est vrai que ce village est beau, mais c'est à une journée de Venise si on s'arrête pour la nuit. Ce serait embarrassant, non ? Répliquai-je.
_ Mouais... Et nous voici arrivé à l'auberge de la corde du pendu !"

En effet, nous étions arrivés à l'auberge de Meratto, aussi le QG des deux seuls assassins présents. Nous descendîmes de nos montures, puis les attachait dans les écuries. Jean désigna un bâtiment :

"Regardez ; le marché est là, normalement, l'entrepôt se trouve un peu plus loin. Allons voir les deux assassins puis allons-y."

Il y avait beaucoup de monde au marché, marchants ou passants. Poissonniers, crémiers, bouchers, vendeur d'eau, ect... Il y en avait pour tout le monde. Des rires et des cris s'échappait de là-bas. Un peu plus loin, je pus apercevoir le fameux entrepôt. Sur le coup, je me demandai comment Jean avait pu le reconnaître, car je ne le voyais qu'à moitié, une maison me bouchant la vue.

"Jean... Dis-moi, comment sais-tu que c'est l'entrepôt ? Juste pour savoir. Le questionnai-je.
_ Richard m'a fait visiter la région avant d'être capturé. Lança l'apprenti en ouvrant la porte de la taverne. Allez, rentrez, au lieu de bailler aux corneilles !"

Je fixai la taverne. Des cris et des rires d'ivrogne sortait du bâtiment. Pendant quelques secondes, je m'interrogeai sur le pourquoi du comment nos hommes avaient choisis cet endroit comme QG. Puis, l'appel de Jean me ramena à la réalité et je rentrai dans la taverne. Jean était assis sur une des tables qui trônaient dans la pièce. En face de lui se trouvait deux hommes qui portaient des tenues d'assassin. Lorsqu'ils me virent, nos contacts m'invitèrent à m'asseoir.

"Bonjour, Carmine Armoccio. Me salua l'un d'eux. Nous vous attendions pour commencer les explications.
_ Ecoutez-moi bien, entama l'autre homme lorsque son compère eut fini de parler, les Templiers seront dans la ville d'une minute à l'autre. Ils vont directement foncer à l'entrepôt tout en profitant de la fête pour passer inaperçu. Ensuite, ils vont le brûler et Meratto n'aura plus d'endroit où stocker le bois ou la nourriture. Et lorsque ce sera fait, ils reprendront la ville aux Assassins. Défendez l'entrepôt et tuez-les tous si nécessaire !
_ Et comment saura-t-on quand les Templiers arriveront et qu'il faudra se préparer ? L'interrogea Jean.
_ Nous nous posterons sur le toit de la taverne. Lorsqu'ils arriveront, on tirera un coup de feu pour vous le signaler.
_ Très bien. Allez, Jean, on y va."

Tout en disant ceci, je me levai alors. Soudain, une personne passa devant moi. Je la regardai. Le doute m'envahit alors ; j'avais cru voir Dante ! Mais non, c'était impossible, il était mort.

Dante était un de mes anciens amis. Il avait été tué par "le casqué", un de mes anciens ennemis, à Venise. Je me suis alors lancé dans la poursuite de mon ennemi, mais je ne l'ai pas rattrapé. Et lorsque je revins voir le corps de Dante, celui-ci n'était plus là. Un passant avait dut le jeter dans le Canal. Quoique...

Soudain, un ivrogne m'interpella :

"Hey, toi, là-bas ! Pourquoi tu regardes ma femme comme ça, connard ?!
_ Je ne regarde pas votre femme, l'ami ! Vous êtes complètement saoul ! Répliquai-je.
_ Bien sur que si tu la regardes ! Vociféra l'ivrogne en se levant. Je vais te monter à que t'as affaire !"

Il s'approcha de moi et tenta de me donner un coup de poing. J'attrapai son bras et lui donnai un coup de tête. Il se mit à reculer, portant sa main à son visage. Puis il secoua la tête et se jeta sur moi. Je tentai de l'esquiver mais il m'attrapa par le col et me souleva. Il était du genre tout dans les muscles, rien dans le crâne. La brute me projeta alors et les gens crièrent d'excitation lorsque j'atterris sur une table, qui se cassa sous mon poids. Je me relevai mais l'ivrogne était déjà là. Il me frappa puis me repoussa d'un coup de pied. Je saignai du nez et mon épaule me faisant atrocement mal. Il s'approcha pour m'achever d'un coup de pied mais je fis une roulade, parvenant ainsi à esquiver son coup. Je plaquai au sol l'homme et le ruait de coups de pied. Il agrippa soudain ma jambe et me tira vers lui. Je m'écroulai au sol tandis que mon adversaire en profitait pour me maltraiter. Jean courut alors pour s'interposer, mais il fut rapidement maîtrisé par mon adversaire qui le repoussa de plusieurs coups. J'en profitai pour saisir l'ivrogne par les jambes et le fit chuter. Nous nous relevâmes tout deux.

Je n'étai pas beau à voir : Je saignai du nez, mon épaule me faisait mal, j'avais un oeil au beurre noir et une de mes manches avaient étés arrachées. Mon ennemi, lui, saignait aussi du nez, mais était moins amoché que moi. Il se précipita sur moi et me frappa de deux coups de poing. Je reculai, sonné, et heurtai le comptoir, sur lequel je m'appuya un court moment. Ma main toucha quelque chose ; une chopine ! Cela allait m'aider à résoudre mon problème.

Je pris ma nouvelle arme improvisée. L'homme, qui ne l'avait probablement pas remarqué, bondit sur moi mais je pus le repousser d'un coup de pied. Il tenta de me saisir par le col, mais je lui donnai un grand coup avec la chopine. Il tituba quelques secondes, puis s'écroula, assommé.

Je reposai la chopine et rejoignis mes amis tandis que plusieurs personnes allèrent s'occuper de ma victime. Jean se massait la mâchoire, mais les autres assassins n'étaient pas là.

"Où sont les autres ? M'étonnai-je.
_ Pendant que vous régliez vos comptes avec ce dégénéré, ils ont préféré monter là-haut, au cas où. Bon, allons-y, on a assez perdu de temps comme ça !"

Nous sortîmes de l'auberge tant bien que mal, quelques curieux attirés par les bruits du combat s'étant rassemblés à l'entrée.

"Vous avez vu comment se battait ce type ? Il a failli me briser la mâchoire ! Constata Jean.
_ Bah, tu sais, l'alcool, ça peut nous faire faire beaucoup de choses.
_ Pas faux... Attention !"

Malgré l'avertissement de Jean et à cause du fait que je ne regardai pas où j'allais, je rentrai dans la personne qui avait débarqué au coin de la rue.

"Hey, faites plus att... Carmine ?!
_ Dan... Dante ?!"

Je ne rêvais pas, et pourtant, Dante se tenait bel et bien devant moi. Le coup de feu à Venise n'était pas venu à bout de lui.

"Dante ?! Non, c'est impossible, tu t'es pris une balle dans le dos ! Contestai-je.
_ Tu as dus oublier qu'il y avait un médecin à une demi-dizaine de mètres...
_ Ah oui... Pas faux... En tout cas, content de te revoir, mon ami ! C’est vraiment incroyable ! Que deviens-tu ?
_ Après ma guérison, je suis allé à Meratto. J'en avais assez des combats et je pensai que mon devoir n'était pas de tuer des personnes juste pour une cause à la con... Raconta mon ami."

Nous fûmes interrompus par le toussotement de Jean.

"Heu... Qui est-ce, Carmine ?
_ C'est un ancien assassin, je le croyais mort depuis que "le casqué" lui a tiré dessus.
_ Si vous le dites... Bonjour, Dante, heu...
_ Dante Valo. Sourit mon ami.
_ Bien, Dante, on a une mission, donc ce fut un plaisir de vous rencontrer, mais...
_ Une mission ? En quoi consiste-t-elle ? Demanda l'ex-assassin.
_ On doit défendre l'entrepôt contre les Templiers, et ils vont arriver d'une minute à l'autre ! Il faut qu'on y aille !
_ Dans ces cas-là, je viens ! Décida Dante. J'ai un fusil chez moi.
_ Je croyais que tu avais quitté les assassins ?!
_ Je ne le fait pas en tant qu’assassin, je le fais en tant que camarade. Répliqua Dante.
_ Merci, mon ami. Allons-y !"

Dante alla chercher son arme tandis que nous arrivâmes à l'entrepôt. Soudain, un coup de feu provenant de la taverne déchira l'air. Le signal ! Les choses allaient barder !

Dante nous rejoignit à ce moment-là. Nous nous mîmes en position de combat, prêts à accueillir l’ennemi comme il se doit. De leur perchoir, les deux assassins tiraient sur nos ennemis. Les Templiers apparurent alors au coin de la rue, dirigé par un homme en armure qui me ressemblait beaucoup. Il s’avança d’un pas et ordonna :

" Soldats ! Chargez ! Pas de pitié pour ces ordures !"

Les hommes obéirent. Dante tira sur l'un d'eux qui s'écroula avant d'être piétiné par ses anciens amis. Jean se jeta dans la mêlée, aussitôt imité par moi-même. Je perdis alors le contrôle et décapitai un ennemi, en mutilait un autre mais me faisais désarmer par un troisième. Il m'entailla l'épaule mais je le repoussai d'un coup de pied, puis finit par s'assommer contre un mur. Je pris son arme, le tuai et repris le combat. Un des gardes s'approcha et leva son arme. Je l'empalai rapidement mais on me saisit par l'arrière.

Deux adversaires tentaient de me maîtriser. L'un d'eux prit son épée et voulut me l'enfoncer dans le crâne. Je mordis alors la main de celui qui me tenait. Il poussa un cri de douleur et me lâcha. J'en profitai pour faire une roulade afin d'esquiver le coup de son camarade. L'ennemi à qui j'avais blessé la main fut tué par le coup, puis je brisai la nuque de mon agresseur. Un autre soldat se fit tuer par la balle de Dante, et étrangement, le chef des gardes avait disparu. D'ailleurs, ses hommes commençaient à se replier.

"Carmine, attention !"

Malgré l'avertissement de Jean, on me frappa violemment à la joue. Je reculai, puis plongeai sur mon adversaire dans un grognement de rage. Je le plaquai alors au sol, enfonçait mon épée dans sa poitrine puis me mit à tourner l'arme. Je pus enfin reprendre le contrôle. Dégoûté par mon acte, je me relevai et entendit des coups de feu. Dante était le seul à avoir une arme à feu, donc... Je me retournai et découvrit avec effroi que nos contacts avaient étés abattus par des fusiliers ennemis, ce qui expliquait la disparition du chef. L'un de nos hommes tituba et fit une chute du haut de la taverne. Son corps heurta le sol dans un bruit sourd. Il était mort. Des cris de terreur montèrent du marché.

Jean acheva un ennemi blessé et regarda en direction de la taverne.

"Oh, putain... Bon, j'ai une idée ; rentrons dans l'entrepôt et prenons chacun une arme à feu. Si on reste là à se tourner les pouces, on est mort. Ensuite, on se mettra derrière les vitres et on abattra tout ce qui bouge.
_ Pourquoi pas, Jean. Néanmoins, il faudra impérativement qu'on empêche l'ennemi de griller l'entrepôt, sinon on rôtit avec. Approuvai-je."

Dante accepta aussi l'idée. Jean resta en arrière pour surveiller les environs, juste au cas où.

Dante entra, et à ce moment précis, un homme se jeta sur lui et le maîtrisa. Je me précipitai pour aider mon allié et tirait l'homme en arrière.

"Lâchez-moi, salaud ! M'insulta l'agresseur."

Je reconnus aussitôt cette voix.

"Richard ?!
_ Carmine ?! Que faites-vous là et qui est cet homme ?! S'inquiéta Richard.
_ C'est Dante Valo ! Richard... C'est bon de vous revoir, l'ami ! Que faites-vous là ?!
_ Ah, désolé, Dante. S'excusa le rescapé. Eh bien, ils m'ont torturé. Mais un des gardes, pris de pitié pour moi et ému par le fait que j'ai une femme et un enfant, m'a aidé à m'enfuir. Ensuite, je suis directement allé à Meratto et je me suis planqué dans l'en...
_ Richard !"

C'était Jean qui venait d'apercevoir qu'on avait retrouvé notre disparu. Après avoir discuté, nous expliquâmes le but de notre mission à Richard, qui se joignit à nous. Nous nous mîmes finalement en position. Les Templiers, toujours accompagnés par leur chef.

"Prêts ? Chuchotai-je. Feu !"

Nous défonçâmes les fenêtres et ouvrîmes le feu sur les ennemis. Il eut trois morts et un blessé. Je rechargeai, puis tirai en même temps que Jean. D'autres coups de feu partirent. Finalement, je pus remarquer que nos ennemis commençaient à enfoncer la porte.

"Richard ! Venez m'aider à empêcher ces cons d'entrer ! Grognai-je."

Mon ami vint à mon secours, mais ce ne fut pas suffisant. La porte s'ouvrit et nous projeta au sol. Trois hommes armés d'épées entrèrent et se précipitèrent sur nous. J'en tuai un, aussitôt imité par Dante. Jean en étrangla un. Vu le nombre de gardes qui s'apprêtaient à entrer, nous avions peu de chances de nous en sortir.

"Tout le monde, sortez, je vais les retenir !
_ T'es sur, Carmine ? Me questionna Dante.
_ Oui, allez-y ! Par la porte de derrière !"

Mes amis obéirent à contre-coeur. Le chef entra alors, suivi de ses soldats. Il me fixa dans les yeux, puis lança à ses hommes :

"Sortez.
_ Mais, che...
_ J'ai dit sortez ! Vous comprenez l'Italien, oui ou non ?"

Ils sortirent donc. L'homme me fit face.

"Alors c'est toi, Carmine, hein ?
_ Oui. Que me veux-tu ?
_ Te tuer. Sourit l'homme en sortant son épée."

Je fis de même et l'attaquai. Il para deux coups, puis il répliqua. Je l'esquivai et le bousculait. Il poussa un grognement de fureur et me désarma. Je reculai, puis le plaquai au sol et tentai de le tuer à la lame secrète. Il sortit son pistolet et l'appuya contre ma tempe, mais je plaquai sa main au sol et lui volai son arme. Il me repoussa d'un coup de tête. Je me relevai, sonné, tandis qu'il m'attaqua. Je fis une roulade pour esquiver son coup mais peine perdu ; il me frappa avec son pied. J'heurtai une caisse de vivres, puis fit face au chef. Ce dernier se précipita sur moi mais je pus l'esquiver et lui frapper la tête contre le mur. Il recula en criant de douleur. Il saignait du nez et de la joue, et moi de la bouche et de l'épaule. Mon ennemi me bondit dessus et me frappa de plusieurs coups de poing. Je lui saisis alors le cou et tentai de l'étrangler. Il me repoussa et je tombai au sol.

"Tu es fort... Constata mon agresseur. Mais pas assez pour moi !"

Je me relevai tandis que mon adversaire me mettait en joue avec un fusil. Il tira.

Je ressenti une douleur infinie. Je tombai sur les genoux. La balle m'avait touchée en plein ventre. Je saignai abondamment et soufrai. Je levai la tête vers cet homme qui m'avait vaincu. J'avais échoué. J'allais mourir. Je repensai à toutes les personnes que j'aimaient. Flore, Clark, Annie, Dante... Ils allaient me manquer terriblement. L'homme leva son arme et me regarda. Sans piper mot, il me donna un coup de crosse qui m'assomma. Puis ce fut le noir total. Plus aucun bruit, plus aucune image. Juste les ténèbres. Tout était fini. J'allais enfin pouvoir retrouver tout mes chers disparus... Père, mère, Carmine... C'était merveilleux. Cette vie de douleurs et de pleurs allait enfin s'arrêter.

Force : 1
Résistance : 2
Déviation : 1
Vitesse : 1
Escalade : 1
Discrétion : 2
Armes à distance : 1
XP : 300
Argent : 400.

Bon, j'ai eu la flemme pour trouver les musiques, c'est mon avant-dernier jour de congé, j'ai autre chose à faire que d'écouter musique par musique pour trouver la bonne. J'espère que ce chapitre (qui est, au passage, le plus long chapitre que j'ai écrit. Même moi j'ai mit une demi-heure à me relire. ) vous aura plus et que vous passerez encore beaucoup de bons moments en compagnie de mes très chers personnages !

Époque : 1892

Nom : Blackburn

1er prénom : Ethan

2ême prénom : James

Âge : 14 ans

Nationalité : Française (pêre Anglais et mêre Française) à préfèré la France

Langues parlées : Français, Anglais et quelques mots de diverses autres langues

Physique : 1m65, 46kg, Yeux bleus foncés, cheveux bruns clairs. Son apparence frêle cache un corps mortellement affuté au combat.

Personalité : sérieux, très cultivé, timide et discret.

Tenue : Veste grise en laine, écharpe bleu claire et marron faite maison, chemise blanche, cravate noire, chaussures noires, gants noirs et chapeau melon noir.

Armes : une canne cachant un épée et un pistolet automatique Mauser.

Capacités : agile, fif, doué au combat et possêde un sens de la reflexion et de la déduction troublants pour son âge.

Faiblesse : ne peut rester une minute sans énigme ou casse-tête a résoudre

Histoire : né en France avec un père Anglais et une mêre Française, Ethan apprends l'art du combat et du Parkour auprès de son pêre. Préférant la France, il garde la nationalité Française.
Êxtrèmement intelligent pour son âge, il est la risée de ses camarades de classe pour être le "Fayot" de la classe.
Après un séjour linguistique en Allemangne durant lequel il subtilisa un Mauser a un officier Allemand.
À son retour, il découvrit que le manoir de ses parents avait brûlé.
La bonne nouvelle, c'est que ses parents ont pu s'enfuir avant l'incendie. La mauvaise, c'est qu'ils avaient disparus (pas morts je précise).
Se sentant en danger et voyant la tension augmenter entre la France et l'Allemagne, il fuit vers la Suisse où il est aggressé par des voyous. Sous l'oeil d'un homme avec une capuche, il va balayer ses assaillants avec une facilité déconcertante.
Repèré comme un jeune prodige par l'homme a la capuche, Ce dernier lui apprends l'existence des Assassins et des Templiers ainsi que de la guerre qu'il mênent ainsi que leurs objectifs.
Se sentant concerné, il entre dans la Confrérie des Assassins.

Aujourd'hui il attends avec impatience sa première mission et s'occupe avec casse-têtes et énigmes en tout genre...

Voilà à quoi ressemble mon assassin ! J'éspère qu'il vous plaît !
Et désolé pour les éventuelles fautes d'orthographes.

Elpadre0 Il n'y a pas de capacités ou de faiblesse dans ce jeu, les points de compétences s'en chargent. Regardes Alec, il est pas très résistant et très fort (la preuve ; il a perdu un combat contre un Templier alors qu'il avait le dessus au début. ), et enfin, on ne choisit pas sa tenue au début.

Sinon, ton assassin est intéressant et je suis curieux de voir ta première mission. Si je peux prendre plusieurs apprentis à la fois, je crois que je vais te prendre.

Ce qui nous amène à la question finale : ais-je le droit de prendre deux apprentis ?