Nom : Ortega
Prénom : Alysse
Âge : 23 ans , né le 10 Avril 1166
Pays : France-Angleterre
Epoque : Moyen-Âge - 1189
Sexe : Femme
Langue : Anglais-Français

Description Physique :
Elle fait 1 m 77 , pèse 56 kilos.

Détail physique : Ses yeux deviennent marrons à cause de la luminosité.
Elle à une cicatrice partant de son bassin et remontant son dos et finis au niveau de ses omoplates. Elle porte aussi un pendentif d’une pierre inconnue : http://galerie.alittlemarket.com/galerie/sell/1370/pendentif-petit-pendentif-medaillon-vieux-ro-1162048-p1030388-8f142_big.jpg

Description Morale : Alysse est atteinte de psychopathie, c’est une psychopathe scientifiquement parlant. Elle est donc très peu empathique, égocentrique, impulsive, égoïste, irresponsable, antisocial, instable et surtout très peu prudente. Aucun principe , c’est une bombe à retardement. Malgré son instabilité, c’est une personne intelligente et maligne et saura profité en son avantage chaque situation. Souple et discrète, elle est nage et court vite. Elle est aussi une dromomane, c’est-à-dire qu’elle veut toujours être en mouvement, elle ne peut se poser ne serait-ce quelque minutes.
La passion d’Alysse ? Tuer. C’est ce qui la calme d’après elle. Elle aime faire souffrir ces victimes par les plus horribles manière possible. Elle fait tout cela pour essayer de comprendre la douleur , la peine, le regret et tout ces sentiments qui lui sont inconnus.
Elle sait qu’elle est moins émotionelle que les autres mais elle en tire avantage de cela et essaye alors de manière objective (toujours d’après elle) de voir jusqu’où le sentiments humains sont….des obstacles.

{Note base de données : Alysse Ortega à été diagnostiqué comme étant bien psychopathe mais ces actions démontrent un désir d’avoir de tels sentiments. }

Histoire :

Alysse est une enfant bâtarde entre un commerçant et une prostituée. Abandonnée, un seigneur français des alentours la découvre et fait d’elle sa fille adoptive. Il lui apprendra à se battre, à lire et tout ce que s’en suit. Plusieurs années après, des rumeurs courent sur la santé mentale d’Alysse ou encore de son origine. Certains la prennent même pour une sorcière. Petit à petit son père adoptif commencera à la battre sans raison, victime d’hallucinations. Dans la dernière de son père, celui-ci était anxieux, sur les nerfs et facilement irritables. Il fit différent aller-retour à Londres avec Alysse. Il lui remettra souvent des textes à lire et lui parlera aussi de certaines vielles histoires des templiers.
En 1186, il se fait assassiner dans sa chambre en France par un inconnu. Alysse est alors le témoin de toute la scène. L’homme alors va vers elle et lui dit qu’elle peut s’en aller. Alysse lui répondra que cela fait 20 ans qu’elle veut s’en aller.
L’homme la prendra avec lui et lui confia un secret…l’existence d’une guerre.
Il lui apprit qu’il était un assassin et que son père adoptif était une de ces cibles.
A la surprise de l’assassin , elle lui demanda de devenir comme lui et de lui apprendre tout ce qu’il savait.
Alysse garde alors maintenant en dégout les templiers. Ses cicatrices, ses brûlures causées par l’un deux qui se disait son père la répugneront et alors les traquera jusqu’au dernier.

......

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance (couteaux de lancer, pistolet, arbalètes…):1/10
Compétence spéciale : Elle a appris l'hypnose dans l'un de ses voyages en Angleterre. Ce qui lui permet d'hypnotiser ses victimes pour rendre plus jouissif sa mort. Ce qui lui valu des rumeurs de sorcellerie sur elle. 1/10

~ ~ ~

Nom du Sujet : Alice Oresle
Âge : 22 ans : 12 mai 1990
Nationalité : Française
Sexe : Femme

Ely !!! * Fap Fap Fap* Ely !!! * Fap Fap Fap* !!!

omgutz...

Je savais pas que tu était psychopathe

ici il y a que des pavés

White Au début je voulais prendre Aléanna avec Gabrielle mais après j'avais envie de changer de psychologie.

Mais pourquoi tout le monde à une histoire avec un perso qui en veut aux Templiers?

ThePoloboss : Non, pas le miens

Flamme : pour Loras, il ne se passe pas une ligne sans que j'ai envie de l'égorger

Len !
Alors ma psychopathe ?
Pol Ce sont des bouc-émissaires pour mon perso.

Lya : tu es à moi

Pell non mais la plupart

Lya : elle est marrante /

Oh Yeah. /

CTM Bon courage pour corriger mon texte, il es toujours pas à Bordeaux et déjà 4 pages word ( police 12 et comic sans MS)

Linkc > Déjà de mauvaises formulations de phrases, des majuscules sans raison, des mauvais accords. Fais attention et poses toi la question de savoir si c'est un féminin, un masculin, un pluriel, un pluriel féminin. Ensuite plusieurs petites fautes qui peuvent être facilement évitées comme "où j'étais affecté". Sinon je trouve que c'est pas trop mal. Je dirais que je te noterais une fois qu'il aura rejoint les Assassins

Elyya > C'est bien mais beaucoup d'oublies de mots et des fautes par-ci par-là. J'hésite vraiment à te prendre ou te donner à Jet car c'est quelque chose qui se travaille.

"Malgré son instabilité, c’est une personne intelligente et maligne et saura profité en son avantage chaque situation." Malgré son instabilité, c'est une personne maligne, intelligente et qui sait en tirer profit dans chaque situation.

" Elle aime faire souffrir ces victimes par les plus horribles manière possible." Elle aime faire souffrir ces victimes en utilisant la plus horrible des manières possibles.

"tout ces sentiments qui lui sont inconnus." TouS ces sentiments. Penses à regarder ce que désigne tout, si c'est du masculin, du féminin, du pluriel, pluriel/féminin.

"Elle sait qu’elle est moins émotionelle" émotionnelle

"le sentiments humains" les sentiments

"Alysse Ortega à été diagnostiqué" a été

"ces actions" ses actions. Penses si c'est les siens ou pas.

"Dans la dernière de son père" Dernière année?

"certaines vielles histoires des templiers." sur les Templiers

" elle est nage et court vite." Elle sait nager

Après il y a aussi le problème des temps car tu passes d'un temps à un autre

J'ai écris ça à la vas-vite + je veux Lenski.

Voila, dernière anecodte de la série de présentation de mon perso, et début de ma prochaine mission, "la Belette"

L’Age sombre (partie 3) :

1250, France…

Le reste du voyage se passa sans trop d’encombre. Fenn avait pour mission de ramener le père Edouard à une abbaye dans les alentours de Paris où il pourrait prendre ses ordres.
Une bande de pillards attaqua le convoi, quelques jours après le départ, et ils durent faire face à quelques chiens sauvages, une nuit, mais les chevaliers qui escortaient la carriole s’en occupèrent avec efficacité.
Finalement, les contours de l’abbaye se dessinèrent, un après-midi pluvieux, au sommet d’une colline. La carriole s’y arrêta et un chevalier en armure aida le prêtre à descendre.
Fenn le suivit et fut accueillis dans l’abbaye par les moines qui lui offrirent un repas chaud, des vêtements propres et qui proposèrent de le loger. Fenn refusa, sans amabilité, et alla rejoindre le père Edouard dans sa chambre, alors que le soleil se couchait.
Le prêtre portait une robe de chambre blanche et s’apprêtait à se coucher. Son lit était plutôt luxueux et il portait aux doigts des bagues en or.
-Je croyais que les clercs faisaient vœux de pauvreté, ricana Fenn en s’adossant à une armoire et en croisant les bras.
Le père Edouard écarta ces arguments du revers de la main et sourit.
-Quoi qu’il en soit, tu as formidablement bien remplit ton contrat, Assassin. Ton mentor sera fier de toi. Tiens.
Une bourse vola et atterrit dans les mains de Fenn. Celui-ci la soupesa et, devant en juger le contenu satisfaisant, la rangea à sa ceinture. Puis, il s’approcha du lit sur lequel était assis le père Edouard.
Le prêtre haussa un sourcil.
-Qu’as-tu, mon fils ? Tu sembles soucieux.
-J’me demandais simplement comment j’allais te tuer.
-Hein ? Mais qu…
Fenn fit jaillir sa lame secrète de sa manche avec un bruit feutré. Il traversa la distance qui le séparait du prêtre de quelques pas rapides. Sa lame s’enfonça sans résistance dans le ventre du père Edouard.
Le clerc hoqueta et regarda la tâche sombre qui imbibait lentement sa robe de chambre. Fenn retira sa lame et la rétracta d’un mouvement sec du poignet.
-Désolé l’ami, mais quelqu’un d’autre avait déjà commandité ta mort avant même que tu ne m’engages pour te protéger. Je n’aime pas laisser traîner des contrats, tu comprends ?
Le père Edouard ouvrit la bouche mais seul un filet de sang en jaillit et coula le long de son menton. Il s’enfonça dans son matelas en clignant des yeux d’un air paniqué. Il avait les mains crispées sur sa blessure mais aucun son ne sortait ne sa bouche, comme s’il était encore trop stupéfait pour crier.
Fenn ne lui en laissa pas le temps.
Il le bloqua contre le lit en lui posant son genou sur la poitrine, saisit un oreiller et le plaqua sur le visage du prêtre.
Cette fois-ci, le père Edouard cria. Mais ses hurlements de peur furent étouffés par l’oreiller épais.
Le clerc gesticula dans tous les sens en agitant ses mains autours de lui et en essayant de saisir la gorge de Fenn, mais l’Assassin gardait une certaine distance, tout en appuyant fortement l’oreiller sur la bouche et le nez de sa cible.
Le prêtre s’arc-bouta, frappa le matelas avec ses poings, écarta brutalement sa couette d’un coup de pied, émit un dernier gémissement sourd, puis, son corps se figea et ses bras retombèrent mollement le long de son corps.
Fenn garda l’oreiller plaqué sur son visage pendant une quinzaine de seconde avant de le retirer.
Il remonta la couverture du prêtre jusqu’à son cou, cachant ainsi sa robe de chambre maculée de sang et sa blessure béante au ventre, et remit soigneusement l’oreiller sous la tête de sa cible. Enfin, il lui ferma les yeux.
Un homme non avertit qui serait alors entré dans la chambre aurait pensé que le père Edouard dormait paisiblement, à un détail près.
Fenn essuya le filet de sang qui avait coulé des lèvres du clerc et sourit fièrement.
Un assassinat parfait, silencieux, comme il les aimait. Et une nouvelle bourse qui rejoindrait bientôt sa ceinture, dans quelques jours, quand il irait réclamer son salaire au Q.G. Du beau boulot, clairement, surtout que le mentor ignorait que Fenn avait reçu une somme pour la protection du prêtre lors de son voyage.
Sa mort ne serait découverte que le lendemain matin, quand des moines viendraient le réveiller.
Fenn avait le temps de partir. Et il ne comptait pas se presser.
Il descendit dans les cuisines demander un baluchon avec quelques provisions, ordonna à un jeune religieux de lui faire couler un bain dans un baquet, se détendit pendant quelques heures, puis, alors que la lune était haute dans le ciel, prit un cheval et s’éloigna.
Il regarda l’abbaye rétrécir derrière lui à mesure qu’il s’en éloignait.
Il n’avait pas cessé de sourire.

Quelques jours plus tard…

-Beau travail, Fenn. Comme d’habitude.
-C’est un plaisir, maître.
-N’emploie pas ce ton insolent avec moi, s’il-te-plait. J’attends un certain respect de mes recrues. Je t’aime bien, Fenn. Tu es doué et tu as fait du meurtre un véritable art. De plus, tu me ressembles quand j’avais ton âge, en un sens. Tu es comme un jeune loup sauvage. Mais ne pousse pas le bouchon trop loin. Tu n’as pas une très bonne réputation, dans la guilde, et de nombreux Assassins aimeraient bien que l’uns de tes contrats se terminent par un… accident. Que tu n’en reviennes pas.
Fenn s’enfonça dans son siège et entreprit de se curer les dents avec la pointe de sa lame secrète. En face de lui, le mentor Français soupira.
-Tu m’écoutes ?
-Ouais, ouais. Quelques uns de mes « compagnons » m’ont déjà fait part de leur avis, il y a quelques temps, de manière explicite, en me coinçant dans un coin de la cour d’entraînement. Si j’ai bonne mémoire, il a fallu en enterrer un, et deux d’entre eux ne remonteront plus jamais à cheval. Cesses de t’en faire pour moi, vieillard sénile, et donne-moi plutôt mon salaire.
Le mentor fit un geste. Fenn attrapa la bourse au vol et la rangea dans sa tunique, d’un air nonchalant, en rétractant sa lame secrète.
-Je peux y aller ?
-Pas encore.
Le mentor posa son menton sur son poing et fixa son interlocuteur.
-Tu as déjà entendu parler de « la Belette » ?
-Claude de Pichot dit la Belette ? Le célèbre chasseur de prime ? Qui ne le connait pas, enfin ? Il a quand même vingt-trois gars sur son tableau de chasse, dont deux Templiers, si je ne m’abuse.
-Tellement célèbre que le maire de Lyon a mis cinq cent agnels sur sa tête pour quiconque parviendrait à lui ramener sa tête.
Fenn plissa les yeux d’un air mystérieux.
-J’ai déjà eu l’occasion de voir le cadavre d’une de ses cibles. Si vous voulez mon avis, cinq cent agnels, c’est trop peu. Il n’y a pas de prime pour sa capture, vivant ?
Le mentor ricana.
-Ridicule. Personne ne peut prendre la Belette vivant.
-Bonne réponse. Je l’aime bien ce type. Vous n’avez jamais pensé à le faire entrer dans la guilde ? Il ferait du bon boulot.
-J’aurais pu réfléchir à la question si je n’avais pas reçu une missive il y a quelques jours. Le maire de Lyon vient de commanditer l’assassinat de la Belette. Il se fait pressant. Il a essayé d’envoyer cinq de ses hommes sur ses traces, mais on lui a rendus leurs têtes dans des chiffons ensanglantés. Il y a fort à parier que la Belette va tenter de quitter la région au plus vite.
-Sans blague ? Bon, allez, je dois y aller. Salut vieux.
-C’est toi qui va te charger de tuer la Belette.
Fenn sourit.
-Eh ben tiens, c’est nouveau ça. J’irais pas.
-Quoi ?
-Désolé, la prime est alléchante mais j’tiens à la vie. ‘Pas envie qu’on renvoi mon corps au Q.G, tout tailladé et inerte, dans un drap.
-Tu as peur de la Belette ?
-Ce gars, c’est un gros morceau. J’ai rien contre le fait de massacrer quelques bouseux pour sauver les miches d’un vieux prêtre, mais me frotter à la Belette, ha, ha ! Tu peux toujours courir, vieillard. Pas pour cinq cent agnel.
-Et si je rajoute cent pièces d’or à la prime de base ?
-Non.
-Deux-cent ?
Fenn secoua la tête, les yeux fermés.
Le mentor soupira et serra les dents.
-Très bien, petit merdeux. Deux-cent cinquante agnel que je rajoute aux cinq cent qu’offre le maire de Lyon, ce qui te fait sept cent-cinquante en tout. Un beau pactole.
Fenn se pencha brusquement en avant, les yeux brillants.
-Tu peux monter encore plus, vieux.
-Espèce de petit fumier. Tu veux me dépouiller jusqu’au bout, hein ?
-Et encore plus, si possible.
Le mentor se racla la gorge et cracha par terre.
-Trois cent.
Fenn éclata de rire en se renversant en arrière.
-Tope-là, vieux ! J’vais m’faire un collier avec les dents de la Belette ! Je pars quand ?
Le mentor grogna.
-Le plus vite possible. Fiche le camp et ne reviens qu’après ton contrat effectué ! Ou ne reviens pas !

Ho !!! J'ai dit que lya était pour moi /

Mon perso n'en veut pas aux templier, par contre il était dans un 3éme groupe secret.