r3b3lz.
Petite fic/jeu déconnade, visant à parodier les fic/jeu mal écrites et sans originalités commençant avec un dresseur partant à la conquête des arènes. Je n’ai pas d’idée particulière de scénario, je ne sais pas si je mènerais à bout cette « fic » ni même si elle aura tout simplement une fin.
Bref, c’est juste pour me détendre et tester de nouvelles choses.
VOUS ÊTES UN DRESSEUR TRU3 R3B3LZ
Chapitre 1 : L’Eveil, ou le réveil. Ou le chapitre avec un titre trop philosophique sisi tavu
La Gardevoir est là, et vous regarde d’un air vicieux, la cochonne. Langoureusement, elle vous fait un geste équivoque du doigt, vous invitant à la contenter, tel le puissant mâle Alpha que vous êtes. Vous allez enfin savoir, savoir ce qui se cache sous sa fameuse robe blanche. Lentement, avec un sourire malsain, elle la soulève…
DRRRRRIIIIIIIIINNNG !!!
L’objet de vos fantasmes s’efface soudain de votre esprit. Vous vous retrouvez là, allongé, seul dans votre lit superposé, conscient de toute la misérabilité de votre existence. Pour ce crime impardonnable, fait à votre merveilleuse, charismatique et parfaite personne (et on s’en fou de la contradiction ) il n’y a qu’un seul coupable : le réveil.
Oui, cet insouciant objet, dans un moment de folie, à crût pouvoir se permettre d’oser prétendre déranger dans ses merveilleux songes un BG tel que vous. Parfaitement maître de vous-même, avec toute la classe dont vous êtes capables, vous s’explosez littéralement en deux, du tranchant de la main, grâce à une technique héritée de Chuck Norris lui-même.
Vous venez de démontrer (encore une fois) votre incroyable supériorité face à un objet sans conscience. Fier de vous, vous descendez de votre lit et vous dirigez dans la salle à manger pour prendre votre petit déjeuner. Vous vous seriez bien recouché, mais vous avez hélas du mal à vous rendormir après treize heures. Et oui, nul n’est parfait !
Vous venez à peine de mettre un orteil dans la salle à manger, que déjà votre boniche de mère accourt à votre rencontre.
La boniche : Alors mon chéri ? Tu as bien dormi ? Que tu es beau dis-moi ! Je peux te lécher les pieds ?
Vous vous apprêtez à repousser cette sangsue, comme à l’accoutumé, quand vous vous rendez compte qu’elle vient de commettre un acte d’effronterie irréparable ! Mais avant toute chose, vous remarquez que vous n’avez pas pensé à faire votre présentation, et comme vous ne savez pas où la caller, autant le faire ici.
Vous vous appelez Dark, et vous êtes un pur représentant de la race mâle et virile. Vous avez douze ans, mesurez un mètres quatre-vingt-dix, pesez quatre-vingt-trois kilos et possédez un corps d’athlète. Vous êtes déjà passé maître dans une quinzaine de disciplines de combat et d’art martiaux. On a même dut inventer un nouveau niveau de ceinture, la noire étant une véritable insulte à votre personne. Vos possédez des cheveux noir comme la nuit, (et non pas brun non mais des fois ) parce que la nuit c’est dark. Ils sont naturellement hérissés en pointes, vous donnant un air classe comme dans les mangas, et ce sans avoir besoin d’utiliser une goutte de gel. La suite de la description de chaque détails de votre merveilleuse anatomie serait certes passionnante, mais deviendrait un livre entier à elle toute seule.
Vous mère, disions-nous, à donc commise un acte d’effronterie irréparable. Oui, la rebelle, l’insoumise, à osée poser le couteau pour votre petit-déjeuner avec les dents dirigées VERS l’assiette. Toutes ces années d’éducation et de patient dressage n’auraient donc servies à rien ? ! Vous aller être obligé de tourner le couteau VOUS-MÊME maintenant ! Sauf si vous reprenez les choses en main à temps.
Vous attendez que votre mère ait finie de vous lustrer les pieds avec sa langue, puis dès qu’elle se relève, vous lui coller un bon coup de point en pleine gueule, pour lui apprendre.
Dark : La boniche, regarde-moi bien dans les yeux et regarde la table, il n’y a rien qui te choque ? TU AS VU LE COUTEAU ? !
Vous lui coller de suite une baffe magistrale avec votre bras gauche.
Dark : Je peux savoir pourquoi tu n’as toujours pas bougée ? Tu te rebelles, tu persistes dans ta faute en plus !
Enfin, elle comprend où est sa place et se rue sur le couteau pour le remettre dans son juste positionnement, tout en balbutiant toutes sortes de prières, d’excuses et de jérémiades. Vous êtes vraiment trop bon avec elle.
Dark : Et maintenant retourne à ton ménage, femme !
Vous ponctuez cette dernière injonction d’un coup de talon dans le bide.
Dark : Et je t’interdis d’essuyez ton sang ! Laisse-le couler !
Votre mère fonce vers sa serpillère et son seau, enfin docile comme à l’accoutumée.
La boniche : Au… Au fait Dark…
Dark : QUOI ? !
La boniche : Ben… Tu sais… OUI OUI BIEN SUR QUE TU SAIS ! Mais aujourd’hui le prof Chaîne est censé te donner ton premier Pokémon. À la base c’était prévu pour…
Dark : Oui je sais, pour 9 heures. Mais le prof sait ce qu’il va lui arriver s’il ne m’attend pas. Maintenant ferme-là et frotte !
La boniche : Tout de suite ! Tout de suite !
Vous avalez en vitesse un bol de Nesquik, trois tartines de confiture, un chocolat chaud, quelques biscottes, deux verres de jus d’orange et deux barres de céréales, puis vous vous levez de table et en profitez pour la faire valdinguer à l’autre bout de la pièce grâce à votre force herculéenne. Votre mère passe la journée à la maison à récurer et à faire la cuisine, il faut bien lui trouver des occupations. Vous êtes trop bon.
Vous quittez finalement la maison pour aller en direction du labo du prof Chaîne, qui se trouve à… au moins quinze mètres de la maison. Ce n’est pas tellement que vous ayez besoin de Pokémons, après tout, vous pourriez exploser l’équipe du maître à vous seul, avec les bras attachés derrière le dos. Mais vous avez simplement envie de tenter de nouvelles activités. Mais alors que vous marchez, quelque chose vous perturbe.
Une marée de femelles, à perte de vue, est en train de baver sur votre corps. Bien sur, vous avez l’habitude de ce genre de manifestations à la mesure de votre mérite, mais, la plupart du temps, les admiratrices ne viennent pas de plus loin que les frontières de votre région. Bah oui, ce n’est pas dans un village avec quatre habitants que vous allez trouver des admiratrices en quantité suffisante.
Vous cherchez les causes de cet engouement inhabituel. Après un petit temps de réflexion, vous finissez par découvrir la réponse : vous avez oublié de vous habiller en sortant de votre lit, et vous êtes toujours en caleçon. Votre mère ne vous a même pas prévenue ! Furieux, vous rentrez chez vous.
Vous arrachez un pied d’une chaise, et la tabasser avec, sans vous préoccuper de ses cris d’agonie. Vous le lui planter enfin dans le bide, la laissant mourir lentement. Après tout quelle importance, elle ressuscitera bien dès qu’on aura à nouveau besoin d’elle !
Vous sortez de nouveau, habillé cette fois, repoussez quelques femelles bavant un peu trop près de vous, et entrez enfin dans le labo du prof. Vous découvrez qu’il s’agit d’un vieux sénile, bavant dans un fauteuil roulant.
Prof Chaîne : Bienvenue dans le monde merveilleux des Pokémons. Es-tu un garçon ou une fille ?
Vous vous apprêtez à lui coller un pain, pour avoir osé remettre en doute votre masculinité virile, mais vous vous retenez au dernier moment. Mettre le prof KO risque de vous compliquer légèrement l’accès à votre premier Pokémon.
Dark : Bon le vioc, je n’ai pas toute la journée devant moi, même si je n’ai rien d’autre à faire. Alors tu arrêtes de mâcher ton dentier et tu me files un Poké fissa, au lieu de déblatérer ton laïus habituel dont tout le monde se fou !
Prof Chaîne : D’accord mademoiselle.
Le prof sort d’un tiroir plusieurs Pokéballs et les aligne sur un comptoir.
Prof Chaîne : Voilà petite, voici plusieurs Pokémons. Choisi lequel tu veux.
Voilà un choix qui s’avère Racinien, que choisissez-vous ?
1 : Le machin vert avec un gros bulbe sur le dos.
2 : Le truc bleu avec une carapace.
3 : Le machin rouge qui a la queue en feu.
4 : La Pokéball entièrement rouge et opaque hyper bien dissimulée entre deux panneau clignotants indiquant « Pokémon mystérieux ultrasecret que tu n’as pas le droit de prendre et de toute façon tu n’auras même jamais connaissance de son existence et ces panneaux sont une pure invention de ton esprit ».
5 : Vous décidez plutôt de voir si vous pouvez réussir à faire avaler son dentier au professeur.
4 ou 5
Sinon c'est bon ça.
Tu lis vite !
4 ou 5 il va falloir choisir.
Je lis vite oui et j'aime bien ton délire par contre. Tu te moques du style théâtrale et caricature la mère qu'on retrouve partout ainsi que le personnage super cool mais qui ne l'es pas. Bravo en tout cas.
Je me suis surpris plusieurs fois à mettre des tirets avant une réplique. Les bonnes habitudes son difficiles à perdre.
J'aime bien. Choix 5, puis 4.
Choix 5 puis 3
4 ou 3 . Parce que Salaméche > all .
T'as besoin de correcteur pour celle-la ou pas ?
Pas mal Mais peut mieux faire, pas assez de fautes, texte trop long, ce n'est pas assez moqueur
4 !
sa va etre à coup sur un magicarpe
5 puis 3
Ou sinon 6 : Faire 1, 2, 3, 4, 5 en même temps.
Je suis censé valider quoi moi ?
4!!! Bravo la fic!
4
Cette Fic est sublime, quelle finesse
J'adore!
La 4 bien sûr! (faites que ce soit un magicarpe... et pas un pikachu... )
D'ailleurs je pense faire une parodie sur Hoenn. (le sujet selon moi le plus truffé d'incohérence jamais "ficé" pourtant. )
Sachant que je dois aussi faire avancer ma "vraie" fic, je ne pourrais peut-être pas écrire celle-ci très régulièrement.
Allez on veut savoir ce qu'il y a dans cette mystérieuse pokeball.
Choix 4, comme dans toutes les mauvaises fictions. J'adore Milo et, désolé kébounet, mais j'ai préférée celle-là.
Elle va plus dans le délire !