poeme1
Quand je te revois
Dans ma tête, tous mes souvenirs d´autrefois
Reaparaissent
Sans cesse
Tous ce que je ressentais,
Ce c½ur qui battait
Toutes ces choses que je croyais oublier
Enfuit, au fond de mon passer
Tous ces moments de ma vie
De pleure, de joie, de rire
Sont remonter à la surface
Comme pour que rien ne s´efface de la réalité
Que je viens de réaliser
Tu n´est plus a moi, tu ne m´appartiens plus
Je t´es perdu
Mais incapable de te retrouver
Je grave dans le cristal le plus pur
Toute cette amertume
Qui restera à jamais immortaliser !
poeme2
Ephémère peut être le bonheur,
Qu´il dure un an ou une heure,
Sa présence est déconcertante,
A la fois bienvenue et émouvante,
Puis, reste un agréable souvenir
Après le pire, vient nous envahir.
Dans notre malheur triste nous serons,
Car seules et incompris nous resterons,
Cette maladie du coeur s´appelle l´amour,
Auprès de toi, quand je suis chaque jour,
Loin de toi ma mélancolie m´emporte,
Tel une feuille que le vent escorte.
poeme3
Je suis émue de te dire que j´ai
Compris l´autre jour que tu avais
Toujours une envie folle de me faire
Danser. Je garde un souvenir de ton
Baiser et je voudrais que ce soit
La preuve que je puisse être aimée
Par toi. Je suis prête à te montrer mon
Affection toute désintéressée et sans cal -
Cul et si tu désires me voir ainsi
Te dévoiler sans honte mon âme
Toute entière, je te rendrais visite, et
Nous causerons en amis. Franchement
Je te prouverais que je suis la femme
La plus capable de t´offrir l´affection
La plus étroite, la plus profonde
En un mot, la meilleure épouse
Dont tu puisses rêver. Puisque tu as
Le c½ur tendre, même si la maison que j´ha -
Bite est bien dure, bien longue et souvent
Pénible à trouver en pensant à ma douleur
Énorme, accours vite me la
Faire oublier, qu´à l´avenir je puisse- me
Mettre toute entière
À ton service et à tes ordres
Afin que je puisse jouir au maximum
De tous les avantages d´une femme adorable.
P.S. : si tu doutes encore de mon amour,
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