Aujourd'hui je lance un débat sur la franchise d'OKC qui sont assez irrégulier ces derniers temps. ( Claudou m'a dit de poster ici aussi en plus du fofo 2k )

Commençons par Harden en début de saison. Un accord a était trouvé entre les Rockets et les Thunder car Harden refusait l'offre des Thunder qui s'élevait à 56M et accepte 60M chez les Rockets.

Harden avait alors deux solutions: soit s’asseoir sur un gros contrat et prolonger avec son équipe et ses potes d’OKC, soit relever un plus gros défi sportivement et s’en aller porter une franchises sur ses épaules, non plus en tant que joker de luxe, mais franchise player. Seulement voilà, au final, la décision n’a pas reposé dans ses mains bien longtemps, et a eu lieu le dénouement de la plus courte situation « je signe, je signe pas » de ces dernières années. A en rendre jaloux Carmelo Anthony et Dwight Howard.

Et on le doit à un homme et un seul, Sam Presti. Hier soir avait commencé le début de la saga, qu’on s’attendait à être au moins aussi longue et passionnante que le Dwightmare. Une saga qui nous aurait tenu en haleine jusqu’à l’été prochain : mais que va faire James Harden. Hier soir donc, premier épisode, le barbu refuse l’extension de contrat de quelques 52 millions de la part du Thunder. Pêché d’orgueil ? Peut être. Peut être aussi touché dans sa fierté qu’un Serge Ibaka ait été prolongé avant lui à gros prix. Peut être aussi demandant plus d’argent, vu que sportivement il aurait été cantonné à un rôle de joker en sortie de banc, une sorte de compensation financière en somme. Toujours est il que l’accord n’est pas trouvé, et que l’éventualité d’un trade est émise. En toute honnêteté, on n’y croyait pas. On ne voyait pas OKC lapider son effectif en cours de saison alors qu’ils ont une réelle opportunité de remporter le Graal cette année encore.

OKC a du faire un choix, dans l’incapacité de conserver les deux au prix demandé.

Mais Sam Presti continue de prouver à toute la ligue qu’il est un des meilleurs dirigeants en activité. Non seulement de réaliser le meilleur travail de toute la NBA en terme de développement des jeunes talents, Presti a su faire le bon choix pour sa franchise de suite. C’était un choix difficile, mais il l’a fait. Ne pas vivre un Dwightmare, ou un Melo Drama, sans aucun doute était son objectif premier. Le second, étant de commencer de suite à reconstruire sans James Harden. Ça peut paraître brusque comme décision, mais on ne peut plus intelligent dans le fond. Si Orlando avait su faire ça dès le début, sans doute auraient-ils pu commencer à reconstruire depuis la saison passée. Avec ce trade, Sam Presti semble en plus donner une claque monumentale aux dirigeants d’Orlando et d’ailleurs : aussi talentueux soient-ils, ce ne sont pas les joueurs, mais bien les GM’s qui ont le pouvoir.

Ainsi donc, le Thunder perd Harden, mais il récupère deux bonnes pioches pour le remplacer. Kevin Martin tout d’abord, l’arrière scoreur destiné à être la star des moribonds Rockets jusqu’à ce trade. Mais aussi Jeremy Lamb ( qui n'a pas du tout brillé ). Si c’est Kevin Martin qui semble la pièce essentielle de ce trade, et également celui qui aura un impact direct dans l’équipe, nul doute que connaissant Presti et connaissant la franchise du Thunder, la cible était bel et bien Lamb. Un rookie typé scoreur lui aussi, capable d’évoluer poste 2 et 3, bon athlète qui plus est. En gros, le Thunder ne peut pas conserver Harden, alors on prend un autre jeune et on recommence. Le seul souci, c’est que Lamb n’a pas pour le moment les qualités de playmaker qu’avait James Harden. L’ancien sixième homme d’OKC était le leader de la second unit, mais également un des meilleurs passeurs de cette équipe, une qualité qu’on lui oublie souvent, à tort. Seulement voilà, l’an passé, si Harden avait autant de responsabilité de distribuer le jeu en sortie de banc, c’est parce qu’Eric Maynor était out pour toute la saison. Lui est un vrai playmaker, qui distille le jeu et score de temps en temps. Rappelez-vous que lors de l’épopée 2011 du Thunder, lorsqu’OKC sort Memphis en 7 manches et tombe en Finale de Conf’ contre Dallas, Scott Brooks utilisait parfois énormément Maynor à la mène, plus qu’un Westbrook relégué sur le banc ou au poste 2 sur certaines séquences.

Désormais patron des Rockets, Harden aura la place d’exprimer tout son talent.

Après plusieurs mois dans la ligue le Thunder se retrouve malgré tout dans les deux premières places. Mais depuis le départ de Maynor, on sent une équipe tangeante et très irrégulière mais certains joueurs y sont pour quelques choses. C'est pourquoi j'évoque le cas Durant, serait il mal utilisé par le Thunder ? C'est la deuxième question.

Voilà une question bien intrigante, qui ne nous viendrait pas à l’esprit à priori, surtout lorsqu’on parle d’Oklahoma City et de Kevin Durant. OKC demeure une des toutes meilleures équipes de la ligue, dans le groupe fermé des prétendants au titre. Certes, Durant est le triple meilleur marqueur de la NBA, et va cette année encore sans doute rafler la mise. Certes, sans un Lebron James au sommet de son art, Kevin Durant est sans doute le MVP de cette ligue. Certes, il aligne des stats et un niveau de jeu fantastique. Une fois que cela posé, la réelle question est la suivante : y a-t-il moyen de faire mieux ?

28.3 points, 7.9 rebonds, 4.5 passes, à 50% de réussite, voici ce que vaut Kevin Durant chaque rencontre cette saison. Et même si cela représente son deuxième meilleur total de points par matchs en carrière (30.1 en 2010), il faut néanmoins s’intéresser de plus près à son jeu offensif, pour découvrir que le garçon pourrait être mieux exploité. Tout d’abord, on sait qu’il est incontestablement un des meilleurs shooteurs de NBA. Mécanique de tir parfaite, très rapide, combiné à une grande taille, ce qui le rend extrêmement difficile à défendre. Pourtant, à regarder jouer le Thunder, l’impression dégagée est que OKC base son jeu sur beaucoup de jeu en 1vs1, une grande partie des possessions offensives se concluent par Durant ou Westbrook obligés de créer par eux même.

Et cette impression se vérifie directement sur les stats. Concrètement, c’est sous le panier que Durant prend la plus grosse partie de ses shoots, le tout avec une réussite on ne peut plus correcte de 68% dans cette zone. Excellent finisseur près du panier, sans doute un des meilleurs dans le métier pour conclure en pénétration, son avantage est bien sûr qu’il peut conclure en allant claquer le dunk, ou même sur floater/tir proche du cercle. Encore un exercice où il excelle, ces tirs au cercle, du fait de sa taille, sa vitesse, et de ses bras interminables.

En revanche, cela se complique lorsque que Durant ne parvient pas ou décide de ne pas aller au panier, mais de prendre le tir plus ou moins loin du panier. Évidemment, le « jump shot » représente presque la moitié de sa sélection de tir, mais il ne tourne en moyenne qu’à un tout petit 37% de réussite. Si on creuse encore plus, on se rend compte également que Durant est immensément plus efficace pour mettre le jump shot lorsque qu’il dégaine sans dribbler (en spot up), et d’ailleurs les trois quarts de ses paniers rentrés sont assistés (passe décisive sur le panier en question). En clair, c’est sur catch & shoot que la star du Thunder fait le plus de dégâts. Autre constat, assez étonnant, c’est de voir que KD ne prend presque jamais de tirs dans le corner. Pour être précis, c’est juste 18 tirs pris depuis les deux corners, pour presque 180 sur les autres zones à longue distance cette saison ! Le corner est pourtant généralement la zone favorite des snipers, du fait que la ligne à trois points est moins loin du panier qu’ailleurs.

A partir de là, on peut en toute légitimité se demander si l’utilisation de Kevin Durant par Scott Brooks exploite toutes les capacités du garçon ? Et à priori, on pourrait être tenté de répondre que non. Clairement, cette saison KD essaye beaucoup plus de varier son jeu, autrement dit de faire jouer les autres. Au point même qu’il s’emmêle les pinceaux, et force souvent les choses, pour des résultats parfois très moyens, tout simplement parce que ce n’est pas naturel chez lui. OKC gagnerait sans doute à lui enlever le ballon des mains sur certaines séquences, et le faire jouer en sortie d’écran. Il en a les capacités et les aptitudes physiques pour le faire, et pourrait vraiment exceller dans ce domaine. Surtout que pour poser de bons écrans, les Perkins, Ibaka et Collison ne sont pas les derniers.

Néanmoins, on en revient toujours au même point, le cas Russell Westbrook. Clairement, Westbrook n’est pas un meneur gestionnaire, et ne le sera sans doute jamais. On ne retrouve pas chez lui les qualités d’un vrai playmaker, comme savoir délivrer la passe au bon endroit au bon moment, où la capacité à temporiser et être patient. Sans un réel meneur, difficile de jouer en catch & shoot, jouer en sortie d’écran pour Durant, ou tout simplement laisser un système aboutir quand Westbrook s’engouffre dans la peinture à la moindre occasion, que le système aboutisse ou non. Peut-on alors affirmer que jouer de la sorte, ou de laisser Westbrook être le meneur de Durant est en quelque sorte pour OKC, gâcher une des plus belles palettes offensives de l’histoire de la ligue, ou en tout cas de ne pas l’exploiter au mieux ? Avec cette formule-là, le Thunder pourrait bien manquer de décrocher le Graal, cette année comme plus tard, mais ce thème à lui seul mériterait son propre article pour être traité correctement...

Je poste la suite étant donné que le message était trop long

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Les dirigeants aussi font des choix douteux la preuve avec Maynor, la mauvaise opération, c’est qu’entre temps, Scott Brooks est tombé amoureux de Reggie Jackson, et qu’OKC a ainsi échangé Maynor à Portland contre presque rien. Jackson est un très bon athlète, qui a montré de meilleures capacités à marquer avec une certaine régularité, mais n’est certainement pas un distributeur à la manière de Maynor. Qui manque donc à cette second unit, mais aussi aux titulaires, puisque le garçon était par séquences le meneur attitré de l’équipe dans le money time, notamment durant les playoffs 2011.

C’est ensuite tactiquement que l’équipe semble atteindre ses limites. La mentalité de Scott Brooks est pour le moins assez simple : laisser un maximum de libertés à ses stars en attaque. Le bon côté, c’est que Westbrook comme Durant sont de très bons joueurs de 1vs1, capable de créer par eux-mêmes et d’aller chercher leurs points. Et tout ça marche plutôt bien, le Thunder se bat toujours pour le meilleur bilan de NBA. Le mauvais côté, c’est que justement ça marche sans doute un peu trop bien, et que toutes ces victoires cachent peut être l’essentiel : la pauvreté du fond de jeu.

Même s’il sont sans doute liés, il faut tout de même séparer les deux problèmes : l’incapacité de Russell Westbrook à être un vrai meneur/distributeur d’un côté, et cette réelle pauvreté tactique d’un autre. Je vous le racontais au dessus, Kevin Durant semble vraiment sous utilisé, au vue de sa palette offensive énorme. Un joueur avec un aussi bon tir et une aussi grande taille, le garçon peut être indéfendable utilisé en spot up shooteur ou en catch & shoot, mais n’est placé que très rarement dans cette position où il est diablement efficace. Et même s’il reste un des meilleurs dans le business en terme de pénétration et de se création de son propre tir, il est sans doute utilisé trop souvent dans ce registre. De même pour Russell Westbrook, pour qui on n’appelle jamais de systèmes. Le garçon a la liberté de devoir aller chercher ses points tout seul, et de ce fait en abuse souvent. Bizarrement, c’est lorsque des Kevin Martin ou Nick Collison que le fond de jeu est plus étoffé, et les possessions plus travaillées.

Pour comprendre cette déficience tactique, trois suspects s’offrent à nous, et la « faute » n’incombe à personne en particulier, mais un peu à chacun. Le premier est la cible favorite des détracteurs, et on ne peut pas franchement dire qu’il cherche à les éviter. Russell Westbrook essuie depuis un bout de temps déjà de virulentes critiques à propos de sa façon de joueur en tant que meneur de cette équipe. Le garçon distribue quelques 7.5 passes par match, beaucoup mieux que l’exécrable 5.5 de la saison passée, mais c’est surtout une statistique trompe l’œil. Westbrook n’a tout simplement pas les qualités qu’il faut pour être le meneur de jeu de cette équipe, au sens où on l’entend généralement.

Il n’est pas du tout un bon gestionnaire, sa prise de décision est trop souvent mauvaise, et surtout c’est son manque de patience, et son incapacité à temporiser qui l’empêche d’être le dépositaire du jeu du Thunder. Il y a une grande différence entre être meneur de jeu et être celui qui a la balle sur une possession offensive. Et le pire, le fond du problème Westbrook même, c’est que le garçon ne semble vraiment pas décidé à changer. Il prend plus de tir que Kevin Durant, et semble encore décidé à prouver à tout le monde qu’il peut être le franchise player de cette équipe. On n’irait pas jusqu’à dire qu’il se satisfait dans cette situation, mais presque. Et il ne se dégage en tout cas aucune impression qui nous ferait dire que Westbrook voudrait évoluer vers un plus grand rôle de passeur au détriment de ses points.

Ce qui nous emmène directement au second suspect, moins évident, Kevin Durant. Si le triple meilleur marqueur de NBA n’y est, à priori, pas pour grand-chose dans la sélection de tir qu’on veut qu’il ait, il n’est pas non plus exempt de tous reproches. Non seulement de trop laisser faire Russell Westbrook plutôt que de tenter de s’imposer en tant que le seul et unique leader qu’il devrait être, on peut trouver dans son propre jeu quelques points noirs, à commencer par son jeu sans ballon.

On ne le voit tout simplement pas assez essayer de créer du mouvement lors qu’il n’est pas destiné à prendre le tir sur une possession, et tout particulièrement lorsque Westbrook commence à partir dans une série de dribbles pour faire le job par lui-même, Durant reste immobile, et attend que ça se passe. Alors que justement, un Durant en mouvement qui pourrait chercher une ouverture serait un bon moyen d’inciter Westbrook à ressortir le ballon une fois qu’il a fixé la défense, plutôt que de tenter le tir compliqué.

Autre bémol, la tendance de KD cette saison à vouloir beaucoup trop forcer les choses, en terme de playmaking. Ce n’est pas naturel, résulte en beaucoup de turnovers, et le fait sortir de sa zone de confort, le scoring, un registre où pourtant personne n’est meilleur que lui en NBA.

Enfin, notre troisième suspect dans cette affaire n’est autre que Scott Brooks, à commencer par la gestion du cas Russell Westbrook. Formé arrière à UCLA, Westbrook partageait le backcourt avec Darren Collison, et était même la troisième option offensive de l’équipe, derrière Kevin Love et Collison. Comment, en presque 5 ans de carrière maintenant, Brooks et la direction d’OKC n’a pas ne serait-ce que tenté de l’essayer au poste 2 ? Surtout quand Eric Maynor semblait émerger comme un vrai playmaker, et potentiellement un très bon complément dans le backcourt. Malheureusement, cela semble trop tard désormais pour une telle transformation, et encore une fois, il n’est pas certain que le principal intéressé soit attiré par cette idée.

On peut lui reprocher donc cette utilisation imparfaite de Kevin Durant, comme de Russell Westbrook, mais nous n’avons pas toutes les cartes en mains pour pouvoir en juger. Est-ce réellement son souhait, où n’arrive-t-il tout simplement pas à faire passer son message plus que ça ? Toujours est-il qu’en tant que coach du Thunder, c’est évidement lui qui est en première ligne pour essuyer les critiques à ce propos. Il faut lui rendre hommage pour l’excellent travail qu’il a fait sur ces dernières saisons, mais dans l’optique d’enfin devenir cette dynastie qui accumule les titres, il faudra à n’en pas douter passer par une plus grande rigueur offensive. A Scott Brooks de montrer qu’il en est capable, un place dans l’histoire lui tend déjà les bras, mais il faut aller la chercher maintenant.

Présenté ainsi, on aurait presque l’impression de l’énumération d’une longue liste de problèmes que pourrait rencontrer une franchise à la peine, et non pas d’un des trois meilleurs bilans de la ligue. Néanmoins, la critique est dure, car comme l’avait parfaitement formulé StillBallin à l’occasion du trade de Harden, il y a ce sentiment qu’OKC transforme de l’or en bronze. Le problème, c’est que même si ça gagne aussi souvent « au talent » en saison régulière, on déjà vu OKC buter contre des grosses cylindrées (dont Miami deux fois, San Antonio deux fois, Memphis deux fois, ou même Denver et Houston deux fois également…), et parfois même complètement déjouer. Et si OKC n’arrive toujours pas à ramasser un titre dans les trois à quatre prochaines années, il ne faudra pas être surpris d’un trade de Russell Westbrook. D’autant plus que connaissant le garçon, il pourrait vouloir de lui-même se mettre à la recherche d’une franchise qui le considérerait pleinement comme Franchise Player, et surtout avec l’exemple d’un James Harden à qui une situation similaire réussit on ne peut mieux..

Voilà une fin à la supposée dynastie du futur qu’aucun fan ne voudrait voir arriver. Le démantèlement du trio magique, qui ne prouvera rien de plus que ce succès par la draft restera au final une anomalie dans l’histoire moderne du basket. On n’en est heureusement pas là, mais cette idée n’est plus si insensée que ça, alors qu’inimaginable il y a encore quelques mois de cela..Pour le moment et malgré tout cela, le Thunder demeure une des meilleures équipes de la ligue, et un logique prétendant au titre. OKC fait peur, et c’est bien ça le plus important au jour d’aujourd’hui. Les belles histoires ne sont pas déjà toutes faites, elle ne demandent qu’à s’écrire. En espérant un éclair de génie d’ici juin prochain, dans l’idée d’enfin soulever le trophée Larry O’Brien.

Voila j'ai fais un bon gros résumé sur trois lien de nba.info où j'ai juste repris tous les passage important. Bonne lecture à tous.

Pavay César

That's All ...

Je suis vraiment désolé okc-thunder83, mais même moi qui est un fan de OKC, il m'est totalement impossible de lire un pavé comme ça. J'ai lu à peut-près la moitié et sa m'a bien saoulé, non pas que tes propos sont incorrectes, mais c'est très très désagréable de devoir lire autant surtout le soir.

Sur ce bonne soirée, et ne prend pas mal ma " critique ".

J avoue que n'aimant pas OKC lire un pavé de la sorte a 1h du mat est un suicide

J'essaierai de lire demain

Je vais résumé le débat :

"OKC est-il capable de faire mieux que d'être un simple prétendant au titre ? Peut-il vraiment en gagner un ?

Les faits : Depuis le départ d'Harden et Maynor, l'équipe est irrégulière

Durant laisse trop de place à Westbrook et ne s'impose pas

Le sens tactique de Brooks qui n'a jamais testé Westbrook en 2 alors qu'il jouait à cette place en NCAA, Collison étant à la mène

Faut lire en plusieurs fois, moi ça me dérange pas de lire des pavés sur des sujets qui m'interesse pour ma part.

Oh ce pavay...

Sinon je pense qu'il vont peut être aller en finale(je dis bien peut être) et se planter encore une fois avec un sweep a la clé parce que je les vois beaucoup moins fort que la saison dernière.

Si on prend Martin déjà.Quand tu le regardes le mec est plutôt limité quoi.
C'est je shoote, je shoote, je shoote et je reshoote tout simplement.
Il cherche pas a comprendre si il est dans un mauvais soir au shoot, il se rapproche pas de la raquette vu que de toute façon, il sait pas pénétrer.
Harden avait une FUCKIN qualité de shooteur sans doute quasiment aussi bon que Martin mais le mec savait menait le jeu a coté, pénétrait dans la raquette, etc.

Donc pour moi, Harden était le facteur X, malheureusement, les dirigeants ont mal négocié.

Et puis Perkins, mon dieu, ce mec est une sombre blague

Un des pivots les plus lent qui m'ai été donné de voir...
Ses moves, quand il court, il est toujours lent le mec.
Sa spécialité est censé être la défense mais même la dedans il est devenu lent...

Et bien sur Westbrook et Durant, ça marche pas, les deux veulent scorer comme des dingue donc bon...
Autant Westbrook mène plus le jeu que la saison dernière mais je pense qu'en playoffs il va se planter sec...

Mon résumé est bon, Valentin ?

j'ai tout lu et c'est plutôt bien construit même si des mots ne veulent pas dire grand chose (lapider un effectif, équipe tangeante...)

Sinon je les vois sortis en 6 manches par Denver en demi-finale de conférence.