Hola tout le monde. J'avais déjà fait cette fic sur PDMO sur PDMC et sur ACR en esperant avoir (enfin) de la chance ici. Bon trève de bavardage bonne lecture.
Prologue
-Tu vas revenir hijo de putana ? Hurla le garde.
« Est ce qu’il y a vraiment quelqu’un qui a déjà répondu oui à cette question » pensa Valentino en continuant de courir.
Le soleil tapait très fort aujourd’hui et il faisait sué Valentino à grosse goute, mais il n’allait pas se laissait arrêter pour ça.
Le problème de Valentino (aujourd’hui) c’est qu’il avait voulu voler l’argent d’un garde et qu’il s’était fait prendre. Résultat : Il avait trois gardes qui lui couraient après à travers les toits de la belle ville de Cadiz. Une journée comme les autres en somme. Valentino Lazaro avait beau être fils d’un des plus gros avocats espagnols, il préférait de loin voler les gens même si ses vêtements faisaient bien plus penser à un riche. Il courait en ce moment sur les toits de la ville suivit de près par les gardes. Manque de chance, il trébucha sur une tuile, se raccrocha de peu à la gouttière et se maudit intérieurement : il était fini, les gardes allaient bientôt prendre un malin plaisir à le faire tomber et il s’écrasera lamentablement au sol dans la rue. Il ferma les yeux et se prépara à la chute quand il entendit une voix très familière.
-Hey idiota, tu veux que je t’aide à remonter ou quoi ?
Il ouvrit les yeux et découvrit le visage de son frère Fédérico qui le regardait avec amusement. Du haut de ses 18 ans le cadet des Lazaro n’en était pas moins costaud. Fédérico avait toujours son gilet de marin noir et son pantalon blanc, ses cheveux noirs était noirs comme l’ébène. Il avait juste deux ans de moins que son frère mais faisait presque sa taille. Il travaillait pour son père comme livreur. Ses yeux marron fixaient Valentino en attendant sa réaction.
-Tu m’as fait peur idiota j’ai cru que c’était la fin, dit Valentino en poussant son frère.
-Je leur ai réglé leur compte avant même qu’ils sortent leurs épées.
-Et tu l’as fait tout seul en plus, dit une fille derrière Fédérico.
-Adelina ! Tu l’as aidé, je me disais aussi, dit Valentino avec un regard amusé pour son frère cadet.
Adelina était la sœur de Fédérico et Valentino. Du haut de ses 22 ans elle était l’aînée des enfants Lazaro. Elle était ébéniste dans une petite boutique de leur quartier. En 1516, le bois se vendait cher, elle avait donc une très bonne paye et ça se voyait. Elle portait un corset noir et un pantalon d’époque bleu. Même après son travail, elle portait encore ses gants rouges obligatoires dans son métier. Ses cheveux bruns et courts et ses yeux bleus étaient du plus bel effet.
-Bon, venez, on rentre sinon d’autres gardes vont nous trouver, lança Fédérico.
-Qu’ils viennent, répliqua Valentino.
-On les attend le pied ferme, rajouta Adelina.
Ton titre est en italiens ?
Sinon, elle est pas mal, mais c' est pas mon type de Fiction de j' aime lire, désolé.
pas grave. Nan le titre est en Espagnol mais c'est une faute de frappe. normalement c'est Venganza
S'a s'annonce prometteur
Mais allonge tes textes
Voilà j'ai donnée mon avis
voilà , j'ai posté
Non , je déconne
Tu devrais poster la suite , peut-être que ça interressera du monde
pas con Lenski je pensais me tirer etb vous laissez dans la merde
je poste rapido
J'ai lu le reste de ta fic ...
Jusqu'au chapitre 7 c'est du assassin's creed 2 retouché
je sais c'est par la suite qu'on change (essayé de ne pas trop m'enfoncé SVP j'ai déjà prit assez chère pour ça)
Les héros sont froids . Je ne spoil pas mais il établissent des plans alors qu'ils viennent juste d'avoir des problèmes
Réalisme des courtisanes semblable à celui des assassin's creed
La famille rival
T'es qu'un gros messant
-Chapitre 1-
La calma antes la tormenta
-Debout durmiente, dit Valentino en poussant son frère du lit.
-Oh non déjà!
-Et oui père veut te voir, donc, à ta place je ne le ferai pas attendre.
-Ok j’y vais mais ne me réveille plus jamais, répondit Fédérico en fusillant son frère du regard.
Leur maison était très belle, dans un des plus beaux quartiers de Cadiz, elle surpassait de loin les autres. Elle comprenait quatre chambres, un salon gigantesque, une grande cuisine et un grenier gigantesque. Fédérico et Valentino descendirent le grand escalier et trouvèrent leurs parents assis sur le canapé.
Francesco Lazaro était l’un des plus grands avocats d’Espagne ; son costume bleu valait plus cher que certaines maisons de la ville. Sa barbe noire et ses longs cheveux noirs étaient impeccablement coiffés, ses yeux verts allaient de Fédérico à Valentino. A coté de lui, se tenait Maria Lazaro vêtue de sa traditionnelle robe noire ses cheveux blonds étaient attachés par un chignon ses yeux aussi verts que ce de son marie étaient plein de compassion.
-Bon, je dois y aller maintenant, dit Valentino en se déplaçant discrètement vers la sortie.
-Oh non, tu restes ici toi, répondit Francesco d’un ton qui imposait le respect si bien que les deux frères se mirent presque au garde-à-vous.
-Qu’est ce qu’il y a père, tenta Fédérico.
-Me prendrais-tu pour un idiot mon fils ? Je sais ce que vous avez fait hier, dit Francesco d’un ton accusateur.
-Père ne punissez pas Fédérico il n’a rien à voir avec ça.
-Silence fils. J’ai déjà trouvé ta punition ; à partir d’aujourd’hui tu travailleras avec Fédérico.
-Oui père, c’est d’accord, dit Valentino qui préféré encore ça que de laver l’écurie comme la dernier fois.
-Je m’en occupe père.
-Très bien, j’ai déjà votre travail d’aujourd’hui, dit Francesco en retournant à son bureau pour prendre 3 lettres.
-Livraison, c’est ça ? demanda Fédérico.
-Oui, une sur la place marchande, une autre sur les quais, une près du palais et après vous récupèrerez un message envoyé par pigeon voyageur sur les toits de la place marchande.
-Ce sera fait père, dit Valentino.
Ils sortirent rapidement et commencèrent à courir pour la première livraison. Vers le port. A un moment, Valentino se cogna contre quelqu’un.
-Excusez-moi, dit Valentino en se relevant.
-Surement pas vermine, dit l’homme.
Ce que virent les deux frères les dégouta. Ce costume noir, ce béret et ces cheveux noirs ne laissaient aucun doute. Il s’agissait de Ricardo Sidonia. Il était le fils du plus grand banquier de la région. Mais surtout, il était le pire ennemi de Fédérico et Valentino depuis déjà bien longtemps.
-A, les deux stupidos, dit Ricardo d’un air moqueur.
-Tu veux que l’on te règle ton compte, dit Fédérico qui commençait à perdre patience.
-Je vais vous faire regretter vos paroles, répliqua Ricardo.
-Très bien petit, cours de maths, le nombre 2 est plus grand que le nombre 1, dit Valentino un grand sourire aux lèvres.
-Refais tes comptes.
A ce moment, cinq autres personnes se mirent en rang derrière Ricardo. Fédérico compris immédiatement. Il commença à prendre l’un des hommes de Ricardo et l’assomma en 2 coups de genou. Valentino, lui, poussa un autre type par dessus la rambarde et l’homme tomba dans l’eau. Fédérico lui, pris un homme et le fit dormir à coup de poteau. Valentino étant bloqué par un garde trop fort pour lui, fut obligé d’envoyer un coup pied dans les parties intimes de l’homme qui tomba en se tordant de douleur. Dans un moment d’inattention, Fédérico se prit un coup d’épée au niveau du bras il saignera un peu mais rien de grave, sauf que l’homme pointait toujours son épée sur lui.
-Tu es mort estupido, dit l’homme avant de tomber dans les pommes.
-Bravissimo mi hermano, dit Fédérico en voyant Valentino armé d’une brique.
-Mierda, Ricardo est partit, dit Valentino qui ne s’amusait pas.
-On l’attrapera une prochaine fois ne t’inquiète pas.
-Ca va ton bras?
-Oui tout va bien, dit Fédérico en cachant sa douleur.
-Non, on va faire la livraison du port puis on ira chez un médecin, répliqua Valentino.
Ils se rendirent donc à la première adresse indiquée par leur père. C’était dans une cour, protégé des regards.
-Hey, vous êtes les fils de Francesco ? Dit un homme caché dans un coin.
-C’est pour vous la lettre ? Demanda Valentino.
-Oui, donnes moi la, dit l’homme d’un ton asses pressé.
-Très bien tenez, répondit Fédérico.
L’homme prit la lettre et partit en vitesse. Sur ce, les deux frères allèrent voir un médecin pour le bras de Fédérico. Ils en trouvèrent un sur la place du marché. Le médecin soigna Fédérico mais une cicatrice restait sur son avant bras. Et les deux frères se mirent en quête de leur seconde livraison. Ils arrivèrent dans un coin d’ombre près d’un échafaudage et virent enfin un homme.
-Vous avez ma lettre ? Dit l’homme sur un ton assez agressif.
-Ca va tenez, prenez la, mais c’est juste une lettre, dit Valentino pour essayer de calmer le jeu.
L’homme prit la lettre et partit sans rien dire. Les deux frères se regardèrent surpris. Pourquoi les gens voulaient les lettres à ce point. Enfin plus qu’une livraison, ils pourraient aller chercher leur sœur pour s’amuser un peu plus. Ils se dirigèrent donc vers le lieu de la dernière livraison. Valentino était plongé dans ses pensées. Il allait donc faire ça maintenant. Travailler pour son père sans broncher. Surement pas ! Il contait bien s’échapper à un moment et retrouver ses amis les gardes et leurs bourses pleines de pièces. Il aurait pu rêver pendant une heure mais son frère le réveilla car il fonçait dans un mur tellement il était ailleurs.
Ils repartirent donc pour effectuer la troisième livraison. Ils arrivèrent devant la face est du palais de la seigneurie. Une femme leur adressa la parole. Elle était blonde avec les cheveux attachés en chignon. Ses yeux dorés faisaient froid dans le dos.
-Bonsoir mes mignons, vous avez une lettre pour moi je crois, dit-elle.
-Oui tenez, dit Fédérico en lui tendant la lettre.
-Vous devriez dire à votre père de partir en vitesse ou ça va lui retomber dessus, dit la femme d’un ton mystérieux.
-De quoi parlez-vous ? Demanda Valentino mais la femme s’éclipsa sans rien dire d’autre.
-Bon ben, tant pis.
-Vient on va prendre le message du pigeon voyageur puis on passera prendre Adelina.
Ils se remirent en route mais décidèrent de passer par les toits pour aller plus vite. Ils prirent rapidement le message et descendirent du toit pour se retrouver en plein milieu de la place marchande pas très loin de l’endroit où leur sœur travaillait. Ils la trouvèrent en train de prendre ses affaires pour repartir.
-On vous dérange señorita, demanda Valentino.
-Pas du tout je m’ennuyais.
-Bon vient, on remet ce message à père et on pourra aller se balader.
Sur le chemin du retour Fédérico expliqua à sa sœur comment Valentino en était réduit à travailler avec lui. Enfin ils arrivèrent chez eux mais un détail frappa Valentino : La grille était fracturée.
-Père, Mère ! Dit-il en commençant à courir.
Ils arrivèrent à l’intérieur et virent le salon complètement dérangé comme si une tempête était passée par là. Deux hommes gisaient par terre la gorge tranchée. Ils n’en croyaient pas leurs yeux. Adelina monta à l’étage suivit de Fédérico et Valentino. Ils trouvèrent leur père à l’étage. Francesco était adossé contre un mur est utiliser un arc pour tirer des flèches sur des archers sur le toit d’en face et leur mère était assis par terre dans un coin. Fédérico, Adelina et Valentino était sidérés. Leur père les avait vus entrer.
-Adelina amène ta mère en lieu sûre! Fédérico prend le coffre sous mon lit! Valentino donne moi le carquois à coter de toi, hurla t’il.
Tous s’exécutèrent. Adelina amenas sa mère dans une chambre plus loin dans la maison. Fédérico pris le coffre sous le lit et Valentino amenas le carquois plein de flèche à son père.
Que se passait-il ? Pourquoi les archers voulaient leurs morts ? Survivront-ils ?
SUSPENSE …
t'avais qu'à lire mes anecdotes
J'aime pas pas trop le suspens mais sinon c'est bien.
A quand la suite ?
tout de suite , si tu veux
ouais j'enlèverai le suspens. Suite demain comme j'ai pas cours de la matinée (grève des profs grève des profs grève des profs !) j'amélioré un peu le chap avant de poster
Grèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèè
èèèèèèèèève des profs
Chapitre 7 , ils disent qu'ils vont placer un arbalétrier et ils se mettent à parler d'un archer ...
bizarre ça
Lenski go voire la liste des susjets...
Lenski go voir ailleurs si j'y suis...
ma vengeance sera terrible
je pointerais chacune de tes erreurs
ça t'apprendra :\ /
ha parce que tu faisait quoi jusque la ?