Sachant qu'un épisode dure 45 minutes...
Non celui-là 1:03:17
WTF ?
Sérieux là ?
OMG, je vais jamais finir la série.
Non mais c'est juste les épisodes des débuts de saisons qui dure une heure les autres c'est 45 min
J'ai commencé à écrire mon petit rapport, ça avance petit à petit
Non Jet arrête tout
:coucou: Léria n'est pas une ex-bourgeoise, c'est sa mère qui est issu...blablabla...elle l'a éduqué pour suivre la voie logique, se marier avec un bon partie etc... mais le métier de son père lui a mis dans la tète des idées de voyage et de liberté. Son cousin, Sébastian, va lui apprendre l'existence des assassins et du crédo...
j'ai commencé à écrire la mission mais je crois que je mettrais une anecdote d'abord
Jet', la deuxième partie de mon pavé arrive. Prépare toi très cher.
Sachant que la deuxième partie ne sera qu'un chapitre de transition.
Jet_lag Jet !
C'est devenu un zombie
Flamme nous a sauvé en exterminant la menace zombie.
Hey, non, je suis normal !
Parles pour toi, Alec mélangé.
Tiens. C'est nouveau, ça, y'a un nouvel Alec ?!
Yep, c'est le croisement entre nos deux caractères.
En gros je suis un peu un Alec du patur.
Quoi ? Tu t'es jeté en pâture à moi.
Alec du patur, cours.
C'est ce que j'allai faire illico !
Ils se reproduisent!!!
Ahhhh, c'est la fin !
Non ! Il y a des zombies partout !
Il commençai à devenir lourd.
J'avoue.
On récolte ce que l’on a semé
Partie 2…
Birmingham, 1799….
- Alors ça y est ?
- Oui. Répondis-je simplement
- Maintenant, je dois accomplir ma part du marché, c’est cela ?
- Vous avez tout compris.
- Et si je décide de me rebeller et d’agir tyranniquement comme l’ancien maire, que ferez-vous ?
- Vous le savez déjà, donc arrêtez de poser des questions inutiles.
- De toute manière, ce n’était pas mon intention très cher. Me mettre votre Confrérie à dos est une chose stupide.
- J’en conviens. Répondis-je simplement
- En tout cas, sachez que vous serez toujours le bienvenue ici, dit-il en se retournant, tout en écartant les bras.
- ……
Il soupira.
- Toujours aussi froid ?
- Toujours. Dis-je avant de me retourner, pour finir par disparaître dans l’obscurité de la nuit.
Le maire se nommait Arthur McCold, un vieil homme au crâne rasé, et qui est en permanence mal rasé. Il était très patient, et avait la manie de ronger ses ongles chaque fois qu’il réfléchissait. L’élection n’eut même pas lieu, dès qu’on vit que j’étais son ”garde du corps”, personne ne fit face à Arthur. Tant mieux, il faut dire que passer plus de temps à m’occuper de cette affaire m’ennuyait plus qu’autre chose.
Demain, il devait donner son premier discours en tant que nouveau maire de Birmingham, il voulait que je sois présent. Je n’y voyais aucune objection à vrai dire, même si je n’avais pas la moindre envie d’y assister.
***
Une énorme foule s’est amassée devant la mairie. La joie et la bonne humeur régnaient. Croyez-moi, en ayant connu la tyrannie dont laquelle l’ancien maire était capable, voir cette ville aussi animée et si heureuse est surprenant. Savoir que tout cela est dû à l’Assassinat du Maire, ou plutôt, au fait que je l’ai assassiné, me remplis de joie.
Le Maire fit alors son apparition, ce qui poussa la foule à applaudir. Ce dernier les remercia puis prit la parole. Moi, j’écoutais son discours sans grand intérêt, bien que je faisais attention à chacune de ses paroles. J’avais visiblement fais le bon choix, puisque les habitants étaient suspendues à ses lèvres, il avait un certain charisme. Il choisissait bien ses mots, était réaliste, et était objectif.
Son discours ne dura pas moins d’une heure. Pour la foule qui s’était amassée devant la mairie, c’était passé très vite, pour moi, pas vraiment. Le maire ouvra la porte de la mairie, puis me fit un signe m’indiquant de me suivre. Je le suivis alors. On marcha en direction du bureau, à l’étage.
Une fois à l’intérieur, il s’assit derrière un pupitre en bois qui lui servait de bureau. Je souris intérieurement, un maire qui avait comme bureau un simple pupitre d’étudiant, c’était assez amusant.
- Mon nouveau bureau arrivera la semaine prochaine, je ne compte pas utiliser ce pupitre.
Il m’avait percé à jour. J’esquissai un sourire puis lui répondis :
- Heureusement que vous ne comptez pas garder ce pupitre, ça serait un peu humiliant si vous voyez ce que je veux dire.
- Froid…mais aussi blagueur ? Très bien.
- Tss….maintenant, je veux savoir pourquoi vous m’avez demandé de vous suivre.
- Et bien, c’est parce que…
Un messager défonça la porte du bureau. Le maire se mit immédiatement à couvert derrière son pupitre tandis que je fis jaillir ma lame secrète. Tout mes sens étaient en alerte. Cependant, le messager n’avait aucune intention hostile. Il était exténué, et manquant de tomber par terre. Il reprenait son souffle tandis que le maire se rassit sur sa chaise. Je fis de même. Le maire le dévisagea avant de prendre la parole :
- Stéphane ! Qu’est ce que c’est que ces manières ? hurla Arthur
- Monsieur, monsieur, dit-il avant de s’arrêter de parler pour reprendre son souffle.
- Parle donc ! Je n’ai pas toute la journée.
- Alors ? Qu’y a t-il mon ami ? demandai-je
- J’ai une lettre, une lettre pour ”l’Assassin”.
Le regard d’Arthur croisa le mien. Il semblait interloqué. Je me levai de ma chaise et pris la lettre des mains de Stéphane. Ce dernier s’en alla alors. Il prit soin de refermer la porte derrière lui.
- Mon cher… lança Arthur
- …
- M’écoutez-vous ?
Je retournai la lettre dans tout les sens, me demandant si c’était une erreur ou si mon imagination me jouait des tours. Cette lettre…
Elle portait le seau des Templiers.
Jet' C'est la dernière partie, tu peux corriger.
Et plus la peine de me donner des missions, je les ferai en forme d'anecdote maintenant.
Pardonne moi Alca', je fais ça pour le bien de l'humanité.