Vos textes vous les écriver sur quoi papier ou direct PC?
PC direct
PQ au toilette, puis je recopie dans mon carnet, puis sur une feuille A4, puis sur un document texte sur l'ordi et enfin sur word
Ah et, après je le recopie pour le publier sur JVC
B'jour
Y a-t-il une page où toutes les nouvelles règles parues au fil du temps sont résumés ?
Oui par MP mais je compte les refaire après la rentrée, tu veux les lire quand même par MP?
tiens saluts Luc
et captain, tu peux me remettre les liens de tes textes sil te plait?
Nan pas tes cookies dégueulasse
Un monde sans cookie de jet
Un monde sans Jet
Oh Wait?
Sa c'est po gentil
Nan on est méchant
Origine (partie 1) :
-2500 avant J.C, Egypte…
Les épées s’entrechoquaient sous un soleil de plomb. Le sang giclait, les hurlements de rage ou de douleur retentissaient, et le fracas des armes emplissait les oreilles des combattants.
Au milieu des collines sablonneuses, l’armée du pharaon faisait face aux barbares venus du Nord. Et ils étaient tenaces. La guerre durait depuis plusieurs semaines mais les troupes de Kephren n’étaient pas parvenues repousser leurs adversaires.
Pire, c’était elles qui reculaient à chaque bataille, malgré leur avantage numérique. Ce jour là, Horbaf et Minkhaf avaient été envoyés pour commander les troupes.
Sur le dos d’un magnifique étalon à la robe brune, Horbaf, le cimeterre levé, menait ses hommes au combat. A une dizaine de mètre, Minkhaf faisait de même.
-Battez-vous comme des hommes ! Pour vos femmes ! Pour vos fils ! Pour votre empire ! Pour le pharaon ! Les dieux vous regardent ! Râ est avec nous !
Les soldats Egyptiens étaient disciplinés et efficaces mais les barbares étaient incroyablement sauvages et ne semblaient sentir ni la douleur, ni la peur. Si bien que plusieurs barbares continuaient à se battre avec plusieurs flèches plantées dans le corps et de nombreuses entailles sans s’en rendre compte.
Horbaf balança son sabre autours de lui, faisant voler les têtes et la cervelle. Son pied percuta le bouclier d’un barbare, le faisant s’écrouler. Horbaf abandonna sa monture pour plus de mobilité. Son frère fit de même.
Les deux hommes se rejoignirent, à coups d’épée. Ils discutèrent dans la mêlée.
-Horbaf ? Ca va ?
-Ouais, quelques égratignures mais rien de méchant ! Et toi ?
-Moi ça va ! On est en train de reculer !
-Je sais bordel !
-Tu crois qu’on va s’en tirer vivant ?
-Comme toujours !
Dos à dos, les deux frères se battirent comme des diables. Chaque ennemi à leur portée voyait sa gorge s’ouvrir dans un flot de sang, ses tripes jaillirent de son ventre ou sa tête se séparer de son corps.
Ils combattirent si bien que leurs hommes, motivés, se surpassèrent et parvinrent à stopper l’avancée des barbares et à les repousser légèrement.
Au centre du champ de bataille, Horbaf et Minkhaf tourbillonnaient, virevoltaient malgré le poids de leurs armures, telles des armes de morts à visage humain. Indifférents à la fatigue, la chaleur ou les cris effrayants des barbares, ils tuaient, implacablement.
Et leurs sabres fendaient crânes, côtes et armures, à tel point que bientôt, un espace se créa autours d’eux, au milieu du combat. Le sol était jonché de corps et les deux frères marchaient sur des tas de cadavres ensanglantés, tués par eux-mêmes.
Jamais ils n’avaient mieux portés leur surnom de « faucheurs ». Car ils fauchaient les vies de leurs ennemis comme un paysan fauche le blé.
Ils se rendirent compte que les barbares avaient bien reculés. Dans l’ivresse de la guerre, ils ne s’étaient même pas rendus du compte du nombre d’ennemis qu’ils avaient abattus. Et du fait que leur camp allait bientôt remporter la victoire.
Quelques minutes plus tard, dans un dernier assaut brutal et sanglant, les soldats Egyptiens déferlèrent comme une vague sur les barbares restant, les massacrant dans une atroce boucherie, menée par Minkhaf qui avait pris la tête des troupes.
Quelques guerriers parvinrent à s’enfuir, dans les collines.
Minkhaf monta sur un cheval et parada devant ses hommes en brandissant la tête d’un des chefs barbares qu’il avait lui-même décapité d’un coup de cimeterre. Les soldats hurlèrent de joie et frappant leurs boucliers avec le pommeau de leurs sabres.
Le soir, une grande fête eu lieu pour fêter la première victoire Egyptienne depuis de nombreuses semaines.
Horbaf et Minkhaf furent portés en triomphe et une partie de l’armée défila devant le palais du pharaon.
Le lendemain, Kephren convoqua ses deux vizirs, ainsi que plusieurs généraux de son armée, autours d’une carte de la région. Horbaf se pencha au-dessus de la carte, dessinée sur du papyrus, et fronça les sourcils en voyant la petite croix rouge marquée à un endroit.
-Qu’est-ce ? demanda-t-il.
Kephren sourit.
-Un fragment d’Eden.
Les généraux et Horbaf se regardèrent, perplexe. Visiblement, pas un seul d’entre eux ne savait ce qu’était un « fragment d’Eden ». Seul Minkhaf semblait en avoir connaissance car son visage s’illumina et un sourire se dessina sur sa bouche.
-Un Fragment ? Pharaon, vous êtes sérieux ?
-Mes éclaireurs m’ont informé de sa position, il y a quelques jours. Dans un vieux temple perdu dans le désert. D’après eux, personne n’a du mettre le pied dans la cachette du fragment depuis des dizaines d’années.
-Il faut tout de suite y envoyer des hommes, il faut que nous nous…
-Euh, s’il-vous-plait.
Horbaf avait levé la main, comme un enfant qui veut interroger son maître.
-Quelqu’un pourrait me dire ce qu’est un fragment d’Eden ? Ca m’intéresse et ça devrait intéresser les gars, là.
Horbaf fit un signe de la tête dans la direction des généraux. Minkhaf secoua la tête d’un air désapprobateur.
-Horbaf, au lieu de t’amuser toute la journée à te battre dans la salle d’entraînement ou courtiser des jeunes femmes, tu devrais faire un tour à la grande bibliothèque, de temps en temps. Certains papyrus parlent des fragments d’Eden. Il est compréhensible que les soldats ici présents ne sachent pas ce que sont ces objets, car l’aile de la bibliothèque qui contient ces papyrus sont réservés à la famille royale. Mais toi tu n’as aucune excuse.
Horbaf soupira.
-Ca y est, il me fait son sermon.
-Tu es irresponsable ! Tu te comporte comme un gueux, au lieu d’un prince ! Tu n’étudie jamais et passe tes journées à jouer ! Qu’est-ce que tu as dans la tête, imbécile ?
-Oh, on dirait que j’ai fomenté un complot ! C’est bon, je ne sais pas ce que c’est un fragment d’Eden, est-ce un crime ?
-Pour un vizir, un homme censé tout savoir et conseiller le pharaon, tu fais preuve de peu…
-Blabla, blablabla, blablablablabla.
-Ca suffit !
Le pharaon avait frappé la table du poing, créant des fissures dans le bois. Il semblait en colère car il avait les dents serrées et un regard sombre. Il frappa une deuxième fois la table, mais du plat de la main cette fois.
Horbaf et Minkhaf, ayant côtoyé Kephren, leur frère, avaient connu nombre de ses colères et étaient habitués. Aussi, ils s’étaient tus mais continuaient à se fixer avec un air de défis, comme si chacun des deux attendait que l’autre ouvre la bouche pour répliquer aussitôt.
Les généraux, eux, n’avaient pas l’habitude de voir leur pharaon s’énerver avec autant de force. Tous reculèrent d’un pas, impressionnés.
-Regardez comment vous vous comportez ! fit Kephren. On croirait deux enfants en train de se chamailler ! Vous êtes membres de la famille royale, alors comportez-vous comme telle et faites preuve de retenue ! Par Râ, j’ai honte de vous ! Ey si vous tenez tant à régler vos compte, faites-le dans la salle d’entraînement, à coups d’épée ! Ou insultez-vous au moins comme des princes, et non comme des vendeurs de poissons !
Le pharaon se redressa et inspira. La colère était passée.
Horbaf eut une expression de dédain envers son frère et lui tourna le dos, se tournant vers Kephren. Minkhaf, quant à lui, baissa les yeux avec un grognement. Le pharaon porta son attention sur Horbaf.
-Les Fragments d’Eden sont des artefacts qui ont été créés, grâce à une technologie qui nous est inconnu, bien avant la naissance des hommes. Il y a tellement longtemps que seuls les dieux s’en souviennent. Ils ont été conçus dans l’objectif d’asservir les humains, et possèdent des pouvoirs incroyables. On dit que celui qui possède un Fragment d’Eden pourrait soumettre le monde à sa volonté.
Horbaf siffla, impressionné. Un des généraux fronça les sourcils.
-Vous voulez dire qu’il y en a plusieurs ?
-Oui. Mais le nombre exact est inconnu.
-Et quel fragment d’Eden a été retrouvé ?
-Un ankh. Selon la légende, il aurait appartenu à la déesse Isis mais elle l’aurait perdu lors d’un de ses voyages dans notre monde. Selon la même légende, il donnerait la capacité à son possesseur de… ressusciter les morts.
Les personnes présentes se regardèrent.
-Qu’importe si l’histoire dit vrai ou non, lâcha le pharaon. Il nous faut cet ankh. Horbaf, Minkhaf, c’est vous, mes frères, qui allez me le rapporter.
Moi je les aurait plutôt vie se déplacer sur le champ de bataille en char , vu qu'ils sont de sang royal ~ ~
Histoire BD d'assassin's creed spoted
et je lis le texte de bilbonch
Sympa, l'egypte antique n'as pas encore était vraiment exploitée. Le trio royal me plait. Tu as le don pour faire des perso très charismatiques
C'est surtout le duo.
Kephren n'a pas un très grand rôle ( peut-être plus tard ) + l'histoire d'Horbaf et de Minkhaf a un lien avec l'intrigue actuelle. Vous comprendrez quand je posterais la suite.
<^>
J'ai l'impression que chaque fois que je post le topic bide
J'avoue /