Lien , please
Je m'en occupe plus tard
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-316-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm
dsl de pas avoir pu poster plus tôt écouter une meuf sa me prend de plus en plus de temps
Re (Lens serait-il en train de me contaminer )
t : 500 d'or et 1 point
J'ai adoré le diaologue sur "le chateau"
Mon assassins : http://hapshack.com/images/YpjNk.jpg
Force :8
Résistance:7.5 +0.5=8
Déviation:7 +0.5=7.5
Vitesse:7
Escalade:7
Fureur du lion:9
6500+500=700 pièce d'or
Chapitre 3 partie 4
L'une de mes plus grandes surprises fut de voir que cette ville/forteresse avait une autre forteresse à l'intérieur d'elle même.
Lorsque nous nous approchâmes du Château nous découvrîmes une autre muraille.
D'à peu près la même taille que la précédente voire plus petite quand nous franchîmes sont portail nous nous sommes rendus compte qu'elle avait une autre particularité.
Lorsque l'on passe cette muraille un grand escalier nous attends, un escaliers qui vous fait gravir environ 15 mètres de hauteur.
Et pendant l'ascension de cet escalier, le visiteur est invité à admirer les autres murailles placées derrière la première. Elle étaient de plus en plus haute.
J'en ai compté 5 en tout. Dés murailles épaisses, espacées d'à peine un mètre ou deux. Cet endroit à été fait pour résister, et surtout pour durer.
#
Une fois passés ces murailles et une fois que nous avons pénétrés dans l'enceinte même du château, Marcus et Elliot nous apprîmes, que le chef Assassins du château nous attendait et qu'il allait nous recevoir.
-On va rencontrer le grand chef des Assassins ?! S'exclama Alexandre.
-En fait non. Répondit Elliot, l'homme que vous allez rencontrer est simplement le responsable du château
Devant le château en lui même se trouvaient de nombreuses aires d'entrainements. Où beaucoup de gens portant des capuchons s'entrainaient à l'épée, au couteaux de lancers et bien d'autres choses.
La plupart étaient parés de blanc ou de gris, et tous portaient une capuche tel que Elliot ou Marcus. J'en déduisit que ces capuches étaient une sorte de distinction ici. car ceux qui semblaient recevoir des conseils et des ordres sur les aires d'entrainements n'en portaient pas.
D'autres l'avaient tous simplement abaissée.
-Ce sont des novices. Déclara Marcus. Comme vous.
J'eus l'air incrédule.
-Je t'ai vu les épier depuis tout à l'heure. Reprit-il.
Nous entrâmes dans le château. C'était beau, nous avions Alexandre et moi la sensation d'entrer dans un sanctuaire. Car tout avait beau être grand et vide, les pierres nues avaient beau être présentes partout, le lieu était accueillant. Chaleureux même à la lueur des torches.
Les bibliothèques remplissaient bon nombre de salles et des érudits travaillaient ensemble, en silence.
Nous arrivâmes dans une salle, à l'image du reste du chateau, grande, accueillante.
Au centre trônait un bureau, large, sur lequel était éparpillées différents papiers. une plume, derrière ce bureau se tenait un homme, le dos tourné vers nous. Observant le paysage majestueux derrière la grande vitre qui prenait presque un tiers de la surface du mur arrière de la salle.
Marcus et Elliot étaient juste derrière nous et c'est ce dernier qui prit la parole.
-Maitre Anselme.
-Elliot, heureux de te revoir, cela faisait longtemps que nous ne t'avions pas vu.
-En effet, la raison de mon retour est simple, nous allons peut-être compter deux Assassins de plus dans nos rangs.
Le maitre Anseleme se retourna, Cet homme portait les stigmates d'un chef. Des traits durs, un regard perçant, en plus d'une voix posée et très autoritaire à la fois. Il me faisait penser à Marcus.
-Sont-ce ces deux jeunes gens que je vois la ?
-Oui.
A ce moment je me sentais mal a l'aise, son regard s'était posé sur nous.
-Pourquoi de si jeunes gens veulent-ils devenir Assassins? Demanda-t-il en nous regardant droit dans les yeux.
Alexandre eu l'air dubitatif. Mais moi je pus répondre en une fraction de seconde.
-Je souhaite venger la mort de ma mère.
Tous me regardèrent un moment. Le maitre Anselme me répondit:
-La vengeance n'est pas un motif valable pour combattre dans nos rangs. Si tu veux devenir l'un des nôtres il va falloir que tu te battes pour nôtre cause, et pas pour une vengeance personnelle.
Il marqua une pause. Puis reprit,
-Mais je suppose que ta mère a été tuée par un templier n'est ce pas ?
-Oui, répondit Marcus. Elle était une de nos informatrices.
Le maître Anselme me regarda droit dans les yeux.
-Je suis navré, sincèrement. Mais ta mère croyait en notre cause. Alors rejoins la. Fais en sorte que ce qui t'es arrivé n'arrive plus jamais à personne d'autre.
Puis il se tourna vers Alexandre.
-Et toi jeune homme?
Alexandre ne savait pas quoi répondre.
-Je n'ai que deux choix. Dit-il. Je peux devenir paysan ou je peux devenir un Assassin. Elliot m'a dit que les Templiers appauvrissaient la population. Je souhaite y mettre un terme.
Sa voix manquait d'assurance. Mais le maître semblait ne pas en tenir compte.
-Soit. Répondit-il. Vous allez tous deux suivre l'entrainement des apprentis, quand vous serez prêts, vous prêterez serment, si vous ne vous sentez pas engagé envers notre cause, vous pourrez partir.
suite
Le soir même on nous présenta nos quartiers, ils étaient simples, voir rustiques, Les murs étaient faits de pierre dans un coin trônait une table, et dans l'autre, un lit. tous deux très rudimentaires. Mais cela ne posait pas de problèmes.
Le lendemain je fus réveillé par un garde, qui avait été envoyé par Marcus.
-Ton instructeur sera Marcus. Avait-il dit. Il t'instruira dans la cour, mais avant enfile ces vêtements.
Il me présenta la tenue des apprentis que j'avais remarqué la veille.
Je les avais enfilé sans broncher. A vrai dire, j'aimais l'idée de porter un uniforme. Une fois que j'avais enfilé mes vêtements, le garde me conduisit dans les dédales de couloirs et de différentes salles qui composaient le château.
Bon sang cet endroit était vraiment immense! Une fois sorti du château le garde me laissa entre les mais de Marcus qui m'attendait dans une aire d'entrainement circulaire.
Nous commençâmes l'entrainement peu de temps après, j'étaie équipé d'une épée courte et Marcus ne s'était pas du tout équipé il voulait se battre à mains nues.
-Je vais te blesser! Déclarais-je.
-Et bien essaye donc ! Retorqua Marcus.
Avec une certaine hésitation je me lancés sur Marcus fendant l'air d'un coup horizontal.
A une vitesse terrifiante il se baissa laissant l'épée passer à un centimètre à peine de son dos il se redressa en me gratifiant d'un uppercut magistral.
Je m'écroulais sur le sol comme un énorme sac de patate.
-Alors ? Dit Marcus d'une voix forte. Tu disais que tu me blesserais! J'attends.
Par deux fois je me jetais sur lui, mais sans la moindre hésitation cette fois. Et par deux fois Marcus me mit à terre d'une façon à peu près similaire.
Alors que je me relevais péniblement de mon second coup. Marcus entreprit de me faire la leçon.
-Qu'as tu appris ?
-Mis a part que vous avez un boulet de canon à la place des mains ? Rien!
-Cesse de faire l'enfant et réponds!
Il me fallu quelques secondes de réflexion.
-Qu'avec quelques kilogrammes en plus dans les mains on peut facilement voir tomber un ennemi armé. Même si on est à mains nues.
-C'est exact mais mes poings on un poids normal figure toi. Sache que à mains nues tu peux vaincre un adversaire. Et avant de t'apprendre à manier l'épée, je vais t'apprendre à la combattre.
Je me souviens que l'entrainement fut intense, pendant des heures et des heures, Marcus fendait ou pourfendait, et moi qui était à mains nues devait éviter la lame.
Bien sur la "lame" en question était faite de bois, mais durant mes premiers échecs, le bruit court et puissant du bois claquant sur ma joue me donnait une soudaine envie de me surpasser.
Nous y passâmes du temps, sans que j'arrive à réellement progresser. Je devais avoir des bleus sur tout le corps, et pour une noble peu habitué au sport comme moi, la tâche était d'autant plus ardue.
Le soleil commençait à être haut dans le ciel quand nous nous sommes arrêtes.
Marcus m'avais dit de le suivre. Il m'emmena dans un des recoins perdus du Château, où personne ne pouvait nous voir.
A cet endroit se dressait une tour d'environ 50 mètres de haut. Avec une planche de bois à mi-hauteur se tenant horizontalement au dessus du vide, une échelle permettant de l'atteindre.
Devant cette tour, se trouvait un tas de foin haut de deux mètres et large d'environ 5 mètres.
-Qu'est ce que cet endroit ? Avais-je demandé.
-C'est ici que tu vas apprendre le "saut de l'aigle". Avait répondu Marcus.
Devant mon air incrédule il entreprit de me faire un démonstration. Et commença à monter sur l'échelle, une fois arrivé à hauteur de la planche il monta dessus et regarda en bas.
Puis dans un mouvement fluide et sans aucune hésitation il fit un saut de l'ange, il atterrit sur le dos dans la botte de foin.
-C'est ça, le saut de l'aigle. Dit-il en sortant les derniers morceaux de foin coincés dans ces vêtements. Le but est de sauter juste dans le cercle que tu vois là.
Ce que je n'avais pas vu c'était que la botte de foin comportait des cercles concentriques de plus en plus grands comme une cible.
-Maintenant regarde la manivelle que tu vois là bas.
Il y avait une manivelle sur le côté de la tour.
-En fonction du sens dans lequel tu la tournes elle fera monter ou descendre la planche de bois en haut.
Commence avec une faible hauteur comme, 5 ou 6 mètres puis augmente jusqu'à arriver au 60 mètres de la tour.
Je me souviens avoir tergiverse pendant de longues minutes avec Marcus sur l'utilité de cet entrainement, ce qui le laissa de marbre.
"Fais ce que je te dis" avait-il dit.
Je m'exécutais donc, avec prudence. Je commencés à régler la hauteur de la planche à 4 mètres, ce qui ne manqua pas de faire glousser Marcus.
Je montais sur la planche grâce à l'échelle, puis je sautais de la même façon que Marcus.
Ce n'était pas si difficile en fin de compte.
J'augmentais la hauteur à 10 mètres, sûr de moi.
Mais lorsque j'arrivais sur la planche de bois la peur me prit au tripes! Je ne pouvais pas sauter d'aussi haut! Comment faisait Marcus pour sauter de plus de 20 mètres de haut ?
A ce moment l'image de ma mère me revint à l'esprit, et presque instantanément, toutes mes peurs s'évaporèrent comme de l'eau salé dans un désert.
En fermant les yeux, je sautais, comme dans un état second.
En arrivant en bas, je ne revenais pas d'avoir sauté d'aussi haut!
Et j'étais arrivé en plein milieu du cercle.
Marcus n'avait pas bronché.
Cette fois si je vais rester raisonnable, Marcus était sauté de 25 mètres, c'est à cette hauteur que je vais régler la hauteur de la planche.
Quand Marcus me vit m'exécuter il m'arrêta.
-Est-ce une blague ?
-Non. Rétorquais-je sur un ton plus ferme que je ne l'aurais voulu.
-Que cherches tu à prouver ?
-Je ne cherche qu'a réussir.
Comme s'il avait lu dans mon esprit, il répondit:
-Sauter aussi haut ne ramèneras pas ta mère!
Mais c'était déjà trop tard j'étais en train de grimper sur l'échelle et j'étais presque sur la planche.
Lorsque j'arrivais devant le vide devant moi, je failli chuter rien qu'à cause de la peur.
Et si je tombais? Et si je n'attérissais pas dans le foins? bien que celui-ci fût large et difficile à manquer.
Je fis taire ces voix dans ma tête et en serrant les poings je pensais à ma mère.
Quand je pensais à ma mère, j'étais pris par cette colère froide, neutre, effrayante même, qui me poussait à me dépasser car cette pensée na laissait aucune place à une autre, et encore moins à la peur.
Il me fallu une bonne minute de concentration avant de me décider à sauter. Et au moment précis ou mes pieds quittèrent le bois je crus que j'allais mourir.
La chute dura trois secondes à peine et pendant ces trois secondes j'étaie pétrifié, à la fois par la peur, mais aussi par autre chose, par un sentiment d'excitation extrême, grisant, duquel le contact avec le foin m'extirpa presque instantanément.
Je m'extirpais difficilement du foin encore sous le choc quand Marcus vint à moi, cette fois ci avec une profonde expression de surprise peinte sur le visage.
-Mon Dieu comment as tu fais?
J'étais incapable de répondre.
je sais c'est long ...
t : 2 points et 500 d'or
C'est bien décrit
Mon assassins : http://hapshack.com/images/YpjNk.jpg
Force :8
Résistance:8
Déviation:7.5 + 0,5=8
Vitesse:7 +1=8
Escalade:7 + 0,5=7,5
Fureur du lion:9
7000 +500 = 7500pièce d'or
T-redead : Ton assassin ne ressemblerait pas un peu beaucoup au Prince de Perse.
Désolé de mon énorme absence, je vais enfin me bouger un peu le cul pour avancer dans les aventures d'Armand De Maupertuis.
Si mais vu que dans "le monde" d assassins creed il esiste pas je me suis permis de lui "voler" son apparence
Musiue : http://www.youtube.com/watch?NR=1&v=osWNzV9zGKk&feature=endscreen
Un indien arriva en courant vers Demyan . L'assassin l'invita à s'asseoir et à se reposer .
-Que se passe-t-il ? Demanda Demyan .
-Molimo …. Des blancs arrivent !
-De quels couleurs sont leurs vêtements ?
-Blancs …. Des tuniques rouges semblent les suivirent .
Demyan se mit à réfléchir . La présence de français signifiait peut être la présence de Dimitri et , par conséquent , la présence d'un danger . Laisser les français et les anglais s’entre-tuer paraissait la meilleure solution mais le risque que le village soit découvert était grand . Plusieurs chefs de tribus vinrent le voir .
-Que se passe-t-il ?
-Des blancs … En grand nombre ….
-Que comptez-vous faire, Molimo ?
Demyan contempla son tomahawk un moment avant de le dégainer .
-Nous devons nous préparer au cas où les blancs arriveraient jusqu'ici . N'en laissez aucun passer . Pour ma part , je vais mener un groupe de guerriers ….
-Bien , répondit le chef .
Demyan attendit un peu avant que des guerriers armés d'arc et de tomahawk ne viennent le rejoindre . Ensemble , ils prirent des couvertures fines et partirent dans le marais . Ils s'immergèrent en partie , utilisant les couvertures pour masquer leurs têtes .
Un peu plus loin .
-Dépêchez-vous ! Ordonna Dimitri .
-Quel est votre plan ? Demanda l'un de ses officiers .
-Nous allons les affronter à la sortie du marais . Leurs mouvements seront bloqués et leurs armes seront difficiles à manier . Nous , nous aurons une parfaite liberté de mouvement .
-Cela pourrait marcher …
-Il le faut ….
Un peu plus tard .
Demyan attendait avec ses guerriers . Ils regardaient les français avancer aussi rapidement qu'ils le pouvaient . D'autres guerriers avaient rejoint Demyan et ils avaient même prit le risque de s'approcher . Un officier arriva en avançant rapidement .
-Général ! Ils seront à portée dans quelques minutes !
-Quoi ?! Mais … Comment ont ils fait pour avancer à ce point ?
-Je l'ignore , général ….
-Formez la ligne , préparez-vous à tirer et cesser de bouger !
-Mais … Nous allons perdre ….
-Faîtes ce que je vous dis ! Et préparez-vous à vous baisser après avoir tiré ! Il faut que vous soyez capables de recharger en gardant le canon du fusil hors de la vase !
-À vos ordres …. Général …
Les soldats se préparèrent au combat en exécutant les ordres de Dimitri . Ils attendirent un moment jusqu'à entendre des bruits de pas . Les soldats français attendirent avant d'entre le bruit de l'eau en mouvement . Ils ouvrirent alors le feu puis se baissèrent tous avant de recharger . Il y eu aussitôt des tirs de mousquets en réponse . Après quelques moments , il y eut de nouveau des bruits de liquides en mouvement . Les français ouvrirent de nouveau le feu avant de recharger , de tirer et de recharger de nouveau tout en se baissant .
-Ils profitent du brouillard pour se cacher et du bruit pour trouver les anglais , pensa Demyan . Dimitri réfléchit bien avec le peu qu'il détient …
Ils virent enfin tous les premières tenues rouges approcher difficilement . Les français tirèrent une première volée avant de charger au corps à corps . Demyan attendit le tir des britanniques avant de pousser un cri de guerre . Lui et tous les guerriers se lancèrent à l'assaut du flanc anglais le plus proche . Moins nombreux et incapables de se déployer , les anglais durent battre en retraite mais ils eurent à subir de nombreuses pertes . Lorsque les combats furent terminés , les français et les indiens se toisèrent avant que Demyan ne fasse face à Dimitri .
-Alors tu es encore en vie …
-Il semblerait …
Demyan fit un signe à ses guerriers qui s'en allèrent . Il attendit que les soldats français soient sortis des marais avant de s'entretenir avec Dimitri .
-Que viens tu faire ici ? Demanda Demyan .
-Je tente de m'enfuir , répondit Dimitri . Notre armée a subie de nombreuses pertes et nous devons trouver un moyen de trouver le reste de nos troupes …
-Je pourrais en profiter pour tous vous faire massacrer …
-Excuse-moi , demanda Dimitri .
L'assassin français s'adossa à un arbre avant de se laisser tomber par terre .
-Je n'y arriverai jamais , se lamenta le général . Je sais guider les hommes mais … Un simple mot de ma part et des centaines de gens peuvent mourir …. ça n'a rien à voir avec ma façon de faire la guerre à travers la diplomatie …..
Demyan s'assit sur le sol et mit une main sur l'épaule de son cousin qu'il trouvait soudain bien moins arrogant . Dimitri semblait effondré et il ressemblait maintenant à un homme brisé par le poids de ses responsabilités . Il avait perdu en grande partie son apparence de noble et ressemblait plutôt à un jeune général .
-Ne perds pas confiance , l'encouragea Demyan .
-Je n'y arriverai pas … Je peux réussir seul mais guider ces hommes … Ils n'ont ni l'éducation ni les capacités intellectuelles pour comprendre d'eux même ce que j'attends d'eux …. Ils sont incapables de s'occuper d'eux mêmes , de conserver leur discipline …
-N'est-ce pas la charge d'un gradé que de s'assurer de la survie et de l'ordre de ses hommes ?
-Je sais mais … C'est si dur … Je suis un assassin , un politicien mais pas un officier ..
-Tu dois tenir bon , pour tes hommes .
-Aide-moi , demanda Dimitri .
-Je ne peux pas , répondit Demyan . Déjà , tu as essayé de me tuer mais en plus de cela , je dois aider les indiens à survivre …
-Je comprend … j'ai dit à ton frère que tu avais disparu …
-Et c'est tant mieux . Je vais pouvoir être tranquille …
Une petite video pour le fun
http://m.youtube.com/watch?v=qPDnNsL8HvY
Slut Lens alors
500 ducats. Un sacré coup pour l'image de Dimitri mais ça fait plus réaliste. Sinon une faute de correcteur je pense "entre" au lieu de "entendre" il me semble. Sinon un bon chapitre bien décrit comme on l'aime.
L'image de Dimitri
Alors , tu as trouvé le Lenski ultime dans mes chapitres
Sinon , un critique plus approfondie des trois dernier textes ?
Hello tout le monde!
Page 280, ça se rapproche
Mon assassins : http://hapshack.com/images/YpjNk.jpg
chapitre 4
Ah je me souviens de l'euphorie le lendemain. J'avais sauté d'une hauteur de 25 mètres.
Bon sang! 25 mètres, j'étais jeune et franchement inconsciente.
Mais ce genre d'exploit ne suffirait bientôt plus à satisfaire Marcus.
Le lendemain J'avais rendez-vous avec Marcus devant une taverne dans la ville du Château.
Nous montâmes sur le toit de cette taverne grâce à une échelle. De ce point de vue, la ville était agréable. On s'y sentais chez soi, car les bâtiments n'étaient pas hauts, les gens accueillants, et le soleil du matin baignait la ville dans une lueur chaude presque irréelle.
-Que faisons nous sur ce toit ? Avais-je demandé.
-Nous allons apprendre à courir. Avait-il simplement déclaré.
-Mais je sais déjà courir!
-Oui tu cours, mais tu ne sais pas esquiver les obstacles, ni les surmonter, et encore moins t'en servir à ton avantage. Quand tu seras un Assassin, tu devras souvent t'enfuir, partir vite, échapper à la vue de tes adversaires.
-Vous savez! Je cours déjà très vite, et dans les rues, les obstacles ne sont pas si difficile à éviter.
-Pourquoi crois-tu que nous sommes sur un toit, sombre idiote? La grande force des Assassins est leur capacité à se mouvoir sans être vu et à pourvoir se déplacer naturellement à peu près n'importe où. Et notre terrain de jeu favoris c'est les toits.
-Bon et quel est le premier exercice?
-Me suivre.
-Seulement?
Je me souviens avoir remarqué un début de sourire sur le visage de Marcus.
-Soit. Et bien vu que tu te sens sûr de toi jeune homme, tu n'as qu'à me suivre!
Sur ces mots il se mit à courir sur le toit, en partant dans la direction opposée.
Il sautait de toits en toits sans s'arrêter. Au départ il n'allait pas très vite, et l'écart entre les toits était plutôt réduit, il m'était relativement facile de le suivre.
Il sautait par dessus les cheminées, par dessus les fleurs, par dessus tous ce qui le dérangeait.
Il se décida à corser la difficulté quand nous arrivâmes devant un bâtiment plus haut que celui sur lequel nous nous trouvions.
Je commençais à ralentir le pas sachant que nous ne pourrions pas aller plus loin, mais Marcus lui ne ralentissait pas.
Il sauta sur le bâtiment et s'accrocha aux rebords d'une fenêtre, puis avec une grasse toute naturelle il escalada le mur de ce bâtiment, s'appuyant sur des fenêtres, sur des infimes fissures qui saillaient le long du mur.
Il gravit un mètre, puis deux, puis les trois qui le séparaient du toit de ce bâtiment.
Une fois sur le toit il se retourna et me regarda de haut.
Le jour s'était levé et le soleil commençait à être haut dans le ciel, Il m'éblouissait et je voyais Marcus, tel un aigle fier, en contre-jour, juste au dessus de moi.
J'avais réussi à discerner un grand sourire sur le visage de mon mentor.
-Alors? Avait-il clamé! Son altesse serait-elle fatiguée?
Je ne savais pas quoi répondre. Mais je me souviens avoir pensé que si j'étaie capable de descendre de 25 mètres en moins de 3 secondes,
je pouvais bien réitérer le même exploit en sens inverse.
J'étais jeune et inconsciente ne l'oubliez pas.
C'est sur cette pensée que je prit mon élan et me mit à courir,
le saut en lui même ne fut pas compliqué, le plus dur était de s'accrocher au rebords de cette fichue fenêtre.
Je me souviens de la sensation des rebords m'échappant des mains, de l'absence de soutien sous mes pieds, de la gravité qui m'attirait inexorablement vers le sol.
Du regard horrifié de Marcus et de la terreur quand j'ai commencé à basculer vers l'arrière.
Puis du noir...
t : 1 point et 300 d'argent
C'est assez bien écrit mais j'ai pas trop accroché
Hard le bide du jour. j'ai même pas bossé sur ma mission moi d'ailleur.
Moi j'ai hésite entre approfondir l'histoire Lane/Lenia(Lenski) , donner plus d'explication sur Alexander ou faire comme si de rien n'était