Ça commence bien, pour la première oeuvre avec tout ce que j'ai écris, je peux parler 2min30
En histoire des arts, je dois parler pendant 5 minutes sur une oeuvres que les profs choisissent, mais jamais j'arriverais à parler si longtemps.
2min30 c'est en ralentissent déjà.
J'ai fais ça :
Pascal Croci est né en 1961. Scénariste et dessinateur autodidacte, il débute sa carrière avec des travaux de commande pour des BD religieuses dans la presse catholique. Avec Auschwitz qui remporte le prix jeunesse de l?Assemblée Nationale en 2000 et son succès international, il peut se consacrer à ses oeuvres (Gloriande de Thémines, Lady Tara Cornwall, Dracula etc. tous d?inspiration gothique).
Sur cette planche de BD, il y a beaucoup de personnages dont une vingtaine de corps désarticulés, nus, extrêmement maigres et la bouche grande ouverte. Il y a aussi huit hommes en « pyjamas rayés », ainsi que deux hommes en uniformes. L?un a un casque, l?autre un képi orné d?un aigle, ils portent des bottes et des gants. Il n?y a pas beaucoup d?objets dans le décor, à part quelques bidons et des mouchoirs sur la tête des hommes en pyjamas.
Les hommes en « pyjamas rayés », des prisonniers, sont chargés d?évacuer les corps des détenus gazés et de les brûler. Ce sont les deux hommes en uniformes qui leurs donnent les ordres, ce sont des officiers nazis. L?action se passe donc dans un camp de concentration pendant la seconde guerre mondiale.
La planche se présente en deux vignettes, une petite insérée dans une grande. Le texte se situe dans des bulles qui n?ont pas une forme ronde traditionnelle mais une forme découpée, irrégulière. La BD est en noir et blanc. La ligne principale est une diagonale qui traverse la planche du haut à gauche jusqu?en bas à droite. Il y a peu de formes arrondies, mais beaucoup de lignes.
D?ordinaire, une planche est composée de plusieurs bandes, elles-mêmes composées de plusieurs vignettes. Cette grande vignette permet de montrer plus de détails, mais surtout l?objectif est d?attirer l?attention du lecteur, de le choquer. L?aspect découpé de la bulle symbolise la violence à la fois du propos (« cendres ») et le ton autoritaire adopté, le cri lancé par l?officier nazi. A la fin de la BD, une interview de Pascal Croci nous apprend qu?il recherchait « un rendu réaliste en noir et blanc ». Le gris suggère la brume, l?atmosphère pesante, morbide, la cendre des crématoires. Volonté d?éviter l?esthétisme : l?objectif est de représenter le camp comme un endroit intemporel, un lieu de mort. L?orientation des lignes de force montre la séparation du monde des vivants et de celui des morts. Les lignes dures, cassantes, évoquent l?horreur du camp, l?absence d?espoir, de réconfort, de douceur.
Ça peut faire assez beaucoup, mais quand on le lis c'est rapide
C'est sur ça http://a6.idata.over-blog.com/357x500/1/56/36/50/Histoire-Contemporaine/Auschwitz_planche.jpg
Donc pas grand chose à dire
Ouais c'est ce que je viens de me dire
Sisi
Bon j'y retourne
J'écris pas, je révise.
L'unforme d'Auschwitz avec le tatouage qui leur sert de nom Vraiment imonde ces Bosh
Nan, écrire c'est moins chiant
C'est pour ça que je C/C
Beaucoup
Je le fais aussi des fois
Bah oui les rédactions
Connor t'es en 3eme ?
Reuh all /
Oui Saz
Reuh 2009
Ronch /
Tiens on m'avait jamais appelé comme ça
Yo Lens'
Faut bien changer dans la vie 2009