Bonjour à tous!!
Ma FIC est présente sur le forum ACR mais comme il n'y pratiquement plus personne je me suis dit que vous voudriez la lire.
Malheureusement je pense qu'il n'y a que les plus courageux qui la liront parce que j'ai déjà une quarantaine de chapitre sorti ( assez court pour la plupart).
Mais si j'ai beaucoup de lecteur, j'ai imaginé une suite à mon histoire ( oui, vous me direz, commence par faire la fin de ton récit avant de commencer le prochain, mais ce ne sont que des bribes d'évasion littéraire que j'ai exclusivement dans ma tête à l'instant où je vous parler, en plus LA fin de cette histoire change tout les jours a chaque fois que je fini un chapitre mdr).
VOici le lien qui vous permettra de lire mon récit et en espérant que vous apprécierez l'histoire.
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-25970-317798-1-0-1-0-fic-la-lame-bouddhiste.htm
Ouf, t'as pas balancé les 50 chapitres
J'ai envie d'avoir des lecteurs, pas de les faire fuir mdr
uppp
Je lis. Chut.
Mes amis, la suite ce soir Chapitre 43 : Le chemin de la Thaïlande
Chapitre 43 : Le chemin de la Thaïlande.
« AAAAAARGHH !!!!
-Taka ?!! Que… Que t’arrive-t-il ?!! S’écrie Esla
-Je ..jeje… ne suis pas mort ?!! Dis-je, moi-même étonné.
-A priori non, mais je peux te frapper pour en être sur. Dis-t-elle, sérieusement.
-Euh, non. Je réponds en m’écartant un peu. Ca va allez, je te remercie.
-Tu as eu une vision n’est-ce pas ? Chuchote-t-elle. Non non non non, je ne veux rien savoir.
-Pourquoi ?
-Parce que ton père ne m’en a pas parlé. Du moins il m’a dit qu’il était préférable que personne ne sache ce qu’il, ou tu as vu. Il m’a seulement dit que c’était un présage de mort, et que seuls les vrais possesseurs du sabre peuvent les voir.
-Effectivement. C’est un présage de mort, dis-je, décontracté.
-La mort te fait rire à ce que j’en lis sur ton visage.
-Quelque chose me dit que j’en apprendrais plus ce jour là.
-Tu es bien le fils de ton père. Dit-elle en souriant. Il a dit exactement la même chose. Et je sais maintenant qu’il avait compris pourquoi et qu’il a finalement planifié lui-même sa mort.
- Avait-il vu cette mort là ? Je demande. Celle qu’il a planifié ?
-Seul Dieu le sait Taka. Et si un jour tu le vois, tu auras ta réponse.
-J’aimerais savoir si la mort que je vois, même si je planifie quelque chose, est celle que j’aurais, ou pourrais-je choisir une autre mort…
-C’est morbide comme question. Dans les deux cas… tu meurs. Lance Esla, le sourire quittant son visage. Vaut-il mieux ne rien savoir de sa mort ? Ou savoir qu’elle arrive ?
-C’est une bonne question. Et je te répondrais une fois qu’elle sera venue.
-De bien belle parole, de quelqu’un qui a déjà perdu son âme.
- Je ne l’ai pas encore donné. Et au sujet de ma mère. J’ai oublié de te demander depuis combien de temps est elle en captivité de Kyo ?
-Cela fait maintenant trois mois.
-Tant que ça ?
-Oui. Nos aigles ont sûrement été abattus vu que tu n’es pas au courant.
-C’est un mois après notre départ pour Venise.
-Oui pourquoi ?
-Non rien… »
Je me lève de la chaise et me dirige vers Kotka qui, au fil de la nuit, et de sa danse survolté, a finit par s’endormir. La nuit sera longue. J’espère en profiter. Je sais déjà que ma mère finira par me tuer, mais plus j’y songe et plus j’ai hâte de m’y retrouver pour enfin dénouer les mystères qui s’enroulent autour de ma mort. Pourquoi me tue-t-elle ? Est-ce finalement une templière ? La fameuse femme entremêlée assassin/templier. La nuit porte conseil.
9 :00.
Le soleil s’est levé il y a des heures. Mais j’ai dormi comme une marmotte. Esla est parti, seul quelques uns de ses hommes sont restés pour veiller sur nous durant la nuit. Une fois que nous partirons, ils la rejoindront. Nous mangeons suffisamment et faisons des provisions pour la route. Nous partons en direction de la Thaïlande. Je ne sais pas combien de temps il nous faudra mais il faut qu’on le fasse. Kotka me regarde. Souriante, et m’embrasse. Je vis mes derniers mois à ses côtés. Mais je ne peux me résigner à lui dire.
Nous partons vers 11 :00. Rassasié, reposé et déterminé à en finir. Les hommes nous saluent et nous souhaitent bonne chance. Mais, contre toute attente. Un jeune homme conteste les ordres et se tourne vers son chef désigné.
« Maître !! Dit-il. Je pars avec eux.
-Tu connais les ordres Lorenzo. Répond le chef en question. Tu n’es pas prêt.
-Prêt ou pas, je vais avec eux. Je ne suis peut être pas un grand combattant. Mais je suis issu d’une famille de chasseur. Il pourrait avoir besoin de moi. Et puis vous m’avez suffisamment appris ces dernières années.
-TU OBEI…
-Stop ! Dis-je. Laissez-moi lui parler.
-Comme vous voudrez Messere. Je répondrais de lui s’il vous offense.
-Je ne pense pas qu’il m’insulte, je réponds en rigolant. Ecoute moi bien.. Lorenzo c’est ça ?
-Oui signore. Je m’appelle Lorenzo Fiore De Napoli.
-Ok, tu viens de Naples. Sais-tu ce qui nous attend là bas, en Thaïlande.
-Des victoires Signore. Répond-il du tac au tac.
-Optimiste à ce que je vois. Dit Kotka. C’est bien.
-Au bout du chemin, la mort nous attend peut être. Dis-je en plongea mes yeux dans les siens. As-tu peur de la mort ? Pourrais-tu mourir pour moi ?
-Non et oui Signore.
-Le dire est plus facile qu’à faire.
Je le fixe pendant une dizaine de seconde. Et je dégaine ma lame qui s’arrête à quelque millimètre de sa gorge.
« Il vient avec nous.
-Maismaismaismais… Messere, il n’est pas prêt.
-Je pense qu’il l’est plus que la plupart des hommes ici présents. Dis-je, sans méchanceté. Il pourra nous être utile. Faites une bonne route. »
http://www.youtube.com/watch?v=pKQbsop2Eb0
Nous commençons à partir. Puis une dizaine de minute, après que Kotka se soit suffisamment torturé l’esprit. Elle me lance d’une voix basse :
« Pourquoi tu l’a pris avec nous ?!!
-Parce que. Lui dis-je pour toute réponse.
-Parce que ?!! Et c’est tout ? Ce garçon va sûrement mourir.
-Il ne mourra pas par notre faute, ni par la sienne, je réponds en retournant vers elle. Mais parce qu’il tombera contre plus déterminé.
-La détermination ? Réplique-t-elle, étonnée. Tu as vu ça simplement parce que tu lui as demandé s’il avait peur de la mort et en lui pointant ta lame sur lui. Ok, ok, il n’a pas bougé d’un poil mais ça ne suffit pas.
- Fais-moi confiance, ce petit nous réserve bien des surprises.
- Ah oui ? Et comment le sais-tu ?
-Je l’ai vu, dans ses yeux. Je n’ai jamais vu quelqu’un qui ne cligne pas des yeux lorsqu’une lame arrive sur lui. J’ai lu en lui. Comme dans un livre. Crois-moi. Un regard comme ça, tu n’en croise qu’une fois dans ta vie. Je pense que ce petit Lorenzo en a plus dans le ventre qu’il ne le laisse paraître. »
Un mois plus tard.
Juillet 1509, Golfe Persique.
Nous arrivons enfin au fameux Golf Persique. Qui se déverse dans l’océan Indien. Nous le suivrons jusqu’à entrer en Inde et le traverser pour ainsi arriver au Golf du Bengale et pour finir, la Thaïlande. Nous marchons depuis maintenant deux jours sans relâche et nous arrivons enfin dans une ville du nom de Bassorah. Petite cité non loin du Golf Persique. Lorenzo accélère le pas et se met entre moi et Kotka tout en continuant de marcher.
(Couper la musique et mettez celle là http://www.youtube.com/watch?v=WCnoF8d0A3Y)
« Cela fait un moment que j’y pense mais, j’ai l’impression qu’on est…
-Suivi. Dis-je. Oui, cela doit faire deux heures. Mais visiblement tes sens sont quand même développés pour un chasseur.
- Ils sont quatre. Continu t’il. Cinq tout au plus.
-Pas mal, lance Kotka. Mais maintenant il va falloir trouver un endroit où dormir et ensuite nous y préparer.
-Vous allez attendre qu’ils nous tombent dessus ? Demande-t-il.
-On sait qu’ils sont une petite poignée. Qu’ils ne sont pas très loin. Qu’ils vont sûrement voir où l’ont vas pour dormir. Donc oui, une embuscade est tout indiquée. »
Nous entrons donc dans un hôtel. Ce n’est pas le luxe, mais on y sera très bien. On paye d’avance la dame au comptoir qui fait office d’accueil. Nous lui donnons des objets de valeur en guise de monnaie et elle ne pose pas plus de question. Nous rentrons dans une espèce de salle qui ferait penser à une chambre abandonnée mais nous ne cherchons pas le luxe. Nous nous installons dans les lits posés au sol et nous nous préparons à l’embuscade. Kotka se met en équilibre au dessus de la porte, invisible si on éteint la bougie. Nous avons mis Lorenzo un étage plus haut avec une arbalète. Il peut viser à travers les balustrades. Quand à moi je serais tapît dans l’ombre d’un coin. Au moment où ils ouvriront je lancerais des couteaux. Kotka sautera sur les ennemis qui rentreront et Lorenzo finira les derniers fuyards.
Une heure plus tard.
(Couper la musique http://www.youtube.com/watch?v=BzfxGK1rIqo )
Nous entendons du bruit au rez de chaussé. Ils sont là. Selon le bruit de pas, ils sont une dizaine. Kotka à compris et se concentre. Je ne peux voir Lorenzo mais je pense qu’il les a entendu.
Soudain quelqu’un frappe à la porte. Un homme prend la voix :
« Service de chambre »
Il n’eut pour toute réponse qu’un silence suspect.
L’homme dut faire signe d’enfoncer la porte, puisque quelqu’un seconde plus tard, la porte vole en éclat. Trois hommes rentrent avec l’élan, et finalement un quatrième aussi. Je lance un couteau de lancer qui détermine le début des hostilités. Deux de mes couteaux font mouche. En pleine tête. Le troisième ne fut que blesser au bras. Trois autres ennemis rentrent et Kotka leurs tombe dessus.
Sa dague s’enfonce dans la nuque des victimes l’un après l’autre. Et au moment où deux autre ennemis lève la garde pour assener un coup de sabre perse, un carreau d’arbalète vient prendre les deux mains des assaillants et les accrochent au mur.
Kotka et moi courront sur les deux prochaines victimes, mais l’un d’eux décide d’arracher sa main, quitte à se la couper et dégaine une dague qui s’entrechoque avec la mienne. Kotka fait gicler le sang du coup de l’ennemi encore accroché.
(Couper et mettez celle là) http://www.youtube.com/watch?v=zvBIXcQJbIc
Je croise le fer avec l’homme. Lorenzo tire a nouveau un carreau qui tranche la jambe d’un énième ennemi. Trois se retournent face à lui. La bataille qui se déroule fut tellement rapide qu’ils viennent seulement de comprendre où ils sont et commence à réagir en courant sur Lorenzo. Ne pouvant recharger rapidement il jette son arbalète par terre et sort un couteau pas plus grande qu’un doigt, ce qui amuse beaucoup les hommes qui lui font face. Deux se jettent sur lui et en deux seconde il sectionne l’artère fémorale de chacun, qui fait jaillir le sang telle une fontaine. Le dernier prend peur et prend la fuite.
Lorenzo part à sa poursuite tandis que Kotka et moi finissons enfin les ennemis qui s’avèrent, maintenant qu’on peut regarder plus attentivement, ressemblés étrangement à des templiers.
Nous rattrapons Lorenzo qui recharge son arbalète qu’il avait ramassé au préalable. L’homme qu’il poursuit est maintenant à plus d’une cinquantaine de mètres.
« Laisse tomber Lorenzo. Dit Kotka, ce n’est pas grave. »
Mais Lorenzo finit de recharger et entreprend une visée. Il attend une dizaine de seconde et .. TCHAC !!
On entend le carreau faire siffler l’air. Et soudain, l’homme tombe, mort.
« Je suis un chasseur, je n’aime pas me répéter.
Je pense commencer à lire ta fic demain, je te dirais ce que j'en pense A première vue, ça me semble vraiment pas mal
Attends, il y a injustice là
Ma fic à 50 fois moins de chapitre que toi et ele est déserte, alors que la tienne attire des lecteurs qui n'ont peur de rien?
Y'a un truc, figé :dragonfall:
mddr. C'est juste que j'ai mis un bon chapitre pour les amener à se dire "mais pourquoi ils en sont là?" héhé, tu vois le truc?
Ouais, je vais changer mon pseudo et le nom de la fic, créer un new topic et garder la même fic
Pourquoi ne pas la mettre sur noelfic?
Parce que je connais pas
upppiou
Tu m'as fait un up, donc je te fais un up
Chapitre 44 : Les portes du Paradis
« Mais c’est quoi s’t’arbalète ?!!! S’écrie Kotka.
-C’est une de mes inventions. Répond Lorenzo. Vous voyez le levier là ? »
Il montre un tout petit mécanisme au milieu de l’arme.
« C’est une façon de passer en tir de près et en tir longue distance. Il y a deux ressort dans l’arbalète, qui sont côte à côte mais séparer en deux compartiment. Ce qui fait qu’elle est plus grosse qu’une arbalète normal.
-Je dois dire que ça dépote ton truc. Dis-je. Tu l’as inventé seul ?
-Je l’ai mis au point avec mon Maître. Ainsi que ceci. »
Il sort à couteau. Ou plutôt, trois couteaux coller les uns aux autres.
« J’appuie sur ce bouton là. Et.. SHLINNG ! Les trois lames se séparent. Pratique pour le transport et si on veut faire du dégât on les laisse attaché.
-Tu es un peu le Leonard de Vinci de ta génération si on veut. Lance Kotka, émerveillée.
-Quand même pas. Répond-il en rougissant. »
Soudain. J’ai comme l’impression d’être observé. Je me retourne et scrute la longue ruelle. Rien… Mais il ne faut pas regarder qu’en bas. Mon regard se dirige vers les toits des maisons et soudain je le vois. Un homme, ou une femme vêtue d’une longue cape blanche qui vient recouvrir sa tête, ne laissant entre voir que les yeux, accroupi sur la pointe d’une église. Bien que l’on soit à une cinquantaine de mètre l’un de l’autre, je peux sentir une agressivité hors du commun. La personne finit par comprendre qu’on la vue et saute en contrebas du toit.
« HEY REVIENS LA !! Crie-je. »
http://www.youtube.com/watch?v=iLaQT8efpS0&feature=related
Commence une course effrénée à travers les ruelles de Bassorah. Je prends de la hauteur à la première occasion possible en tournant dans une petite ruelle où plusieurs caisses empilées me permettent d’attraper une poutre transversale. Je fais une pirouette et me hisse dessus. Je prends appuie sur le mur et m’accroche au bord du toit. Une fois en haut, je vois la personne courir beaucoup plus loin. Je m’aperçois que, mine de rien, la ville n’est pas tout à fait petite. Néanmoins Je cours plus vite et je fini par rattraper l’écart qui nous séparaient. Je m’aperçois qu’il à un symbole, sur sa cape dans le dos, qui m’est familier. La personne retourne sa tête et vois que je la rattrape et accélère-le pas, prenant des appuis bien placés pour sauter de toit en toit, que je fais aussi. Une ruelle se dessine plus loin, laissant imaginer la suite de la course poursuite. De nombreuses poutres à diverses hauteurs rentrent dans notre champ de vision à mesure que l’on avance. Elle saute, prend appuie sur une poutre, se retourne, lance un, deux, trois couteaux dans ma direction, pour ainsi reprendre appuie sur une autre poutre, se retourne à nouveau et reprend sa course. Les trois couteaux m’obligent à ne pas prendre appuie sur la première poutre mais à plonger en dessous et m’en servir de balançoire pour ainsi continuer un étage en dessous de ma cible. C’est effectivement une personne entrainée. Je ne dois pas la prendre à la légère. Je m’aperçois soudain que j’ai dans la main le couteau de Lorenzo que l’on scrutait tout à l’heure. Je saute de poutre en poutre, prend appuie sur un mur et l’impulsion parfaite me fait remonter au même niveau qu’elle. Il y a en faite deux boutons sur le couteau. Le premier étant celui qu’a montré Lorenzo. L’autre, en appuyant dessus, écarte les lames pour en faire une sorte fourche sans la queue. Je me concentre en même temps que j’examine les points d’appuies. Je lance le couteau qui, très lourd, déchire partiellement la cape de la personne et lui entaille sévèrement le bras. Il se tient le bras. Mais, contre toute attente. Elle saute plus loin que la prochaine poutre, se retourne en pleine air en faisant un salto, s’agrippe à la fameuse poutre, et ce n’est qu’en prenant ses pieds dans le torse que je compris la manœuvre qu’il avait entreprit. Mon arrêt brutal me fait perdre l’équilibre et je tombe, un de mes bras se tords lorsque il percute une poutre dans ma chute, j’atterris brutalement par terre, le souffle coupé. La personne descend et me fait face, le couteau de Lorenzo dans la main. Prêt à porter le coup de grâce. Mais un carreau vient se loger en plein dans sa tête. Kotka et Lorenzo venait de me rattraper. La cible tombe par terre, inanimée.
(Coupez la musique)
http://www.youtube.com/watch?v=9qX_WOD4EaI
« Bordel, crie Kotka, mais c’est qui se type ?!!
-Il me semble, dis-je en me relevant tout en douleur, aidé par Lorenzo. Que c’est un Ninja. Maintenant qu’il est mort je peux le regarder de plus prêt mais, j’ai déjà vu ce symbole. »
Je montre le symbole dans la cape en retournant le corps. Une croix dans un cercle avec un shuriken dessiner a l’intersection des barres de la croix. Le symbole des templiers japonais.
Mais il me semble l’avoir déjà vu quelque part.
« Ce symbole, dit Kotka. C’est le même que celui qu’avait Namikaze.
-Qui ça ? Demande Lorenzo.
- Une ninja japonais qu’on a tuée il y a longtemps. Elle portait ce signe sur son dos.
-Oui… dis-je, songeur. »
Ce n’est pas là que je l’ai vu me dis-je. Ce symbole va me suivre pendant longtemps je pense.
Nous sortons du village par le sud et après deux heures de marches nous arrivons au bord du Golf Persique où nous embarquons pour l’Inde. Direction le Golf de Kutch dans la mer d’Oman dans l’état du Gujarat.
Une route parsemée d’embûche puisque nous avons risqué de chavirer plus d’une dizaine de fois mais nous avons eu un capitaine exceptionnelle qui connait bien son eau.
Puis deux mois après nous amarrons.
Nous prenons un convoi qui se rend dans le Bengale de l’ouest. La route fut très longue et nous avons été attaqués à de nombreuses reprises par des assaillants indiens qui voulaient voler le convoi qui regorgeait de victuaille et d’argent. Heureusement pour les personnes du convoi, ils ont embarqués des experts de l’assassinat. On les a si bien protégé qu’ils nous ont remboursé le voyage.
Trois mois de route en somme.
Nous reprenons un bateau dans la baie du Bengale. La route fut monotone, presque lassante je dirais. Pas le moindre accroc, ni la moindre petite altercation avec d’autre bateau. Nous avons donc beaucoup joué aux cartes, parler de ce qui nous attend. Lorenzo s’est découvert un don pour mélanger les cartes et les faires disparaître. Il s’est d’ailleurs entailler les bouts des doigts à force de trop les manipuler. Pour ainsi arriver trois mois plus tard dans le Golf de Martaban.
Direction Le Mont Doi Inthanon en province Chiang Mai.
Nous avons beaucoup marché. Le climat n’est vraiment pas le même et nous avons du mal à nous y habituer. Mais après plusieurs mois de marche. Nous y voilà enfin.
http://www.youtube.com/watch?v=OP60M5A_L_8
Le Mont Doi Inthanon. Une longue route se dessine à travers la montagne, une route aussi périlleuse que titanesque. Si on était en Grèce j’aurais dit qu’on grimperait vers l’Olympe. Mais au fil des heures qui passent, nous sentons la fatigue nous rattraper. Nous faisons escale pour la nuit dans un hameau en pleine montagne qui abrite les voyageurs comme nous qui montent au sommet admirer la vue. Nous dormons comme des marmottes et nous nous réveillons vers midi. Les aubergistes thaïlandais nous ont préparés de la nourriture typique de chez eux. Ce n’est pas bon, mais je comprends un peu leur dialecte et ils me disent que c’est excellent contre la fatigue, pour le gain d’énergie et que cela coupe la faim.
Nous reprenons la route une heure après.
Après deux jours de route, mine de rien, sans nous arrêtez ou vite fait pour nous reposez nous le voyons enfin.
(couper et mettez celle là)
http://www.youtube.com/watch?v=oVljywxAjH0
Nous avons atteint un sommet de la montagne et nous pouvons voir dans un creux, les portes gigantesques du temple. A mesure que l’on s’approche, nous nous engouffrons dans une forêt tropicale destinée à faire repartir les voyageurs ne voulaient pas mourir car la forêt est dense et piégeuse. Lorenzo a failli se faire manger par un serpent gros comme un arbre. Mais nous y arrivons enfin. Les portes, de marbres, reflètent les lumières ambiantes, donnant un aspect hors du commun à l’endroit. Les portes s’ouvrent d’elles mêmes et nous font préparer aux pires. Mais plus de peur que de mal car c’est un groupe de moine, cinq au total, qui nous font face et nous invitent à entrer.
(coupez http://www.youtube.com/watch?v=gjHxr_jGdUc&feature=results_video&playnext=1&list=PL381DA551AC7F10FE )
« Bienvenue, dit un moine dans un japonais correcte. Pénétrer dans notre sanctuaire noble étrangers, j’espère vous me comprenez.
-Je parle Japonais, Dis-je en japonais.
-Parfait, répond un autre moine qui a l’air de parler couramment le japonais. Je suppose que vous êtes ici pour les épreuves qui soumettent les élus à les passer.
-Euuh, … Des érpeuves ? Je réponds, abasourdi.
-Si vous êtes des élus, alors vous devrez passer par trois épreuves qui peuvent vous coûter la vie, mais cela ne devra pas vous posez de problèmes si, vous êtes des élus.
-Et si on n’est pas des élus ? Je réplique
-Ca, vous le saurez après les avoir passé.
- Vous êtes d’un humour, je dois dire, déconcertant.
-L’humour n’y est pour rien, reprend le premier moine. C’est l’évidence qui parle. Les trois épreuves que vous passerez seront : La sagesse, la force, l’esprit et le courage.
-Je ne veux pas paraître méchant mais, dis-je en me frottant la nuque… ça fait quatre épreuves.
-J’en ai dit quatre ? S’interroge le premier moine en regardant les autres qui acquiescèrent e fermant les yeux. Ah bon, quatre épreuves alors.
-Qu’est ce qu’il dit, Dit Kotka en italien.
-Euh… Ils disent qu’on va passer deux trois test, rien de méchant, rien qui pourrait causer notre perte dans d’atroce souffrances à la limite de la folie. Non non rien de tout ça.
-Menteur !!! Répond-elle, en frappant plusieurs fois dans mon épaule. J’t’en fout’rai des « a l’agonie » moi !!
-Si vous voulez bien nous suivre. Dit un troisième moine en nous ouvrant la voie avec un geste du bras.
-Je le sens mal, lance Lorenzo en scrutant soudainement le plafond à l’intérieur du temple»
Ce qui nous fait regarder aussi. De nombreux corps y étaient suspendus. Sûrement pour dissuader les « pseudo-élus » de s’aventurer à l’intérieur du temple. Il faut que nous passons toutes les épreuves.
up
ça tombe vite °°
up
Chapitre 45 : La force de l’esprit
Les 5 moines se séparent. L’un d’eux reste dans la salle où nous nous présentons dignement. Nous nous retrouvons dans une salle gigantesque. Les murs sont peins d’un orange éclatant. Des trous dans ces derniers, oriente les rayons du soleil sur le plafond d’un bleu ciel envoûtant. Si je ne savais pas qu’on est dans un temple, j’aurais cru qu’on serait à l’extérieur. Le plafond reflètent les rayons du soleil qui donne à la salle un côté chaleureux et bienveillant. Au milieu de la salle, seize leviers. Le moine, une fois qu’on s’est rendu compte qu’il avait pris place devant la grande porte qui doit sûrement donner sur la deuxième salle, nous explique l’épreuve :
http://www.youtube.com/watch?v=KvZHAT7xHO4
« Voici la première épreuves mes chers élus, l’épreuve de l’esprit. Dit-il d’un air enthousiaste, comme si personne depuis des lustres ne leur avaient rendu visite. Au milieu vous avez donc seize leviers. Quatre ouvrent cette porte, quatre ne font rien, quatre envoient des flèches depuis les murs, et les quatre derniers ouvrent l’immense trappe qui se situe juste sous vos pieds. En faite la salle est une trappe, sauf là où je suis. A savoir que vous êtes obligés d’abaisser les leviers qui ouvrent cette porte du premiers au dernier de l’énigme que je vais citer. Si vous vous trompez dans l’ordre, vous tomberez.
-Et quel est-elle, cette énigme ? S’impatiente Kotka. Ce qu’ils sont longuet ces moines.
-Hiro Shiti est un orphelin qui est née en pleine guerre. Il parcouru pendant quarante saisons les contrés de la Chine à partir de ses trois ans. Avant sa mort, il croise un groupe de rebelle, qui lui met cinq coups d’épée sur sa jambe gauche. Le cinquième coup fut si bien porté, que les deux furent coupés.
-C’est quoi ce tatouin ?!! Lance Lorenzo, les yeux écarquillés.
-C’est une énigme, je lui réponds. Examinons là bien.
-Je ne comprends rien !! Hurle Kotka
-CHUT !! M’écrie-je. J’analyse. »
Lorenzo et Kotka se taisent et attendent mon verdict. Mes yeux font le tour de chaque coin, je suis dans un autre monde. Mon sixième sens va me servir me dis-je. Mais en vain.
-Non, non, non, dit le moine. Vous n’êtes pas le premier à essayer d’avoir une vision, mais cela ne servira à rien. Vous devez être son fils, cela ne fait aucun doute.
-Vous connaissez mon père ?
-Nombreuses personne sont venu en essayant en vain de passer les épreuves. Seuls votre père les as réussi mais quel dommage.
-Comment ça ?
-La lame l’a rejeté. Il a été atteint par le maléfice du diable.
-Oui je suis au courant, je réplique, un peu cinglant. Mais il est mort autrement. »
Je commence un peu à comprendre cette énigme. Je me remémore sans cesse l’énigme. Il faut éliminez les éléments rajoutés. Sur une fleur, il y a la fleur principale et l’ornement. Il y a l’information et les rajouts.
Pendant presque trente minutes je réfléchis. Kotka et Lorenzo ne me quittent pas des yeux, attendant la solution. Mais au fil du temps, je vois qu’il commence eux aussi à comprendre l’énigme et se mettent eux aussi à réfléchir. Le moine n’a pas bougé de sa place. Il reste debout et immobile. Je ne pourrais jamais faire ça. Rester dans une même position pendant longtemps sans bouger.
« Je l’ai, m’écrie-je.
-Tu as quoi ? Demande Kotka, en sursautant.
-La solution. Dit Lorenzo, surexcité.
-Alors…, le premier est à son âge de 3 ans. C’est celui-ci. »
J’actionne le troisième levier en partant de la gauche, comme dans une frise chronologique.
Claclaclaclaclac !
Aucun bruit ne suit. Nous sommes tous aux aguets. Attendant le pire. Mais rien.
« Bien, dis-je, rassuré. Une bonne chose de faite. Il marche pendant quarante saisons, mais il n’y a que seize leviers. Il y a quatre saisons par année, ce qui fait dix ans. Donc j’actionne le dixième levier après celui le premier. »
Claclaclaclaclac !
Toujours rien. La chance est avec nous. Non je dirais plutôt que mon esprit n’a pas failli. Pas de flèches ? Pas de trou béant ? Super.
« Nous voilà encore rassuré mon amour, dis Kotka, de plus en plus anxieuse. Ensuite ?
-Il rencontre un groupe de rebelle qui lui met cinq coups d’épée dans sa jambe gauche. Donc je reviens de cinq leviers sur la gauche. Et j’actionne… »
Claclaclaclaclac !
« … celui là. Dis-je en examinant à nouveau les murs et le sol. C’est parfait. »
Lorenzo s’approche du levier à droite de celui que je viens d’actionner.
« Si bien que les deux furent coupées. Dit-il en actionnant le levier.
Claclaclaclaclac !
La porte s’ouvre. Nous nous ruons dans l’encadrement. Le moine n’a pas sillé un seul moment. Ils ne nous regardent même pas passer devant lui.
« Euuuh… Dis-je. Nous avons réussi.
-ZZZzzzZZZzz.
-Je rêve !! S’écrie Kotka. On frôle la mort et lui… il… dort..
-Ababagarh. Dit le moine. Ahhh !! Vous avez réussi !! Bravo.
-Vous dormiez ? Demande Lorenzo. Les yeux ouverts ?
-Pratique pour ne pas écouter son maître, dit le moine en souriant. Veuillez me suivre. Direction l’épreuve de la force. »
Nous suivons le moine jusqu’à la prochaine salle. Aussi grande que la première mais aux teintes différents. Si la première salle était chaleureuse, celle-ci est clairement son opposé. Tout est noir. Une légère fumée traverse la salle de mur en mur. Sur la gauche il y à une petite mare. Sur la droite une toute petite forêt. Devant la porte, se dresse le deuxième moine qui, je pense, sera l’adversaire en question, puisqu’il est déjà torse nu, une longue lance dans son dos.
« Voici Lee Rûu. Dit le Premier moine. Votre adversaire. Les règles sont simples. Le premier qui meurs à perdu. C’est du un contre un. »
Je m’avance. Je serais le premier, et le seul adversaire contre lui. Il en va de ma réputation, de la protection que je dois à mon amour et à Lorenzo. Je sors mon sabre. Le sabre Muramasa scintille dans mes mains. Lee est étonné, mais pas impressionné. Il s’avance lentement jusqu’au centre de la salle, ce que je fais aussi. Il dit en japonais :
« Que… Meilleur… Gagne. »
Il est si sérieux. Cet homme est beaucoup plus fort que moi. Je le ressens jusque dans mes tripes. Je me mets en garde.
http://www.youtube.com/watch?v=jP6L9m2JJ70
Lee, fait un tsuki. Un mouvement qui consiste à vouloir transpercer la gorge. Il commence fort l’animal me dis-je. Je pare et lui assène deux coups d’épée qu’il évite sans trop de mal et me donne trois coups de pieds très rapide. Je suis projeté par terre. Il saute en l’air, la lance menaçante. Je roule sur la côté, me relève, me baisse pour esquiver l’autre bout de lance qu’il a fait tourner, son pied s’attendait à ce que j’esquive et, par une pirouette, vient finir dans mon visage. Une nouvelle fois projeter. J’atterris contre un arbre. Je me rue dans la petite forêt. Mais une très mauvaise idée que j’ai là. Mon adversaire grimpe aussi facilement aux arbres qu’un singe. Il lance sa lance sur moi. C’est le moment me dis-je. J’abats mon sabre sur sa lance. Elle rompt sous le coup. Lee en a profité pour redescendre rapidement et me foncer dessus. Il est dans un périmètre très rapproché de ma défense. Les deux plats de sa main viennent frapper mon torse. Une nouvelle fois projeter. Cette fois hors de la forêt. Je crache du sang. Il est terriblement fort. Mais je ne peux pas abandonner. Je décide de poser toutes mes armes un peu plus loin.
J’enlève ma cape, ma veste, tout ce qui me gène et m’alourdis. Me voilà torse nu comme lui. Il est temps de sortir mon Jijutsu. Je reprends ma respiration. Ex-pire. Res-pire. Ex-pire. Il me fait à nouveau face. Mes deux mains le menace. Il prend aussi position et fait une très longue expiration. Il me fonce dessus. Finalement il n’est pas aussi rapide. Je pare tout ses coups. Je recule au fur et à mesure qu’il enchaîne, n’attendant que le moment où il baissera sa garde. Encore et un peu. Là.
Je viens place mon poing droit dans son plexus. Un long arc de cercle à fait prendre en puissance mon poing. Il crache de la salive. J’enchaine un coup de genoux dans sa tête puis mes deux mains viennent lui la prendre en sandwich, s’abattant dans un terrible fracas.. Il est abasourdi, complètement sonné. J’enchaine avec deux coups de pied gauche. Un dans les côtes et l’autre dans son genou. Il est à terre. Je sors ma botte secrète. Je place mes deux doigts sur la nuque au niveau de la pointe de la colonne vertébrale et je frappe ma main avec mon autre main. Lee est paralysé. Il n’y a que moi qui peux le sauver.
« Accepte ta défaite, dis-je. Laisse-moi passer.
-Tu dois le tuer !! Dit le premier moine. Lee Rûu n’a jamais perdu jusqu’à maintenant. Il les as tous tués un par un !!
- Ah bon ? Demande Kotka. Pourtant je croyais que Takezo Mizuchi était arrivé à la dernière salle.
-Eh bien c’est que…
-Ne gaspillé pas votre salive. Nous ne tuons que les personnes mauvaises. Ce Lee. N’est pas quelqu’un de mauvais. Nous ne le tuerons pas. Du moins, Taka ne le tuera pas. C’est ce qu’il veut dire par « accepte ta défaite ».
-J’ai… perdu .. dit Lee.
(coupez la musique )