Ricken/Gregor

Soutien C :

Ricken : GREGOR ! OHÉ ! GREGOR !
Gregor : Raah, c'est quoi ce boucan ? J'suis peut-être vieux, mais j'suis pas sourd.
Ricken : En fait, j'ai besoin que tu me racontes tout ce qui s'est passé lors du dernier combat. Comme je me trouvais derrière tout le monde, je n'ai pas réussi à tout suivre.
Gregor : Qu'est-ce qu'tu veux savoir ? T'écris un bouquin d'histoire, ou quoi ?
Ricken : C'est ça !
Gregor : J'veux bien répondre à tes questions. Mais j'vois pas trop l'intérêt...
Ricken : Garder une trace écrite de notre combat nous servira à nous améliorer par la suite !
Gregor : T'es un garçon sérieux, toi ! Ça me plaît ! J'suis prêt à t'aider ! La dernière fois, j'étais aux avant-postes. Y avait un...
Ricken : Euh, en fait, je n'ai pas besoin de savoir ce que tu faisais... Tout ce qui m'intéresse, c'est Chrom. Mon livre raconterait son histoire et la mienne.
Gregor : Ah, je vois ! C'est lui le grand héros viril que tu prends en modèle ?
Ricken : En modèle ? Ah ça non ! Chrom me prend pour un gamin ! Mon but est de consigner chacune de nos actions pendant le combat. Il sera ainsi de me considérer comme un Veilleur à part entière. Enfin, bref, reprenons si tu le veux bien...
Gregor : Bah, si j'étais un prince, moi aussi j'aurais une foule d'adulateurs à mes pieds.

Soutien B :

Ricken : Hé, Gregor ! QUESTION !
Gregor : Encore ? Tu vas m'percer les tympans avec tes hurlements de bête sauvage ! Allez, tu veux que j'te parle des exploits de Chrom sur le champ de bataille, c'est ça ? Pour pouvoir répondre à tes questions, j'ai suivi Chrom à la trace. Va-y, j't'écoute. Qu'est-ce que tu veux savoir ?
Ricken : En fait, c'est plus Chrom qui m'intéresse, mais toi !
Gregor : Ho ho ! Ah bon ? Et pourquoi ça ?
Ricken : Eh bien, j'étais derrière toi au plus fort de la bataille. C'était impressionnant ! Je n'avais jamais vu quelqu'un se battre de cette façon !
Gregor : Rah ! On voit que c'était la première fois que tu m'as observé ! Hé hé !
Ricken : Oui, avant, je pensais que tu étais trop vieux pour être digne d'intérêt.
Gregor : Rien de tel que la brutale franchise d'un marmot pour vous remonter le moral.
Ricken : Hé, je suis pas un enfant ! Je suis un homme, moi ! Peu importe... Je t'ai donc observé lors de notre dernière bataille. Clairement, ce n'était pas mon intention au départ, mais tu étais si fort et si rapide ! C'est fou qu'un vieillard puisse se battre comme tu l'as fait !
Gregor : Le vieux sac d'os t'remercie du compliment. Même si c'était pas vraiment moi que tu voulais voir au début.
Ricken : Ce n'était pas ce que je voulais dire. Ne sois pas si susceptible.
Gregor : T'inquiète, j'en ai vu d'autres. Alors, t'as des questions à m'poser ?
Ricken : Ah, oui, c'est vrai ! Donc...

Soutien A :

Gregor : Hé, salut p'tit gars !
Ricken : Salut, Gregor ! J'aurais besoin de ton aide. Je suis sur le dernier chapitre de mon livre.
Gregor : Encore sur ça ? Depuis le temps, j'pensais que t'avais laissé tomber...
Ricken : Je peux te dire que je n'ai pas chômé. C'est un travail de longue haleine. Quand je serais le bras droit de Chrom, ma chronique ne sera pas de trop !
Gregor : J'savais pas du tout que tu visais si haut. Et sinon, ça fait un bail que tu m'poses plus de questions sur nos batailles.
Ricken : Oui, désolé. Je t'ai manqué ?
Gregor : Autant qu'une de ces mouches qui restent coincées dans les tentes à la nuit tombée...
Ricken : Hé, hé ! J'aurais pu être plus sympa, c'est sûr. Mais j'ai pris conscience d'une chose. À force d'écrire, je comprends mieux ce qui se passe aux avant-postes.
Gregor : J'espère que ton rôle ne se limite pas qu'à observer. Faut aussi nous aider, hein ?
Ricken : Bien sûr ! Qu'est-ce que tu crois ! Dans le cas contraire, je ne deviendrai jamais le bras droit de Chrom.
Gregor : Plus tu te battras et mieux tu comprendras la situation sur le champ de bataille. C'est pas souvent qu'on croise un jeune aussi perspicace. T'as du talent, mon gars.
Ricken : Merci, Gregor. Hé, tu veux lire ma chronique ? J'ai écrit plein de choses sur toi !
Gregor : Hé hé ! Si j'suis le héros de ton bouquin, les gens voudront se l'arracher !

Comme c'est mignon.

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Daraen(homme)/Lissa Soutien C/B/A/S
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Gaius/Lissa Soutien C/B/A/S
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Daraen(femme)/Chrom Soutien C/B/A/S
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Gaius/Palne Soutien C/B/A/S
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Chrom/Inigo Soutien C/B/A
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Daraen(homme)/Cordelia Soutien C/B/A/S
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Henry/Olivia Soutien C/B/A/S
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Daraen(homme)/Anna Soutien C/B/A
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Daraen(homme)/Chrom Soutien C/B/A
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Tiki/Anna Soutien C/B/A
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Nowi/Lon'zu Soutien C/B/A/S
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Maribelle/Gaius Soutien C/B/A/S
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Cordelia/Lon'zu Soutien C/B/A/S
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Zelcher/Stahl Soutien C/B/A/S
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Lissa/Kellam Soutien C/B/A/S
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Libra/Tharja Soutien C/B/A/S
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Virion/Sully Soutien C/B/A/S
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Henry/Sumia Soutien C/B/A/S
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Nowi/Gregor Soutien C/B/A/S
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Cordelia/Virion Soutien C/B/A/S
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Nowi/Vaike Soutien C/B/A/S
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Palne/Lon'zu Soutien C/B/A/S
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Frederik/Zelcher Soutien C/B/A/S
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Lon'zu/Olivia Soutien C/B/A/S
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Donnel/Cordelia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_99979

Donnel/Stahl Soutien C/B/A
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Lon'zu/Gregor Soutien C/B/A
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Gregor/Olivia Soutien C/B/A/S
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Daraen(femme)/Donnel Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-4-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_101723

Severa/Owain Soutien C/B/A/S
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Henri/Zelcher Soutien C/B/A/S
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Ricken/Sully Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-4-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_106149

Stahl/Miriel Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-4-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_106244

Chrom/Lissa Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-4-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_106370

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Daraen(homme)/Lucina Soutien C/B/A/S
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Donnel/Kellam Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110199

Donnel/Tharja Soutien C/B/A/S
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Donnel/Nowi Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110201

Donnel/Sully Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110202

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Chrom/Gaius Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_111587

Chrom/Maribelle Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_114866

Chrom/Sully Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_114867

Chrom/Frederick Soutien C/B/A
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Chrom/Olivia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_114869

Frederick/Maribelle Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_114870

Ricken/Gregor Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-6-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_114871

Je trouve que ces mises à jour deviennent de moins en moins lisibles. Donnez moi votre avis s'il vous plait, je compte changer la présentation. Sauf si ça vous convient.

Tu peux faire par personnage plutôt que par page et tu peux faire plusieurs posts pour éviter la limitation de liens.

C'est ce que je préparais justement. Plutôt par personnage avec tout ceux disponibles. Et tu peux mettre combien de liens dans un même post ?

J'en sais rien.

Personnellement, je peux m'occuper de Daraen (femme) / Frederick.
Vu que personne ne s'en est encore occupé...
(Hin hin, Frederick est à MOI )

• Ahem*

Je le poste dès que possible.

Tu postais pas sur DQIX ?

Oui. On s'est déjà croisés ?
Ton pseudo l'évoque vaguement quelque chose...

Sinon, je peux aussi poster Frederick/Olivia et Frederick/Palne.

Ouais, je crois que t'avais même un forum JVC ou je lisais de temps en temps les fics qu'on y postait.

Chrom/Lucina :

Soutien C :

Lucina : Puis-je vous demander de m'aider, père ? J'aimerais que vous m'enseigniez l'escrime.
Chrom : Tu es pourtant déjà une grande épéiste. Que pourrais-je encore bien t'enseigner ? Ce serait mieux pour toi de t'entraîner seule et de perfectionner tes propres techniques.
Lucina : Mais j'espérais que vous... Que nous...
Chrom : Mmh ?
Lucina : Je suis désolée...Si ça vous cause trop d'ennuis, je n'insiste pas.
Chrom : Je n'ai jamais dit que ça m'ennuyait. Je disais juste qu'à ton niveau, tu ferais...
Lucina : …
Chrom : Ahem... Très bien. Va nous chercher deux épées d'entraînement...
Lucina : Je les avais déjà apportées. Juste au cas où...
Chrom : Ça alors, j'en connais une qui est très bien préparée... Très bien, commençons.
Lucina : Oui, père !

-Et donc...-

Chrom : Raaah !
Lucina : Yaaah !
Chrom : Gnn...
Lucina : Gnnnn... !
Chrom : Impressionnant, comme d'habitude... J'étais sûr d'avoir esquivé, mais tu m'as touché.
Lucina : Vous m'avez quand même battue à plates coutures... Si vous n'aviez pas retenu votre dernier coup, j'aurais eu quelques côtes cassées. J'avais raison de penser que vous aviez encore beaucoup à m'enseigner. Il faudra que vous me donniez des cours plus régulièrement.
Chrom : Attends, est-ce que tu... Est-ce que tu as fait en sorte que nos duels se prolongent... ?
Lucina : Père ! Je ne ferais jamais ça !
Chrom : Quelle perfidie...Je vais devoir te garder à l’œil, toi...

Soutien B :

Chrom : Très bien. On va arrêter là l'entraînement pour aujourd'hui.
Lucina : Merci, père.
Chrom : Je n'ai toujours pas l'habitude de t'entendre m'appeler comme ça.
Lucina : Cela vous déplaît ?
Chrom : Je n'ai pas l'habitude, c'est tout. Je trouve encore bizarre l'idée d'avoir un enfant, et que cet enfant ce soit toi...
Lucina : Je vois.
Chrom : Oh, mais ne lui dis pas que j'ai dit ça. Tu sais comment elle est...
Lucina : Je suppose que vous parlez de mère ? Ah ! Vous ne cachiez rien à mère dans le futur. Vous avez toujours été très proches.
Chrom : Oh, allons... À t'entendre on avait l'air de deux tourtereaux un peu fleur bleue. J'espère que je restais convenable, quand même. Surtout en ta présence.
Lucina : C'est ce que vous dites, mais votre visage rougissant vous trahit ! C'est agréable que vous partagiez un secret avec moi, en tout cas. Ça faisait longtemps. Vous me révéliez souvent de petits secrets comme ça, dans le futur.
Chrom : J'étais vraiment si cachottier dans le futur ? Je ne pensais pas être un homme secret...
Lucina : Oh, c'était des choses sans importance. Mais les entendre me transportait de joie.
Chrom : Alors le futur moi n'était pas cachottier, mais simplement un « papa poule » ?
Lucina : Il y a toutefois une chose que vous ne m'avez encore jamais dite.
Chrom : Ah ?
Lucina : Comment vous avez rencontré mère...
Chrom : C'est...Ce n'est pas le genre d'histoire qu'un père raconte à sa fille...
Lucina : Mais c'est sans aucun doute ce qu'une fille VOUDRAIT savoir ! Pourquoi ne pas faire un petit pari ? Si je vous bats, vous me racontez.
Chrom : Non.
Lucina : Vous êtes si sûr que ça de perdre ?
Chrom : Grrrr ! C'est d'accord... J'accepte.
Lucina : Alors tenez-vous prêt, père, parce que j'ai TRÈS envie de connaître cette histoire.
Chrom : Et de mon côté, j'ai très envie de ne PAS te la raconter.

Soutien A :

Lucina : J'ai hâte de commencer l'entraînement aujourd'hui, père.
Chrom : Avant qu'on commence, j'ai une question.
Lucina : Oh ?
Chrom : Ça fait quelques temps maintenant que j'ai envie de te la poser. Une fois que la guerre sera finie, pourras-tu retourner dans ton monde ?
Lucina : Je ne sais pas... Même si je voyage à nouveau dans le temps, mon monde n’existera peut-être plus. Naga nous a prévenus que cela pourrait se produire lorsque nous sommes partis.
Chrom : Je vois.
Lucina : Mais n'ayez crainte, père. Quand la paix sera restaurée, je vous laisserai tranquille.
Chrom : Quoi ? Pourquoi ?
Lucina : Cette époque n'est pas la mienne, je le sais. Je ne serai pas un fardeau pour vous.
Chrom : Ne redis jamais une chose pareille, Lucina.
Lucina : Père ?
Chrom : Je te l'ai déjà dit, tu n'es pas un fardeau. Et tu ne seras jamais un fardeau !
Lucina : Mais...
Chrom : J'ai peur de ne pas être très doué pour exprimer ces choses-là avec des mots. Mais il est clair que tu as besoin d'entendre ce que je ressens, alors écoute-moi bien.
Lucina : Très bien... Je vous écoute.
Chrom : Lucina, tu ne peux pas t'imaginer à quel point je suis reconnaissant de t'avoir... Reconnaissant que tu sois née et que tu sois devenue si belle et chevaleresque. Reconnaissant que tu aies résisté à tant d'épreuves et tout risqué pour venir ici. Je ne connais aucun mot pour exprimer tout ce que je ressens. Aucun à part « merci ».
Lucina : Père...
Chrom : Tu es ma fille et tu fais partie de ma famille. Tu auras toujours ta place à mes côtés.
Lucina : Père, je...Merci... Oh, père ! *pleurs*
Chrom : Tout va bien, Lucina. Tout va bien...

Chrom/Sumia

Soutien C :

Sumia : Oh ! Vous voilà !
Chrom : Bonjour, Sumia. Je peux faire quelque chose pour toi ?
Sumia : Non, ça va. Mais Daraen voudrait vous parler...
Chrom : Ah, oui. Nous avons un plan à élaborer...Il faut absolument qu'on discute de...OUAAAAAAAH !
Sumia : Tout va bien, capitaine ?
Chrom : Oui, ça va. Je ne sais pas comment j'ai fait pour glisser sur ce caillou...Quel empoté !
Sumia : C'est à force de travailler sans relâche. Vous avez l'air épuisé.
Chrom : Je vais bien. Nous sommes tous fatigués. Ces combats sont sans fin.
Sumia : Vous n'êtes pas obligé de faire bonne figure devant moi. Vous portez un double fardeau. Il est bien normal que vous soyez exténué.
Chrom : C'est gentil de me dire ça. Mais un commandant se doit d'inspirer sa troupe. Une armée prend son dirigeant en modèle. Si je montre de la faiblesse, tout est fini.
Sumia : Ça ne doit pas être facile pour vous...
Chrom : N'en parlons plus. Et ne va pas répéter aux autres ce que je viens de dire, d'accord ?
Sumia : Oh, non ! Bien sûr que non ! Ce n'est certainement pas moi qui irais...
Chrom : Ha ha ! Ne t'inquiètes pas Sumia. Tu n'as pas à t'en faire autant ! Je ne suis pas du genre à me laisser abattre pour si peu.
Sumia : Je le sais bien ! Vous êtes le plus valeureux guerrier que j'aie jamais...Hmm, je viens de me rendre compte de quelque chose.
Chrom : Quoi donc ?
Sumia : Vous m'avez confié un secret. C'est le premier que nous partageons !
Chrom : Oui...C'est bien possible.
Sumia : Je ne le révélerai à personne ! Je serais muette comme une carpe ! Mais il faut me promettre que vous ferrez une sieste avant de parler à Daraen.
Chrom : Une sieste…?
Sumia : Je lui dirai que vous avez été retardé.
Chrom : Et si je n'accepte pas de me plier à ton souhait ?
Sumia : Je dirais que vous vous êtes retrouvé par terre à cause d'un tout petit caillou !
Chrom : Si c'est pas du chantage ça... Mais j’admets qu'une sieste ne me ferait pas de mal.
Sumia : Je commence déjà à prendre goût à vous rendre service ! Bon, je vous laisse. Faites de beaux rêves !
(Sumia s'en va)
Chrom : En voilà une qui ne fait pas les choses à moitié...

Soutien B :

Sumia : Chrom ? Où êtes-vous ? CHROOOM?
Chrom : Je suis là Sumia.
Sumia : Oh. Vous voilà. Donc... je vous ai fait une tarte.
Chrom : Vraiment ? En voilà une bonne surprise ! Mmm ! Ça sent divinement bon !
Sumia : Vous travaillez trop. Je m'inquiète pour votre santé. Ma mère préparait une tarte à la rhubarbe et à la sauge qui me remettait d’aplomb.
Chrom : À la rhubarbe et à la sauge ? Pas de mouton, de chèvre ou d'ours ? C'est que je préfère quand il y a de la viande...
Sumia : Ah non ! Rien de plus néfaste que la viande lorsqu'on est souffrant ! La rhubarbe nettoie et aide le corps à se renouveler. C'était ce que disait ma mère et elle ne se trompait jamais !
Chrom : Mon ancienne nounou me disait la même chose quand j'étais enfant.
Sumia : Ce n'est donc pas un hasard ! Mangez votre tarte ! Je m'occupe de votre linge sale. C'est ce tas malodorant à côté de votre lit, pas vrai ? Allez, mangez la tarte ! Ne faites pas attention à moi !
Chrom : Ah, bon...Si tu insistes... Rah, je hais la rhubarbe ! Mais si Sumia pense que c'est bon pour moi, je veux bien faire un effort. Mmm ? Ce n'est pas mauvais...C'est même...délicieux ! Sans exagérer, je dirais que c'est la meilleur tarte que j'aie mangée !
Sumia : CHROOOM ? Je suis de retour ! Oh, vous avez déjà terminé ?
Chrom : Même que c'était succulent ! J'ai horreur de la rhubarbe, mais là c'était à tomber par terre. Quel est ton secret ?
Sumia : Oh, rien de bien particulier. Une pincée de cannelle par-ci, un zeste de citron par là...On peut faire des merveilles avec peu de choses quand on sait comment s'y prendre.
Chrom : Et bien, Sumia, tu impressionnes ! Tu es une fée de la pâtisserie !
Sumia : Je suis contente que ça vous plaise. Et que diriez-vous d'un thé aux baies des bois ?
Chrom : Pas si vite ! Tu m'as fait une tarte. À moi de te préparer un thé ! Il faut juste que je fasse bouillir de l'eau...
Sumia : Oh Chrom...Vous n'êtes pas obligé. Vraiment.
Hi hi ! J'étais sûre que la tarte allait causer son petit effet ! Et après quinze essais infructueux, je n'en espérais pas moins !

Soutien A :

Sumia : Chrom ! COUCOUUU !
Chrom : Oh, bonjour Sumia !
Sumia : J'ai de nouveau préparé quelque chose pour vous... C'est une tourte.
Chrom : Tu es très gentille Sumia. Où trouves-tu la force et le temps de ma gâter ainsi ?
Sumia : Oh, ce n'est vraiment pas la mer à boire ! À part peler les légumes, pétrir la pâte, préparer la sauce...Il n'y a que ça qui prend du temps. Le reste, ça va tout seul. Je le pense vraiment.
Chrom : Si tu le dis.
Sumia : Et je le confirme ! Et puis cette tourte est géante. On va pouvoir la déguster à deux !
Chrom : Une tourte à deux, ça rend heureux ! C'est ce que disait ma nounou ! Tu sais, je suis désolé Sumia. De t'avoir embarquée dans cette guerre, je veux dire. Tu mérites mieux qu'une champ de bataille. Mais j'ai malheureusement besoin de toi.
Sumia : Détrompez-vous, capitaine ! C'est un honneur et un privilège de vous servir. Et puis, servir dans une armée ça a ses bons côtés.
Chrom : Vraiment ? Comme quoi ?
Sumia : Et bien, j'aime bien les chevaux !
Chrom : Tu parles des chevals ailés ? Euh, des chevaux...Enfin, des pégases !
Sumia : Oui ! J'adore fendre l'azur sur leur dos ! C'est si grisant ! Mais j'aime encore plus m'en occuper. Leur coiffer la crinière, leur brosser les dents...
Chrom : C'est vrai que tu passes beaucoup de temps dans les écuries.
Sumia : Mais ça me fend le cœur de les voir sur le champs de bataille. Leur présence est pourtant nécessaire. Je le sais bien. Il en va de notre réussite. Il n'empêche. Je n'arrive pas à supporter de voir ces pauvres créatures blessés...
Chrom : Je ne sais pas quoi te dire Sumia. Je ne peux que te réitérer toute ma gratitude. Merci pour ce que tu fais pour moi. Je te promets de faire mon possible pour terminer cette guerre au plus vite. Et d'assurer aux générations futures la paix qu'elles méritent.
Sumia : Je crois en vous, Chrom. Et je vous aiderai à tenir votre promesse !

Soutien S :

Chrom : Sumia ?
Sumia : Oh, bonjour, Chrom.
Chrom : Je...Je te cherchais. Ça fait longtemps que tu es ici ?
Sumia : Pas vraiment. Je terminais un gâteau. J'allais moi aussi vous...chercher.
Chrom : Tu n'es pas obligée d'en faire autant, Sumia. Tu me gâtes trop.
Sumia : Hi hi ! Mais pas le moins du monde ! J'aime prendre soin de vous !
Chrom : Pas autant que des pégases, j'imagine.
Sumia : Oh non, quand même pas. Enfin...si ! Et de loin !
Chrom : En fait, je te cherchais car j'ai une faveur à te demander...
Sumia : S'il y a une chose que votre cœur désire, nommez-la-moi, capitaine...
Chrom : Ah, oui...Eh bien, je me demandais si...Pourrais-je avoir l'honneur de...
Sumia : Vous voulez un autre gâteau ? Je suis prête à pétrir sans relâche !
Chrom : Un gâteau ? Non...Ce que je voulais dire...Je pensais aux jours qu'il nous reste...
Sumia : Vous voulez un gâteau par jour jusqu'à votre mort ? Ça va être du boulot, mais...
Chrom : Enfin, ça n'a rien à voir avec les gâteaux ! Laisse moi finir !
Sumia : Hmm ?
Chrom : Désolé, Sumia. Je ne voyais pas les choses ainsi. Je suis en train de tout gâcher ! Ce que je voulais te demander c'est...Est-ce que tu veux m'épouser ?
Sumia : Chrom ?! Vous me demandez en mariage ?
Chrom : Oui ! Tu es toujours là pour moi. Je n'ai jamais connu de femme aussi attentionnée. Et alors que j'avais la bouche pleine de gâteau, je me suis dit... « Chrom, demande se main à cette femme et rends-la heureuse ! »
Sumia : Je...Je ne sais pas quoi répondre... Moi, j'ai eu le même déclic au moment où je préparais mon glaçage. J'ai compris que rien ne me rendait plus heureuse que d'être avec vous. Mais je n'avais jamais imaginé...Vous êtes un membre de la royauté, et moi...
Chrom : Tu seras l'épouse la plus charmante que la famille royale ait connue ! Enûfin...si tu acceptes...
Sumia : BIEN SÛR ! Je veux être votre femme !
Chrom : Rien ne me fait plus plaisir que d'entendre ces mots ! Mais il faut encore officialiser notre union. Veux-tu porter ceci ?
Sumia : Cette bague porte l'emblème de la famille royale d'Ylisse ! Pensez-vous vraiment que j'ai le droit de passer ce trésor à mon doigt ?
Chrom : Cet anneau commémore mon anniversaire. Il m'a été transmis par mon père. J'ai depuis toujours voulu le donner à la femme que j'épouserais. Il t'appartient désormais. Cet anneau est le symbole de notre amour éternel.
Sumia : Oh, Chrom, je suis si touchée...Je le chérirai toute ma vie durant.
Chrom : Nous avons mangé beaucoup de gâteaux ensemble. Et ce n'est pas fini !
Sumia : Oh, oui ! Nous pourrons en manger à toute heure. Matin, midi et soir ! Mais...ça vous dérangerait qu'on engage plutôt un cuisinier ?

Chrom/Vaike

Soutien C :

Chrom : Très bien, tout le monde ! Choisissez un partenaire et entraînons-nous un peu.
Vaike : Oh, oh ! Prêt à affronter le champion, Chrom ?
Chrom : Vaike, peut-être que tu devrais changer de partenaire... Histoire de changer un peu...
Vaike : Pfff ! Nous sommes rivaux. Nous devons nous battre ! C'est notre destinée !!! Et puis je t'ai presque battu la dernière fois. Ça c'est joué à deux... à UN doigt !
Chrom : Bon, très bien...Si tu le dis. Mais quand même, je pense que...
Vaike : Non, mais d'accord... Je vois bien ce que tu as en tête... Tu essaies de t'esquiver !
Chrom : Oh, allez ! Si on ne varie pas les combats nous n'allons jamais nous perfectionner.
Vaike : Je vois... Tu penses que c'est déjà joué d'avance, c'est ça ? Que dirais-tu d'un pari alors ? Le gagnant empoche tout ce que l'autre possède !
Chrom : Vaike... On s'entraîne pour la guerre. Je ne vais pas risquer le trésor royal !
Vaike : Très bien, très bien ! Pas d'argent, donc. Mais que dis-tu de ça.... Le perdant doit réussir à surprendre Frederick et à lui baisser son pantalon !
Chrom : Tu es tombé sur la tête ?! Frederick te découperait en rondelles !
Vaike : Ben alors ? T'es une poule mouillée ?! COT cot cot cot cot COT !
Chrom : TRÈS BIEN ! Je vais me battre contre toi ! Mais arrête de glousser comme ça !
Vaike : Ha ha ! En plus, maintenant, tu es énervé ! Ça va être GÉNIAL...

Soutien B :

Vaike : C'est l'heure du combat, Chrom !
Chrom : D'accord. Mais à une condition.
Vaike : Attends un peu... Tu serais pas en train d'essayer de te défiler, là ?!
Chrom : Pas du tout, Vaike. C'est juste que... Bon. Lissa était vraiment fâchée après notre dernier duel. Elle n'arrêtait pas de pleurer... Elle a dit que nous prenions notre entraînement trop au sérieux. Elle m'a fait promette de faire attention et d'y aller doucement la prochaine fois.
Vaike : Ha ha ha ! Oui, c'était vraiment quelque chose d'unique... De génial... Mais, euh, attends, Chrom. Qu'est-ce que tu veux dire par « y allez doucement » ?
Chrom : Je me suis aussi posé la question. Peut-être qu'on devrait... la jouer à pile ou face ?
Vaike : Ah mais non ! Ce n'est pas la chance qui nous départagera ! Pas nous, Chrom... Oh, j'ai une idée ! Qu'est-ce que tu dirais d'un bon vieux concours de cuisine ?! Je prépare un plat, toi aussi, et on verra ensuite lequel sera le plus apprécié.
Chrom : Hmm, pourquoi pas... Même si les princes ne sont pas souvent devant les fourneaux...
Vaike : Ha ! C'est vrai, tu as raison. Ce ne serait pas très équitable... Affronter un prince en cuisine c'est comme harponner un poisson dans un tonneau. Si c'est trop facile, il n'y a plus d'honneur. Et sans honneur, ça ne m'intéresse pas.
Chrom : Hé, attends un peu ! Je n'ai pas dit non. J'ai déjà rôti plus d'un ours autour des feux de camp et personne ne s'en est plaint.
Vaike : Ha ha ! Ce sera donc un concours de cuisine ! Tu vas goûter à ma victoire !

Soutien A :

Chrom : Prêt pour un nouveau duel, Vaike ?
Vaike : Non, ça ne m'amuse plus de te battre. On devrait s'entraîner avec d'autres personnes.
Chrom : Euh... Attends, là. Quand est-ce que tu m'aurais battu, exactement... ?
Vaike : OHÉ ?! Tu te rappelles pas du concours de cuisine ? Victoire éclatante du champion !!!
Chrom : Mais qu'est-ce que tu racontes ?! Après avoir mangé mon plat, tu es tombé de ta chaise et tu t'es évanoui ! Ce qui fait de moi le vainqueur après abandon ! Et ça tu ne peux le nier.
Vaike : Abandon ?! Mais tu m'as presque tué avec ta mixture que tu oses appeler « soupe » ! J'ai passé la semaine à me frotter la langue pour oublier le goût ! Mais legalde-la ! Cha chait encole mal !
Chrom : Tu n'a jamais précisé qu'on devait faire le MEILLEUR plat possible...
Vaike : M...Mais c'est précisément le but d'un concours de cuisine ! AAH... oublie ça ! Par la barbe des dieux, tu détestes perdre, hein ?
Chrom : Et pas toi, peut-être ?
Vaike : Si... Si, aussi. T'as raison. Nous sommes vraiment pareils tous les deux... On aime la compétition, et on aime gagner !
Chrom : Dans ce cas, que dirais-tu de remettre ça et de se défier à l'ancienne ?
Vaike : Ha ! Avec plaisir ! Viens par là, mon petit !

Voici comme promis les dialogues de soutien entre Daraen 
(femme) et Frederick. Bonne lecture !

Soutien C

Frederick : Votre posture, votre souffle et la façon dont vous tenez l'épée ne sont pas adaptés. Concentrez-vous, Daraen. On recommence !
Daraen : Je suis prête !

• écran noir*

Frederick : cela suffit pour aujourd'hui. Votre condition s'est considérablement améliorée. Vos progrès sont remarquables.
Daraen : Merci... Merci... Je crois que... J'ai acquis les bases... Mais... Je suis à bout... Je vais m'effondrer.
Frederick : Oh, vous exagérez. Ou du moins, je l'espère. Si cela est suffisant pour vous tuer, vous ne ferez pas long feu sur le champ de bataille.
Daraen : Peut-être pas, mais je suis quand même bien fatiguée. Ce qui n'est pas ton cas... Tu n'es même pas essoufflé !
Frederick : Certainement pas. Et si c'était le cas, je ne serais pas en mesure de servir Chrom convenablement.
Daraen : Je suis impressionnée. Tu t'en traînes souvent ?
Frederick : Je me lève avant l'aube pour préparer les feux de camp. Et je marche toujours devant l'armée pour déblayer les cailloux afin d'éviter les chutes.
Daraen : C'était donc ça ! J'ai cru qu'il s'agissait d'une obsession maladive avec les cailloux.
Frederick : Hmm, pardon ? Je n'ai pas bien entendu...
Daraen : Euh, non, non, rien d'important ! Mais je te dois une séance d'entraînement. Laisse-moi t'aider avec le feu de camp de demain ! Cela sera rapide avec un peu de magie. Un arbre, un éclair, et c'est fait !
Frederick : Et puis ensuite, un petit feu de forêt instantané et incontrôlable...
Daraen : Oh ! C'est un risque, certes... Mais je te dois une faveur. Quoi que tu veuilles, dis-le-moi. Penses-y la prochaine fois où nous nous reverrons.
Frederick : Je ne suis pas accoutumé à demander des faveurs, mais si vous le proposez...

Soutien B

Frederick : Bonjour, Daraen. Je voulais vous dire que j'ai réfléchi à votre offre.
Daraen : Quant au service que je devais te rendre ? Excellent ! Que puis-je faire pour toi ?
Frederick : Je vous ai vue manger de l'ours avec appétit, peu après ne rencontre. J'aimerais que vous m'appreniez cela. Manger de l'ours.
Daraen : Je m'en souviens, Lissa écumait de rage... Elle disait que ça avait un goût de vieilles chaussures... Attends, tu n'en a pas mangé ce jour-là ?
Frederick : Hmm... Non. J'ai du mal avec le gibier, et c'est encore pure avec l'ours. Mais la guerre s'aggrave et je ne peux plus le permettre d'être si difficile. Il y aura peut-être un jour où l'ours sera la seule nourriture disponible... Il vaut mieux que je surmonte mon aversion tant que la situation n'est pas désespérée.
Daraen : Je vois. Même le meilleur chevalier n'est pas très utile s'il ne sait pas s'adapter... Très bien, nous allons manger de l'ours !
Frederick : J'espère que je serai bientôt capable d'avaler n'importe quoi. Tout comme vous, Daraen !
Daraen : ...
Frederick : Vous ai-je offusquée d'une quelconque façon ?
Daraen : Hmm, non, ne t'en fais pas. Sinon, aucun autre pat plus courant ne te pose de problèmes ? Non, j'aime le bœuf et le porc. Et de temps en temps, un bon poulet...
Daraen : Alors, commençons doucement. Mange donc une bougée de ceci.
Frederick : Très bien. Et avec appétit, regardez ! Mais qu'elle horreur !!! C'est si faisandé ! Qu'est-ce que c'est que ça ?!
Daraen : c'est un morceau de cet ours au goût de vieilles chaussures ! Celui-là même !
Frederick : Aaargh ! On m'assassine ! Appelez un guérisseur, vite !!!
Daraen : Oh, mais quel vacarme ! Il ne plaisantait pas quand il disait qu'il n'aimait pas l'ours...

Soutien A

Daraen : J'ai une nouvelle viande à te faire goûter, gros ours grincheux.
Frederick : Je vous prierais de ne pas m'appeler ainsi ! Et je ne suis pas si naïf, je ne me ferai pas avoir deux fois...
Daraen : Je pensais que tu étais sérieux quand tu disais vouloir surmonter ton dégoût. Je ne suis pas un monstre. En fait j'ai préparé une série de plats pour t'habituer. Nous pouvons ainsi y aller en douceur.
Frederick : Je suppose que c'est ce que je voulais : je vous présente mes plus humbles excuses.
Daraen : Très bien. Nos allons donc commencer avec le poulet. Puis le porc. Puis le bœuf.
Frederick : *mâche* Jusqu'ici, tout se passe pour le mieux.
Daraen : Puis le mouton. Tenez. Le goût est déjà plus fort...
Frederick : *mâche* Cela reste comestible...
Daraen : Tu progresses ! Et maintenant...
Frederick : *mâche*
Daraen : Voici l'ours...
Frederick : Pfffft ! Argh !!! Je meurs, je meurs ! Mais quelle horreur ! Adieu, monde cruel !
Daraen : N'exagère pas, tout de même ! Si c'est suffisant pur te tuer, tu ne feras pas long feu sur... le champ de bataille. Hmm ? J'ai un sentiment de déjà-vu...
Frederick : Oui, je vous ai dit la même chose lors d'une séance d'entraînement. Et c'est exact. Si je succombe à ça, je ne pourrai protéger qui que ce soit au front. Je suis prêt, Daraen ! Échantillon suivant, s'il vous plaît !
Daraen : Il est revenu à la vie ! C'est un miracle ! Allez, finissons-en, Frederick. Ouvre grand la bouche !

Soutien S

Daraen : Joli ! Tu as avalé ce morceau de crocodile comme s'il s'agissait d'un fruit confit !
Frederick : *grognement* C'est... C'est grâce à vous... Vous m'avez donné... la force...
Daraen : Et pour finir en beauté...
Frederick : Ne me dite pas que c'est... de l'ours ?
Daraen : Allez, Frederick ! Je crois en toi !
Frederick : *mordillement* ... *mordillement*
Daraen : Bravo ! Tu as tout fini ! Tu as surmonté ton appréhension de la viande d'ours !
Frederick : Merci... infiniment...
Daraen : Bon sang, tu m'as l'air bien pâle ! Est-ce que ça va ?
Frederick : Oui. Grâce à vous, je ne risque plus de m'aventurer au front l'estomac vide ! Je vous dois énormément.
Daraen : Ravie d'avoir pu me rendre utile ! Il faut que tu sois au mieux de ta forme pour veiller sur nous tous.
Frederick : J'ai fait un serment hier soir qu'il me tarde de vous révéler. Une fois leurs avalé... je me suis juré de vous offrir ceci...
Daraen : Une alliance ? Mais pourquoi ?
Frederick : J'aimerais que vous deveniez ma femme.
Daraen : Je... Je ne m'attendais pas à ça !
Frederick : Je réfléchissais à ce qu'il arriverait une fois mon appréhension surmontée. Après cela, rien ne nos pousserait à passer encore du temps ensemble. Et je ne puis supporter l'idée e me séparer de votre charmante compagnie. Après avoir mûrement réfléchi, j'ai donc résolu de vous demander votre main.
Daraen : Je ne sais pas quoi te répondre... Je constate que tu as décidé de m'appuyer car je t'ai appris à ne pas vomir de l'ours... On ne peut pas dire que ce soit d'un romantisme torride !
Frederick : Certes, si vos formulez la chose en ces termes...
Daraen : Oh, j'accepte ! J'en pinçais pour toi depuis notre première bouchée d'ours à deux !
Frederick : C'est un grand honneur que vos le faites, Mademoiselle.

• photo de Frederick lui embrassant la main gauche*

Frederick : Mon cœur est vôtre, ma mie. Je promets de vous servir, comme chevalier et mari, jusqu'à ce que la mort nous sépare. 

Bon, Debug, à cause des liens, je peux pas poster ce que je voulais faire.

Zelcher x Donnel

Soutien C :

Donnel : Hé, Zelcher ! J'pouvons t'poser une question ?
Zelcher : Dis-moi.
Donnel : J'avons entendu qu'une fille de Valm a battu une wyverne. C'est-y vrai ?
Zelcher : Tu veux dire une humaine ? En combat loyal ? J'en doute fort...
Je n'ai en tout cas jamais entendu parler d'une personne si extraordinaire.
Donnel : Ah ! J'me disions ben qu'ça pouvait qu'être une histoire à dormir debout.
Zelcher : Et puis-je savoir qui t'a raconté cette histoire ?
Donnel : Un vieux marchand qui disait faire souvent l'voyage jusqu'à Valm.
Y v'nait au village nous vend' sa came : des sirops qui font grandir, par exemple.
C'était une sacrée histoire, quand même ! Celle d'la fille à la wyverne...
Y disait qu'la fille avait neuf ans quand è's'prom'nait dans la vallée des wyvernes !
L'y a amoché un d'ces bestiaus, pis l'a ch'vauché jusqu'à chez elle !
Ha ha ! J'crois qu'cette histoire est aussi vraie qu'le jus qu'y m'a vendu !
J'voulons dire, quelle wyverne s'laisserait amocher et dompter par une p'tiote ?!
Minerva : Hyuuuuuuuuu !
Zelcher : Minerva ! Qu'y a-t-il ?
Donnel : Tu crois qu'j'avons dit quequ'chose qui lui a déplu ?
Zelcher : Je ne vois vraiment pas ce que...
Minerva ! Arrête tout de suite ! Lâche ce pauvre Donnel, il n'est pas à manger !
Donnel : BEURK ! L'est folle ta bestiole ! J'm'en allons m'nettoyer cette bave !
Zelcher : Minerva ! Vilaine wyverne ! Qu'est-ce qui t'a pris ?!

Soutien B :

Zelcher : Hmm... Donnel ? Tu sais, notre dernière conversation...
Je crois que je sais qui était la petite fille de l'histoire.
Donnel : Hein ? Mais j'croyions qu'c'était qu'un tas d'sottises d'après toi.
Zelcher : Oui, sauf que... Eh bien, les événements de l'histoire me sont arrivés à moi.
Donnel : A TOI ?!
Zelcher : Oui... Le récit du vieil homme relate ma première rencontre avec Minerva.
Ah ! Je n'aurais jamais imaginé que cette histoire voyagerait si loin !
Donnel : Alors... C'est TOI la p'tiote légendaire qui mate les wyvernes ?!
Zelcher : Tu sembles déçu. Ce n'est pas ce que tu espérais, je suppose...
Donnel : Hé, non ! J'sommes tout émoustillé ! R'garde donc, j'en avons la chair de poule !
Zelcher : Je vois cela.
Donnel : Tu crois qu'j'pourrions traîner un moment avec vous aut' ? Si ça t'dérange pas...
Zelcher : Pourquoi ?
Donnel : Parce que j'pourrais p't-être apprendre comment dev'nir aussi célèbre que toi !
Tanner du reptile, dompter les bestioles... Les filles tomb'raient à mes pieds, pardi !
Zelcher : Hmm... Je ne sais pas. Il faut aussi que Minerva soit d'accord.
Eh bien, ma grande ?
Minerva : Hyuuuuuuuuuuu !
Zelcher : Elle est d'accord.
Donnel : Wouhouuuuu ! J'sommes si heureux !
zelcher : Cela ne te dérange pas d'être si près de Minerva ? Elle ne me quitte que rarement.
Donnel : Ben, j'avons d'jà travaillé avec du bétail, j'allons ben pouvoir m'y faire.

Soutien A :

Donnel : Zelcher, j'avons fini la lessive et r'cousu tes chaussettes !
Zelcher : Merci, Donnel. Il est l'heure du repas pour Minerva, tu peux t'en occuper ?
Donnel : Com'si c'était fait !
Héé... Alors, ma grande, ça va ?
Eh bé, r'gardez-moi ces quenottes... T'as l'air ben féroce, tu sais ?
J'arrivons pas à croire qu'une ptiote de neuf ans ait pu t'mater com'ça !
Minerva : Hyuuuuuuuuuuuuu !
Donnel : Oh, t'inquiète ! J'avons compris... J'te laissons manger tranquille.
Zelcher : Eh bien... Vous avez l'air de vous entendre fameusement tous les deux.
Donnel : J'avons fait comme t'as dit, et j'croyons ben que j'l'avons un peu apprivoisée !
Pis j'avons aussi appris à cuisiner, faire l'ménage et utiliser une aiguille !
Zelcher : Tu ne voudrais pas plutôt apprendre comment j'ai vaincu cette wyverne ?
Donnel : Ben, j'y avons réfléchi. Tu la traites pas comme un ordinaire ch'val...
J'croyons qu'vous êtes plus d'vieux amis qu'un maître et son larbin.
J'vous envions, pour sûr ! J'avons jamais été ami avec ma mule à la ferme.
Comment qu't'as fait pour gagner sa confiance ? Tu peux m'dire ?
Zelcher : De la même façon que tu t'es lié d'amitié à notre petit groupe.
N'as-tu pas remarqué comme tu es devenu proche de Minerva ? Et de moi ?
Donnel : Oh ! T'es si mignonne et gentille, et moi qu'un gars d'la ferme aux pieds crotteux.
Tu crois vraiment qu'on peut être amis ?
Zelcher : Oh, je sais que nous le sommes.
Donnel : Nom d'une patate ! Donnel l'fermier, ami avec la fameuse dompteuse de wyverne !
Zelcher : ET avec la wyverne...

Soutien S :

Donnel : Oh hisse, oh hisse... *halètement* J'y sommes... presque...
Zelcher : Diantre ! L'énorme anneau que voici ! Il a l'air de peser une tonne !
Pourquoi ne demandes-tu pas à Minerva de t'aider à le transporter ?
Donnel : J'pouvons pas... C'est un cadeau... pour Minerva... *halètement* Une surprise !
J'croyons ben qu'j'allons faire une pause... Avant de m'esquinter l'dos...

• CHTONC* Pfiou ! C'est ben mieux.

Zelcher : Tu as bien dit qu'il s'agissait d'un cadeau pour Minerva ?
Donnel : J'lui offrons comme symbole d'l'amitié qu'a grandi entre nous !
Zelcher : Donnel ! Je suis un peu jalouse... Minerva a droit à un cadeau, mais pas moi ?
Donnel : Ah ? Mais j'en avons un pour toi aussi. L'est pas aussi gros, bien sûr...
Mais donner un anneau à une dame, c'est pas pareil. J'panique un peu !
Et si tu l'aimes pas ? Et si tu r'fuses ?
Zelcher : Je suis juste soulagée que ce ne soit pas ma wyverne que tu demandes en mariage !
Donnel : Ça non, Zelcher ! Ça risque pas d'arriver ! Y'en a qu'une pour moi !
Zelcher : Eh bien, c'est un fort bel anneau, Donnel. Puis-je ?
Donnel : O... Oui. Pour sûr !
Zelcher : Il me va parfaitement.
Donnel : Bon sang ! T'voir porter c't'anneau m'rend plus heureux qu'jamais !
Zelcher : Et moi de même ! Mais il serait injuste de garder cette joie juste pour nous, non ?
Allons trouver Minerva pour lui offrir son cadeau.
Donnel : C'est parti !

Je voulais poster les soutiens Tiki + Anna mais quelqu'un l'a déjà fait

J'ai failli m'étrangler en les voyant !

Attention, je vais en poster un nombre assez important, j'avais beaucoup de temps à perdre cette semaine.

Gaius/Cordelia :

Soutien C :

Cordelia : Salut, Gaius. Dis-moi, tu portes les mêmes vêtements qu'hier ?
Gaius : C'est un problème ?
Cordelia : Pas vraiment, mais si je ne m'abuse, tu les portais également l'avant-veille.
Gaius : Eh bien oui, c'est ma tenue préférée. Comment se fait-il que tu t'intéresses tant à mes frusques ? T'as le béguin pour moi ?
Cordelia : Quoi ? J'essaie seulement de t'offrir un conseil amical. Tu ne remarques peut-être pas que tu as l'apparence, et l'odeur, d'un sol de taverne. Ta chemise est couverte de miel, et je ne m’aventurerai pas à décrire ton pantalon...
Gaius : Oh. Non, en effet, je n'avais pas remarqué.
Cordelia : Sans parler de tes cheveux en désordre et de tes babines parsemées de miettes. Et qu'est-ce que c'est que ça ?! Tu as une cuisse de dinde dans la poche ? De grâce, Gaius ! Tu ne te soucies donc aucunement de ton apparence ?
Gaius : Bah, du moment que cela ne m'entrave pas au combat, où est le problème ? Je ne suis pas un damoiseau qui a besoin de se pavaner !
Cordelia : Malgré cela, tu devrais peut-être t'en inquiéter davantage.
Gaius : D'accord, d'accord, j'ai compris. Je vais me mettre des vêtements propres, maman.
Cordelia : N'oublie pas de te peigner. Et lave tes frusques avec du vinaigre, sinon tu n'en feras jamais sortir l'odeur !
Gaius : Je m'en vais !
Cordelia : Quand tu auras fini, pour éviter que ça se froisse, prend des brins d'osier et... Hé ! Non mais ! Ne t'en va pas pendant que je parle de linge !

Soutien B :

Cordelia : Gaius ! Ne me dis pas que tu portes à nouveau les mêmes choses qu'hier ?
Gaius : Oui, mais elles étaient PROPRES hier ! Un jour de plus, ça ne va pas me tuer, non ?
Cordelia : Tu t'es peigné les cheveux, au moins ?
Gaius : Euh, non. Mais j'ai plongé ma tête dans un abreuvoir, euh... il y a quelques jours de ça. Mais pourquoi est-ce que tu t'en préoccupes tant, de toute façon ?
Cordelia : Parce que.
Gaius : Parce que quoi ?
Cordelia : Au fait, ne crois pas que je tolérerai que tu t'éclipses à nouveau en pleine discussion... Mon pégase est sellé et prêt au départ, et je suis décidée à te talonner sans relâche.
Gaius : Fichtre ! Tu es toujours aussi enjouée et agréable, ou c'est juste pour ma pomme ?
Cordelia : C'est rien que pour toi. Allez, viens par ici et laisse-moi m'occuper de tes cheveux.
Gaius : J'imagine que je n'ai pas le choix ? Bon, fais voir de quoi tu es capable. Au fait, tu ne m'as toujours pas expliqué pourquoi tu t'intéresses à ma toilette.
Cordelia : Parce que tu fais partie des alliés de Chrom les plus loyaux et les plus précieux. *bruits de ciseaux* Tourne un peu la tête, s'il te plaît. Merci !
Gaius : Un allié loyal de Chrom, hein ? C'est bon à entendre. Bon, j'ai compris. Je vais m'habiller plus dignement afin de ne pas ternir son image. Oh, et court sur les côtés, si ce n'est pas trop demander.
Cordelia : Je m'en occupe. Oh, et avant que j'oublie, voici un savon pour laver tes vêtements. Ils ont des tâches sans doute plus vieilles que toi, mais avec ça tu pourras les enlever.
Gaius : Je vais les rendre si resplendissants que tu en auras mal aux yeux !
Cordelia : On verra.
Gaius : Eh, aie un peu de confiance en ton loyal allié !
Cordelia : Ma confiance se mérite, mon cher Gaius. En particulier en matière de lessive !
Soutien A :

Cordelia : Oh, Gaius, mais regarde-toi un peu !
Gaius : Hein ? Mais qu'est-ce qu'il y a, encore ? Je me suis peigné ce matin, et ces vêtements sortent à peine du lavoir !
Cordelia : Tu as l'air très sortable.
Gaius : Alors, mes cheveux sont biens, mes habits sont secs, où est le problème maintenant ? Je fais de mon mieux, tu sais.
Cordelia : Oh, Gaius, tu m'as compris de travers... Ce que je voulais dire, c'est que tu as l'air sérieux et élégant. Un vrai homme.
Gaius : Oh. Euh, d'accord... Je vais prendre ça comme un compliment. Mais j'avoue que, même si je me méfiais au début, je dois te remercier pour ton aide.
Cordelia : Vraiment ? Tu m'es reconnaissant ?
Gaius : Mais oui ! Et pour te le prouver, je t'ai acheté ce ruban au marché. Tu sais... Pour ces jours où l'on a pas le temps de se laver les cheveux.
Cordelia : Oh ! Euh, merci... C'est vrai que j'ai quelque peu négligé ma propre apparence.
Gaius : C'est parce que tu te préoccupes trop de comment se portent les autres ! Ne t'inquiète pas. Maintenant que j'ai l'air seyant, je peux te donner un coup de main.
Cordelia : Euh, d'accord. Si tu veux...
Gaius : Cela serait dommage qu'une femme aussi belle que toi ne paraisse pas à son mieux.
Cordelia : Eh bien, je vois que toutes ces ablutions ne t'ont pas coupé la parole !

Soutien S :

Gaius : Euh, Cordelia ? Est-ce que je peux te déranger un instant ?
Cordelia : Bien sûr. Que puis-je faire pour toi ?
Gaius : Oh, tu portes le ruban que je t'ai offert !
Cordelia : Hi hi ! Tu as remarqué ?
Gaius : Évidemment ! Bien que je te trouve toujours ravissante, que tu le portes ou non.
Cordelia : Tu peux être très charmeur quand tu y mets du tien, Gaius.
Gaius : Pour tes oreilles uniquement, Cordelia. Bref, je voulais te demander si tu voulais bien me faire une petite coupe.
Cordelia : Encore ? Mais... je viens de t'en faire une l'autre jour...
Gaius : C'est vrai, mais tu ne crois que c'est déjà trop touffu sur les oreilles ? Regarde.
Cordelia : Eh bien, j'imagine qu'on pourrait couper quelques mèches...
Gaius : Hmm...
Cordelia : Euh, pourquoi me tiens-tu la main ?
Gaius : Je veux juste vérifier si c'est la bonne taille. Voilà !
Cordelia : Oh, quel bel anneau ! Tu l'as fabriqué toi-même ?
Gaius : Oui, et je n'étais pas certain qu'il aurait la bonne taille. Content de voir qu'il te va. Maintenant que je suis propre, je pensais que tu voudrais bien... être avec moi ?
Cordelia : Qu'as-tu en tête, exactement, Gaius ?
Gaius : Écoute, je sais que ne peux pas rivaliser avec Chrom, crois-moi. Mais je ne me pardonnerais jamais si je n'essayais pas, au moins, de te persuader. Qu'en dis-tu, Cordelia ? Veux-tu m'épouser ?
Cordelia : Tu m'as passé la bague au doigt avant même de me poser la question, petit futé ! Elle est merveilleuse ! Ce serait dommage d'avoir à l'enlever...
Gaius : J'accepte même un oui par paresse ! Je ne suis pas difficile...
Cordelia : Eh bien ! Oui, Gaius, je veux bien devenir ta femme.
Gaius : Fantastique ! Ça m'évitera de payer pour aller chez le coiffeur ! Ha ha ! C'est pour rire... Juste une blague ! Tu ne regretteras pas ta réponse, Cordelia.

Gaius/Gerome :

Soutien C :

Gaius : Bonjour, Gerome.
Gerome : Que me voulez-vous ?
Gaius : Oh, rien de particulier...
Gerome : Alors pourquoi m'adressez-vous la parole ? Je n'ai pas besoin d'ami.
Gaius : Vraiment ?
Gerome : Oui.
Gaius : Je sais par expérience combien c'est important d'avoir son père là pour soi. Lucina appelle Chrom « père », tu sais ? Tu pourrais essayer avec moi.
Gerome : Vous ressemblez peut-être à mon père, mais vous n'êtes pas cet homme. Mon père est mort depuis bien longtemps. Vous, vous n'êtes qu'un inconnu.
Gaius : Le tact a-t-il disparu dans le futur... ? Écoute, je sais que ton vrai père est mort et qu'il doit beaucoup te manquer. Mais peut-être pourrais-je être ce père que tu as perdu... ?
Gerome : Si c'est ce que vous croyez, vous n'êtes qu'un imbécile !
Gaius : Hé oh ! Je te fais cette offre de bonté de...
Gerome : Cette conversation est terminée. J'ai d'autres choses à faire. Je dois nettoyer le box de Minounette, lui brosser les dents et la nourrir.
Gaius : « Minounette » ?
Gerome : Euh... Ce n'est pas ce que... Raah ! Votre stupidité déteint sur moi !
Gaius : Eh bien, quel caractère de cochon...

Soutien B :

Gaius : Tiens, Gerome... Alors, tu t'es bien occupé de la petite « Minounette » ?
Gerome : Je ne l'ai JAMAIS appelée comme ça ! Quelle idée ridicule ! Vous avez dû mal entendre...
Gaius : Il n'y a pas de quoi faire une crise, Gerome. J'ai entendu Zelcher l'appeler ainsi, et j'en ai moi aussi pris l'habitude, c'est tout.
Gerome : Oh. Euh... Bien sûr, je le savais.
Gaius : Tu sais, tu es presque mignon quand tu t'énerves.
Gerome : …
Gaius : Pas la peine de me foudroyer du regard ! Je ne voulais pas te vexer !
Gerome: Bien. J'accepte vos excuses.
Gaius : Vous êtes trop bon, Mon Prince. Mais je dois avouer que te voir en colère ravive en moi les souvenirs de Zelcher.
Gerome : Que voulez-vous dire ?
Gaius : Hmm ? Oh, rien. Rien du tout... Mais... ce ne serait pas Minerva, là-bas ?
Gerome : Effectivement.
Gaius : Je ne me souvenais pas qu'elle était aussi... terrifiante.
Gerome :Vous trouvez ? Dans le futur, tous jurent n'avoir vu plus adorable wyverne. Regardez ces yeux malicieux, ces griffes immaculées et ces écailles luisantes... N'est-elle pas la plus mignonne... ? Euh... Je veux dire... Raah ! Vous m'avez tendu un piège !
Gaius : Absolument pas ! Tu as seulement dit ce que tu voulais dire.
Gerome : C'en est assez ! Je m'en vais ! Minerva, à moi !
Gaius : J'avais raison... Il est vraiment charmant quand il est en colère.

Soutien A :

Gaius : Bonjour, Gerome. On se promène avec Minerva, à ce que je vois ?
Gerome : Pourquoi me harcelez-vous ainsi ?!
Gaius : Je t'assure que je ne fais rien de si sinistre. Je voulais juste voir si tu étais prêt à avoir une relation de père à fils. Maintenant que j'ai vu ton côté sensible, j'ai pensé que nous pourrions...
Gerome : Je n'ai pas de côté sensible.
Gaius : Bien sûr... Et tu ne te souviens pas avoir dit que Minerva était adorable ? Tu avais une telle expression de tendresse et d'amour sur ton visage, et...
Gerome : MINERVA, ATTAQUE ! ARRACHE-LUI LA TÊTE ! … Euh... Minerva ?
Gaius : Minerva ne m'attaquerait jamais, Gerome. Elle sait que je suis de la famille. Là... Là, ma petite Minerva. Tu me reconnais, toi, pas vrai ?
Gerome : Mi... Minerva ? Crois-tu vraiment que ce bouffon est de notre famille ? Qu'il est mon... père ? … Ah, oui. Je vois. Très bien, Minerva. Si c'est là ton souhait...
Gaius : Euh... Qu'a-t-elle dit ?
Gerome : Vous prétendez être de la famille, mais vous ne pouvez pas la comprendre ?
Gaius : Eh bien, hmm... On peut ou on ne peut pas, mais ça ne s'apprend pas.
Gerome : Qu'importe. Si Minerva vous considère de la famille, je ne peux que vous accepter. Je suis désolé de vous avoir si mal traité... père.
Gaius : Tu m'as appelé... « père » ?
Gerome : Ne vous y habituez pas. Minerva, à moi ! Nous partons !
Gaius : At... Attends, Gerome ! Dis-le encore une fois ! S'il te plaît, juste une !
Gerome : Silence, imbécile !