C'est cool comme topic, ça permet de voir les couples qu'on aura jamais fait x)
Quelqu'un de chaud pour faire Chrom x Sully ?
Ah vous faite juste les couples ?
Bah non, tous les soutiens.
Ca peut être les soutiens de deux hommes ou deux femmes par exemple.
Attention, quelques soutiens en approche. Et le soutien Donnel/Lissa, c'est super, j'en ai déjà fait quelques uns de Donnel que je poste tout de suite. Et après, je fais un petit récap' des soutiens. Encore désolé pour les 5-6 posts que je vais enchaîner mais c'est pour la bonne cause.
:globe : Donnel/Kellam :
Soutien C :
Kellam : *tousse *
Donnel : AAAAAh ! Bon sang, Kellam... Tu m'as fichu une de ces trouilles ! D'où qu'tu sors comme ça ?!
Kellam : Tu plantes des airelles, c'est bien ça ? Ce sont mes fruits préférés. Tu sais, en utilisant de la fiente de porc comme engrais, les baies sont plus juteuses.
Donnel : Eh ben ! Nom d'un épi d'maïs, j'savions pas qu't'étais un gars d'la ferme !
Kellam : En fait, mon père était laboureur, et mes frères et moi l'aidions aux champs. Si tu veux, je pourrais... euh... te donner un coup de main... ?
Donnel : Ben ça, Kellam ! Merci de proposer... J'avouons qu'ce serait point d'refus ! J'les mettons en pots pour les déplacer plus facilement... mais y en a une tripotée ! Les aut's croient qu'c'est facile de ramasser ces baies, mais y se trompent ben !
Kellam : Je n'ai pas de terre sous les ongles depuis longtemps. En fait, ça me manque un peu...
Donnel : J'te r'mercions ben ! Tu peux commencer avec ceux dans la tente, là-bas ?
Kellam : Nom d'un chien... Ça en fait des airelles... Il y en a des... centaines...
Donnel : C'est qu'è sont populaires, les bougres ! J'voulons êt'sûr qu'tout l'monde en ait.
Kellam : Euh... Je vais me mettre au travail... *soupir*
Soutien B :
Donnel : Qu'est-ce j'vais ben faire maint'nant... ?
Kellam : Tu as un souci, Donnel ?
Donnel : Ces pauv' plantes ont pas l'air de s'plaire. R'garde-donc comme z'ont l'air triste ! J'aimerons ben savoir c'qui cloche... Z'ont p't'êt pas assez d'soleil...
Kellam : Pourquoi seulement ces plantes seraient affectées ? Les autres ont l'air d'aller.
Donnel : C'est ben vrai... J'y comprends rien... Pourtant, j'les arronsons tous les jours et leur causons tous les soirs ! J'avons même essayé de chanter !
Kellam : Euh... Peut-être le problème vient-il de la terre ? Pas assez de nutriments... ?
Donnel : Maint'nant qu't'en parles... Pendant la dernière bataille, quelqu'pots ont été renversés. J'les avons redressés vit'fait en remplaçant l'terreau renversé par d'la terre d'ici.
Kellam : C'est... euh... C'est peut-être cette terre qui ne convient pas aux plantes ?
Donnel : Comment j'allons la remplacer ? Si tu dis vrai, alors toute la terre d'ici est point bonne pour elles...
Kellam : Nous pourrions... euh... prendre un peu de bonne terre dans chaque pot sain. Il y en a des centaines dans la réserve, ça devrait en fournir assez pour les autres.
Donnel : C'est qu'ça pourrait marcher... Eh ben ! T'es sacrément futé, Kellam !
Kellam : Oh, pas plus qu'un autre, vraiment... Je passe juste beaucoup de temps seul. Ça me laisse le temps de réfléchir à beaucoup de choses...
Donnel : Nom d'une buse ! Tu dois être le gars le plus malin d'tous les Veilleurs !
Kellam : C'est très gentil de dire ça, mais j'en doute beaucoup.
Donnel : Ben moi, j'en suis sûr !
Soutien A :
Kellam : Bonjour, Donnel. J'ai entendu dire que les airelles avaient mûri ? Tu les as servies à tout le monde à la caserne ?
Donnel : Avec du sucre roux et d'la crème ! Tout l'monde les adore ! J'croyons en avoir un paquet mais z'ont été dévorées si vite... Z'étaient partis en moins d'deux !
Kellam : C'est plutôt bon signe... !
Donnel : Y m'ont demandé d'en ramener plus dès qu'les aut' s'ront mûres. Tu crois qu'celles-là sont bonnes ? Les baies sont un peu rouges...
Kellam : Euh... Attends. Je vais en goûter une... Pouaaah ! Désolé, Donnel. Il va falloir attendre au moins quelques semaines.
Donnel : Ouf ! Ça va m'laisser l'temps d'me r'poser un peu. T'es un vrai génie, j'sommes ben content de t'avoir causé avant d'les avoir cueillies !
Kellam : Je te l'ai déjà dit... Je ne suis pas si intelligent. J'ai juste...
Donnel : J'aimerons ben avoir la moitié de c'que t'as là-d'dans ! Tu sais, les plantes mourantes ? Ben, j'ai changé la terre comme tu m'avais dit et m'suis fait une sacrée récolte ! J'suis sûr qu'tu dois ben manquer à tes parents à la ferme.
Kellam : Les rares fois où ils arrivaient à me voir, ils ne me demandaient pas mon opinion.
Donnel : Bon sang ! C'était point très malin d'leur part, ça !
Kellam : Tu sais quoi... Tu dois bien être la première personne à apprécier mes conseils.
Donnel : Qui les apprécierait pas ? T'en as tellement là-d'dans que ça t'coule des oreilles ! Hmm... Tu vas rester pour m'apprendre d'aut' choses, hein Kellam ?
Kellam : Euh... Oui, bien sûr... Je t'aiderai comme je pourrai. N'est-ce-pas un peu étrange qu'au lieu de se battre, je t'apprenne à être fermier ?
Donnel : Ah ah ! Non... J'me préparons déjà à la paix ! Quand tout ça s'ra fini, les brav' gents pourront r'tourner à leurs fermes. On doit être prét pour qu'revienne la vie sur ces terres !
Kellam : Peut-être qu'en temps voulu je pourrais t'y aider.
Donnel : Tu f'rais ça pour moi ?! Oh... Merci, Kellam !
Kellam : Alors faisons ainsi... D'abord nous finissons cette guerre...
Donnel : … et ensuite nous plantons assez d'airelles pour faire des tartes pour tout l'monde !
Donnel/Tharja :
Soutien C :
Tharja : Toi, mon brave. Sais-tu où je peux trouver un œil de triton ?
Donnel : Ben ça, pour sûr ! J'avons vu plein d'ces bêtes visqueuses dans l'ruisseau là-bas. Bouge pas, j'allons t'en chercher un !
Tharja : Toi, mon brave. Sais-tu où je peux trouver une queue de truie blanche comme neige ?
Donnel : Pas une fraîche, j'croyons pas. Mais y en aura p't-être chez l'boucher du camp !
Tharja : Je doute que ce crétin en ait à sa disposition.
Donnel : Ben... J'pouvons descendre dans la vallée et aller voir à l'élevage de porcs. Devrait ben y avoir un cochon à queue blanche là-bas !
Tharja : Toi, mon brave. Amène-moi donc une chauve-souris.
Donnel : Hmm... C'est qu'ça vit dans les cavernes ces bêtes-là... Euh... Scuse-moi, mais... C'était un ordre, ct'histoire de chauv'souris ?
Tharja : C'est cela, oui. Et aujourd'hui encore, je te prie.
Donnel : Bon... Ben, c'est parti ! J'm'en allons par les cavernes t'chercher ça tout d'suite !
Tharja : Je n'arrive pas à croire que ce pécore obéisse à tous mes ordres... Je ne lui ai même pas encore jeté de sort de servitude...
Soutien B :
Donnel : Bien l'bonjour! J't'ai attrapé les deux serpents noirs qu'tu voulais !
Tharja : Bien. Merci. Mets-les à l'endroit habituel.
Donnel : Ça marche !
Tharja : … Eh bien ? Tu n'as rien à me demander ?
Donnel : Faut que j'te demande quelqu'chose ?
Tharja : Tss... Ne joue pas au plus malin. Je parle du service, bien sûr.
Donnel : Ben désolé, j'comprenons pas d'quoi tu causes...
Tharja : Tu veux que j'utilise mes pouvoirs magiques pour te rendre un service, non ? Ça fait des semaines que tu cours partout pour me ramener divers spécimens. Au début, j'ai trouvé ça amusant, mais en réalité, tu m'as bien aidée. Alors ? Quel est ton prix ? Que désires-tu en échange ?
Donnel : Ben... c't-à-dire... euh... Rien, en fait.
Tharja : Je ne comprends pas.
Donnel : J'avons b'soin d'rien, alors... J'te demande rien.
Tharja : Il doit bien y avoir une raison pour que tu m'aides comme ça.
Donnel : Ben non. C'est juste comme ça qu'on fait dans mon village. Si un mage voulait j'ter un sort, on lui donnait tous un coup d'main. Pareil pour construire les granges, réparer les clôtures ou épandre le fumier !
Tharja : Attends. Vous aidiez les mages à jeter des sorts ?! Sur vous ?!
Donnel : Ben oui. C'est ça, les sorts, non ? Utiliser la magie noire pour faire l'bien de tous ? En t'aidant, j'aidons tous les Veilleurs... Pas vrai ?! Bon sang, c'est ça qu'tu d'vrais faire ! Tu d'vrais j'ter encore PLUS d'bons sorts !
Tharja : Je ne sais pas qui t'a donné ce genre d'idées, mais... ça ne marche pas comme ça.
Donnel : Ah ?
Tharja : Après cette révélation, j'ai peine à croire que ton village existe toujours... Mais soit ! Je vais voir si je peux trouver quelques... « bons sorts » à lancer... En attendant, continue à me ramener les spécimens dont j'ai besoin.
Donnel : Wouuuhouuu ! Pas d'souci !
Tharja : Je crois que cet arrangement va être très utile... surtout pour moi.
Soutien A :
Donnel : Tharja, tes sorts sont ben bons ! Tout l'monde est en pleine forme !
Tharja : Hmm...
Donnel : C'te rhum qui traînait nous avait tous rétamés. Ça sentait l'roussi, jusqu'à c'que tu jettes ton sort et nous r'mette sur pied !
Tharja : Se débarrasser d'un rhume est assez simple, à vrai dire. Il suffit de lancer la malédiction sur la maladie plutôt que sur la personne.
Donnel : Ben, en tout cas j'sommes impressionné ! Mais y a un truc que j'pige pas... Pourquoi qu'tu veux pas que j'dise aux aut' qu'c'est toi qui les a guéris ?
Tharja : Je ne veux pas qu'ils se fassent de fausses idées.
Donnel : Quel genre de fausses idées ?
Tharja : Ils pourraient croire que je l'ai fait pour... le bien de tous. Ou pire encore... par pure bonté du cœur... *frissons* Or, je ne l'ai fait que pour te remercier de ton aide ! Si le bruit court que je fais le bien, je peux dire à ma réputation...
Donnel : Ben... 'toute façon l'résultat est l'même !
Tharja : Oui. Bref. Si tu veux que je soigne d'autres maladies, tu sais où me trouver. Cependant, n'oublie pas que ça marche dans les deux sens.
Donnel : T'inquiète pas ! J'continuerai à t'ramener des bestioles !
Tharja : Hé hé... Tu es vraiment très utile.
Soutien S :
Donnel : Hé, Tharja ! Ça y est ! J'avons trouvé tout c'que tu voulais.
Tharja : Ah, très bien. J'ai tout ce dont j'ai besoin pour mon prochain sort... Ne bouge pas... *halète*
Voilà... c'est... bon...
Donnel : Euh... Tharja ? J'peux t'poser une p'tite question ?
Tharja : Ça dépend... Dis toujours.
Donnel : C'est quoi l'sort qu'tu viens de j'ter ? D'habitude, tu m'dis à quoi servent tes sorts, mais pas aujourd'hui.
Tharja : Je faisais... ceci.
Donnel : Par les bretelles de mon papi ! C'est un ben bel anneau !
Tharja : Il est pour toi.
Donnel : Pour MOI ?!
Tharja : J'en ai fait un autre exactement pareil, pour moi.
Donnel : Hé hé ! Ça sent la d'mande en mariage tout ça !
Tharja : Eh bien, aux yeux de la société, on peut dire qu'il s'agit d'un mariage. Cependant, en réalité, je voudrais faire de toi mon... serviteur personnel. J'ai lu quelques livres. Et c'est la façon la plus simple d'assurer ta coopération.
Donnel : Lu quelques livres ? Y a des chapitres sur l'mariage dans tes tomes d'magie noire ?
Tharja : Euh, sur ce qui plus tard est devenu le mariage, pour être exact. Tu serais surpris de savoir combien de rites sociaux découlent des arts obscurs. Dans le cas présent, l'échange d'anneaux crée un lien indestructible. Il symbolise un pacte solennel entre deux êtres qui resteront unis jusqu'à la mort.
Donnel : Hé hé ! On dirait qu't'en pince pour moi, tu veux dire !
Tharja : *soupir* C'est... une autre manière de formuler cela. Si tu veux... Bref, j'ai besoin de ta réponse. Te lieras-tu à moi ?
Donnel : Si tu m'promets d'm'aimer jusqu'à la fin d'ma vie, j'disons pas non ! J'adorons chasser les bestioles et t'voir jeter des sorts ! J'pourrions faire ça pour l'éternité !
Tharja : Parfait ! C'est ce que je voulais entendre. Maintenant, mets cet anneau... Et sois à moi, pour TOUJOURS ! Mouah ha ha ha !
Donnel/Nowi :
Soutien C :
Nowi : Hé, je peux voir cette pierre ?
Donnel : Hein ?
Nowi : Aaaaaaah YAAAAAAAAH !
Donnel : Nom d'un chien ! Mais pourquoi qu't'as lancé ma pierre ?!
Nowi : Wouhou ! Je l'ai eu !
Donnel : Hééééé ! Attends une minute !
Nowi : Regardez ça, Donnel ! J'ai dégommé un faisan !
Donnel : *halète* J'me fiche d'ton oiseau, Nowi ! Ma pierre ! Où qu'elle est ?!
Nowi : Quoi, cette pierre ?
Donnel : Ouf ! Là voilà ! Pfiou...
Nowi : Oh, désolée. Était-elle importante ?
Donnel : Plus que tout c'que j'possède. C'est mon trésor à moi. Elle appartenait à mon pôpa...
Nowi : Oh mon dieu, Donnel ! Sniff... Je suis si désolée ! Je ne savais pas ! Je... OUUUUUUIIIIN !
Donnel : Hé... Pleure pas. J'sommes pas en colère... Plus maint'nant en tout cas.
Nowi : Sniff... Vraiment ?
Donnel : Oui. Y a pas d'mal, vraiment.
Nowi : Tenez ! Vous devriez avoir ce faisan. Je peux même vous le rotir ! Je ne sais pas à quelle température je dois souffler, mais à mon avis...
Donnel : Waaah ! Attends, ATTENDS ! J'allons faire un feu ! C'est ni l'moment ni l'endroit d'se changer en dragon, Nowi.
Nowi : Mais j'aime bien me changer en dragon...
Donnel : Regarde, on a plein d'bois sec. Bouge pas, j'allons nous faire un feu en un rien d'temps.
Nowi : D'accord ! Merci, Donnel !
Donnel : Eh bé, c'est pas passé loin !
Soutien B :
Nowi : Hé, Donnel. Vous avez toujours la pierre de l'autre fois ?
Donnel : Celle d'mon pôpa ? Pour sûr...
Nowi : Je peux la voir ? Je ne vais pas la lancer, promis ! S'il vous plaîîîîîît... Oooh, qu'elle est jolie. C'est pour ça que c'est votre trésor préféré ?
Donnel : Non, c'pas parce qu'elle est jolie. C'pour une promesse à mon pôpa.
Nowi : Une promesse ?
Donnel : Y m'l'a donnée avant d'mourir. L'avait toujours aimé les pierres, mon pôpa, mais celle-là, c'était sa préférée. Y disait qu'un pouvoir était caché d'dans. Qu'elle valait plus qu'elle en avait l'air. J'avons jamais compris c'qu'y voulait dire, mais c'est c'qu'y croyait. Alors j'lui avons promis qu'un jour j'trouverions comment libérer c'pouvoir !
Nowi : Waouh. Je suis jalouse.
Donnel : D'ma pierre ? Mais t'en as une qui t'change en dragon !
Nowi : Non, de la promesse à votre père ! Je n'ai jamais connu le mien. Je n'ai jamais pu lui parler...
Donnel : J'sommes ben désolé d'l'apprendre.
Nowi : Oh, mais je me souviens d'où je suis née !
Donnel : Ah oui ? Où ça ?
Nowi : Euh... J'ai oublié !
Donnel : Hein ? Mais t'viens juste de dire que...
Nowi : Non, je m'en souviens en général, mais pas là, tout de suite. Quand je m'en souviendrai à nouveau, je vous le dirai !
Donnel : Euh... J'comprenons pas tout mais j'avons quand même hâte d'savoir...
Nowi : Hé ! Vous voulez jouer ? C'est avec vous que je m'amuse le plus ici !
Donnel : Ah, Nowi ! Moi aussi j'trouvons qu't'es la plus drôle, ici !
Soutien A :
Nowi : Hé, Donnel ! Je me rappelle où je suis née !
Donnel : Ah, oui ? Alors, c'tait où ?
Nowi : C'est tout là-bas, à gauche !
Donnel : Hein ? À l'Ouest, t'veux dire ?
Nowi : Non, à gauche. De l'autre côté de l'océan et ensuite complètement à gauche !
Donnel : J'sommes pas sûr de t'suivre. T'as aucun autre repère ?
Nowi : Non, pas vraiment. On m'a enlevée juste après ma naissance.
Donnel : Oh, bon sang ! C't'horrible !
Nowi : C'est mon rêve de repartir un jour là où je suis née.
Donnel : Ah oui ?
Nowi : J'ai peut-être des amis ou de la famille là-bas, vous ne croyez pas ?!
Donnel : Ben, si j'trouve cet endroit, j'viendrait t'le dire tout d'suite !
Nowi : Promis ? Wouhou ! Oh, oh ! Et si c'est moi qui le trouve, je viendrai vous le dire aussi !
Donnel : Ça m'semble logique !
Nowi : Oui ! J'ai vraiment faim !
Donnel : Euh... Des fois j'avons du mal à t'suivre, tu sais, Nowi. Ais si t'as faim, j'avons posé quelques pièges y a une paire de jours. Tu veux v'nir voir si j'avons attrapé quelque chose ? Et si j'avons attrapé un lapin, j'te f'rai mon plat spécial !
Nowi : Wouhouuu ! Vous êtes vraiment le meilleur, Donnel !
Soutien S :
Donnel :Hé, Nowi. J'me disions l'aut jour... On a tous deux des choses à chercher, pas vrai ?
Nowi : Vrai !
Donnel : Ben, j'me dision, pourquoi qu'on les chercherait pas ensemble ?
Nowi : Oh, c'est une idée FABULEUSE ! Crachons par terre pour se le jurer !
Donnel : Euh... J'pensions à quelque chose d'un peu différent...
Nowi : Je n'ai pas assez mangé pour ça...
Donnel : Ahem. J'avons juste besoin d'un doigt...
Nowi : Oh ! Justement, j'en ai plein ! Cette promesse, c'est pour rester ensemble ?
Donnel : C'est une promesse de mariage.
Nowi : Hi hi ! Je le savais ! Les gens ne me croient pas, mais je suis plutôt maline.
Donnel : Donne-moi ta main, s'il te plaît.
Nowi : D'accord !
Donnel : Wouhou ! Ça t'va parfaitement !
Nowi : Ouiii ! On a réussi !
Donnel : Maint'nant, nous sommes promis l'un à l'autre.
Nowi : Une promesse est une promesse !
Donnel : Te fais pas d'souci, j'avons aucune intention d'te quitter.
Nowi : Merci, Donnel ! Je suis si heureuse !
Donnel : Boudiou, moi aussi ! J'allons danser une p'tite gigue, tiens ! Wouhouuu !
Donnel/Sully
Soutien C :
Sully : Rraaah !
Allié : Je me rends ! Je me rends ! P... Pitié !
Donnel : L'est comme ces ch'valiers dont môman parlait ! J'sommes bougrement jaloux...
Sully : Je ne suis pas COMME un chevalier. Je SUIS un chevalier !
Donnel : Waaah ! Comment qu'tu m'as entendu ?
Sully : La moitié du camp t'a entendu ! Tu n'es pas un modèle de discrétion.
Donnel : S'cusez-moi, Messire Madame ! J'voulions pas vous manquer d'respect ! Alors, euh... Vous pouvez m'dire comment c'est d'être un ch'valier ?
Sully : D'accord, si tu me tutoies et que tu ne m'apelles plus « Messire Madame ». Mais pourquoi tu demandes ? Tu veux devenir chevalier ?
Donnel : Moi ?! Houlà, non. Mais si un truc m'fait rêver, c'est ben les ch'valiers ! J'en avons jamais vu à la ferme, et pis là t'es d'vant moi, alors... Enfin, voilà. J'sommes juste curieux.
Sully : Curieux de savoir si je ressemble aux héros de tes histoires ?
Donnel : J'voulons rien t'imposer. Si c'est trop d'mander, tu peux l'dire.
Sully : Ça va... Viens me voir pendant le dîner. Nous pourrions parler.
Donnel : Merci ben, Messire Ma... Euh... Sully ! C'est vraiment gentil d'ta part !
Soutien B :
Donnel : Merci encore pour l'aut' fois, Sully. J'avons apprécié qu'tu prennes l'temps.
Sully : Quoi ? Notre discussion sur les chevaliers ? Je suis contente que ça intéresse quelqu'un.
Donnel : Vrai ? Parce que j'voudrons ben en savoir plus ! Si ça t'dérange point...
Sully : Allons ! Tu ne me feras pas croire que c'était si intéressant !
Donnel : P't-être pas pour toi, mais pour moi, c'est un nouveau monde !
Sully : Hmm... D'accord, mais je veux quelque chose en contrepartie, cette fois.
Donnel : Mais... J'avons rien à t'offrir, tu sais ? J'pourrions ben t'donner deux ou trois gorets dans quelques s'maines...
Sully : Je ne veux pas de ton bétail, Donny. Je veux tes histoires.
Donnel : Tu veux que j'te raconte ma vie à la ferme ? Ben, ça m'dérange pas d'en parler, mais c'est qu'c'est pas très intéressant !
Sully : Pour toi, peut-être. Mais pour moi, c'est probablement fascinant. J'ai grandi dans un château, souviens-toi. J'ignore tout de la vie de fermier.
Donnel : D'accord, j'te d'vons ben ça ! J'viendrons t'voir au dîner, ça t'va ?
Sully : Ce s'rait ben aimable !
Donnel : Ha ha ! Tu causes comme moi !
Soutien A :
Sully : Hé, Donny ! Merci pour tes incroyables histoires, l'autre soir !
Donnel : Tu parles d'la course de concombres ? Ou d'l'évasion des cochons ? Ha ha ! C'est pas aussi chic qu'la vie de ch'valier, mais on s'marre ben à la ferme, parfois.
Sully : Je ne me rendais pas compte de ce que j'avais raté en grandissant à la ville.
Donnel : J'serions pas pressé d'échanger nos vies si j'étions toi.
Sully : Hmm ?
Donnel : J'voulons pas t'gâcher l'plaisir, mais y a un tas d'choses pas drôles à la ferme aussi. J't'avons raconté qu'les bons moments... Mais y a aussi les mauvaises récoltes, les inondations, les brigands... Pis les cochons qui meurent d'maladie à presque toutes les saisons... Pour sûr, la vie d'fermier c'est pas une vie facile.
Sully : Je te crois, mais être un chevalier ce n'est pas si facile non plus. Derrière le code et les armures se cachent la politique et la traîtrise. Et tu dois toujours suivre les ordres qu'on t'a donnés, même s'ils sont stupides ! Crois-moi, les fermiers ne sont pas les seuls à avoir des problèmes.
Donnel : Alors, toi aussi tu choisissais les histoires qu'tu m'racontais, hein ?
Sully : Peut-être devrions-nous échanger nos histoires horribles, la prochaine fois.
Donnel : Euh... J'sommes pas trop pour s'faire peur. J'aimerions ben arriver à dormir après.
Sully : Je ne parlais pas de CE genre d'histoires... Juste des moins heureuses. Tu ne peux pas espérer comprendre la vie d'un autre en ne la voyant que d'un angle.
Donnel : J'croyons ben qu't'as raison ! Marché conclu !
Soutien S :
Sully : Hé, Donny. Tu veux toujours qu'on se voit pour échanger nos histoires ?
Donnel : Ben, oui, mais... Tu veux vraiment entendre plus d'mes histoires ? J't'empêchons pas d'faire d'aut' chose ? Ou d'voir d'aut' gens ?
Sully : Tu ne m'empêches de rien ! Mais si tu en as assez de nos discussions, dis-le.
Donnel : Pas du tout, Sully ! Bon sang, j'aimons causer avec toi plus que tout au monde !
Sully : Moi aussi ! Tu m'intéresses toujours, Donny !
Donnel : Oh, par les poules d'mon tonton ! Est-ce qu'elle veut dire que... Non... Elle peut pas vouloir dire qu'elle est intéresse... INTÉRESSÉE ?!
Sully : Donnel ? Qu'est-ce que tu marmonnes ?
Donnel : Elle a pas dit non plus qu'elle l'était pas... Hmm... mais...
Sully : HÉÉ ! Si tu as quelque chose à dire, dis-le moi !
Donnel : Waaah ! D'accord, d'accord ! Tiens !
Sully : Un anneau ?
Donnel : OH, BON SANG ! SULLY ! S'IL TE PLAÎT, ÉPOUSE-MOI !
Sully : …
Donnel : Désolé. J'voulions pas l'dire comme ça, mais si j'le disions pas j'allions exploser ! J't'avons raconté toute ma vie, l'bon et l'mauvais, et t'as tout écouté. J'savons qu't'es un ch'valier, et une sacrée jolie femme, et moi juste un cul-terreux... Mais tu t'es intéressée à mes histoires, et juste pour ça, j't'aimons.
Sully : Ne te dénigre pas juste parce que tu as grandi à la ferme...
Donnel : Tu penserais pareil si t'avais eu ma vie...
Sully : C'est une vie honnête. Le travail est dur, ton village pauvre et les temps difficiles... Mais je choisirais la plus odieuse porcherie aux dessous pourris de la cour. Il y a de la beauté dans la vie de fermier, j'en suis convaincue après t'avoir entendu. Et je crois que j'aimerais l'essayer...
Donnel : Alors... Est-ce que tu...
Sully : Oui, Donny. Quand la guerre sera finie, je veux vivre moi-même cette vie de fermier.
Donnel : Wouuuuuhouuuuu ! J'croyons êt' en train d'rêver !
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Avatar(homme)/Lissa Soutien C/B/A/S
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Gaius/Lissa Soutien C/B/A/S
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Gaius/Palne Soutien C/B/A/S
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Avatar(homme)/Cordelia Soutien C/B/A/S
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Henry/Olivia Soutien C/B/A/S
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Avatar(femme)/Anna Soutien C/B/A
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Avatar(homme)/Chrom Soutien C/B/A
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Tiki/Anna Soutien C/B/A
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Nowi/Lon'zu Soutien C/B/A/S
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Maribelle/Gaius Soutien C/B/A/S
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Cordelia/Lon'zu Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_90148
Zelcher/Stahl Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_90153
Lissa/Kellam Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_91731
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Libra/Tharja Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_91806
Virion/Sully Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_91863
Henry/Sumia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_91863
Nowi/Gregor Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_93096
Cordelia/Virion Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_93405
Nowi/Vaike Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_95202
Palne/Lon'zu Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_96156
Frederik/Zelcher Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_98109
Lon'zu/Olivia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_99920
Donnel/Cordelia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_99979
Donnel/Stahl Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-3-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_99981
Chrom/Lissa Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-4-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_106370
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Avatar(homme)/Lucina Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_107072
Donnel/Kellam Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110199
Donnel/Tharja Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110200
Donnel/Nowi Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110201
Donnel/Sully Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-5-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_110202
Stop les conneries maintenant, des fois j'oublie que je suis modo
J'aime les soutiens avec Anna .
Je vais m'occuper des soutiens Chrom/Sully Chrom/Maribelle Chom/Gaius Chrom/Olivia.
Voilà Voilà. Et pour les autres, oubliez pas d'en poster ici.
Chrom/Gaius :
Soutien C :
Chrom : Gaius, est-ce que tu as un moment ?
Gaius : Que se passe-t-il, mon royal ami ?
Chrom : Tu dois avoir beaucoup voyagé, n'est-ce-pas ? Je veux dire, dans ton ancien métier.
Gaius : Bien sûr. Mais je ne restais jamais au même endroit très longtemps. Il ne fait pas bon être connu quand on est un voleur.
Chrom : Je voulais savoir si tu avais eu la chance de voir le monde dans toute sa splendeur. J'ai fait des voyages diplomatiques, bien sûr, mais ce ne sont pas de vrais voyages. On ne voit rien de la contrée et les cours de tous les royaumes se ressemblent. Je me demande ce que ça fait de pouvoir parcourir le monde, libre du fardeau royal.
Gaius : Ha ! La royauté n'a pas idée, du haut de ses tours pointues, de ce qui se passe en bas ! Vous croyez vraiment que nous sommes libres d'aller de-ci de-là sans soucis ? La vie n'est pas une partie de cache-cache dans la prairie avant que le repas soit servi.
Chrom : Oh, bien sûr que non. Je suppose que tu as eu une carrière difficile, mais...
Gaius : Pourquoi maintenant ? Vous êtes lassé des draps en satin et des bonnes manières ?
Chrom : Non, bien sûr que non. C'est seulement que la vie royale est tellement... guindée. C'est comme être enfermé dans une cage dorée.
Gaius : On dirait que vous ne connaissez pas votre chance...
Chrom : Je peux manger et boire à satiété, prendre des bains à volonté et dormir dans un lit. *soupir* C'est peut-être vrai. Que suis-je pour me plaindre de vivre dans le luxe ?
Gaius : Exactement.
Soutien B :
Gaius : Mon royal ami !
Chrom : Ah, Gaius. Que puis-je faire pour toi ?
Gaius : Est-ce que vous avez prévu quelque chose ce soir, après le souper ?
Chrom : Je dois m'assurer qu'il y ait assez d'armes dans l'armurerie pour la prochaine bataille.
Gaius : Oh, d'accord. Et demain ?
Chrom : Demain ? J'ai rendez-vous avec mes conseillers pour discuter de nouvelles stratégies.
Gaius : Alors jamais de pause pour Sa Majesté ?
Chrom : Je crains bien que non. Pourquoi ? Peut-être que je peux t'accorder du temps.
Gaius : Oh, ce n'est pas si important... Ou peut-être que ça l'est.
Chrom : Eh bien ?
Gaius : J'ai réfléchi à ce que vous avez dit, à propos de ne pas être libre.
Chrom : Et ?
Gaius : Je pensais vous donner un aperçu de liberté et d'insouciance.
Chrom : Comment comptes-tu faire ça ? Je n'ai pas le temps pour un voyage organisé.
Gaius : Pas de voyage organisé. Juste une sortie un soir. Prévenez-moi quand vous serez libre.
Soutien A :
Gaius : Vous avez fini de vous préparer ?
Chrom : De me préparer ? Vis-à-vis de quoi ?
Gaius : Allons, arrangez-vous un peu ! C'est ce que je ferais si j'étais vous.
Chrom : Je ne sais pas de quoi tu parles. Où allons-nous exactement ? Tu m'as dit de venir te trouver si j'avais un moment de libre. Me voici. Comment suis-je censé me préparer sans même savoir ce qui m'attend ?
Gaius : Ne soyez pas un rustre ! Nous allons dans un quartier animé. Il faut bien s'habiller, au moins un peu !
Chrom : Un quartier animé ? Je n'aime pas la tournure que ça prend...
Gaius : Vous n'allez pas fuir quand même, vous qui vouliez connaître le vrai monde. Je vais tout vous expliquer en cours de route.
Chrom : Mais, attends...
Gaius : Ha ha ! Alors, comment était-ce ?
Chrom : C'était intéressant... Oui, très éducatif.
Gaius : Et amusant ?
Chrom : Oui, je suppose. Je n'avais jamais vu quelqu'un jongler avec des jambons enflammés...
Gaius : Vous ne voulez pas l'avouer, c'est tout. Mais nous avons fait ce qu'il fallait.
Chrom : Nous avons fait ce qu'il fallait ?!
Gaius : Vous montrer le vrai monde. Vous disiez ne pas le connaître.
Chrom : Ah oui.
Gaius : Et vous le pensez toujours ? Je voulais vous faire connaître de nouvelles expériences, c'est ce que nous avons fait. Personne n'a tenté de vous arrêter. Pas d'obstacle excepté votre royale retenue. Roi ou vagabond le monde est ce qu'on en fait.
Chrom : Tu veux dire que... ce n'est pas mon devoir qui me retient... Juste mes jérémiades ? C'est moi qui me pose des barrières... Ah, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même !
Gaius : Allons, vous n'y allez pas avec le dos de la cuillère dorée. Vos épaules portent un fardeau plus lourd que je ne voudrais jamais en porter. Souvenez-vous juste que c'est l'attitude qui définit le monde dans lequel on vit.
Chrom : Et tu m'as emmené dans ce lieu de perdition rien que pour m'enseigner cette leçon ?
Gaius : Non, j'aime bien aller là-bas, mais seul un prince peut régler l'addition. Alors faites-moi savoir quand vous voulez y retourner, d'accord ?
Chrom : Je n'y manquerais pas...
Chrom/Maribelle :
Soutien C :
Maribelle : Oh ! Bien le bonjour, Monseigneur.
Chrom : Bonjour, Maribelle... Et s'il te plaît... Appelle-moi simplement « Chrom », ça ira.
Maribelle : Êtes-vous seul ici ? Miséricorde, que l'air est frais aujourd'hui ! Puis-je vous offrir une tasse de thé ?
Chrom : Ce ne serait pas de refus... Merci, c'est très gentil.
Maribelle : Oh, je vous en prie ! Pour une noble d'Ylisse, vous servir est un honneur !
Chrom : En tant de paix, sans doute. Mais nous sommes en guerre. Rois, nobles ou paysans... Nous sommes tous compagnons d'armes. Alors ne t'épuise pas en bonnes manières pour moi.
Maribelle : Oui, mais...
Chrom : Tu t'es battue avec autant d'acharnement que n'importe qui. Tu dois être épuisée.
Maribelle : Eh bien... J'avoue me surprendre parfois à espérer quelque répit. C'est alors que je réalise que ce doit être d'autant plus difficile pour vous ! La couronne est lourde de responsabilités... Je me dois de l'alléger comme je le peux !
Chrom : J'apprécie ta loyauter, Maribelle... Bien qu'elle soit un peu extrême. Promets moi simplement de faire attention à toi. Le feras-tu ? Pour moi ?
Maribelle : Vos désirs sont des ordres, Monseigneur. Laissez-moi juste m'occuper de ce thé...
Chrom : Je m'en charge. Merci.
Maribelle : Converser avec vous fut un plaisir. Qui sera bientôt renouvelé, je l'espère.
Chrom : Je l'espère également.
Soutien B :
Maribelle : Ha ! Le nombre de suspects grandit à vue d’œil.
Chrom : Euh... Pardon ? Qui est suspecté... ? Et de quoi ?
Maribelle : Oh, Monseigneur ! Je ne vous avais pas vu ! J'étais en train de revoir ma... liste.
Chrom : Ah, tiens. Une liste... ? Ça ne me dit rien qui vaille... Que contient-elle ?
Maribelle : J'y note les hommes qui s'approcheraient de Lissa d'un peu trop près ! C'est que, sans même s'en rendre compte, cet ange si délicat est une ensorceleuse. Et si un de ces hommes tente de grimper ses remparts, je le fais redescendre !
Chrom : J'aimerais vraiment que tu plaisantes... Pourquoi diable ferais-tu ça ?!
Maribelle : Ne comprenez-vous pas... ? Lissa est votre petite sœur, princesse de la maison royale d'Ylisse ! Il me revient, à moi, sa meilleure et plus loyale amie, de la sauver de ces coquins !
Chrom : Coquins ? Euh... Maribelle, je crois que ma sœur est capable de garder ses remparts elle-même.
Maribelle : Ha ha ha ! Vous, les hommes... Vous êtes si naïfs ! Même les grands hommes sont aveugles face aux mystères de l'amour !
Chrom : Quoi ?! Je ne suis PAS aveugle ! Et tu te fais des idées ! Il n'y a aucun mal à ce que Lissa ait des amis parmi ses compagnons d'armes.
Maribelle : Ce sont justement eux, les plus dangereux ! Car ils ont déjà gagné sa confiance ! Vous allez dire que j'en fais trop, mais j'ai déjà établi de rigoureux critères de sélection. Tout homme qui souhaite voir Lissa doit d'abord passer un entretien avec moi... ET fournir, bien évidemment, tous les documents nécessaires !
Chrom : Je suppose que c'est rassurant de savoir que Lissa est entre de bonnes mains. Ainsi, je peux compter sur toi pour veiller sur elle... ?
Maribelle : Bien sûr, Monseigneur ! Une femme de mon rang ne saurait en faire moins !
Soutien A :
Maribelle : Monseigneur ! Comment vous portez-vous en cette belle journée ?
Chrom : Hmm... Plutôt... bien ? Je suppose...
M : Si je puis faire quoi que ce soit pour vous aider, n'hésitez pas, je suis là.
Chrom : Merci, Maribelle. Mais tu dois vraiment arrêter de t'épuiser pour moi. Je n'en vaux pas la peine.
Maribelle : Ne dites pas de sottises ! Vous servir est un pur délice ! Je donnerais ma vie pour vous ou Lissa.
Chrom : Espérons que ce jour n'arrive jamais, et que personne n'ait à mourir pour moi.
Maribelle : Mais si ce jour venait, je serais la première à me jeter sur les lances de l'ennemi !
Chrom : Justement... Des soldats qui t'ont vue te faire capturer par Plegia m'ont raconté... D'après eux, lorsque l'armée plégienne a attaqué, tu es allée à sa rencontre. Tu aurais tenté de négocier avec ses généraux leur retrait d'Ylisse. Évidemment, ces corniauds en otage en réponse à ta requête. Dis-moi la vérité, Maribelle : as-tu fait cela pour moi et Lissa ?
Maribelle : Je n'ai pensé qu'à vous protéger, vous et Lissa. C'était là mon seul but ! Je sais bien que j'ai tort d'avoir pris une décision si radicale sans vous consulter ! Mais vous devez me croire, je...
Chrom : Assez, Maribelle. Je te crois. Mais tu dois me promettre quelque chose... N'entreprends plus jamais une action aussi téméraire... C'est compris ?
Maribelle : Oui, mais...
Chrom : De la même façon que tu nous aimes, Lissa et moi, nous t'aimons aussi. Si tu étais blessée à notre place, nous ne pourrions jamais nous le pardonner.
Maribelle : V... Vous êtes trop bon, Monseigneur. Je jure solennellement de ne jamais commettre à nouveau une telle folie !
Chrom : Ce n'était pas de la folie, Maribelle. C'était aussi brave... et noble. Mais pour gagner cette guerre, nous devons tous nous considérer comme égaux. Et si... Si Lissa et moi venions à te perdre, ce serait tout simplement insupportable.
Maribelle : Je n'aurais jamais cru... Cela n'arrivera plus ! J'en fais le serment !
Chrom : Nous devons nous serrer les coudes. Divisés, nous tombons, mais unis, nous vaincrons !
Soutien S :
Maribelle : Monseigneur ! J'ai fait infuser du thé parfumé et vous ai préparé des tartines. Reposez-vous.
Chrom : Eh bien, puisque tu t'es donnée toute cette peine... Mais... c'est de la confiture de groseilles ? C'était ma préferée quand j'étais enfant ! Comment le savais-tu ?
Maribelle : Mon petit doigt me l'a dit !
Chrom : Je parie que ce petit doigt s'appelle Lissa.
Maribelle : Oh, comme j'envie votre sœur ! Vous avez tant d'affection pour elle... Et vous avez passé votre vie ensemble ! Je ne lui arriverai jamais à la cheville...
Chrom : Maribelle, de quoi parles-tu ? Lissa est ma sœur. Tu es mon... amie.
Maribelle : Oui, mais vous êtes aussi de sang royal, et... Vous êtes entouré de ces femmes, nobles et raffinées ! En permanence ! Lissa et ses amies de la cour... Que vous devez passer de bons moments ! Je me sens si ennuyeuse et commune en comparaison...
Chrom : De bons moments ?! Ha ha ha ! Maribelle, la cour royale est d'un ennui mortel ! C'est mon devoir d'y être présent... mais pas le devoir le plus excitant qui soit.
Maribelle : M... Mais vous avez, j'en suis sûre, nombre d'admiratrices pendues à vos lèvres ! Comment trouveriez-vous de la place dans votre vie pour... Enfin, je veux dire... Comment trouveriez-vous de la place pour moi dans votre cœur ?
Chrom : Euh... Pardon ? Tu veux dire que...
Maribelle : Attendez... J'ai dit cela à voix haute ?! Je viens de le dire tout haut, n'est-ce-pas ? Et fort, en plus... OH, MISÉRICORDE ! Chrom, faites comme si vous n'aviez rien entendu ! Je ne sais pas ce qui m'a pris ! C'est cette maudite fatigue ! J'ai la tête ailleurs ! Oh, que le sol s'ouvre et me dévore !
Chrom : Mais enfin, Maribelle ! Reprends-toi !
Maribelle : Euh... Hum... Pardonnez-moi, Monseigneur. Je ne sais pas ce qui m'a pris.
Chrom :Écoute, est-ce que...
Maribelle : Cela vous dérangerait-il que nous recommencions depuis le début ? J'ai une chose à vous dire, et elle mérite une meilleure introduction.
Chrom : Je crois que tu me l'as déjà dite... Mais... soit. Continue.
Maribelle : Monseigneur, je suis follement amoureuse de vous ! Je l'ai toujours été, même lorsque nous étions enfants. Pourtant je n'ai jamais eu le courage de vous avouer ce douloureux secret. Vous étiez à longueur de temps entouré des dames de la cour, alors que moi... Je me sentais si gourde... et provinciale ! Par honte, j'ai préféré taire mon affection.
Chrom : Je vois...
Maribelle : Mais je n'en ai plus rien à faire à présent ! Je devais le confesser, et j'en suis heureuse. Je me sens comme soulagée d'un énorme fardeau !
Chrom : Tu aurais vraiment dû me le dire plus tôt, Maribelle. Car en vérité... Je ressens la même chose pour toi.
Maribelle : V... Vraiment ? Oh, Chrom, ne plaisantez pas ! Pas avec ça !
Chrom : Je t'assure que je ne plaisante pas. Je t'aime tant... Et ce, depuis l'enfance. Ta prévenance, ta considération...
Maribelle : M... Monseigneur...
Chrom : Ceci te conviendra peut-être de la sincérité de mes sentiments...
Maribelle : Oh, ciel ! Un anneau ! Frappé du blason de la maison d'Ylisse ! Vous voudriez que je porte ce trésor ?
Chrom : Mes parents l'ont fait forgé pour célébrer ma naissance. Je l'ai toujours gardé en lieu sûr car je savais qu'un jour je l'offrirais... … à la femme que j'aurais choisie comme compagne... Comme épouse. Alors... oui. Je veux que tu l'aies.
Maribelle : M... Monseigneur ! C'est un rêve devenu réalité... Je ne l'enlèverai jamais !
Chrom : Je me demande comment Lissa prendra la nouvelle...
Maribelle : Lissa ? À n'en point douter, elle sera de loin la plus enthousiaste ! « Mon grand frère va ENFIN se marier », dira-t-elle !
Chrom : Ha ha ! Tu sais, je crois que tu as raison.
Chrom/Sully
Soutien C :
Chrom : Hmm... ? Oh, bonjour, Sully.
Sully : Bonjour, Chrom.
Chrom : Tu es seule ici ? Je croyais que tu serais avec Lissa et les autres femmes.
Sully : A préparer le dîner pour ces braves messieurs ? Je préfère m'occuper du feu.
Chrom : Cela me semble beaucoup de travail pour une seule personne.
Sully : Préféreriez-vous que je cuisine ? Ou que je couse ? Non, merci, je déteste ces sottises.
Chrom : Hmm... Je comprends... C'est vrai que tu n'es pas exactement une... Euh...
Sully : Une quoi ?! Une dame ? Allez-y, dites-le. Ça ne me dérange pas.
Chrom : Eh bien, je suppose que chacun a ses propres talents. Je ne sais pas non plus cuisiner ou coudre... Je pourrais au moins t'aider ?
Sully : Ah ! Ne vous en faites pas, Chrom... Je m'en occupe.
Soutien B :
Chrom : Oh, bonjour, Sully.
Sully : Bonjour, Chrom.
Chrom : Où-emmènes-tu tout cet équipement ? Ça a l'air lourd... Tu as besoin d'aide ?
Sully : Pff ! Ce n'est rien. J'essaie juste de mettre un peu d'ordre dans cette porcherie.
Chrom : On dirait qu'à chaque fois que je te vois, tu travailles sans te ménager. N'en fais pas trop, d'accord ? Je ne veux pas que tu t'épuises à la tâche...
Sully : Ah ! C'est exactement ce que je cherche à faire, Chrom. Cela fait partie de mon entraînement.
Chrom : Tu t'entraînes à... faire le ménage dans les tentes ?
Sully : Bon sang, ce que vous pouvez être épais, parfois... J'entraîne mes MUSCLES ! Porter des objets lourds augmente ma force physique bien plus vite que les duels. Cela améliore aussi la coordination et l'équilibre... Vous voyez ?
Chrom : Oh. Oui, je comprends maintenant... Et en prime, la tente est propre !
Sully : Je vise toujours l'efficacité, et m'acquitte avec plaisir des tâches qui m'entraînent.
Chrom : Je suis sûr que tu as fait d'énormes progrès... Tu veux me montrer ça ?
Sully : Ha ha ! Venez donc par ici, petit homme ! Mais ne vous mettez pas à pleurer quand je vous aurai étalé par terre.
Soutien A :
Chrom : Waaah ! Yah !
Sully : AAARGH ! GRAAAH !
Chrom : *halète* Waouh... Je suis... épaté, Sully... Vraiment ! Il y a plus de force dans tes attaques que jamais. C'est comme essayer d'arrêter un arbre dans sa chute.
Sully : *halète* Ah... ! Merci, Chrom. Ça me touche, venant de vous. Votre défense est solide comme un roc. J'ai l'impression de taper contre un mur. Vous n'avez pas chômé non plus, on dirait...
Chrom : On m'a appris que le meilleur raccourci est celui que l'on ne prend jamais. Car rien ne remplacera jamais les longues heures de pratique !
Sully : Ah ! Je me souviens de ce discours ! Bon sang, ça ne nous rajeunit pas...
C : Te souviens-tu des raclées que l'on se mettait, à jouer au roi et au bandit ?
Sully : Ah ! Certaines choses n'ont pas changé... contrairement à d'autres ! Mais c'est vrai qu'on y allait franchement, à l'époque... Les garçons comme les filles. Vous souvenez-vous de nos escapades hors de la ville, pour aller grimper aux arbres ? C'était le bon vieux temps...
Chrom : Nous avons tous deux beaucoup progressé, et pourtant nous restons de force égale.
Sully : Et comment ! Je ne laisserai pas Sa Majesté me surpasser si facilement ! En fait, si je m'entraîne autant, c'est surtout pour vous priver de cette satisfaction...
Chrom : Sully ? J'espère que tu ne changeras jamais. Tu es la seule femme avec laquelle je peux me permettre ce genre de chose, tu sais ?
Sully : Sans doute parce que les autres filles ont toutes décidé de devenir des DAMES. Vous savez... parfois je me demande si je...
Chrom : Non, Sully. Tu es parfaite comme tu es. Je ne voudrais pas te voir changer. On peut s'entraîner ensemble, parler d'égal à égal... Tu es une partie de mon passé qui n'a pas changé... comme une ancre m'y rattachant.
Sully : Vous vous jouez de moi... ? Enfin, Chrom... Si cela vous va, je m'assurerai de ne pas changer.
Chrom : Bien. Et c'est un ordre.
Sully : Pff... Comme si je vous avais déjà écouté...
Soutien S :
Sully : Oh, Chrom ! Enfin, vous voilà.
Chrom : Qu'y a-t-il, Sully ? Tu viens pour un autre duel d'entraînement ?
Sully : Non... Pas aujourd'hui, en tout cas.
Chrom : Oh, d'accord. Qu'est-ce que tu voulais ?
Sully : Vous rappelez-vous m'avoir dit l'autre jour que j'étais une partie de votre passé ? Vous avez utilisé le mot « ancre »... Que vouliez-vous dire par là ?
Chrom : Ce que je voulais dire ? Euh... Eh bien... Je ne sais pas... J'ai juste dit tout haut ce que je pensais sans vraiment... y penser. Je ne veux pas que tu changes pour les autres. Je veux que tu restes toi-même. Désolé, je sais que c'est un peu vague...
Sully : Non, ça me suffit. Vous m'acceptez... simplement comme je suis.
Chrom : Oui, bien sûr.
Sully : Mais seulement car vous ne voyez en moi que le garçon manqué que j'étais ! Les autres filles sont devenues des DAMES, et cette bonne vieille Sully n'a pas changé !
Chrom : Ça te dérange que je te considère comme une amie d'enfance ?
Sully : Non ! Bien sûr que non ! C'est que... Je suis aussi une femme, imbécile ! Je ne sais pas cuisiner ou faire le ménage... Parfois, je brûle la lessive aussi, mais...
Chrom : Écoute, je suis désolé, mais je n'arrive pas à te suivre.
Sully : Raah ! C'est... Je ne... Je vous apprécie, vous savez ? Comme... Comme une fille... aime un gars ?
Chrom : Oh...
Sully : Alors, en tant que gars, vous croyez que vous pourriez... m'aimer ? Pour toujours ?
Chrom : Tu ne serais pas en train de me demander en mariage ?
Sully : Et vlan ! Les gros sabots ! Je n'ai jamais rien fait de tel de ma vie, Chrom. Vous me tuez, là !
Chrom : Eh bien, au moins maintenant je sais de quoi tu parles. Et... oui. Bien sûr que je le veux.
Sully : Quoi ?!
Chrom : Tu me demandes si je veux être avec toi, c'est bien ça ? Non ? C'est vrai que je me sens proche de toi comme d'une amie, et alors ? En cela, nous sommes plus proches que bien des couples, et je n'y vois aucun mal.
Sully : Mais... bon sang ! Je ne suis pas un de vos amis ! Je suis une femme !
Chrom : Je sais ! J'ai compris ! Et je dis oui, en tant qu'homme.
Sully : V... Vraiment ? Comme ça ?
Chrom : Je n'oublie ni que tu es une femme, ni tes prouesses sur le champ de bataille. Et aux dernières nouvelles, il n'était pas requis de savoir cuisiner pour se marier. Je t'aime Sully. Je t'aime beaucoup. Et j'espère que tu sais à quoi t'attendre. Porter sur ses épaules le destin d'une nation est une lourde responsabilité. Tu hériterais de la moitié de ce fardeau. Es-tu sûre d'en être capable ?
Sully : Vous plaisantez ? Vous avez vu mes épaules ? Si quelqu'un vous cause des ennuis, vous me l'envoyez et je m'en occupe.
Chrom : Ah ! Voilà le genre de soutien inébranlable dont un dirigeant a besoin ! Je t'offre en retour mon soutien éternel. En ce jour et pour tous les autres à venir. Tiens, ceci est pour toi.
Sully : Pincez-moi, je rêve ! C'est un anneau frappé du blason de la maison d'Ylisse ! Je ne sais pas, Chrom. Il a l'air de valoir une fortune.
Chrom : Mes parents l'ont fait forgé pour célébrer ma naissance. Je l'ai toujours gardé près de moi, et je ne vois aucune raison pour que ça change. La seule différence est qu'à présent, il sera attaché à un trésor plus grand encore.
Sully : Chrom, il est... Il est magnifique. Merci.
Chrom : Ah ! Maintenant c'est à mon tour d'être troublé... Il va falloir qu'on s'y habitue. Nous avons heureusement le reste de nos vies pour ça.
Sully : Même si je suis votre ancre, je me sens si légère à présent que je pourrais m'envoler ! Je... Je vous aime, Chrom. Je crois que je vous ai toujours aimé.
Chrom/Frederick
Soutien C :
Frederick : Je viens de terminer ma ronde autour du camp, Mon Prince. Tout semble en ordre. Je n'ai constaté aucune trace de l'ennemi dans les environs. Il s'agit donc d'un lieu sûr où nous pourrions passer la nuit.
Chrom : Excellente nouvelle. Merci, Frederick.
Frederick : J'ai profité de l'occasion pour inspecter également notre armurerie. J'ai placé tous les objets présentant une usure patente devant votre pavillon. Libre à vous de les faire réparer ou de les vendre. Mais un choix rapide s'impose.
Chrom : Eh bien, je vois que tu as travaillé dur... Ton zèle m'impressionne toujours. À côté de toi, j'ai l'impression de ne rien faire.
Frederick : Je n'ai fait qu'accomplir mon devoir de chevalier d'Ylisse, Monseigneur. J'ai par ailleurs remarqué que vos séances d'entraînement causaient un certain remous. Aussi me suis-je permis de protéger les tentes autour des espaces d'entraînement.
Chrom : Hmm, je vois. Navré de t'avoir importuné de cette façon...
Frederick : Ce n'est rien. C'est un plaisir de pouvoir me rendre utile. De plus, je me suis procuré des couvertures pour nous réchauffer la nuit. Celles-ci se déclinent en plusieurs couleurs. Choisissez la couverture qui vous plaira. Si je puis me permettre, le rose vous va comme un gant, Monseigneur. Mais vous souhaitez peut-être une couleur plus neutre... Essayons le bleu ! Voici. Acceptez également ces deux couvertures de rechange.
Chrom : Frederick, tu n'es jamais... fatigué ?
Frederick : Que dites-vous là, Monseigneur ? Je ne vis que pour servir. Ah, j'oubliais... J'ai aussi pris des mesures pour remonter le moral des troupes. J'ai commandé à un artiste le portrait de Monseigneur en plusieurs exemplaires. Vous y apparaissez pour une pause osée : nu, avec une épée, la mèche au vent. Sur chaque image figure notre nouvelle devise : « Tous avec Chrom ! ». J'ai jugé utile de faire accrocher ce portrait de vous dans chaque tente. Nos hommes ne manqueront pas d'adhérer à ce principe fédérateur.
Chrom : Une seconde... Ne me dis pas... ?! Tu as suspendu ce portrait dans TOUTES les tentes ?!
Frederick : Ne me remerciez pas, Monseigneur. C'est tout naturel. Bien, j'en ai fini avec mon rapport. Tâchez de vous reposer, Votre Altesse.
Chrom : Fre... Frederick... ! Attends, il faut vraiment qu'on... … parle. Diable. L'heure est grave. Il faut enlever ces portraits avant qu'il ne soit trop tard.
Soutien B :
Frederick : Mes plus sincères excuses, Monseigneur. J'ai observé la hâte avec laquelle vous avez enlevé vos portraits, et je me suis dit que...
Chrom : Je n'ai jamais été aussi embarrassé de tout ma vie. Parole d'honneur ! Quand je suis arrivé sous la tente de ma sœur, elle riait comme une baleine ! Écoute, Frederick. Il faut qu'on discute. Je sais que tu as de bonnes intentions, mais... Par moments, tu en fais peut-être un peu trop. Et parfois ça tourne au cauchemar ! En tant qu'adulte, je suis parfaitement capable de prendre soin de moi.
Frederick : Loin de moi l'idée de contester vos capacités. Mais j'ai des devoirs... S'il arrivait malheur à Lissa ou vous, je ne pourrais me le pardonner... Il me saurait impossible de l'accepter.
Chrom : Mais il y a quand même une différence entre un chevalier et une nounou !
Frederick : Je... Je préfère vous causer quelque embarras plutôt que de faillir à ma mission.
Chrom : Très bien. Je vais essayer de t'exposer les choses différemment. Disons que tu es un prince ou un roi, et moi ton fidèle chevalier. Mettons à présent que tu éternues. Je ne parle que d'un petit éternuement. Là, imagine que je cours vers toi avec une petite laine et une tasse de thé ! Et si tu parlais soudainement d'une envie de poisson. Comme ça, au hasard... Là, je plonge au péril de ma vie dans des eaux glacées pour satisfaire ton appétit ! Ou alors imaginons l'invraisemblable : tu es fatigué, tu bâilles... Là, je t'envoie une heure durant des charrettes entières d'herbes médicinales ! Alors ? Qu'est-ce que tu en penserais ?
F : Monseigneur, je... Cela m'enragerait certainement. Je me sentirais humilié.
Chrom : Ah, tu vois ! Au-delà d'un certain seuil, ce n'est plus de l'aide mais de la torture ! Je respecte tes devoirs de chevalier. Mais il faut rester raisonnable ! Tu n'as pas à faire preuve d'autant de diligence envers ma sœur et moi ! Rien ne nous ferait plus plaisir que de te voir profiter de la vie !
Frederick : S'agit-il d'un ordre, Votre Altesse ?
Chrom : Si c'était le cas, j'imagine que tu obéirais sans sourciller. Mais c'est justement ce que j'essaie d'éviter. Ce n'est pas un ordre, Frederick. C'est un simple conseil d'ami.
Frederick : … Très bien. Si tel est votre souhait, je vais limiter mon action au strict minimum. Navré de vous avoir importuné de la sorte.
Chrom : Merci de ta compréhension. Je te remercie aussi pour ton dévouement.
Frederick : C'est un honneur que de vous servir.
Soutien A :
Frederick : Voilà pour le rapport, Monseigneur...
Chrom : Parfait. Merci bien.
Frederick : *soupir*
Chrom : Eh bien, je crois que je ne t'ai jamais entendu soupirer. Tout va bien, Frederick ?
Frederick : Mes excuses ! J'aurais souhaité vous épargner cela...
Chrom : Pas d'inquiétude... Mais, dis-moi, tu n'as rien, au moins ?
Frederick : Non, tout va bien, Monseigneur. Je suis en parfaite santé.
Chrom : C'est que tu as mauvaise mine... Tu es pâle comme un cadavre. Tu pourrais presque rejoindre l'Armée des Ombres ! Certains Veilleurs se posent même des questions...
F : Je le regrette. Seulement, j'ai... En fait... J'ai l'impression de ne pas vous être utile... à Lissa... et à vous...
Chrom : Hmm ? J'ai du mal à te suivre...
F : Oh, ce n'est rien ! Vraiment ! Je... J'ai besoin de repos, voilà tout...
Chrom : Dans ce cas, va te reposer ! Et n'hésite pas à me faire part de tes inquiétudes. Sinon... Avant que j'oublie... Merci d'avoir réparé les tentes de toutes nos troupes. Pour ma part, je suis bien heureux de ne plus être à la merci du vent.
Frederick : Monseigneur... Comment avez-vous su... ?
Chrom : Qui s'occuperait d'un détail aussi infime après une dure journée de bataille ?! Je te remercie donc à nouveau, mon ami. De la part de tout le monde. Certains jours, je ne sais pas ce qu'on ferait sans toi, Frederick.
Frederick : Monseigneur, je... Je ne sais pas quoi dire. C'est un honneur d'être complimenté par vous !
Chrom : Ha ha ! Je ne dis que la vérité, Frederick. Rien de plus. Mais excuse-moi, il faut que j'aille parler à Daraen.
Frederick : Faites donc ! Sa tente se trouve par là... Je me mets tout de suite au travail !
Chrom : Au travail ? Tu ramasses des pierres ?! Frederick, qu'est-ce que tu fabriques ?!
Frederick : C'est qu'avec tous ces obstacles dangereux sur votre chemin, vous comprenez... Mais... je ne voudrais pas me mettre moi-même en travers de votre chemin ! N'ayez crainte ! J'ai tracé un chemin annexe qui me permettra d'arriver avant vous !
Chrom : Hum... Frederick... ?
Frederick : Ai-je omis quelque point important ? Ah oui ! Toutes ces vilaines orties pourraient vous donner de l'urticaire !
Chrom : Ce n'est pas ce que j'allais dire...
Frederick : J'ai été bien distrait ! Mais je vais les déraciner de ce pas ! Point d'inquiétude !
Chrom : Bon sang...
Frederick : Et voilà, vous pouvez à présent gambader joyeusement à travers le camp !
Chrom : C'est ce que tu entendais par limiter ton action au strict minimum ? Enfin... S'il est heureux ainsi...
Frederick : Vous disiez quelque chose, Monseigneur ?
Chrom : Je... Mais... Frederick ?! Ne vois-tu pas que j'ai une réunion avec Daraen ?!
Frederick : Oh oui... Bonjour ! Et pardonnez-moi cette intrusion, Daraen.
Chrom : Frederick ! Tu n'es pas obligé de... Tu peux faire la poussière plus tard ! Et puis tu n'as pas besoin de dépoussiérer Daraen, d'ailleurs ! FREDERICK !
Chrom/Olivia :
Soutien C :
Chrom : Olivia. Que fais-tu ici toute seule ?
Olivia : Oh ! Monseigneur... Je veux dire, Chrom ! Votre Majesté ! Je suis venue ici pour... me détendre.
Chrom : Je suis désolé de t'interrompre pendant un instant de tranquillité, je m'en vais à...
Olivia : Non, ne partez pas ! Je veux dire, cela ne me dérange pas. Vraiment.
Chrom : Bien, dans ce cas...
Olivia : …
Chrom : …
Olivia : …
Chrom : … Tu n'es pas très bavarde, n'est-ce-pas ? Ce n'est pas grave, je suis également...
Olivia : Oh ! Avez-vous vu l'heure ? Je dois partir ! Je suis désolée !
Chrom : Olivia ? Je suis censé être le dirigeant d'Ylisse et le commandant de l'armée... Si je suis incapable de m'adresser à mes propres soldats... … je n'arriverai jamais à régner sur mes sujets. Il faut être bon orateur pour inspirer le peuple ou forger des alliances. Pourtant, chaque fois que je parle à Olivia, un silence inconfortable. Je dois trouver un moyen de briser la glace coûte que coûte !
Soutien B :
Chrom : Ah, voilà Olivia... Aujourd'hui, je vais trouver un moyen de prolonger la conversation. Je vais lui faire oublier sa timidité et établir un lien d'amitié ! C'est mon devoir en tant que dirigeant du royaume et chef des Veilleurs ! Tiens, mais c'est Olivia ! Tu es seule aujourd'hui ?
Olivia : Oh, Monseigneur... ! Je ne... faisais que m'entraîner pour la danse... Je suis si inutile au combat... C'est... la seule chose que je peux faire... pour vous et les Veilleurs. Alors, je m'améliore tant que je peux. Autrement, je ne mériterais pas d'être ici.
Chrom : Allons, Olivia. Inutile de te rabaisser de la sorte. Je ne te renverrais pas même si tu ne savais pas danser, tu sais.
Olivia : Désolée, je ne voudrais pas sous-entendre que...
Chrom : Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Au contraire... j'admire ta persévérance dans l'art de la danse. Tu pratiques beaucoup tous les jours, juste pour pouvoir nous inspirer de tes danses.
Olivia : Vous êtes très aimable, mais je suis si maladroite, et j'ai toujours tant à apprendre.
Chrom : Ne sois pas si modeste.
Olivia : Oh... je suis désolée pour ça !
Chrom : Non, non. C'est une bonne chose que tu cherches tout le temps à t'améliorer. Je pourrais prendre des leçons de toi en ce qui concerne l'assiduité à l'entraînement !
Olivia : Oh, Monseigneur ! Ne dites pas ça, vous m'embarrassez !
Chrom : Mais, je ne voulais pas...
Olivia : Euh...
Chrom : Qu'y a-t-il, Olivia ? Tu me regardes bizarrement.
Olivia : Oh, vraiment ?! Je suis désolée ! Ah ! Je dois partir !
Chrom : Olivia ?! Elle a filé. Cette fille est vraiment étrange... Au moins, nous avons réussi à échanger quelques mots. Continuons comme ça.
Soutien A :
Chrom : Olivia.
Olivia : Chrom ! Monseigneur !
Chrom : Tu pratiques encore aujourd'hui ?
Olivia : Oui, je viens juste de finir.
Chrom : Oh ? J'espérais que te me montrerais quelques mouvements.
Olivia : Oh, non... Je ne peux pas m'entraîner quand j'ai un public...
Chrom : Vraiment ? Mais sur le champ de bataille, tu n'hésites pas, pourtant.
Olivia : Sur une scène ou sur le champ de bataille, c'est différent, je n'ai pas le choix. Mais pour m'entraîner et répéter, j'ai besoin... d'être seule.
Chrom : Je suis surpris que quelqu'un d'aussi timide puisse être danseuse. Quoi qu'il en soit, tu n'as pas à avoir honte, tu danses magnifiquement.
Olivia : Sa Majesté Basilio... il a dit la même chose : « Tu es plus gracieuse qu'un vol de papillons, arrête un peu ! ». C'est ce qu'il a dit. Mais pourtant...
Chrom : Toi et Basilio êtes des connaissances de longue date, n'est-ce-pas ? Comment vous êtes-vous rencontrés ?
Olivia : Je lui dois mon honneur et ma liberté. Autrefois, je faisais partie d'une troupe itinérante. Un noble corrompu s'est amouraché de moi. Il m'aurait enlevée et m'aurait mariée de force sans l'intervention du khan.
Chrom : Ha ! Connaissant Basilio, je suis surpris que ce ne soit pas lui qui ait tenté de t'enlever !
Olivia : Vous insultez Sa Majesté ! « Un noble qui use de son pouvoir contre un plus faible n'est pas un noble ! ». C'est ce qu'il m'a dit, ce jour-là.
Chrom : Oui, Basilio a des principes sous son apparente décontraction. Il ne compte pas que sur son charisme pour séduire les dames ! Et il a raison.
Olivia : Je suis contente que vous pensiez ça de lui, hé hé hé !
Chrom : Hein ?!
Olivia : Que... j'ai dit quelque chose de mal ?!
Chrom : Non, pas du tout, c'est juste la première fois que je te vois rire. Cela m'a surpris.
Olivia : Oh, vraiment. Ai-je ri ?
Chrom : Oui, c'était un joli rire.
Olivia : Oh, Monseigneur, ne dîtes pas ça ! C'est tellement embarrassant !
Chrom : Je suis désolé de t'avoir embarrassée. Mais je suis content de t'avoir vue aujourd'hui. On commence à mieux se connaître, n'est-ce-pas ? J'ai hâte qu'on se rencontre à nouveau.
Olivia : Oh... oui, absolument. Moi aussi ! Je n'arrive pas à croire que Chrom et moi ayons réussi à nous parler normalement ! J'étais si terrifiée la première fois. C'est vraiment quelqu'un de très agréable...
Soutien S :
Olivia : Ah, Chrom, Monseigneur !
Chrom : Eh bien, quelle agréable surprise. C'est moi qui engage la conversation d'habitude.
Olivia : Oui... oui, c'est vrai, vous avez toujours fait l'effort de venir vers moi... C'est pourquoi je pensais vous retourner la faveur...
Chrom : J'en suis honoré. C'est amusant, tu deviens de moins en moins timide. Tu pouvais à peine me dire quelques mots au début...
Olivia : Oui, j'en suis aussi surprise... Autrefois, je n'aurais même jamais rêvé vous saluer ! Je préférais disparaître dans la nature !
Chrom : Quoi qu'il en soit, je suis reconnaissant envers Basilio. C'est grâce à lui que nous avons pu nous rencontrer et devenir amis.
Olivia : Oui, j'en suis très heureuse également.
Chrom : Et dire que j'aurais pu vivre toute ma vie sans connaître ce joli sourire !
Olivia : Il n'y a pas si longtemps, j'étais trop impressionnée pour sourire ! J'ai toujours été timide avec les gens, encore plus avec vous !
Chrom : Oh ? Suis-je si effrayant ?
Olivia : Oh, non, pas du tout. Mais vous êtes une personne importante, le chef des puissants Veilleurs... Vous avez l'air toujours si concentré et sérieux... ce n'est guère avenant.
Chrom : Oui, je suppose que ça me représente bien.
Olivia : Mais ça ira, car je n'ai plus du tout peur maintenant. *rires*
Chrom : Tu as vraiment le plus charmant sourire !
Olivia : Être avec vous me donne tout le temps envie de rire. Et quand vous souriez, je vois une autre facette de vous... Une facette que peu voient quand vous planifiez bataille sur bataille.
Chrom : Si je souris, c'est grâce à toi, Olivia. Oui, je crois que c'est le moment ou jamais...
Olivia : Pour faire quoi ?
Chrom : Olivia. J'aimerais rester à tes côtés plus longtemps. Pour toute la vie, en fait...
Olivia : Monseigneur !
Chrom : Je veux être avec toi, non pas seulement pour te voir danser, mais tous les jours. Je veux veiller sur toi et te rendre heureuse.
Olivia : Je n'arrive pas à y croire...
Chrom : Olivia, est-ce que tu veux être ma femme ? Est-ce que tu veux te marier avec moi ?
Olivia : Je suis si embarrassée, mais si vous pensez que j'en vaux la peine...
Chrom : Bien sûr que oui !
Olivia : Alors j'accepte. Ces conversations m'ont montré à quel point vous êtes attentionné. Je sais depuis longtemps que vous êtes celui avec qui je veux me marier.
Chrom : Oui, moi aussi ! D'ailleurs, en parlant de ça ! J'ai ceci sur moi depuis si longtemps. Je veux que tu le portes en symbole de mon amour pour toi.
Olivia : Quel anneau magnifique ! Mais... il porte la marque de la Maison d'Ylisse ! Je ne peux accepter, c'est un héritage familial inestimable !
Chrom : En effet. Mes parents l'ont fait forger à l'occasion de ma naissance. Ils m'ont dit de le donner à celle dont je tomberais amoureux. Ce que je fais à présent. C'est la preuve de notre amour éternel !
Olivia : Oh, merci Chrom. Je promets de le porter toujours, et de vous aimer pour le reste de ma vie.
Chrom : Tu n'as pas idée à quel point j'en suis heureux, Olivia. Je vais m'assurer de te rendre ce bonheur jour après jour.
Olivia : Oui, nous distribuerons aussi le bonheur autour de nous ! Je rêve d'un monde où tous les habitants seraient heureux.
Chrom : Je suis persuadé qu'ensemble, on peut arriver à réaliser ce rêve.
Maribelle/Frederick :
Soutien C :
Maribelle : Hmm...
Frederick : Ah, Maribelle. Comment allez vous ?
Maribelle :Bien, merci Frederick. Je voulais justement vous parler. Est-ce vrai ce que l'on raconte ? Vous êtes un majordome professionnel ?
Frederick : Un majordome ? Grand dieu, non. Je ne connais rien à ce métier. Je suis un chevalier, Madame.
Maribelle : Oh ? Ce n'est pas ce que j'ai entendu... Mais vous savez, les rumeurs... Euh... Que faites-vous ?
Frederick : Je prépare les habits de la princesse Lissa pour demain.
Maribelle : Cela ressemble beaucoup à ce que ferait un majordome.
Frederick : Probablement. Mais je ne fais cela que si j'ai du temps libre entre les batailles.
Maribelle : Et que ferez-vous après avoir fini de lui préparer ses vêtements ?
Frederick : J'irai voir où en est le dîner et choisirai le menu pour demain.
Maribelle : Mais vous ÊTES un majordome, en fait !
Frederick : Madame, certains de mes devoirs peuvent sembler être ceux d'un majordome, mais...
Maribelle : J'ai passé ma vie chez les nobles et, à n'en pas douter, vous êtes un majordome ! Servir le thé ? Nettoyer l'argenterie ? Faire les poussières ? Clairement, vous êtes...
Frederick : JE NE SUIS PAS UN MAJORDOME ! J'aime juste que les choses soit propres et en ordre.
Maribelle : Eh bien, vous êtes très compétent. Vous voudriez peut-être venir à mon manoir pour former mon personnel ?
Frederick : Madame, je ne crois pas...
Maribelle : Honnêtement, il devient impossible de trouver du personnel qualifié de nos jours ! Et notre majordome est si vieux qu'il ne peut plus travailler tous les jours... Nous ne voulons évidemment pas l'épuiser jusqu'à le tuer. Imaginez le scandale ! Mais une maison doit être entretenue, et que ferons-nous lorsqu'il cassera sa pipe ?
Frederick : Votre empathie est sans borne.
Maribelle : Nous devrons bien un jour le laisser partir en retraire, et lorsqu'il sera parti... Vous me rendriez un grand service si vous pouviez former notre personnel. Je suis sûre qu'ils pourraient énormément apprendre de vous ! Ce serait juste le temps que nous lui trouvions un remplaçant, biens sûr.
Frederick : Madame, pour la dernière fois, je suis un chevalier ! Je ne suis pas et je n'ai jamais...
Maribelle : D'accord ! Alors montrez-leur juste ce que vous faites ici ! Vous apprenez aux recrues à se battre ? Eh bien là, le combat serait contre la saleté.
Frederick : Certes, je suis chargé de l'instruction des jeunes Veilleurs... Mais ils savent presque tous déjà se battre. Je leur prodigue surtout des conseils.
Maribelle : Oh, bon sang ! Vous ne pourriez rendre les choses plus compliquées, encore ?! Bon, dans ce cas, formez-MOI et je LES formerai !
Frederick : Vous... former, Madame ?
Maribelle : Oui, formez-moi à toutes ces tâches ménagères. Et lorsque j'aurai appris vos secrets, je m'occuperai moi-même du manoir !
Frederick : Eh bien, je crois que c'est envisageable...
Soutien B :
Frederick : Ahem ! Madame ? Maribelle ? Il est l'heure de se réveiller.
Maribelle : Euuuuuuaaaah... Déjà ? Mais... Où est le soleil ?! On n'y voir rien dehors !
Frederick : La journée d'un majordome commence avant l'aurore. Et à moins d'avoir mal compris, vous vouliez étudier le travail d'un majordome, non ?
Maribelle :Euh, oui. C'est ce que j'ai dit, non ? Enfin, je crois...
Frederick : Bien. Nous commencerons donc par les tâches matinales. Un majordome doit préparer le thé pour ses seigneurs avant leur réveil.
Maribelle : *bâillement* Je suis SIIIIIIII fatiguée... Mais je devrais arriver à faire bouillir de... Oh, nom d'un... ! Cette bouilloire stupide s'est renversée !
Frederick : Faites-en donc bouillir à nouveau. Mais cette fois, faites attention. Et puisque vous venez de gâcher le thé de votre maître, que devez-vous dire ?
Maribelle : Je vous en prie, c'est ridicule... ...Bon, d'accord ! Désolée d'avoir renversé le thé, blablabla...
Frederick : C'EST INACCEPTABLE ! Maintenant, réessayez mais en y mettant plus de conviction.
Maribelle : *grommellement* Seigneur Frederick, je vous prie d'excuser ma maladresse ! Cela n'arrivera plus ! Car la prochaine, fois, c'est sur votre tête que je renverserai la bouilloire...
Frederick : J'ose espérer que vos grommellements étaient aussi en règle. Nous allons maintenant nous occuper de l'argenterie. Vous, polissez les cuillères.
Maribelle :Mais il me prend pour qui, à me faire polir des couverts ? Je suis une DAME ! Je devrais lui polir sa lance avant de la lui mettre dans le... Oh ! Vous voilà, Monseigneur ! J'ai fini ! Cela convient-il à Monseigneur ?
Frederick : ... C'EST INACCEPTABLE ! Je veux pouvoir me voir dans ces cuillères ! Recommencez !
Maribelle : GRRRRRRRRR !
Soutien A :
Frederick : Ah, Maribelle ! Vous êtes déjà debout ?
Maribelle : Vous savez, une fois qu'on s'y est habitué, ce n'est pas si dur de se lever tôt.
Frederick : Excellent. Et puisque vous êtes prête, commençons l'entraînement, voulez-vous ? Commencez par faire le thé, ensuite j'aurai une caisse d'argenterie à vous faire polir.
Maribelle : Attendez, Frederick ! Laissez-moi m'en occuper !
Frederick : Pardon ?
Maribelle : C'est juste que... Je m'inquiète pour votre pied. Je vous ai vu vous blesser l'autre jour. Vous devriez essayer de vous reposer.
Frederick : Eh bien... Oui, je vous le concède, cette blessure me dérange un peu... Honnêtement, je suis flatté que vous ayez remarqué. Personne d'autre ne l'a vue.
Maribelle : C'est grâce à l'entraînement que vous avez eu la gentillesse de me prodiguer. Je fais attention à ces détails maintenant. Alors, Monseigneur... Un peu de thé ?
Frederick : Oh, mais ce thé est excellent ! Quel mélange d'herbes utilisez-vous ?
Maribelle : C'est un concoction médicinale spéciale pour votre pied. J'ai discuté avec l'apothicaire hier soir, qui me l'a vivement recommandée.
Frederick : Oh, Maribelle...
Maribelle : Ou... Oui ?
Frederick : Vous avez pris mes leçons à cœur et compris le vrai sens du mot « service » !
Maribelle : Vous croyez ?
Frederick : Je ne suis pas majordome, mais je m'efforce constamment d'être un meilleur chevalier. La considération envers les autres... Le désir d'aider ceux qui sont dans le besoin... Je parle, bien sûr , du service comme pilier de la chevalerie.
Maribelle : Je n'avais jamais fait le rapprochement...
Frederick : N'importe qui peut apprendre à manier une arme ou à monter à cheval. Mais l'esprit de la chevalerie vient du plus profond de soi ! Maribelle, vous avez prouvé que vous compreniez ces valeurs.
Maribelle : Frederick, je suis... honorée que vous le pensiez. Je vais continuer à m'entraîner et ne jamais oublier vos leçons !
Frederick : Bien ! Rien ne me ferait plus plaisir que de vous voir développer vos talents !
Maribelle : Oh, mais vous continuerez à me donner des leçons, n'est-ce pas, Frederick ?
Frederick : Si c'est ce que vous souhaitez, Madame.
Soutien S :
Frederick : Alors, qu'en dites-vous ?
Maribelle : C'est délicieux, Frederick ! Votre thé à la myrtille est absolument divin.
Frederick : Et pourtant votre mélange de l'autre jour n'a rien à lui envier, Maribelle.
Maribelle : Mon cher Frederick, j'ai réfléchi... Quand cette guerre sera finie, êtes-vous sûr de ne pas vouloir venir au manoir ?
Frederick : Mais nous avions un arrangement. Je vous formais, et vous formiez votre personnel !
Maribelle : Je sais... Mais plus j'y pense et plus je crois que vous devriez venir. S'il vous plaît ? Même pour seulement quelques temps ? Parce que si vous veniez... nous pourrions... passer plus de temps ensemble...
Frederick : Comme un serviteur et sa maîtresse ? Non. Je ne puis accepter.
Maribelle : Me détestez vous, Frederick ? ... Suis-je si horrible ?
Frederick : En fait, mon affection pour vous a même grandi. Plus que vous ne l'imaginez...
Maribelle : Que voulez-vous dire ?
Frederick : Mon affection est telle que j'accepterais de rejoindre votre manoir une condition... Que vous acceptiez de m'épouser ! Maribelle, mon amour ! Me feriez-vous cet honneur ?
Maribelle : C'est un anneau ? Pour MOI ?! Dieux, il est beau !
Frederick : La pierre est modeste, mais je l'ai polie jusqu'à ce qu'elle brille autant que vous. Voudriez-vous bien l'accepter ?
Maribelle : Oh, Frederick... BIEN SÛR !