Mon but, c'est de débloquer un max de soutien avant de poster ici
Bon bah aller un autre soutien pour la route avec cette fois ci mon perso préféré en guest Star, Henry.
Henry x Olivia
Soutien C
H: Ooooh...Pauvre petit toutou ! Tu t'es fait mal à la papatte en tombant dans un trou ?
O: LAISSE CE CHIEN TRANQUILLE !
H: Hein ?! Mais qu'est-ce que... ?
O: Je te connais ! Tu es cette espèce de sadique qui fait de la magie noire !Ne t'approche pas de ce pauvre petit toutou !
H: Mais enfin, il souffre. Tu ne vois pas ? Sa patte est sûrement...
O: Arrête ! Je vais m'en occuper et le soigner !
H: Oh ! C'est encore mieux ! On peut s'en occuper tout les deux !
O: Tout les deux... ? Hé, attends une seconde...Tu ne comptes pas le sacrifier ou quelque chose dans ce style ?
H: Tu es folle ?! pourquoi je ferais ça ? J'adore les chiens ! Je veux le sauver ! Hein, mon toutou ? Oh, le bon toutou...Il est content que la folle veuille nous aider ? Mais oui, il est content... !
O: Hééé ! Non mais qui tu traites de folle ?! C'est toi le psychopathe, ici !
H: C'est une maladie reconnue ! Aie un peu de respect pour les malades !
O: Bon...oublions ça. Pour le moment, nous avons un chien à soigner. Pourrais-tu aller chercher des bandages ?
H: J'y vais de ce pas, fofolle...
Soutien B
O: Mais...Henry ?! C'est quoi ces taches rouges sur tes vêtements ?!
H: Eh bien, eh bien...On dirait du sang...Je me demande à qui il appartient...*lèche* Oh oh ! Mais c'est MON sang ! Hi hi hi ! J'ai dû être blessé pendant la dernière bataille. Qu'est-ce qu'on rigole ici !
O: Beurk ! Tu es dégoûtant...et vraiment bizarre...Et pourquoi rigoles-tu ?! Il faut s'occuper de cette blessure immédiatement !
H: Tu peux m'aider ? Je vais avoir du mal à atteindre la blessure, vu où elle est placée.
O: Aïe...C'est profond ! Comment as-tu fait pour ne pas remarquer ?!
H: J'ai un seuil de douleur plutôt élevé. Problème nerveux à ce qu'on m'a dit. J'ai déjà vu bien pire que ça !
O: Tu as vu PIRE ? Où ça ? Et Comment ?!
H: Quand j'étais petit, mes parents m'ont envoyé dans une école de sorcellerie. Comme tu peux t'en douter, certaines expériences tournaient parfois mal. Une fois, j'ai même mis le feu à mon visage ! Hi hi hi ! C'était le bon vieux temps...
O: Quelle négligence de la part de l'école ! Et tes parents ne t'en ont pas sorti ?
H: A vrai dire, mes parents s'en fichaient tant que je n'étais pas exclu. S'ils m'ont envoyé dans cette écolé, c'était avant tout pour se débarasser de moi. Mais ne t'en fais pas pour moi...Regarde ! Je m'en suis bien sorti, non ?!
O: Je vois...Derrière cet air enjoué, se cache en réalité une grande souffrance. Tu utilises ce masque pour dissimuler ta colère et ta profonde rancoeur.
H: Tu n'es pas la première personne à faire ce diagnostic ! Mais en fait...non. Pas du tout ! Je suis juste un type vraiment heureux.
O: Tu trompes les autres, mais pas moi... Je ne t'ai jamais vu sourir...vraiment sourire. Le monde su spectacle, ça me connait, et je sais quand quelqu'un joue un rôle. Chhh...ça va aller...Cette horrible école est loin derrière toi...Maintenant, baisse ta garde ! Montre-moi le vrai Henry !
H: Eh ben...C'est que tu es VRAIMENT folle, en fait !
O: Je ne suis PAS folle ! Et j'essaie de t'aider, alors tu pourrais au moins être poli ! Bon, ça y est. J'ai pansé ta blessure. Mais on n'en a pas fini tout les deux !Je veux que tu reveiennes me voir pour que je t'apprenne à faire sortir ces émotions !
H: Pas de problème...J'ai du temps libre...
Soutien A
O: Alors, quand tu te sens triste, tu mets ta bouche comme ça...
H: Tu veux dire come çaaaa ?
O: Non ! Vers le bas ! Le coin des lèvres vers le BAS ! *soupir* Je commence à croire que tu es incapable de changer d'expression. Ecoute, Henry...la vie, c'est comme la danse...Il ne s'agit pas juste de connaître les pas, tu dois aussi ressentir la musique !
H: Hi hi hi ! Tu compares tout à la danse. C'est vraiment hilarant !
O: Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. Et j'essaie de t'aider !
H: Ecoute, la folle...Je t'aim bien, vraiment. Mais tu dois laisser tomber ! Je souris juste parce que je suis heureux. Il n'y a rien d'autre à chercher.
O: C'est impossible. Je ne te crois pas. *s'étouffe* Ungh...Ng... !
H: Hé, tout va bien ? Tu fais des bruits bizarres.
O: Ma poitrine...est serrée...tout d'un coup...Je ne peux plus...respirer. J'ai... maaal !
H: Saperlipopette ! Une malédiction ! Je reconnaîtrais ces symptômes entre mille ! Quelqu'un a dû...
O: *halète* Henry...Je t'en prie...Tu dois...t'en aller...
H: QUoi ? Ne dis pas de sottises. Il ne te reste plus beaucoup de temps...Je vais dissiper ce sort, ça ne me prendra qu'un moment...Hmm...Voyons voir...*marmonne une incantation* KAAA-BOUM ! Adieu, malédiction ! On se reverra en enfer !
O: ...
H: Olivia ? Hé, Olivia. Ce n'est pas drôle. Réveille-toi, Olivia...Olivia ! Allez, Olivia ! Tu ne peux pas mourir maintenant ! NOOOOOON ! OLIVIAAAAAA ! Reviens-moi, Olivia ! Ne t'approche pas de la lumière ! NE T'APPROCHE PAS DE LA LUMIERE !
O: Arrête...de pleurer. Je...Je vais bien.
H: Hein ? Ouf...Tu es revenue ! Je me suis fait du souci pendant une seconde.
O: Eh bien, au moins j'ai pu enfin voir une autre expression sur ce visage...
H: Vraiment ? Je n'ai absolument rien remarqué.
O: Merci Henry. Tu m'as sauvé la vie.
Soutien S
O: Henry, je tenais à te remercier de m'avoir aidée la dernière fois.
H: Ce n'était rien. J'aurais même dû détecter les symptômes plus tôt. En tout cas, je vais trouver le responsable et m'assurer qu'il ne recommence pas. Oh, oui...ça va saigner, crois-moi...
O: Euh...Je suis vraiment contente que tu sois de notre côté !
H: Et moi, je suis vraiment content d'être du TIEN !
O: Tu as un très beau sourire, Henry...même si parfois il me fait froid dans le dos...
H: Tu es sérieuse ? Vraiment ?
O: Absolument ! Et je n'aurais jamais dû douter de sa sincérité ! Je crois que je vais arrêter de vouloir de donner des leçons.
H: Hééé ! Elles me plaisent, ces leçons...Et toi aussi, d'ailleurs... ! Je voudrais être tout le temps avec toi !
O: Henry ?
H: Tu crois vraiment que je venais à ces leçons pour exercer mes zygomatiques ? Bien sûr que non ! Je venais parce que je voulais te voir et être avec toi ! Se marier, ça te dit ? Fais attention, j'ai un sort tout prêt en cas de mauvaise réponse !
O: Qu...Quoi ?! Euh...Mais Henry, je...
H: Hi hi hi ! Je plaisantais. Je t'ai acheté un anneau. Regarde, il est massif et tout.
O: Bonté divine...il est vraiment MASSIF ! Tu es vraiment très étrange, Henry...Etrangement attirant...Alors, c'est oui...Marions-nous.
H: Waouh ! Tu ne le regretteras pas, Olivia ! Je te le promets !
O: C'est les plus beau jour de ma vie !
H: Hi hi ! Ecouter ces paroles me rend encore plus heureux qu'avant !
O: Je ne pensais pas que c'était possible !
Bonjour, dans le cadre d'un projet de création d'une page sur Fire Emblem Awakening en français qui serait profitable au plus grand monde et à toutes les personnes qui ne les ont pas développé, je vous réinvite à les poster ici. Ca faciliterait grandement la tache si beaucoup de monde s'y mettait. Merci
nyannn Voir le profil de nyannn
Posté le 25 avril 2013 à 08:36:49 Avertir un administrateur
G:J'ai toujours eu les doigts habiles
Quelle coquin ce Gaius (et oui Gaius>all)
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eclep Voir le profil de eclep
Posté le 25 avril 2013 à 16:50:28 Avertir un administrateur
J'ai beaucoup aimé le dialogue père/fils entre chrom et Iñigo, je le posterai ici à l'occasion
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eclep Voir le profil de eclep
Posté le 25 avril 2013 à 19:24:12 Avertir un administrateur
Chose promise chose due :
Chrom x Íñigo
Soutien C
Í: Père, j'étais si proche du rendez-vous avec cette fille magnifique... Si proche ! Pourquoi être venu me chercher si soudainement ?!
C: Nous devons nous préparer, Íñigo. Tout le monde est prêt à partir à la bataille. Si tu as perdu conscience de l'heure, tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même
Í: Oh... Oups... Très bien, il est temps d'écraser l'ennemi et de trouver une fille pour me récompenser !
C: ...
Í: Vous me dévisagez, père. Quelque chose ne va pas ?
C: Non. Je me demandais seulement si tu étais aussi comme ça dans le futur.
Í: Cela dépend de ce que vous voulez dire par « comme ça ».
C: Pour quelqu'un qui vient d'un futur apocalyptique, tu es bien insouciant. Il n'y a pas grand-chose qui t'intéresse, hormis tes conquêtes féminines... Lucina est si sérieuse et investie dans sa quête... Et toi tu n'as pas de but.
Í: Je n'ai pas de but ?! Père, sachez-le, je suis extrêmement investi dans ma quête !
C: Vraiment ?
Í: Oui ! Je ne m'arrêterai que quand toutes les filles du royaume connaîtront mon nom !
C: Ton but est d'être populaire avec les filles ? Tu as remonté le temps pour être populaire auprès des filles ?!
Í: Auprès de TOUTES les femmes, s'il vous plaît. Oui, je suis génial, je sais. Mais arrêtez, père, vous me faites rougir...
C: Je... Je ne sais vraiment pas quoi dire.
Í: Pourtant, ça ne vous dérangeait pas quand mère rougissait !
C: Non, ce n'est pas ce que... Ah... Par où commencer... ? Oh, et puis te parler me fatigue. Je pars devant.
Í: ... Pas grand chose m'intéresse, hein ? Il veut dire que j'ai rien dans la tête, oui ! Il est peut-être bonne pâte avec les autres, mais avec moi il ne se retient pas !
Soutien B
Í: Ouille ! Ca va mal. Je ne peux pas rentrer au camp dans cet état...
C: Quelque chose ne va pas, Íñigo ? Tout le monde est déjà rentré.
Í: Père... Euh... J'ai vu une jolie villageoise à la lisière du champ de bataille !
C: Tu mens encore plus mal que ta mère. Tu es blessé à la jambe, ça se voit.
Í: Tout va bi... GAAAAH ! Aïe ! Aïe, aïe, aïe ! Lâchez-moi ! Pas touche ! Au secours !
C: C'est une sérieuse blessure, Íñigo ! Pourquoi n'en as-tu pas parlé avant ?
Í: Et ruiner ainsi ma réputation ? Les filles veulent voir « Íñigo l'invincible ».
C: Assez, Íñigo !
Í: Père ?
C: Tu peux à peine marcher, et tu parles encore des filles ?! Sois un peu sérieux ! Vraiment, pourquoi es-tu revenu ? Lucina se bat corps et âme, mais toi... Je suis très déçu, Íñigo. Tu n'as pas idée de ce que la guerre signifie.
Í: ... Vous ne savez rien ! Vous ne savez rien du tout, père !
C: Quoi ?
Í: Pensez-vous que je serais revenu si c'était uniquement pour courtiser les filles ? Pour me battre tous les jours en ne sachant pas si je serai encore vivant le jour suivant ?
C: Íñigo...
Í: Vous pensez certainement que je suis un séducteur écervelé et un idiot. Pourtant beaucoup de gens dépendaient de moi dans le futur. Tous les jours, j'ai risqué ma vie en affrontant les morts-vivants. Tout le monde comptait sur moi, et je n'avais pas le choix, il fallait être invincible. Je ne pouvais pas montrer la moindre faiblesse. Pas au milieu de tous ces gens qui se battaient pour survivre... Et alors même que vous étiez morts, mère et toi, je devais faire bonne figure. J'ai dû me battre tous les jours de ma triste vie en gardant le sourire !
C: ...
Í: Vous disiez que je suis insouciant ? Je suis désolé de vous informer que ce n'est pas le cas. Je souris et je plaisante pour ne pas montrer de faiblesse. Même si cela vous offense, je pense que vous allez devoir faire avec.
C: Íñigo...
Í: Ceci dit, merci pour votre inquiétude. Je vais faire soigner ma jambe, à présent. (Íñigo part)
C: ... Je... Je n'avais pas idée...
Soutien A
C: Íñigo ? Je voudrais te parler.
Í: Père ! Regardez ! Ma jambe est guérie !
C: Très bien, mon fils.
Í: Merci de m'avoir fait votre remarque. Et désolé de vous avoir inquiété.
C: Non, c'est moi qui suis désolé pour ce que j'ai dit. C'était totalement injuste. Tu luttes en donnant le meilleur de toi-même. Je n'ai aucun droit de te critiquer.
Í: Est-ce que ça vous préoccupe encore ? C'est de l'histoire ancienne. Et puis j'étais dans le tort.
C: Mais...
Í: Sérieusement, ça va ! Pas de souci !
C: Hein ?
Í: Vous êtes toujours si lugubre. Cela me déprime ! On sourit, allez ! Guili-guili !
C: Ha ha ha ! Arrête ça ! Ca chatouille !
Í: Ha ha ! Voilà qui est mieux ! Je n'ai pas fait tout ce chemin pour vous voir triste !
C: C'était ton but ? Me rendre heureux ?
Í: Oui, vous, moi et tout le monde, j'imagine. Quoi qu'il en soit, je peux vous le dire maintenant...
C: Tu peux me dire ce que tu veux.
Í: Vous dites ça maintenant, mais je ne veux pas entendre de plaintes après coup ! Je suis tout sourire à l'extérieur, mais au fond je suis sensible. Et pessimiste. Oh, j'ai aussi... la larme facile. Et si une fille refuse mes avances, je suis bouleversé pour des jours et des jours...
C: Ha ha ha ! Arrête de plaisanter, je souris déjà, tu sais.
Í: Mais... Je ne plaisantais pas... A propos des filles, je veux dire.
C: Les filles ça va, tant que tu ne vis pas que pour ça. Tu es très fort, Íñigo, je suis très fier de toi.
Í: Père... Je savais que vous m'aimiez... Merci !!!
C: Íñigo, tu... m'étouffes ! Je ne peux plus... respirer !
Í: C'est de votre faute ! Pourquoi ne pas avoir dit ça plus tôt ?! Mais sachez que la même chose est valable pour vous. Que je sois damné si je vous perds deux fois.
C: Et moi donc, si je venais à perdre un fils si merveilleux !
Íñigo, ou comment remettre son père à sa place
Aïe.... J'ai eu le même dialogue entre Lon'Zu et Iñigo. Moi qui pensait qu'ils avaient fait un dialogue différent pour chaque père et enfant... Je me suis trompé
Donc en fait, quel que soit le père, le dialogue de soutien avec son enfant sera toujours le même... Au moins, ça a le mérite d'être clair.
Excellente idée de regrouper les dialogues de soutien ! Je viendrai en poster régulièrement :D
Pour revenir sur ce que disait sagara--sano à propos des dialogues Père-Fils pour ma part Virion était le père d'Iñigo et leur conversation n'est pas exactement la même (à 2/3 répliques près) mais globalement le sujet est identique (du moins pour le niveau C je n'ai pas débloqué les autres niveaux)
Allez c'est parti avec un classique :
Daraen (H) x Chrom
Soutien C :
D: Est-ce que je peux vous poser une question, Chrom ?
C: C'est le genre de phrases qui me fait envisager le pire...
D: Le jour où vous m'avez trouvé, inconscient et amnésique... Pourquoi m'avoir proposé de vous rejoindre ?
C: Eh bien... Tu l'as dit toi-même, parce que tu étais inconscient et amnésique...
D: Et c'est tout ? C'est votre motif ? Par pitié, c'est ça ?
C: N'est-ce pas suffisant ?
D: Vous n'avez jamais envisagé que cela pouvait être un piège ?
C: Inutile. C'est à Frederick de penser à ça.
D: Mais pourquoi...
C: Si je vois quelqu'un dans le besoin, je l'aide. C'est logique. C'est comme cela que je fonctionne. Tu aurais préféré que je te laisse sur le bord du chemin ?
D: Non, ce n'est pas ça, je suis reconnaissant pour ce que vous avez fait. Mais en même temps... cela me fait un peu peur. Esprit chevaleresque et survie ne vont pas forcément de pair, Chrom.
C: Ha ! Si je recevais une pièce d'or à chaque fois que j'ai entendu ce discours.
D: J'espère simplement que vous serez plus prudent à l'avenir.
C: Pas plus qu'avant. J'irai toujours au secours de quiconque en aura besoin.
D: Mais...
C: Je sais que tu dis ça pour mon bien, Daraen. Mais comme je l'ai dit, si je changeais mon attitude, ce ne serait plus moi.
D: Très bien. C'est vous qui commandez. Mais faites attention à vous, Chrom.
C: C'est d'accord... Tu as ma parole.
Soutien B :
D: Chrom, est-ce que ça va ?!
C: Oui... Pourquoi as-tu l'air si inquiet ?
D: J'ai entendu dire que vous aviez été attaqué derrière la tente qui nous sert de cantine !
C: Oh, ce n'était rien. À peine avions-nous croisé le fer que le malandrin a pris la fuite. Probablement un bandit du coin...Il faisait sombre, il a dû croire qu'il attaquait un marchand.
D: Vous l'affronté tout seul ?!
C: Pourquoi es-tu si contrarié ? Il s'agissait plus de le faire fuir que de se battre. Et puis je suis sûr que les marchands apprécieront mon geste.
D: Chrom, je vous en supplie, ne prenez plus de risques inutiles...
C: Nous sommes en guerre, tu sais ? Je prends des risques à chaque bataille.
D: Je n'ai pas peur que quelqu'un vous terrasse en duel, Chrom... mais plutôt qu'on vous poignarde dans le dos. Tout le monde ne partage votre sens de l'honneur et du combat à la loyale.
C: Et tu penses vraiment que je vais me faire avoir si facilement ?
D: Nombre de rois assassinés pensaient comme vous.
C: Je ne crois pas que...
D: Vous êtes notre capitaine, Chrom. Qu'importe le nombre de batailles gagnées si nous vous perdons. Vous n'êtes pas seul ici... Chacun de nous dépend de votre présence !
C: C'est bon... J'ai compris le message. Tu as raison, comme toujours. Je serai plus prudent à l'avenir. Merci, Daraen.
Soutien A :
D: J'ai entendu dire que vous étiez parti patrouiller avec certains de nos hommes.
C: Oui... Nous avons inspecté les environs autour du campement.
D: Vous savez ce que j'ai à dire là-dessus, n'est-ce pas ?
C: Que c'est trop risqué et que je dois faire plus attention.
D: Alors pourquoi...
C: Il est vrai qu'un assassin caché dans l'ombre pourrait me tuer. Mais il y a aussi beaucoup de gens là-dehors qui ont besoin d'aide. C'est la guerre, des gens souffrent. Je ne peux pas les ignorer.
D: Ne pouvez-vous pas simplement envoyer des hommes pour s'en charger ?
C: Non, je procède de la sorte pour de bonnes raisons.
D: C'est-à-dire... ?
C: Prenons ton cas, par exemple... Si je n'avais pas été là, et que Frederick seul t'avait trouvé au bord de la route... Nous serions-nous même rencontrés ?
D: Probablement pas.
C: Tu vois ? Et c'est la même chose pour tout le monde. Je sais qu'en sortant, je m'expose à des risques. Et je n'ai pas toujours été prudent. Mais c'est le prix à payer pour les liens que j'ai forgés.
D: Les liens ? Quels liens ?
C: Entre toi et moi. Entre moi et les autres. Et ceux qui m'unissent à tous les gens que nous rencontrons en chemin... Sans ces liens, nous ne serions pas allés si loin. C'est en eux que réside la force de notre armée. C'est ce que je pense... et je ne changerai pas d'avis là-dessus.
D: Difficile pour moi de rétorquer alors que je suis inclus dans votre exemple. Mais dans ce cas... Laissez-moi au moins venir avec vous.
C: Tu veux assurer mes arrières ?
D: Oui je l'avoue... Mais je veux aussi être là pour aider ceux qui en ont besoin... Comme vous m'avez aidé, moi. Et je serai à vos côtés pour vous à forger ces nouveaux liens.
Par contre faudrait trouver un moyen de savoir quels soutiens ont déjà été postés parce que pour l’instant le topic n'a que deux pages alors ça va mais par la suite... :D
Je posterai Tiki x Anna plus tard dans la journée
Un problème, j'ai la solution.
Page 1
Daraen(homme)/Lissa Soutien C/B/A/S https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_69471
Gaius/Lissa Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_71691
Daraen(femme)/Chrom Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_73184
Gaius/Palne Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_76626
Chrom/Inigo Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_76626
Avatar/Cordelia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-1-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_79235
Page 2
Henry/Olivia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_82812
Daraen(femme)/Anna Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_88602
Daraen(homme)/Chrom Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_88645
J'essaierais de mettre à jouer assez régulièrement.
Hoho, joli index !
Voilà Tiki x Anna
Soutien C :
A: Hmm… Je vois…
T: Hmm ?
A: Intéressant... Très intéressant...
T: Puis-je vous aider en quoi que ce soit ? Vous me tournez autour depuis quelques minutes, déjà.
A: Mes excuses, ô Oracle du Dragon Divin ! J'étais en extase en vous contemplant.
T: Je ne suis guère habituée à être observée de cette façon. J'ai l'impression d'être une créature exotique dans une ménagerie.
A: Mais je suis seulement curieuse. Après tout, vous avez vécu pendant des millénaires !
T: Ma longévité étonnante ne vous dispense pas de me traiter comme un être sensible. C'est en tant qu'alliée et amie, et non en tant qu'oracle, que je vous accompagne.
A: Est-ce que je peux avoir votre autographe comme symbole de cette amitié nouvelle ?
T: Mon... autographe ?
A: Oui, c'est facile ! Il suffit de signer de votre nom.
T: Je suppose que je peux vous accorder cette requête.
A: Vraiment ? Merveilleux ! Tenez, voilà qui devrait suffire pour commencer. Ho... hisse !
T: Bonté divine, quelle montagne de papiers ! Vous n'aviez pas mentionné que vous aviez besoin de plus d'un seul... autographe.
A: Certes, mais je n'ai jamais dit le contraire. Allons, ô Oracle... Faites-moi plaisir !
T: Il me semble vous avoir donné ma parole...
A: Vous êtes fantastique, Tiki ! J'ai une grande admiration pour ce que vous faites ! Notez que c'était un plaisir de faire affaire avec vous ! Hé hé hé !
T: ... Affaire ? Étrange, cela évoque des souvenirs lointains. Il y avait un marchand autrefois... Mais ma mémoire est encore embrumée par le temps...
A: Hé ! N'oubliez pas de signer ! Ici, là et là ! Vite vite !
T: ...
Soutien B :
A: Youhou ! Le commerce a explosé ! Rendons grâce à la piété des fidèles ! Qui sont désormais mes fidèles clients ! Mais comment nourrir cette ardeur ? Je pense qu'il est l'heure d'attiser leur fièvre des prophètes ! Hé hé hé !
T: Je vous ai entendu parler des prophètes. Est-ce là la raison de votre plénitude ?
A: T... Tiki ? Euh, je parlais de "profits", pas de "prophètes" ! Et je suis simplement heureuse que les batailles se soient si bien déroulées ! Hé hé ! Ha ha ha ! Haaaa...
T: Bien que votre joie soit bien fondée, il ne s'agit pas de se laisser emporter. Cette guerre est loin d'être terminée. Et nous ne devons pas oublier que nos adversaires paient nos victoires de leur vie. Bien que nos causes diffèrent, ils ont eux aussi une famille, des espoirs et des peurs.
A: ... Excepté les Ombres. Quels ennemis terrifiants... Oh, attendez, j'ai une idée lumineuse !
T: Je vous écoute.
A: Vous devriez prononcer un discours en faveur de la paix et de la fraternité ! Vous êtes l'Oracle, la voix divine ! Tout le monde vous écoutera et en sera inspiré !
T: Cela serait de la suffisance. Qui suis-je pour m'accorder le droit de donner des leçons ? Rien qu'un être qui a vécu plus longtemps que d'autres.
A: Mais votre longévité vous confère une sagesse que tout le monde n'a pas ! Vous pouvez faire une bonne chose ! Le public serait ému par vos paroles. Vous pourriez rappeler à tous quelles sont nos raisons. Notre but est d'assurer une paix durable pour nos alliés comme pour nos ennemis.
T: Peut-être y a t-il de la sagesse dans vos dires...
A: Faites-le pour leur bien ! Même rien qu'une fois !
T: Votre passion m'a convaincue. Je vais tenter de rassembler mes pensées.
A: Parfait ! Je savais que je pouvais compter sur vous, Tiki ! Il y aura des spectateurs par milliers, nous aurons besoin d'un grand espace... Un espace avec des boutiques de souvenirs à chaque sortie ! Hé hé hé !
T: Anna, je ne souhaite pas que cela devienne un événement d'une telle démesure. Je n'ai même pas encore préparé mon discours.
A: Ah, ne vous inquiétez pas, je connais du monde qui peut l'écrire pour vous. Oh ! Et on pourra réunir les spectateurs les plus influents après le discours ! Fantastique ! Hé hé hé !
T: Bonté divine...
Soutien A :
A: Waouh, personne n'attire les foules comme Tiki. Quelle popularité ! Il est des rois qui auraient tué pour connaître une telle adulation ! Le discours était complet, et j'ai épuisé tout mon stock de souvenirs de l'Oracle... Pincez-moi, je rêve !
T: Je comprends mieux, maintenant.
A: Tiki ?! Ha ha... toujours aussi furtive ! Hé hé... hé ? Ne me regardez pas comme ça, vous me faites peur...
T: Souhaiteriez-vous me fournir de plus amples explications, Anna ?
A: Des explications ? Non, je ne vois pas du tout où vous voulez en venir...
T: J'ai entendu dire que vous avez fait payer l'entrée lors de mon discours. De plus, il semble que vous ayez vendu mes signatures comme de vulgaires pacotilles.
A: Mais... mais il y avait une demande, Tiki ! Les gens en ont besoin ! En achetant vos écrits, ils obtiennent le bonheur... Et... j'obtiens une petite commission... parfois pas... si petite que ça...
T: Si vos actions poursuivaient un but altruiste, vous ne me les auriez pas cachées. Et maintenant, je vois votre honte écrite sur votre visage.
A: Mais attendez, je ne l'ai pas fait par cupidité ! Je le jure !
T: Une telle malhonnêteté ne fait qu'aggraver votre erreur.
A: Tiki ? Pourquoi avez-vous sorti votre dracopierre ?
T: Pour vous apprendre que tromper l'Oracle peut avoir de funestes conséquences. Maintenant, taisez-vous et préparez-vous à être avalée.
A: Aaaah, attendez ! Vous n'avez pas saisi mes intentions ! Je... Je fais don des recettes... ! Oui, c'est ça ! À des oeuvres de bienfaisance ! Je donne à l'orphelinat d'Ylisstol, ainsi qu'à... euh, aux Veuves de Gangrel ! Oh, et j'allais oublier la Société protectrice des wyvernes et autres montures !
T: ... Vous aviez l'intention de redistribuer les gains ?
A: Bien sûr ! Pour quel monstre de vénalité me prenez-vous ? C'est une question rhétorique, ceci dit. Je préfère ne pas entendre la réponse.
T: J'ai des doutes sur cette histoire... Vous n'aviez vraiment rien prévu d'autre ?
A: Quel voulez-vous dire ? Publier votre biographie-choc sans autorisation ? Ou, euh... une méthode de relaxation millénaire ? Ha ha ! Bien sûr que non ! Je n'ai jamais envisagé ce genre d'arn... euh... d'affaires.
T: ...Très bien, je vous pardonne pour cette fois. Mais les prochains événements seront ouverts à tous, quelle que soit leur richesse. Et vous allez me rendre la moindre pièce que vous avez gagnée en mon nom. Je vais tenter de rembourser chacune des victimes de votre filouterie.
A: Mais vous voulez donc me tuer ?!
T: Vous êtes libre de refuser. Auquel cas vous aurez une nouvelle opportunité de carrière. Dans la restauration...
A: Allez-y, prenez tout !
T: Merci de votre compréhension.
A: Mais je...
T: Quelque chose à ajouter ?
A: Non ! Rien du tout... C'est un plaisir de faire des affaires avec vous !
T: Vous devriez user de votre sens des affaires pour des choses plus constructives. Vous n'avez pas envie de faire le bonheur autour de vous ? Pensez-y la prochaine fois avant de vous faire dévorer par... la convoitise...
A: Oui, j'y penserai !
(Tiki s'en va)
A: Ouf ! J'ai eu chaud ! ... Voyons voir si je ne peux pas me refaire un peu ! Or, richesses, trésors, me voilà !
Je posterai Nowi x Lon'zu ce soir !
Nowi x Lon'zu
Soutien C :
N: Lon'zu ! Venez jouer avec moi !
L: Non.
N: Allez, s'il vous plaît... Je m'ennuie, toute seule. Vous ne vous ennuyez pas, vous ?
L: J'affectionne la solitude. Va demander à quelqu'un d'autre.
N: C'est ce que je voulais faire, mais ils ont tous l'air si terriblement occupés...
L: Tu veux dire que moi, j'ai l'air de me tourner les pouces ? Figure-toi que je SUIS occupé. Très occupé même.
N: Snif... Snif...
L: Tes larmes ne me feront pas changer d'avis. En plus, tout le monde sait bien que j'ai une aversion envers les femmes. Et pourtant... Face à elle, je n'ai aucune peur... Je dois comprendre pourquoi !
N: Snif ! Qu'est-ce... Qu'avez-vous dit ? Je ne vous entends pas parce que je PLEURE !
L: Rien d'important. En revanche, ...
L: ... j'ai décidé que j'allais jouer avec toi, mais pas pour longtemps.
N: Youpi ! Vous êtes le meilleur !
L: Oui, euh... Tu peux arrêter de sautiller maintenant. Alors, à quoi veux-tu jouer ?
N: Oh, euh... Laissez-moi réfléchir... Euh... Ah, je sais ! Jouons au papa et à la maman !
L: Je ne connais pas ce jeu. Je n'ai pas l'impression que cela va me plaire.
N: Nous allons bien nous amuser, vous verrez ! Vous serez le papa !
L: *soupir* Si tu insistes... Mais pas longtemps !
N: Fantastique ! Et moi, je serai la maman !
L: Euh, c'est tout, pas d'autres règles ? J'espérais qu'il y aurait des dés...
Soutien B :
N: Lon'zu, jouons un peu !
L: J'ai déjà joué avec toi, l'autre fois. C'est sûrement le tour de quelqu'un d'autre...
N: Mais non, ce jeu n'est pas terminé ! Et vous êtes le seul à savoir jouer au papa ! Si vous ne voulez pas jouer avec moi, je suppose qu'il ne me reste plus qu'à...
L: Range cette dracopierre, petite maître-chanteuse. Je n'ai pas peur de toi. Par contre, je veux bien jouer encore une fois. Tu as de la chance que j'en aie envie.
N: Ça me va !
L: Ce n'est pas si désagréable, après tout. Avec toi, je ne ressens pas de peur...
N: Hi hi hi ! Elle est bien bonne... Personne n'a jamais peur de moi quand je ne suis pas transformée en dragon !
L: Assez papoté ! On joue, maintenant ! Mais souviens-toi que c'est ma dernière fois.
N: Oui, oui...
L: Où en étions-nous ? Je crois que j'étais sur le point de partir travailler dans les champs.
N: Voilà ton petit-déjeuner, chéri ! Mange, tu auras besoin de tes forces !
L: Cronch, cronch ! Aaah. C'était délicieux. Je pars travailler. Bonne journée !
N: À ce soir !
L: Et maintenant, je fais semblant de travailler la terre. Oh hisse !
N: ...
L: Nowi ? Et toi, tu ne fais rien ?
N: Euh, eh bien, je suis à la maison, non ? Quand le papa part travailler, que fait la maman ? Snif ! Oh, c'est si triste ! Je ne sais même pas ! Je ne sais RIEN de la vie de famille !
L: ...
L: Nowi, viens par ici.
N: Pourquoi ?
L: Tu ne peux pas rester là à rien faire toute la journée. Travaillons la terre ensemble.
N: Oh, oui ! J'adore le travail aux champs ! Gnn... Hgnhhh !
Soutien A :
N: Ah, te voilà, mon cher époux ! J'ai préparé le souper.
L: Cronch cronch cronch... Glurps... Bouah ! C'est dégoûtant !
N: Hiii ! Papa est fâché !
L: Évidemment ! Tu t'attends vraiment à ce que j'avale cette pâtée pour cochons ?!
N: C'est tout ce que nous pouvons nous permettre, avec ton salaire ridicule ! Peut-être que tu devrais te sortir les doigts du nez et ramener plus d'argent au foyer ! J'en ai marre ! Tu dors dans l'étable cette nuit !
L: D'accord... Je vais essayer de gagner plus.
L: ...
N: ...
N: Lon'zuuuuuu ! Ce n'est pas comme ça qu'on joue ! Vous devez continuer la dispute !
L: Es-tu sûre que c'est bien comme ça qu'on joue à ce jeu ? Je crois que nous devrions faire autre chose que nous disputer tout le temps.
N: Non j'en suis sûre ! C'est comme ça que ça se passe ! Vous rappelez-vous quand je vous ai dit que je ne savais rien de la vie de famille ? Eh bien, je me suis faufilé en ville et ai épié une des familles dans sa maison.
L: Et c'est ainsi qu'ils se comportaient ?
N: Oui ! À longueur de journée ! Alors vous voyez, ce jeu est très réaliste !
L: Ne penses-tu pas qu'il est possible que tu aies observé un cas... particulier ?
N: Je ne sais pas. Peut-être... Alors, à quoi ressemblerait une famille type ?
L: Comment le saurai-je ?
N: Bien, si vous ne savez pas mieux, ça vous dérangerait de continuer à MA manière ?! Alors, je retourne au jeu, là ! Mince, où en étais-je ? Ah, ça y est... Tu es vraiment un incapable ! Oh, ciel, j'aurai mieux fait d'épouser le forgeron !
L: *soupir*
N: Allez, mettez-y un peu du vôtre ! Ce n'est pas amusant si vous ne faites que soupirer.
L: Je n'aime pas du tout cette famille que tu as inventée ! J'ai une idée ! Et si tu retournais en ville pour espionner d'autres familles ? Ensuite, nous pourrons les comparer et choisir celle qui nous plaît le plus !
N: Je suppose que c'est possible... Mais je n'irai que si vous venez avec moi !
L: Je ferais tout pour que tu arrêtes de me sermonner tout le temps !
N: Je suis sûre que vous êtes un champion pour vous faufiler près des maisons !
L: Quoi ?! Où est-ce que tu vas chercher ça ?
Soutien S :
L: À tantôt, ma douce ! Je m'en vais travailler aux champs.
N: Bonne journée, cher époux ! Alors, par quoi commencer ? Faire le ménage, je crois... Ensuite, le déjeuner... Et plus tard, couper du bois ! Hi hi ! Je suis TRÈS occupée !
L: N'oublie pas de tirer de l'eau du puits.
N: Oh, c'est vrai ! Merci de me le rappeler. Je n'avais jamais réalisé combien de tâches une femme au foyer doit accomplir... C'est difficile de tout planifier.
L: Ne t'inquiète pas. Plus nous jouons, plus tu t'amélioreras.
N: Vous voulez dire que nous allons continuer à jouer ? Vous me le promettez ?!
L: Oui, je te le promets... Tiens, regarde.
N: Oh ! Quel bel anneau ! Mais, attendez... C'est un vrai ! Ce n'est pas un peu déraisonnable, pour un jeu ?
L: Ce n'est pas pour jouer, Nowi. Je voudrais que nous formions une vraie famille. C'est pour cela que je t'offre un véritable anneau !
N: Une famille ? Comme un frère et une soeur, c'est ça ?
L: Non, Nowi. Je voudrais que tu sois ma femme !
N: Oooh ! Vous voulez dire que nous n'aurions plus besoin de faire semblant ? Nous aurions notre propre foyer, pour de vrai ? Oh, Lon'zu, je ne rêve pas ?
L: Non... Tout comme toi, j'ai été très seul pendant trop longtemps. Je prends plaisir à cette autre vie, et ne voudrais la partager avec nulle autre.
N: Oh, ça va être bien plus excitant que ce jeu à la noix !
Je posterai Tixi x Daraen demain
Vous avez Gaius x Cordelia?
Salut bon personne ne me connais car je suis nouveau ici . J'aime beaucoup les dialogues qui a entre les personnages, alors je vous en poste quelques-uns, histoire de dire coucou
Maribelle X Gaius
Soutien C:
M: Gaius. Je voudrais vous dire un mot
M: Vous me tournez autour comme une abeille autour d’une fleur et… je n’ai nulle envie de voir votre visage, encore moins au milieu d’une bataille.
G: Mes excuses, Freluche. Si je peux faire quelque chose pour me faire pardonner…
M: Vous pensez que je puis vous pardonner? Alors que aviez l’intention de voler le trésor sacré du Royaume ? Et de plus, deux fois !
G: Je sais que j’ai eu tort, et je me sens coupable.
M: Comment osez-vous ? Pensez-vous vraiment que je vais croire un traître mot? Auriez-vous oublié ? La première fois que vous avez été pris en flagrant délit ? Vus avez clamé que mon père était le responsable ! Mon pauvre père innocent! Il a été traîné devant les tribunaux et a presque été exécuté par votre faute.
G: C’est vrai, j’ai menti, à mon grand regret… Mais si tu me le permets, je voudrais racheter mes erreurs passées et…
M: Assez ! Je ne suis pas là pour écouter vos boniments !
G: Tu les appelles des boniments, mais mes paroles sont pourtant sincères, Freluche.
M: Je ne perdrai pas mon temps à prêter l’oreille à une âme de brigand !
Soutien B:
G: Merci pour ton aide, Freluche, tu m’as sauvé la peau.
M: Mon rôle est de signer mes camarades. Ce n’était que mon devoir.
G: Je suis celui qui a porté de fausses accusations sur ton père. Personne ne t’aurait mal jugée si tu m’avais pas laissé mourir…
M: Peut-être. Mais vous m’êtes plus utile vivant, malheureusement. J’ai une question à vous poser.
G: Je répondrai si je peux…
M: J’ai relu les archives du procès de mon père et quelque chose m’a paru étrange. Dites-moi la vérité. Où avez-vus entendu le nom de mon père pour la première fois ?
G: Eh bien, je…
M: Vous l’avez pas sorti de votre chapeau ! Ce qui m’amène à me demander… Comment avez-vous su son nom ? Pourquoi avoir accusé un inconnu ? Je ne penser qu’à une raison, mais j’aimerais l’entendre de votre bouche. Dites-moi. Est-ce que quelqu’un vous a menacé pour que vous nommiez mon père ?
G: Ils m’ont dit que si je ne témoignais pas contre lui, ils…
M: Vous tuerais?
G: Non Freluche. Non, pas moi…
M: Alors qui ? Qui était menacé ?
G: En quoi cela est-il important ?! Un bougre m’a dit d’accuser ton père et j’ai fait.
M: Et qui était cet homme qui avait une telle emprise sur vous?
G: Je ferais mieux de commencer depuis le début…
Soutient A :
M: Gaius, je vous suis redevable.
G: Tiens donc ?
M: Oui, j’ai écrit tout ce que vous m’avez dit et j’ai envoyé la lettre à mon père. Au moins, il pourra se venger des nobles qui ont comploté contre lui.
G: Eh bien, j’espère que tout ira bien pour lui.
M: Cela sera grâce à vous, pour être honnête.
G: Je préfère que tu ne me remercies pas, Freluche. J’ai commis un acte abject. Je n’ai pas cessé de le regretter chaque jour de mon existence. J’ai envoyé une lettre après le procès, mais je suppose qu’il était déjà trop tard…
M: C’était vous ?! Cette lettre a sauvé mon père de la hache du bourreau !
G: Je suis content de l’entendre. Mais j’aurais pu faire plus.
M: Vous avez sauvé la vie de mon père ! Même s’il est vrai que vous l’avez mis en danger… vous avez rédigé cette lettre en sachant qu’un risque mortel s’en ensuivrait…
G: Je n’étais pas vraiment inquiet. S’il y a un talent que je possède, c’est celui de fuir.
M: Ecoutez Gaius. J’ai été injuste en vous jugeant avant de connaître toute la vérité.
G: Tu avais raison, en un sens. Je me suis bien introduit dans la salle du trésor, après tout.
M: Vous êtes un voleur, mais plus honnête que beaucoup de soi-disant nobles. Mais, Gaius, vous ne m’avez toujours pas dit qui fut menacé pour vous convaincre. Est-ce que c’était quelqu’un d’important pour vous ?
G: Non. Je ne l’avais jamais rencontrée. Jamais vue, même, pour tout dire. Je savais juste que c’était une petite fille, et qu’elle n’avait pas mérité la mort. Même si cela devait signifier la tête de son père…
M: Vous voulez dire que… C’est moi que ces nobles avaient menacée de tuer ?
G: Oui.
M: Vous avez témoigné contre mon père pour me sauver la vie ?
G: C’est exact. Et je protégerai ta vie aussi longtemps que durera cette guerre ! C’est la moindre des choses que je puisse faire pour ta famille…
Soutient S:
M: Gaius, je n’ai pu m’empêcher de noter que vous combattiez à mes côtés, à nouveau.
G: Désolé, Maribelle, J’espère que je ne t’ai pas gênée…
M: Pas du tout. Je vous suis reconnaissante pour votre aide. Vous avez été galant. Mais Gaius, vous n’avez plus besoin de vous racheter pour le passé. Tout est pardonné.
G: J’apprécie ta générosité. Mais je ferai malgré tout de mon mieux pour te protéger. Si cela ne te dérange pas de m’avoir dans les pattes, bien sûr.
M: Bien sûr que non , Gaius, J’espère que vous serez toujours à mes côtés. Je dis ça en tant que soldat… et … en tant que femme.
G: Morguienne ! C’est… C’est très gentil de me dire ça, mais…
M: Dites-moi, Gaius. Est-ce que vous ressentez la même chose à mon égard ?
G: Pour dire vrai, oui, j’ai pensé la même chose… J’ai même pris l’initiative de te forger cet anneau… J’espère que je ne suis pas trop direct, mais puisque nous avons abordé le sujet, je…
M: Oh, Gaius… Biens sûr que j’accepte !
Cordélia X Lon’zu
Soutient C:
C: Lon’zu, le conseil de guerre va bientôt se tenir. Il est temps de retourner au camp.
L: Très bien. Euh je peux te poser une question ?
C: Bien sûr.
L:Pourquoi es-tu venue me porter secours lors de la dernière bataille?
C: Eh bien, tu étais cerné par l’ennemi et il me semblait que tu avais besoin d’aide.
L: Je vois. Tu n’avais pas tort à ce sujet. J’aimerais régler cette dette sans attendre. As-tu besoin de quelque chose ?
C: Il n’a a pas de dette, Lon’Zu ! Nous nous battons du même côté ! Bon d’accord… Je vois que tu as l’air sérieux. Voyons voir… J’aimerais bien que tu m’inities à l’escrime, mais je suppose que c’est impossible. Disons que ta phobie des femmes est assez contraignante…
L: Euh …
C: D’ailleurs, cela veut dire que tu serais aussi incapable de m’aider au combat ?
L: Non. Dans le feu de l’action, j’arrive à me libérer de mes… penchants naturels.
C: Ah, quel soulagement ! Il serait déplaisant que tu restes immobile tandis qu’un brigand me transperce.
L: Si jamais tu as besoin d’aide, n’hésite pas.
C: Je m’en souviendrai !
Soutient B:
L: Qu’est-il arrivé à mon épée d’entraînement? Celle en chêne ?
C: Oh, j’en ai remplacé la lame. L’ancienne avait une fissure.
L: C’est très précautionneux de ta part.
C: Le matériel d’entraînement n’avait pas été vérifié depuis le début de la campagne. J’ai pris l’initiative de trier et d’examiner les épées et boucliers en bois, et le reste.
L: Je vois.
C: Euh Lon’zu, tu as le visage en sueur… C’est normal?
L: Oui, bien sûr. Je viens de terminer mes exercices d’affermissement des jambes.
C: Ah ! Cela tombe bien, je reviens du lavoir et j’ai là pile de serviettes propres. Je t’en laisse une, alors.
L: …
C: Bien ! Sous le tonnerre de ta gratitude, je vais aller préparer à manger. Tu aimes le chou, j’espère ?
L: Mon plat préféré. C’est donc toi qui en prépare à chaque repas ?
C: Oh, Tu as remarqué ! Oui, C’est moi .J’aime bien soutenir le moral des autres en leur servant des petites gâteries. On se voit au dîner !
L: Attends. Tu aides les autres même s’ils ne le remarquent pas ? La cuisine se passera de toi aujourd’hui. C’est l’heure de ta première leçon d’escrime.
C: Euh, mais comment faire, avec ta peur pathologique des femmes… ?
L: Je t’instruirai à distance. Alors, dis-moi ce que tu souhaites apprendre.
C: Oh Lon’zu, tu es vraiment charmant.
Soutient A:
C: Hein ? Quelqu’un a rangé tut le matériel d’entraînement. Et on a aussi rentré le linge, et le dîner est déjà en train de mijoter ! Serait-ce de la sorcellerie ?!
L: C’est moi le responsable.
C: Toi ?!
L: Oui. J’ai identifié un problème lors de notre dernière leçon d’escrime. Tu te fais trop de soucis à propos de la vie du camp. Du coup, tu n’as pas la concentration nécessaire à al pratique de l’épée. J’ai donc supprimé ces diversions afin que tu puisses te concentrer convenablement.
C: Oh, euh… Je vois.
L: Gaah…
C: Lon’zu ? Que se passe-t-il ? Que fais tu ? Tu es livide, tout d’un coup !
L: Je m’armais de courage pour cette séance d’entraînement. C’est une technique compliquée, que je ne peux pas t’expliquer à distance. Je dois… m’approcher… et tenir ton bras… afin de te montrer… comment faire…
C: Ciel, si c’est si pénible, nous pouvons sauter cette technique, Lon’zu.
L: Non ! J’ai une… dette… envers toi. Alors… regarde-bien ! Je ne veux pas… devoir me répéter.
C: Tu as toute mon attention !
Soutient S:
C: Han ! Yaaah !
L: Intéressant. Tu as altéré ma technique et forgé quelque chose de nouveau avec. Il en résulte une technique originale, qui n’appartient qu’à toi.
C: Cela me sera formidablement utile pour les batailles à venir. Sans toi, je n’y serais jamais arrivé.
L:… Qui souhaites-tu protéger, avec ce talent nouvellement acquis?
C: Eh bien, mes camarades, bien sûr. Toute notre armée.
L: Tu mens ! Je t’ai observée sur le champ de bataille ! Tu n’as d’yeux que pour lui… Tu es amoureuse de Chrom.
C: Je l’ai aimé naguère. Pendant longtemps…
L: Tu parles d’un temps révolu… Ton cœur a changé d’avis?
C: En fait, oui . C’est tout à fait cela. A ton tour de me faire des aveux, Lon’zu. Pourquoi t’intéresses-tu à mon cœur?
L: Euh …
C: Tiens, attends, je n’ai pas fini. Tu m’as aidée et m’as appris l’escrime sous prétexte de repayer ta dette… Mais je t’ai bien dit que nulle dette n’était due. Alors, quelle était ta vraie motivation ?
L: C’était bien ça la raison… Au début, du moins.
C: Tu as surmonté ta phobie et accompli de nombreuses tâches ingrates ! Je veux savoir pourquoi.
L:Tu sais que… je m’exprime mal par les mots. Peut-être que ce cadeau te diras mieux que moi ce que tu veux savoir.
C: Laisse-moi voir… Oh, un anneau ! Oh, et cette pierre est vraiment grosse. Combien de carats… ? Hmm…
L: Range donc cette loupe ! Si tu ne le veux pas, jette-le, et nous ne parlerons plus de ceci.
C: Le jeter ? Quelle absurdité, Lon’zu ! Bien sûr que je veux le porter !
L: Tu veux bien ? Dans ce cas… ,
C: Oui, Lon’zu ! Je suis tombée amoureuse de toi, moi aussi. Et ce serait un bonheur de t’épouser.
L: Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pas osé espérer que tu dise oui.
C: Hé hé, et bien si, et maintenant, tu ne pourras plus te débarrasser de moi ! Mais ne t’inquiète pas… Je suis sûre que nous allons être très heureux ensemble !
Stahl X Zelcher
Soutien C :
S: Pfiou ! Et une tournée de finie. Plus qu’un panier et… Tiens? A qui ça appartient, ça ?
Z: Bonjour, Stahl. Je vois que tu es de corvée de lessive aujourd’hui.
S: Oh, bonjour, Zelcher. Dis-moi, saurais-tu à qui appartient cette liquette? Elle sent divinement bon !
Z: C’est la mienne. J’y ajoute un parfum spécial aux vertus apaisantes. Cela m’aide à mieux dormir, même lorsque nous campons en forêt.
S: *renifle* Incroyable ! Je n’avais jamais rien senti de pareil !
Z: C’est assez commun là d’où je viens… Ça me rappelle la maison.
S: C’est fou comme tout change d’un lieu à l’autre. Les odeurs, la mode, les arts…
Z: Avant l’expansion de Valm, cette terre était divisée en petits royaumes. Leurs empreinte est encore perceptible d’une ville à une autre.
S: Un jour, il faudra qu’on s’assoie autour d’une chope et que tu me racontes ça ! Mais… euh … Pour la liquette ? Si je la lave,le parfum ne va-t-il pas partir?
Z: Ne t’inquiète pas, j’en remettrai un peu.
S: Tu as entendu ça, liquette ? Au lavage !
Z: Tu sais, dans d’autres régions de Valm, on a d’autres façons de faire la lessive. Si tu veux, nous pourrions la faire ensemble et je te montrerai quelques astuces.
S: Je ne refuse JAMAIS d’aide pour la lessive. Et puis, tu pourras m’en dire plus sur Valm en même temps !
Z: Et tu pourras me parler d’Ylisse… Et… Puisqu’on parlait des manières et des coutumes locales… Dans mon pays, il n’est pas très bien vu de renifler la liquette d’une dame.
S: Mais alors pourquoi fais-tu en sorte qu’elle sente si bon? C’est un piège !
Z: Ha ha ! Je suppose, oui.
Soutient B:
S: Tentes ? C’est bon. Viande ? C’est bon. Bois de chauffage ? Oh, ça va être juste…
Z: Un problème ?
S: Oh, bonjours, Zelcher. Non, non. Rien de grave en tout cas.
Z: Vraiment ? On dirait bien, pourtant. Je t’ai vu froncer les sourcils…
S: Oh, n’y prête pas attention. Je fronce facilement les sourcils.
Z: Cela dois créer pas mal de malentendus, j’imagine. Ha ha! Ou peut-être que les gens te traitent avec plus de sollicitude !
S: Ha ha ha ! Je n’avais jamais pensé que ça pouvait être un avantage !
Z: Tu sais, on dirait qu’à chaque fois que je te vois, tu t’occupes d’une corvée.
S: Je suis toujours volontaire. J’aime que tout soit… en ordre, je crois. Et puis, je préfère éviter que ces agitateurs de hache s’occupent de la lessive.
Z: Eh bien, je trouve cela admirable. Puis-je t’aider en quoi que ce soit ?
S: En fait, j'allais justement partir chercher un peu de bois. Tu pourrais m’accompagner en forêt ? Tes talents seront très utiles si nous rencontrons quelque bête sinistre.
Z: Dans mon village, c’est romantique d’inviter une fille à chercher du bois en forêt. Je crois que ça a à voir avec le bois qui brûle comme la passion dans son cœur…
S: Qu…Quoi ?! Je… Vraiment ?! Ce n’est pas ce que tu crois, je le jure ! Et puis, ce serait un peu bizarre pour un premier rendez-vous… Enfin, je trouve.
Z: Hé hé ! Je ne t’en tiens pas rigueur. Comment aurais-tu pu le savoir ? Je t’aiderai volontiers, en tout cas, et pourras me parler d’Ylisse.
S: Marché conclu !
Soutient A :
Z: Tiens, Stahl. Voici pour toi.
S: Oh, quel beau mouchoir ! Merci ! C’est toi qui l’as fait ?
Z: Je voulais t’offrir quelque chose pour te remercier de m’avoir parlé d’Ylisse. Je ne suis pas très doué avec une aiguille, mais c’est le geste qui compte, non ?
S: Oh, mais c’est vraiment réussi ! Je l’aurais acheté dans un magasin !
Z: Je te remercie du compliment. Tu m’as tant appris sur la culture d’Ylisse que j’ai vraiment hâte de la découvrir. En fait, une fois la guerre terminée, J’ai décidé d’y visiter beaucoup d’endroits.
S: C’est amusant car, la paix revenue, j’ai décidé de me rendre dans TON pays! Je veux y aider les familles à se retrouver et à reconstruire leurs habitations.
Z: Ton cœur est si généreux… Mais ce devrait être à moi qu’imcombe cette tâche. D’ailleurs, ton devoir ne serait-il pas d’aider à la reconstruction d’Ylisse ?
S: Je dois au moins visiter Valm. Nous somme allés chercher du bois ensemble après tout.
Z: Ha ha ha !
S: Mais sérieusement… Je te considère vraiment comme une bonne amie, Zelcher. Et puis notre dernière discussion, j’ai étudié les coutumes de ton pays. Ce mouchoir est un cadeau que l’on offre à son meilleur ami, n’est-ce pas ? Alors oublie Ylisse! Ils sont maints là -bas à pouvoir reconstruire mieux que moi. Je préfère aider à reconstruire le pays de ma chère amie, Zelcher !
Z: Oh, Stahl… C’est vraiment adorable. Cependant, tu te trompes sur une chose. Ce mouchoir n’est un symbole que s’il est offert par une femme, à une femme. S’il est offert à un homme, eh bien… C’est simplement un joli cadeau.
S: Quoi ?! Vraiment ?! Oh, bon sang ! C’est vrai, n’est-ce pas ? Que c’est embarrassant ! Pourquoi n’ai-je pas lu ce passage avec plus d’attention ?!
Z: Hé, ce n’est rien ! Je suis déjà flattée que tu t’intéresses à mon pays. Et puis, est-ce si important de connaitre chaque détail de ma culture? Tu es heureux d’être mon ami et c’est tout ce qui compte. Je suis de mon côté très heureuse d’être la tienne !
S: Je suis ravi de l’entendre.
Z: C’est l’amitié qui ouvre les portes vers d’autres cultures, tu ne crois pas ?
S: Absolument !
Soutient S :
S: Zelcher, as-tu un instant?
Z: Bien sûr, qu’y a-t-il ?
S: Je voulais encore m’excuser pour m’être trompé sur la signification du mouchoir.
Z: Ne sois pas bête ! Cette petite erreur ne change rien à notre amitié.
S: Hmm… Et nous sommes de bons AMIS, n’est-ce pas ?
Z: Tu semble presque… insatisfait. Ou bien fronces-tu les sourcils par inadvertance ?
S: Je crois que tu as raison, Zelcher. Pour mon insatisfaction, je veux dire.
Z: Qu’essaies-tu de me dire?
S: Zelcher… Quand je suis avec toi, je veux PLUS que de l’amitié ! J’ai mal interprété ton cadeau la dernière fois, mais cette fois ce devrait être clair. Tiens.
Z: Un anneau ?!
S: C’est une coutume d’Ylisse. Cela signifie que je veux t’épouser.
Z: Je sais. Nous avons la même coutume à Valm.
S: Alors tu ne peux te méprendre sur mes intentions ! Je t’aime, Zelcher, et notre amitié ne me suffit plus. e veux être ton mari et que tu sois ma femme, et fonder une famille avec toi ! Je veux que ta patrie soit la mienne, et aider à reconstruire ton pays. Qu’en dis-tu, Zelcher ? Veux-tu construire cet avenir avec moi ?
Z: Tu fronces encore les sourcils.
S: Désolé… C’est parce que je suis sincère.
Z: Hmm… Ah, oui, je vois maintenant. Ton regard en dit long… Es-tu sûr de vouloir abandonner Ylisse et de tout miser sur Valm ? Une fois ton ardeur refroidie et face à la réalité, il se peut que tu regrettes ce choix.
S: Cet anneau symbolise un serment de toute une vie. Je ne le briserai jamais.
Z: Alors, je dois aussi te promettre quelque chose. Stahl, je t’aimerai et t’honorerai pour le reste de ma vie.
S: V… Vraiment ? Oh, merci, Zelcher ! Tu ne le regretteras pas !
Z: Je sais. Car si tu brises ce serment, Minerva t’avalera tout cru.
S: Par tous les dieux ! Est-ce une autre coutume de Valm ?! N’aie crainte, mon amour… Je t’assure que ce ne sera jamais nécessaire !
Z: Bien ! Alors nous sommes d’accord…
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Daraen(homme)/Lissa Soutien C/B/A/S
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Gaius/Lissa Soutien C/B/A/S
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Daraen(femme)/Chrom Soutien C/B/A/S
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Gaius/Palne Soutien C/B/A/S
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Chrom/Inigo Soutien C/B/A
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Avatar/Cordelia Soutien C/B/A/S
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Henry/Olivia Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_82812
Daraen(femme)/Anna Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_88602
Daraen(homme)/Chrom Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_88645
Tiki/Anna Soutien C/B/A
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_88842
Nowi/Lon'zu Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_89134
Maribelle/Gaius Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_90145
Cordelia/Lon'zu Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_90148
Zelcher/Stahl Soutien C/B/A/S
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-69115-2-0-1-0-officiel-topic-des-soutiens.htm#message_90153
Haha trop pervers le dialogue de soutien entre Avatar(femme) et Chrom
C'est une excellente idée, ce topic ! J'y apporte ma petite contribution :
Lissa & Kellam
Soutient C
L : Ce qu’il peut manquer de tact parfois ! Mon frère n’est qu’un malotru ! J’ai passé des heures à faire cette tarte au citron et il n’en a pas mangé un morceau ! Si c’est comme ça, je vais la manger en …
K : Je peux t’aider, si tu veux.
L : Aaah ! Kellam ! Tu pourrais éviter de faire irruption soudainement comme ça ?!
K : Mais j’étais là avant que tu arrives …
L : Oh. D’accord, alors ce n’est pas de ta faute … Qu’est-ce que tu disais ? Tu veux de cette tarte ?
K : Oh oui, s’il te plaît ! J’ai vraiment faim … Mmh… Mmmh ? Nmph… Gloups !
L : Alors ? Comment c’est ?
K : (tousse) C’est… particulier.
L : N’est-ce pas ? J’ai ajouté une larme d’élixir pour donner du goût. Chrom n’en a pas voulu. Pourtant, c’est savoureux et sain aussi !
K : Euh… En fait, Lissa, tu devrais peut-être essayer SANS l’élixir.
L : Tu crois ? Bon, j’essaierai la prochaine fois, pour voir. Dis, tu t’y connais en cuisine ? Tu pourrais goûter d’autres tartes. Je veux faire la tarte parfaite à laquelle même mon frère ne saura résister !
K : Eh bien, si tu as besoin d’un goûteur, je peux t’aider. Dans ces temps de guerre, il faut savoir faire des sacrifices.
L : Des sacrifices ?
K : Ben oui, sacrifier sa ligne… dans l’intérêt général…
Soutient B
L : Kellam, c’est prêt ! Euh… Kellam ? Où te caches-tu ? Oh, tu es là ! Tiens, une bonne tarte encore tiède ! C’est une recette surprise !
K : Ah… Tu… Tu me gâtes…
L : J’en ai fait une énorme, comme ça tu peux en reprendre autant que tu veux.
K : Chouette… Voyons ça… (renifle)
L : Tu as vu cette sauce arc-en-ciel ?
K : Oh… C’est… magnifique…
L : Elle est plus salée que sucrée. Je vais la servir pour le dîner…
K : Hmm… Laisse-moi goûter un morceau et je pourrai te… Glaaeeuh !
L : Kellam ?! Tout va bien ? Tu l’as recrachée parce que c’était trop délicieux ? Ou… Est-ce que la sauce a un goût bizarre ?! J’espère que je ne l’ai pas encore ratée…
K : Lissa… (tousse) Est-ce que… tu as déjà goûté… tes propres plats ?
L : Euh, non. Pourquoi ? Je devrais ?
K : C’est une bonne chose… que tu m’aies fait goûter… le premier… Ainsi personne d’autre… ne connaîtra… cette souffrance…
L : Kellam ?! Oh, il s’est évanoui ! Kellam ! Ohé ! Est-ce que tu m’entends ?! Gah ! Où est mon bâton de soin ?!
Soutient A
K : Je n’ai pas vu de tartes récemment, Lissa. Est-ce que tu as abandonné ?
L : Est-ce que tu es en colère contre moi ?
K : En colère ? A propos de quoi ?
L : Tu sais. J’ai presque failli te tuer avec cette sauce arc-en-ciel.
K : Pourquoi serais-je en colère ? Tu ne l’as pas fait exprès.
L : Kellam, tu es tellement gentil ! Je ne t’ai jamais vu en colère. Pas même une fois.
K : Je ne me mets jamais en colère, ça ne sert à rien. Quand je m’énerve, je préfère attendre que ça passe. Ca finit toujours par passer.
L : Tu sais quoi, Kellam. Je vais retenter de faire des tartes. Cette fois, ça sera délicieux et tu pourras goûter le premier !
K : Ah… Génial, j’ai hâte.
Soutient S
L : Alors, comment était-ce ?
K : Mmmh, c’était délicieux. Vraiment délicieux !
L : Finalement, mes efforts ont été récompensés.
K : Si tu sers cette tarte à Chrom, il la mangera jusqu’à la dernière miette.
L : Oh, je ne m’inquiète plus pour mon frère ! Je voudrais juste faire une tarte que tu aimes !
K : Tu as réussi, Lissa, je veux manger tes tartes jusqu’à la fin de mes jours !
L : Vraiment ?
K : Oui. En voici la preuve.
L : Un anneau ?
K : Ma mère l’a fait elle-même. Il est joli, tu ne trouves pas ? Elle m’a dit de l’offrir à la femme qui compterait le plus pour moi. Celle avec qui je voudrais passer le restant de mes jours. Même si tu es une princesse, je me disais… Lissa, veux-tu m’épouser ?
L : OUI, KELLAM ! Mais euh… Il faut que tu saches qu’il n’y a pas que la cuisine où je suis nulle… Il y a la couture, le jardinage… Ah oui, et aussi la poterie…
K : Mais… tu as bien quelques notions rudimentaires, non ?
L : Normalement, tu dois dire : « C’est pas grave, Lissa. Je t’aime comme tu es. »
K : Mais ça veut dire qu’il faudra que je m’occupe de… tout, en fait…
L : Trop tard ! J’ai l’anneau et je ne te le rendrai pas !
K : Ah…
L : Hé hé. Ne t’inquiète pas, tu auras tout le temps pour apprendre. Toute la vie, en fait !
Libra & Tharja
Soutient C
T : Une cuillerée de têtards… Une queue de lézard… Une crête de coq noir…
L : Tharja, que fais-tu donc ?
T : Une expérience. J’essaie de trouver un sort pour altérer la mémoire.
L : Altérer la mémoire ? Une telle chose est-elle même possible ?
T : C’est ce que j’essaie de découvrir… Tu me déranges. Va-t’en.
L : Bien sûr. Mais puis-je te demander une chose, avant de partir ?
T : (soupir) Quoi donc ?
L : Comment vas-tu déterminer si l’expérience est un succès ?
T : Je vais simplement lancer la malédiction sur quelqu’un et voir le résultat.
L : Dans ce cas, j’aimerais me porter volontaire pour être cette personne.
T : Vraiment ? Un moine qui veut se sacrifier pour le bien des autres ? C’est inouï !
L : Malheureusement, mes motifs sont beaucoup plus égoïstes.
T : Peu m’importe. Tu vas m’être utile. Hin hin hin ! Mais ne viens pas te plaindre après!
L : Tu présentes les choses de façon bien sinistre. Prévois-tu des difficultés ?
T : Il n’y a pas de malédiction sans danger. Il y a toujours un risque… pour l’âme ou le corps.
L : Je vois. Je vais donc me préparer au pire… en espérant le meilleur.
T : Prie tes dieux quels qu’ils soient, cher moine… On va bien s’amuser…
Soutient B
T : Tout est prêt. Je m’apprête à jeter le sort d’altération de la mémoire…
L : Je suis prêt, moi aussi.
T : Nous devrions modifier un souvenir qui n’affecte pas tes compétences de combat.
L : Un souvenir d’enfance serait sans doute pour le mieux. Par exemple…
T : Hé, c’est moi qui tiens la barre, par ici ! Mais, euh… Si cela te fait plaisir… Je t’écoute. Quel souvenir aimerais-tu altérer ?
L : Je voudrais avoir un souvenir de mes parents dans un foyer chaleureux… Peux-tu créer un tel souvenir ?
T : Hmm, voilà un souvenir bien doucereux. Mais si c’est ce que tu veux… Maintenant, pense très fort à la scène et visualise-la.
L : D’accord, je la vois…
T : Commençons… … Hein ?! Qu’est-ce que c’est que ça ?!
L : Quelque chose ne va pas ?
T : Rien du tout… Voilà, j’ai lancé le sort. Est-ce que tu te sens différent ? Perçois-tu un changement ?
L : Rien de notable.
T : Alors… J’ai échoué.
L : Peut-être que je suis en cause ?
T : Non. Je manque de savoir-faire. Je ne suis pas encore assez puissante. Quand j’ai lancé le sort, j’ai vu les ténèbres en toi… Qu’est-ce que c’était ?
L : Ah, je comprends…(soupir) J’ai essayé de cacher ça, mais j’ai échoué apparemment. J’espérais que ton sort fasse disparaître cette noirceur en moi, mais tu l’as vue.
T : C’est pourquoi tu t’es porté volontaire pour être mon cobaye.
L : Comme je l’ai dit, mes motifs étaient égoïstes. Navré de m’être servi de toi.
T : Les excuses sont inutiles. Parlons plutôt de cette part de ténèbres en toi. Si j’arrive à la débloquer, je pourrais m’en servir pour mes expériences de magie noire.
L : Dans ce cas, veux-tu continuer tes expériences sur moi ?
T : Est-ce que cela ne t’effraie pas d’explorer ce côté sombre de ta personne ?
L : J’ai appris il y a longtemps à contrôler ma peur. Rien ne peut me terrifier.
T : Certains mages noirs prendraient ça pour de la provocation…
L : Bon, j’avoue que toi, tu pourrais tout de même me terrifier un peu…
Soutient A
T : … J’ai vu les ténèbres qui sommeillent dans les profondeurs de ton cœur.
L : Alors tu connais mon secret le plus intime. Tu sais que mes parents, pensant que j’étais possédé, m’ont abandonné. Tu sais quelle blessure cela m’a infligé.
T : Tu étais seul, personne ne t’aimait. Sans un ami. Avant de trouver la foi et de devenir moine, tu n’as connu que la souffrance… Je ne sais pas comment tu as pu survivre si longtemps avec un tel fardeau.
L : Moi non plus. Mais maintenant que tu le sais, le fardeau s’allège. C’est comme si le fait de le contempler l’avait rendu plus supportable.
T : Quand deux esprits s’unissent comme le nôtre, ils se changent mutuellement. C’est comme un sort, si l’une des parties est transformée, l’autre le sera aussi. Ton cœur a changé, ce qui veut dire qu’un sort est lancé sur le mien.
L : Peut-être que c’était vraiment un sort qui a chassé mes ténèbres.
T : Si c’était ça, je ne l’ai pas lancé. Mais quoi qu’il en soit, je ne peux plus t’utiliser comme cobaye.
L : Pourquoi pas ?
T : Je sais déjà tout de toi. Je n’apprendrais plus rien en te jetant des malédictions.
L : C’est dommage. J’aurais aimé que tu puisses m’aider un peu plus. Si quelque chose te vient à l’esprit, dis-le-moi.
T : Je le ferai, mais… pas d’inquiétude. Tu es libre de continuer ta vie sans ce fardeau que tu as porté si longtemps.
L : Oui, c’est vrai… Merci, Tharja, c’est ce que je vais faire !
Soutient S
L : Tharja ? Puis-je te parler ?
T : Oui… De quoi s’agit-il ?
L : Je me demandais si tu accepterais d’explorer mon âme encore une fois.
T : Pourquoi ?
L : Ce sera plus facile pour toi de regarder que pour moi de t’expliquer.
T : Vous, les hommes d’église, vous êtes vraiment têtus quand vous voulez. Peut-être que cette fois, je ferai plus que regarder. Est-ce que tu y as pensé ? Peut-être que cette fois, je sèmerai la graine de la terreur dans ton esprit…
L : Ca me va… Je suis prêt.
T : Tu es bien sérieux aujourd’hui, je vois. Très bien, ne bouge pas…
L : Allons-y.
T : … Qu’est-ce que c’est… C’est… Je ne comprends pas.
L : Tu as vu dans mon cœur, n’est-ce pas ? Tu connais les sentiments que j’ai pour toi.
T : Pourquoi m’as-tu dit de faire ça ?!
L : Les esprits connectés s’affectent mutuellement. Comme une malédiction ?
T : J’ai peut-être dit ça.
L : Comment te sens-tu ? Est-ce que tu as des sentiments nouveaux ?
T : Tu as essayé de m’envoûter ?! Mais tu es un moine ! Comment oses-tu ?
L : C’est toi qui a commencé !
T : Certainement pas.
L : Vraiment ? Alors l’amour que j’ai pour toi est né naturellement ? Et toi, Tharja, que ressens-tu ? Si les moines peuvent faire beaucoup de choses, l’envoûtement n’en fait pas partie.
T : Tu mens ! Autrement, cela veut dire que…
L : que nous sommes mutuellement tombés amoureux, tout naturellement.
T : Alors, ce n’est pas un sort ?
L : L’amour n’a pas de valeur s’il est gagné par tricherie.
T : Alors je n’ai pas le choix. Je dois faire confiance à mes sentiments.
L : Si je t’offrais cet anneau et que je te demandais en mariage, accepterais-tu ?
T : Tu as déjà un anneau ? Tu as pensé à tout, Libra.
L : Il ne faut pas passer à côté des moments importants de sa vie.
T : Tu sembles complètement différent de l’homme que j’ai rencontré la première fois.
L : Dans le bon sens, je l’espère.
T : Oui. Et maintenant, tu es la deuxième personne la plus importante de ma vie ! Après (l’avatar).
L : Hmm… Je suppose qu’il faudra faire avec.
Encore un dernier pour aujourd'hui : Virion le dragueur en série pris à son propre piège !
Virion & Sully
Soutient C
S : Aaah… Yaaaaah !
V : Quelle heureuse surprise ! Si ce n’est autre que ma très chère Sully ! Virevoltant, tel le papillon… Piquant, comme l’abeille ! Quel plaisir de…
S : Tu cherches quelque chose, l’asticot ?
V : Je ne fais que suivre la boussole de mon cœur, dont le Nord s’appelle Sully !
S : Donc…non. Tu veux bien dégager ? Je m’entraîne, là.
V : Quelle froideur ! Vous me glacez l’échine. Mais je gage que quelques douces paroles sauraient me réchauffer le cœur… Dites-moi, cet entraînement guerrier, ces grognements bestiaux… Tout cela ne sied guère à une dame d’une beauté aussi radieuse que la vôtre !
S : Pff… Belle ou vilaine, une femme n’aura aucun mal à poignarder un imbécile. Ce qui ne la dispense pas pour autant de s’entraîner. Alors, du balai !
V : Votre habileté et votre grâce au combat mériteraient les plus beaux poèmes ! Mais toutes ces qualités sont inutiles dès lors qu’un protecteur veille sur vous !
S : Ah ah ! Ne me fais pas rire !
V : Madame, vous me blessez. Cet homme se tient juste devant vous… !
S : Attends… Tu parlais de… TOI !? AAAAH AH AH ! AAAAH AH AH ! Tu ne manques pas d’humour. Il faut le reconnaître…
V : Ce n’était point une plaisanterie…
S : As-tu la moindre idée des périls que j’encours au quotidien ? Nul ne serait capable de les anticiper, alors me protéger… Impossible !
V : Rien n’est impossible ! Je fais le serment d’être votre vaillant protecteur !
S : Plutôt faire appel à une nounou et à toute sa marmaille que de te confier ma vie !
V : Ainsi vous exigez des preuves… Soit ! Je vous prouverai ma valeur ! Vous pourrez admirer mon héroïsme légendaire lors de la prochaine bataille !
S : Oh, je sens qu’on va bien rire…
Soutient B
S : Hé, l’asticot ! Je t’ai observé lors de la dernière bataille.
V : Ainsi, vous avez vu la bête qui se terre dans le corps de l’homme galant que je suis. J’espère seulement ne pas vous avoir trop effrayée, Madame… J’espère également que mon titre de vaillant protecteur vous semble désormais justifié !
S : Un vaillant protecteur ayant eu la frousse de prendre part à ce duel…
V : C’est que prudence est mère de dûreté… Pour quelle raison eussé-je accepté ?
S : Refuser un duel… Quel acte héroïque !
V : En tant que protecteur, il m’importe aussi d’épargner les faibles, voyez-vous… Aussi ai-je décliné l’offre de ce brave homme m’ayant défié en combat singulier.
S : Je crois que nous n’avons pas la même définition du mot « vaillant »…
V : Vous m’offensez, Madame ! Je puis vous assurer que je ne suis point un lâche. Si ce corniaud avait osé vous regarder de travers, rien au monde n’aurait pu le sauver.
S : Ah ! On dirait que tu as toujours, en toute occasion, une réplique toute prête. Discuter avec toi, c’est comme danser… Ca tourne en rond, ça use et je hais ça.
V : Je ne dis que la vérité, Madame. Il vous appartient de me croire ou non.
S : Parfait. Je choisis donc de ne pas te croire.
V : Vous auriez pu au moins prendre un moment de réflexion…
S : Ah ah ! Du calme, l’asticot. Je te taquine… C’est vrai que tu as fui ce duel, mais sur le champ de bataille, tu étais… passable… On dirait que tout n’est pas perdu pour toi. J’ai hâte de te voir à nouveau à l’œuvre…
V : Tous trembleront devant mon courage et ma force inégalés, j’en fais le serment !
Soutient A
V : Vous avez un air singulier. Ai-je quelque chose sur mon visage ?
S : Demande à quelqu’un d’autre. Je crois avoir des problèmes de vue ces derniers temps…
V : Pourtant vos yeux sont plus beaux et clairs que jamais… Mais faites-moi part de vos tracas. Je puis peut-être vous aider.
S : Je t’ai vu te battre en duel ! Et le pire, c’est que tu as gagné ! Tu as terrassé un adversaire qui nous donnait à tous du fil à retordre ! Si ce ne sont pas mes yeux qui me jouent des tours, alors je ne sais pas ce que c’est !
V : Qu’y a-t-il de si surprenant ? Je vous avais bien dit que je n’acceptais de duels que pour de bonnes raisons.
S : Ah ! Et quelle était donc cette raison… ?
V : Il était nécessaire d’arrêter cet homme. S’il avait fui, il eût pu commettre quelque méfait dans un village à proximité.
S : Tu as donc risqué ta vie pour une poignée d’inconnus… ?
V : Protéger les faibles est la plus noble des causes. Les combats futiles ne sont bons que pour les fous assoiffés de sang et de gloire. Le simple fait d’y penser me dégoûte…
S : C’est pour ça que tu veux me protéger ?
V : Exactement ! Vous êtes une gente dame. Un modèle de grâce et de beauté ! Un gentilhomme se doit de défendre une douce créature telle que vous.
S : Qui tu traites de créature ?! Et je peux me défendre toute seule ! Cela dit… Si tu y tiens, ça ne me dérange pas que tu m’appelles « dame »… Mais seulement parce que tu as montré un peu de courage sur le champ de bataille ! Le « gentilhomme » que tu étais aurait quitté cette discussion en deux morceaux.
V : Vous me croyez enfin digne d’être votre vaillant protecteur ?
S : Ne t’emballe pas, l’asticot ! Tu as juste été promu de « lâche timbré » à « type potable », c’est tout. Tu gagnes aussi le droit de couvrir mes arrières dans la bataille.
V : Avec plaisir… et bientôt, j’en suis sûr, vous succomberez à l’appel de l’amour !
S : Hmm… Clairement, tu es toujours cinglé. Mais quitte ) côtoyer des fous dangereux, autant qu’ils soient de mon côté…
Soutient S
S : Virion…
V : Sully ! Quel doux plaisir de pouvoir à nouveau contempler cette divine beauté.
S : …
V : Madame, votre contenance est d’une telle… intensité ! Votre regard aurait déjà embrasé bien des hommes moins hardis que moi.
S : …
V : A dire vrai, il commence à faire chaud… Voulez-vous bien sortir de ce silence… ? S’il vous plaît… ?
S : …
V : C’en est trop, je me rends ! Rien n’est plus insoutenable que le silence d’une femme.
S : Ah ! Je le savais ! J’en étais SÛRE ! Quand c’est toi qui enquiquines les autres, tout va bien… Mais inversons les rôles et tu ne sais plus quoi dire ! Tu perds tes moyens lorsque l’on fait de toi le centre de l’attention !
V : Vous vous jouiez de moi ? Je ne vous aurais jamais crue capable d’une telle bassesse…
S : J’y étais bien obligée. Je n’arrive jamais à en placer une avec toi. Je me demande d’ailleurs qui y arrive, avec ton débit… De plus, je voulais auparavant connaître tes faiblesses…
V : Auparavant ? Il y a une suite à tout cela ? Et quelle est-elle ? Maintenant que je suis à votre merci, vous comptez me traîner jusqu’à l’autel… ?
S : Oui.
V : Car franchement, je ne vois pas… Qu… Quoi ?! J’ai bien entendu ?! Vous êtes sérieuse ?!
S : On ne peut plus sérieuse.
V : Et bien, je… hmm… quel honneur… je… vous me prenez au dépourvu !
S : Je vais rajouter les embuscades à la liste de tes faiblesses, d’accord… ?
V : Je ne sais que dire, Madame…
S : Où sont tes jolis vers ? Ce serait pourtant le moment de faire de la poésie… Je suis une dame, un modèle de grâce et de beauté, non … ? Tu as perdu ta langue ?
V : Je… N… Non, bien sûr que non… Ahem ! Je jure solennellement de vous servir, Madame, au péril de ma vie. C’est avec une profonde humilité et la plus grande joie que j’accepte cet honneur.
S : Hmm… Pas mal mais… c’est vraiment le mieux que tu puisses faire, l’asticot ?
V : (pleurniche)
S : Ah ah ! Ca fera l’affaire ! Maintenant, partons m’acheter un anneau ! Je sais déjà où aller, alors dépêche-toi. Et ne traîne pas !
V : O… Oui, Madame…
S : Je n’ai rien entendu !
V : OUI , MADAME ! tout de suite, Madame !
Henry x Sumia
Soutien C
S: Oh non ! Nooooon ! Qu'est-ce que je vais faire maintenant ?!
H: Hé hé, Sumia ! Tout va comme tu veux ? J'ai entendu un énorme fracas par ici !
S: Je portais cette énorme pile de bols et j'ai trébuché sur...QUELQUE CHOSE, et...
H: Ah ha ha ! Regardez-moi toute cette vaisselle brisée. C'est hilarant !
S: ARRRGH ! Qu'est-ce que je vais faire ?! Comment les autres vont-ils manger ? Je ne peux même pas verser la soupe dans un abreuvoir et....Hmm...Quoique...
H: Garde l'idée du buffet de soupe pour plus tard. Je vais m'occuper de tes bols.
S: Vraiment ? Mais comment ?
H: Je suis un MAGE ! J'agite ma baguette et je marmonne une incantation...Hommina hommina hommina...Et voilà ! Tes bols brisés sont à nouveau en un seul morceau !
S: Fichre ! C'est incroyable !
H: Ce n'est, hélas, qu'un sort temporaire. Demain ils seront à nouveau brisés. Mais au moins personne n'aura à manger dans son chapeau ce soir.
S: C'est parfait ! J'aurai le temps d'acheter de nouveaux bols demain. C'est drôle, je croyais que la magie était une mauvaise chose mais je me trompais.
H: Oh, ce sort peut-être mauvais si tu veux, il ne fait que remonter le temps. Par exemple, s'il arrive une chose horrible à quelqu'un et que tu lui jettes ce sort...Il devra revivre cette affreuse expérience encore et encore ! Hi hi ha !
S: Mais c'est HORRIBLE !
H: Hi hi hi ha ! Je sais ! C'est vraiment, vraiment horrible ! Haaa ha ha !
Soutien B
S: Merci encore de m'avoir aidée avec les bols, Henry.
H: Aucun problème ! Nous, les mages noirs, adorons secourir notre prochain !
S: Comme tu l'avais dit, ces bols ont fini par se briser à nouveau.
H: Même des bols ne peuvent rien dans les mains ensanglantées du destin !
S: Beurk ! Enfin, je suis contente que tu utilises les sorts pour aider les autres au lieu de...Eh bien, de toutes ces atrocités que tu pourrais faire.
H: Ah ha ha ! Oui c'est agréable de faire le bien pour changer.
S: Tu sais, tu pourrais faire un tas de choses avec ce sort temporel. Tu pourrais sauver des récoltes ou réparer des flèches brisées pendant la bataille...
H: Hmm...Je pourrais, c'est vrai ! Jaime ta façon de penser, Sumia ! Tu as d'excellentes idées !
S: Oh ! Tu le penses vraiment ? Je n'ai pas souvent de bonnes idées...La plupart son même franchement nulles. Je ne suis pas un mage génial comme toi.
H: Oh ! Est-ce que tu voudrais t'essayer à...la magie noire ?
S: Hmm...C'est vrai que je me suis toujours demandé comment c'était.
H: N'en dis pas plus ! Mais donne-moi un peu de temps pour tout préparer. A notre prochaine rencontre, tu lanceras des sorts comme un vrai mage !
S: Tu ferais ça pour moi ?!
H: Bien sûr ! Et puis, j'ai toujours voulu monter un pégase...
S: Attends...De quel genre de sorts parle-t-on exactement... ?
H: Hi hi ha ! Tu verras bien !
Soutien A
H: Henry ! Qu'est-ce qui m'arrive ? Qu'est-ce que tu m'as fait ?!
S: Ca ne se voit pas ? Tu es moi, et je suis toi ! Plutôt futé, non ?
H: AAAAAARGH !
S: Hé la ! Doucement avec mes cordes vocales, championne ! Alors, tu voulais lancer des sorts, non ?
H: Ce n'était PAS à ça que je pensais !
S: Mais tu es aussi magique qu'une vieille chaussette, c'était la seule solution...Pendant que tu jettes tes sorts, je vais chevaucher ton pégase dans le camp ! Hi hi ha ! Je vais faire peur aux gens et leur lâcher des trucs sur la tête !
H: M...Mais si tu tombes, c'est moi que tu vas blesser !
S: Pff ! Tu trébuches au moins 10 fois par jours. Je ne m'en fais pas, tu as la tête dure.
H: D'accord, mais TON corps alors ? Honnêtement, il n'a pas l'air très solide. Si je trébuche et tombe dans un fossé, et que je brise ces petites jambes de poulet ?
S: Bon, si tu te fais TANT de souci, on peut reprendre nos corps.
H: Je crois que ce serait mieux... Désolée de te décevoir.
S: Hé, pas de problème ! Je trouve ce corps un peu bizarre de toute façon ! Alors, voyons-voir... KA-BLAMMMO !
H: Là...C'est beaucoup mieux.
S: C'était...étrange.
H: Tu n's pas pu utiliser de magie noire, par contre. Tu n'es pas déçue ?
S: Non. Ce n'était pas une bonne idée. Et si je t'avais maudit par mégarde ? Ou si j'avais changé tes tripes en flan, ou un autre truc de mage ?
H: J'aurais trouvé ça... GENIAL ! Mais ça fait plaisir que tu te fasses du soucis pour moi.
S: Je te considère comme un ami, Henry. C'est normal que je me fasse du souci !
H: Oooh... Merci Sumia ! La prochaine fois, c'est moi qui me ferai du souci pour TOI !
S: On ne va pas encore changer de corps, dis-moi ?!
H: BIEN SÛR QUE SI ! Je n'ai toujours pas pu monter ton pégase !
Soutien S
S: Eh bien ? C'était comment ce premier vol à dos de pégase ?
H: OH LA LA ! C'était... PFIOUUUU ! Et puis.... ZOOOOOOM ! Et... FFFFFUUU ! C'était absolument FANTASTIQUE ! Merci de m'avoir prêté ton corps.
S: Heureuse d'avoir pu te rendre service !
H: Euh...Au fait, quand j'étais dans ton corps, j'ai remarqué quelque chose....d'étrange.
S: Ah... ?
H: Ton cœur s'emballe CONSTAMMENT ! J'ai la tête qui tourne et des vertiges. Tu devrais aller voir un guérisseur, ça pourrait être grave !
S: En fait, je ne crois pas qu'un guérisseur puisse y faire grand chose, Henry...
H: Oh, j'ai aussi remarqué que ça avait tendance à empirer en ma présence. En y repensant, tu pourrais aussi avoir été empoisonnée, mais...
S: Ce n'est pas ça...Cherche encore et je suis sûre que tu vas trouver.
H: ... Oh ! J'ai compris ! Je crois que nous avons exactement la même maladie !
S: Vraiment ?
H: Je te trouve géniale, Sumia, et près de toi mon cœur s'emballe aussi ! Alors, Hmm... Toi aussi, tu...
S: Je sais que c'est un peu étrange... mais je crois être tombée amoureuse de toi, Henry.
H: WOUHOU ! Ca veut dire que je n'ai pas gâché mon argent avec cet anneau !
S: Quel an... Oh ! Je rêve ! Comment est-il arrivé à mon doigt ?
H: Je l'a acheté quand j'étais dans ton corps. Ca a grandement facilité l'essayage !
S: Tu as interverti nos corps pour connaître la TAILLE de mon doigt ? Mais...le joailler pourrait croire que j'ai acheté mon propre anneau de mariage...dans un élan de désespoir !
H: Hi hi ! Peut-être... Mais peu importe, au final ! Alors, s'il te plaît, cet anneau ?
S: Bien sûr, Henry. Il est magnifique. Tu m'as charmée, cette fois, et sans utiliser le moindre sort !