Lol Fleurette ! te voilà rebaptisée C´est vrai que ça évoque d´avantage une plaquette de beurre qu´une affriolante petite blonde à quelques jours de son mariage. mais à propos de mariage, tu as raison de protester, vas-y rebelle toi !!
Blue, arrête les infidélités du côté du forum laraider mais si je t´observe !
Eh! quand même ! t´as vu la longueur des textes que tu mets dans ce forum et pour nous rien du tout....

Blue, arrête d´aller traîner dans tous ces endroits mal famés et reviens-nous, Finefleur n´en peut plus de t´attendre, elle va aller conter fleurette à Mathusalem

Oui, vous allez m´entendre crier "je t´aimeeeuuuhhh" Fleurette MDR J´ai du mal à m´en remettre

Si j´avais une petite secrétaire japonaise avec des couettes pour taper sur le clavier, ça irait plus vite, j´aurais qu´à dicter.

Bon, la suite dans pas longtemps, avec des rebondissements hallucinatoires, si vous ne rentrez pas bourrées.

fleurette? ça fait pas un peu produit allégé
blue,ta dulcinée a perdue du poids

Mais non, Finefleur, est la magie, c´est une des plus belle rose jamais vue.
Alors Blue dépèche toi, elle est a toi
Ne dis pas comme tout le monde
On s´enlace - D"accord!
On se lasse : jamais:
Baucoup d´humour - D´accord!
Mais pas assez d´amour -
Si elle maigrit c´est que tout simplement tu lui causes trop de soucis. J´espère phantom que tu vas rattraper tes erreurs de jeunesse! Je sais que tu l´aimes, alors prouves le lui davantage Tu ne vois pas combien tu la fait souffrir!
J´espère que nous allons voir un phantom le plus romantique sui soit, comme je l´aime et qui pourrait bien nous surprendre.Nous attendons avec impatience de voir notre phantom venir chercher sa belle princesse

Oui Blue, Fleurette perd du poids, elle se languit de toi, et bientôt, tu vas jouer aux osselets Alors dépêche-toi un peu !!

Ben vous n´êtes pas au bout de vos surprises.

Fifi et Fufu dans la joie du bonheur des picotements. J´en dis pas plus.
Reekoo, t´as intérêt à mettre tes antennes en mode surveillance parano. C´est le bouton rouge avec l´éclair jaune sur ton casque.
Persée toujours fidèle à lui-même, mais pas trop jouasse quand même.
Mamie et Chris se payent du bon temps. Poupi aussi.
Ourse, t´as pas fini d´en voir avec Karl. Courage !
Ralph tombe amoureux. Ben on est à Las Vegas, la ville de tous les plaisirs, non ?
Et un nouveau perso dans l´histoire, qui poste sur le forum, avec un métier assez hallucinatoire.
L´épisode dès la prochaine page.

Ralph avec Poupi ??

Des promesses, toujours des promesses...
Bon, je me suis dévouée.
Je suis allée faire un tour sur le net pour trouver une panoplie de secrétaire style « gothic lolita » Pas le genre satanique , non. Plutôt Alice au pays des merveilles revisitée.
J’ai trouvé une petite jupe noire légèrement courte à volants, avec la dentelle qui dépasse en dessous, un top noir bien sur avec des manches pagodes en dentelle.
Je porte ça avec des doc Martens cirées, et des bas résille. Noir toujours !
J’ai aussi dégotté un super collier. Un ruban –noir- à porter serré autour du cou avec une jolie croix en perles de swarowsky et un bracelet qui évoque plutôt une menotte, mais en plus élégant.
Je me dépêche de faire rapidos une teinture bien corbeau à mes cheveux, un maquillage soigné quand même et je saute dans le premier tram désert, pour aller m’installer au clavier de Blue. Sympa, non ?

Purée de chez Mousline, pardon, Mélusine, là je suis soufflé !

Episode 15.

Les retrouvailles furent joyeuses.
— Wouah, trop mignon ton shorty ! s´exclama Finefleur.
— Ouais, répondit Pimprenelle, j´arrête pas de faire les magasins. Ça énerve Cold.
— C´est connu, les mecs n´aiment pas le shopping, crachota fouinesque Fuchsia, eux c´est juste le foot et la picole. Sortis de là, ils captent pas les vraies valeurs.
— Alors comme ça tu te maries aussi ? demanda Finefleur.
— Ouais, y a eu quelques remous entre Cold et moi, des différences d´opinions, mais tu connais la formule : ce que femme veut…
— … le diable le veut, compléta Finefleur. Moi aussi avec Blue, j´ai ce genre de problèmes, les mecs savent pas ce qui est bon pour eux, heureusement que nous les femmes ont sait y faire, sinon y a longtemps qu´ils auraient disparu de la planète.
Les filles rigolèrent comme des hyènes.
Planqués devant le mini bar, je versai un triple Jack Dany à Cold, qui s´empressa de le descendre d´un trait. Je sentais comme une tension dans son spirit. Je sifflai aussi une triple dose.
— Ben alors les hommes ? qu´elle brailla rigolarde la Pimprenelle. Vous dites plus un mot.
— Le silence est la vertu du sage et du tueur, crachota Cold.
Les filles rebelotèrent une rigolade soutenue.
Y´a comme qui dirait un manque d´autorité qui s´installait, un laisser-aller dans le respect élémentaire du citoyen, un déséquilibre certain dans le schéma l´homme-dirige-le-couple-d´une-poigne-de-fer et la-femme-fait-le-ménage-et-boucle-son-clapet. Un déséquilibre du Yin
et du Yang ! De quoi mettre la race humaine en péril !
— Ah vous connaissez pas la meilleure ? envoya Pimprenelle. Cold voulait un mariage gothic, dans une crypte avec des croque-morts, ils font ça dans certaines chapelles, je lui ai dit : "Ça va pas la tête ? Le bébé risque d´avoir des frayeurs."
— T´es enceinte ? s´écria Finefleur.
Cold fut pris d´un vertige. Il s´agrippa au mini bar.
— Non, pas encore, mais j´ai déjà son esprit en moi. J´ai lu ça dans "Femme actuelle". L´esprit du bébé vient t´habiter avant sa conception, et tu peux le ressentir.
— Wouah génial ! s´exclama Finefleur. Alors les picotements que je ressens des fois, c´est peut-être l´esprit de mon futur bébé. T´entends ça, Blue ?
Cold s´essuya le front. Me fit un signe. Je reversai une triple dose de Jack Dany dans son verre. Imitai dans le mien.
— Ouais, super ! envoyai-je d´une voix neutre.
— Ben moi aussi je ressens comme des picotements, qu´elle bava, la Fuchsia. Peut-être que c´est aussi l´esprit de mon bébé.
Reekoo, qui n´avait pas moufté depuis le début, assis sur le canapé, releva la tête de son Journal de Mickey. Ses antennes se mirent à clignoter speed.

Six Elvis en plus crapahutaient dans Las Vegas.
Jo Elvis et Persée Elvis squattaient chez Christou, collés au comptoir, vidant des bières à donf, louchant sur Chris et Mamie attablées dans un box, pas trop fraîches, les minois quelque peu hydratés avec excès par les tournées.
— Je te l´avais dit, souffla, Jo, c´est un plan d´enfer. On observe relaxe, on siffle relaxe.
— Ouais, dégobilla Persée, les zieufs noyés dans sa bibine. (Il larmoya soudain : ) Fuchsia, mon amour, moi vouloir toi. Faut que je la retrouve, que je lui avoue que je l´aime, qu´elle m´obsède jour et nuit, surtout la nuit, ah son corps torride ! Je veux vivre avec elle, avoir des gosses avec elle, mourir dans ses bras.
— Putin, Persée, tu t´occuperas de ta gonzesse plus tard. Faut d´abord qu´on coffre les deux autres pétasses. D´abord le boulot, après le plaisir.
Chris empoigna la bouteille presque vide de Jack Daniel et se versa un verre.
— Et tu te rappelles ce gigolo qui n´arrêtait pas de te suivre ? qu´elle bava.
— Lequel ? demanda Mamie, un œil à droite, l´autre à gauche. Y en a tellement eu qui voulaient abuser de ma vertu.
Elles rigolèrent à se péter le dentier.
Sous la table, couché sur le dos, les pattes en l´air, Poupi ronflait comme un grenadier, la gueule ouverte, la langue pendouillant humide.

Raymond Elvis et Gertrude Elvis déboulèrent dans le vaste hall du Louxor.
— Je me demande toujours si ces déguisements sont une bonne idée, clapota Gertrude.
— La ferme et laisse-moi faire ! crachota Raymond.
Peu après, une dizaine d´Elvis déboulèrent dans le vaste hall du Louxor pour le congrès annuel des Elvis.
Juste peu après, Lucienne Elvis et Albert Elvis déboulèrent dans le vaste hall du Louxor.
— Tu crois que ça marchera ? demanda inquiet Albert.
— Boucle-là ! cracha Lucienne. Commence pas à me les casser, je sais ce que je fais.
Je précise que tous les Elvis portent des sunglasses, sauf Persée qui vient de les enlever pour essuyer sur son visage ses larmes de désespoir aromatisées à la bibine.
Comme le hasard n´existe pas, Raymond, Gertrude, Lucienne et Albert se retrouvèrent à un moment dans les ascenseurs avec une flopée d´Elvis. Il y eut une légère confusion à la sortie.
— Quelle merde ! beugla Raymond dans un couloir. Et active un peu ton cul. T´es vraiment un boulet.
— Dis donc, s´exclama Lucienne, comment tu me parles, espèce de larve ?
Ils s´empoignèrent aux colbachs.
— T´oses me parler comme ça ? cracha Lucienne.
— Et toi ? cracha Raymond.
— Mais t´es pas Gertrude ! qu´il s´exclama, Raymond en soulevant ses sunglasses.
— Et toi t´es pas Albert ? qu´elle s´exclama Lucienne en soulevant ses sunglasses.
— Mais t´es Lucienne !
— Et toi t´es Raymond !
Ils se regardèrent. Un vertige les saisit.
— J´aime les femmes qui me résistent.
— Et moi j´aime les hommes qui ont du caractère.
Ils retirèrent leurs sunglasses et se roulèrent une méga pelle d´enfer, les langues slurpant costaud dans les cavités buccales.
Dans un autre couloir, une scène comparable eut lieu.
— Tu crois pas qu´on devrait revenir plus tard, mon chéri ? demanda Gertrude.
— Ca alors, s´étonna Albert, c´est la première fois que tu me parles aussi gentiment, ma puce.
— Tu m´as appelée "ma puce" ? s´étonna à son tour Gertrude. Je n´en crois pas mes oreilles.
Ils se rapprochèrent, émus.
— Mais tu n´es pas Raymond ! s´exclama Gertrude en soulevant ses sunglasses.
— Et toi tu n´es pas Lucienne ! s´exclama Albert en soulevant ses sunglasses.
— Albert !
— Gertrude !
Un vertige tourbillonna dans leurs têtes. Leurs cœurs battirent en rythme cha la la.
Ils retirèrent leurs sunglasses et s´embrassèrent tendrement du bout des lèvres. Puis avec plus d´insistance, en rougissant, mais sans mettre les langues.

Alors que la Triumph conduite par Ourse roulait cool sur la grande avenue de Las Vegas, les néons flashant une partouze épileptique de couleurs dans une nuit étoilée, Karl ouvrit soudain la portière et s´éjecta sur la route.
Il se releva d´un bond et fonça direct dans un sex-shop.
— Putin, s´écria Ourse en se garant brutal sur le côté. Qu´est-ce qu´il me fait encore comme plan ?
Elle fila à son tour dans le sex-shop.
Karl glandait dans la salle sadomaso. Il avait décroché un fouet et le palpait, les doigts tremblants, les bigleux brillant de convoitise. Puis il s´empara d´une paire de menottes.
— Non, ça suffit maintenant, gueula Ourse, vous aviez promis.
— Juste le foufou et les meumeu, qu´il gargouilla, Karl, s´te plait maman, pour faire pan pan à Karl. Parce que Karl, il a pas été sage, il a été un très vilain garçon.
Une rombière sur le retour, le lifting remodelé par un maquillage outrancier, fringuée corset et bottes en cuir, les loloches siliconées à peine retenues par deux bonnets réduits, la goulache du derche à l´air, rappliqua et envoya :
— Ben alors ma p´tite dame, on veut pas faire plaisir à son p´tit garçon ? S´il vous dit qu´il a pas été sage, faut le punir. On a du matos en promo. Un arrivage de muselières du japon. Y´a la boule dans la bouche qui dégage du vinaigre. C´est très apprécié par la clientèle. Faut dire que les asiatiques sont forts dans le bondage.
— Oh oui, s´excita Karl, une mumu avec la baballe qui dégage du vinaigre dans la bouche, les meumeu et le foufou.
— Vous pouvez essayer le matos, on a des salles au premier.
— Oh oui, maman, insista Karl en sautillant sur place, on essaye le matos, on essaye le matos, dis oui maman.
Ourse fit un signe de croix.

Ralph fila dans le couloir comme une flèche, s´arrêta devant une porte et gratta avec sa patte.
Des pas glissèrent de l´autre côté. Une main lui ouvrit. Il entra dans la pièce. La main referma la porte. Ralph fila droit vers une petite caniche toute frisée qui l´accueillit en frétillant de la queue. Les deux mains enlevèrent le collier de Ralph qui copulait frénétique. Insérèrent une micro caméra ultra perfectionnée grand angle à 360° dans le cuir, qui fit à peine une petite bosse.
— Mon petit Reekoo, dit une voix féminine, tu ne perds rien pour attendre.
Les deux mains remirent le collier à Ralph, qui avait terminé son ramonage, et le raccompagnèrent à la porte.
Ralph jeta un dernier coup d´œil à la caniche, se lécha les babines, et recavala dans le couloir vers la suite de Blue et Finefleur.
— On l´emmènera aussi avec nous ? demanda la caniche androïde.
— Si tu veux, répondit Mélusine, la chasseuse de primes spatio-temporelle la plus féroce de toute la galaxie.

Aaaaaaaaaaaaaaaaah! Melu veut ma peau! Je vais pas me laisser faire, croyez moi!

Ben dis donc, l´ambiance est chaude pour tout le monde ..... sauf pour moi

Efficace la petite secrétaire japonaise ! ça c´est de la réactivité Blue, ou alors on était synchros par hasard
Des scènes qui ne semblent pas faire avancer l´histoire ( surtout pour Finefleur et attendent comme des petites pièces de trouver leur place dans le grand puzzle final (patiente Fifi...)
Action, suspens et mystère sans oublier l´humour, voilà rèunis tous les ingrédients d´un bon scénario de film.
Allez ! vite la suite !

waouh 2 pages ... tout le monde est soigné ben si les beaus parents s´emmelent ça devrait le faire ... c´est quoi ce delire de Bébés ... berk berk berk ...

Fais gaffe à toi Reekoo ! Patience Fine ! Blue peauFine la fin !

le galimatiadélirerockn´roll,waaooouuuuh,et ma fufu elle est ou, hein,elle est ou,ma douce,mon coeur,ma mie (mais non mamie pas toi)

Oui, quelle ambiance!
J´avais remarqué Nemis et c´était inutile de le mettre entre parenthèse, j´avais compris. Je sais combien Fufu peut être désirée? rire2:
Par contre Melu, j´en ai le souffle coupé. Tu es formidable et à quelle vitesse, tu retournes la situation. Quelle classe! Tu ne risques pas d´être au chomage. Je te fais confiance de
Tu en as de la chance Phantom de trouver du personnel aussi dévoué. Maintenant aucune excuse pour nous faire attendre aussi longtemps pour la suite de la Saga.
Comme toujours, tu es excellent Phantom, mais......si l´ambiance est bonne, Finefleur me semble un peu délaissée depuis quelques temps.
Allez chacun à son poste. Quant aux bébés, faites les, mais ne comptez pas trop sur moi pour vous les garder. Par contre Mélusine qui est une personne toute dévouée saura vous rendre ce service. N´est ce pas Melu?