Bonjour à tous, je fais un topic pour vous présenter ma toute première fiction, en commençant par le prologue, en espérant que ça vous plaira, et en attendant des avis avec de bons propos pour m'améliorer par la suite. Bonne lecture .
Je m'appel Yazane El-Mouhabib, et voici mon histoire..
Prologue :
Nous sommes en Syrie, en 1608. Je suis un enfant de campagne, fils de paysans. Mon père et moi vivons seul dans un charmant petit village à côté de la capitale. Mon père m'a dit que ma mère était morte à ma naissance, mais je n'y crois pas trop. Depuis mon plus jeune age mon père m'apprenais à me défendre, et à me battre aussi. Je ne savais pas où il avait appris à se battre comme cela, lorsque je lui demandais, il me répondait tout le temps la même chose : Un jour tu comprendras mon fils, mais ce jour, n'est pas aujourd'hui. Chaque soir avant de me coucher, il me répétait la même phrase : N'oublie pas mon fils, rien n'est vrais, tout est permis. Je n'ai jamais compris le sens de cette phrase. A ce jour, j'ai exactement vingt ans, et pour fêter cela, mon père m'as fait grimper une tour de plus de quarente mètres de haut. Arrivé en haut, il y avait un symbole étrange gravé sur les murs, je ne saurais le décrire. De la haut, on avait une vue imprenable sur la capitale, elle était magnifique, cette ambiance chaleureuse, ses lumières aux coins de rues nous éblouissaient alors qu'ont était à une centaine de mètres d'elles. En bas de la tour, je pouvais apperçevoir une motte de foin assez grosse pour se cacher dedans. Mon père m'avait dis de sauter dedans, sur le coup, je ne le croyais pas, alors il m'as montré l'exemple en sautant le premier. On aurait dit un aigle s'envolant pour les laintains horizons. Ju pris une grosse boufée d'air, leva les bras vers le ciel, et m'élança dans le vide, comme un oiseau, durant mon saut, je sentais mon cœur batttre de plus en plus vite, des larmes s'échappaient de mes yeux, je ne savais pas pourquoi, j'avais l'impression d'avoir déjà vécu ce moment il y à longtemps, et qu'il me rendait des souvenirs me faisant pleurer. Arrivé en bas, mon père m'ordonna de le suivre. Je n'ai pas eu le temps de lui répondre qu'il était déjà partit en courant, je me suis mis à le suivre, difficilement ; il courait extêmement vite, au bout de trois minutes de courses, nous arrivâmes à un cul sac, mon père ne s'arrêta pas de courir et il commença à grimper le mur comme si il avait fait ça toute sa vie. Arrivé en haut du mur, il me dit de le rejoindre, chose que je pensais impossible lorsque je voyais le mur se dressant en face de moi du haut de ces quatres mètres . Mon père me dit d'éssayer, ce que je fis, durant ma course, jamais j'aurais pensé y arriver, soudain, arrivé à deux mètres du mur, mon corps se débrouillait tout seul et se mit à franchir le mur sans que je m'en apperçoive, mon esprit avait tout fait tout seul.
-Félicitation mon fils, tu m'épattera décidement tout le temps ! Me dit-il le sourir aux lèvres. Rentrons maintenant, il se fait tard, et notre chienne va s'inquiéter si nous rentrrons trop tards. Ajouta-t-il.
Le lendemain
Je m'étais levé assez tôt le matin, j'avais fais des cauchemards la nuit. J'avais rêver que mon père se mourait, je ne savait pas de quoi, ni comment, mais j'avais vu sa tombe et moi pleurant devant.
Aujourd'hui, mon père a préparé un emploi du temps chargé, il voulait m'apprendre l'art de la discrétion, je ne savais pas pourquoi.
Après un an d'entraînement, je savais comment me dissiper dans le décors si les gardes me cherchaient, si les gardes avaient une raison à me chercher, c'est parce que mon père m'avait aussi appris à voler pour vivre, ou même des fois pour survivre.
Dans la soirée, au moment de rentrer chez moi, où les rues étaient inanimées et seuls des gardes ivres étaient présents, un inconnu caché derrière une capuche m'interpela et m'emmena au sommet de la même tour où mon père m'avait emmené hier. Arrivés en haut, il baissa sa capuche.. s'était mon père, j'étais très surpris et lui posa plusieurs questions qui me venaient à l'ésprit.
-Pourquoi m'as-tu attrapper si subitement ? Pourquoi te cachais-tu derrière une capuche noir ? Tu voulais que personne ne te reconnaisse ? Réponds ! Criais-je.
-Tais-toi, et écoute moi maintenant. Dit-il à voix basse. Tu te souviens de tout ce dont je t'ai appris ?
Me demanda-t-il.
-Heu... oui mais pourquoi ? Répondais-je
-Tu vas devoir t'en utiliser dans moin d'un jour. Dit-il, l'air sérieux.
-Mais pourquoi ? Tout cela n'est pas clair pour moi. Dis moi plus de détails ! Disais-je térrifié.
-Je ne peux pas, je n'ai pas le temps, dans cinq minutes, des hommes vétus d'étranges habilles blanc, viendront ici, ne panique pas lorsqu'il viendront, ce sont des amis à moi, tu pourras leur poser toutes le questions que tu veux, là tu aura le temps de les poser. M'expliqua-t-il assez rapidement.
-Mais pourquoi ? Où pars-tu ? Te reverrais-je un jour ?
J'enchainais les questions tout en sachant qu'il n'y répondera pas.
-Attends les personnes dont je t'ai parlé, ils te diront tout.
Je ne savais quoi dire.
-Ta mère serait tellement fière de toi Yazane. Dit-il baissant les yeux lâchement. Tiens, garde ça en sûretée, et sers-toi en le moment venu. En même temps qu'il me disait cette phrase, il me donnait une sacoche dans laquelle on pouvait sentir quelque chose de rond, et dur dedans. Adieu mon fils, adieu. Et il fit un saut encore plus préstigieux que la dernière fois, pour ensuite s'en aller à jamais, du moin c'est ce que je pensais...
pas mal vraiment je te donne une note de 16 sur 20
Merci, aurais-tu des conseils a me donner pour que je m'améliore ?
Je trouve que c'est un bon début d'histoire, tu vas sans doute un peu vite quand même, pour une aussi courte durée avec autant de détail, je pense que tu aurais eu besoin du double de ce que tu as écris.
Sinon tu as du vocabulaire mais pas mal de petits problèmes de syntaxe et d'orthographe, si possible sers toi de FireFox pour écrire, il corrige les fautes, ou alors d'un traitement de texte avec correction.
Merci, j'utiliserais tes conseils par la suite
mon vdd a tout dit
Si tu veux je peux te faire quelques reprises pour certaines phrases afin de te montrer ce qui n'est pas au top quelques fois.
C'est avec plaisir que je lirais tes reprises !
J'attends quand même d'autres avis pour me lancer dans la suite. Si ça ne vous dérange pas.
Si je devais mettre une note, je mettrais 15
C'est un bon début, c'est vrai que tu fais quelques fautes mais bon, c'est le début .
Apres c'est vrai que tu devrais décrire plus les personnages.
Sinon, j'attend une suite
Merci beaucoup !
Il est vrai que, jeune Padawan que je suis, ne sois pas encore au top. Je suivrais tes conseils pour rendre la lecture plus plaisante.
Je commencerais le chapitre 1 vers 20h30 à peu près, pour l'instant, j'attends encore quelques avis.
pas mal du tout
Merci beaucoup!
Personne d'autre ?
Chapitre 1 : Il y a un début à tout.
Cela faisait maintenant un quart d'heure que mon père était partit, je me posais encore pleins de questions sur ce qu'il me disait. Pourquoi as-t-il fuit ? Quel est cet étrange objet doré ? Qui vais-je bien pouvoir rencontrer du haut de cette tour ?
Les minutes passèrent, personne de venait, j'entendais des cris de femmes, du haut de la tour, je pouvais voir les scènes d'en bas, c'était affreux, je n'avais jamais vu cela auparavant, des femmes se faisaient violées puis égorgées, il y avait des bagarres, des meurtres.. J'avais peur.
Les nuages commençaient à se dissiper, je pouvait voir les étoiles, et la Lune, c'était magnifique. Quelques minutes plus tard, j'entendais grimper, j'entendais aussi qu'ils étaient plusieurs, j'ai regardé de tout les côtés, rien, et lorsque je me suis retournés, ils étaient là, je pouvais en conter 4 exactement, l'un d'eux était plus en avant, et plus imposant. Il m'apeurais, je tremblais tellement j'avais peur. Comme mon père me l'avaient dit, ils étaient vêtus de blanc, ils avaient tous une capuche qui cachait leur visage. Il m'avait dit de ne pas paniquer, mais c'était plus fort que moi, ils avaient tous des épées, des masses, des couteaux accrochés à la taille, derrière leurs épaules, je pouvais apercevoir des manche d'arbalètes qui dépassaient. J'étais terrifié. Soudain, celui qui était le plus en avant s'avança vers moi, retira sa capuche et dit le sourire aux lèvres :
-Yazane ?
-Heu... o.. oui c'est.. c'est bien moi. Disais-je l'air hésitant.
-Bien, je me présente, je m'appelle Karim Moussab.
Il avait une carrure imposante. Il avait les yeux aussi bleu que la mer, les miens étaient verts, dedans on pouvait voir quelques tâches brunes. Ses cheveux étaient longs, et blancs, je constatais donc qu'il était vieux, moi, mes cheveux étaient mi-longs et bruns. Son visage était marqué par plusieurs cicatrices montrant qu'il a du se battre plusieurs fois dans sa vie.
Au même moment où avait dit son nom, les trois autres personnes présente baissèrent leurs capuche à leur tours, il y avait deux garçons et une fille.
La fille s'appelait Salima, elle était sublime, les cheveux long, bruns et soyeux, ses yeux étaient marrons, et j'arrivais à me voir dedans, elle devait avoir à peu près le même âge que moi.
Le garçon de gauche s'appelait Anthonio Bala, il était Italien. Lui était chauve. Il était plutôt mince, il avait l'air d'être assez agile, son visage fin en disait long sur lui.
Et le dernier, s'appelait John, un anglais, il était roux, avait une barbe imposante, sa carrure aussi en disait long, il devait être très fort au combat rapproché.
Au milieu de l'endroit où l'on se trouvaient, du feu était allumé. Karim s'en approcha avec une long pince, il la mît au feu durant deux, ou bien trois minutes.
Se délais passé, Karim s'approcha de moi avec sa pince en feu, sur le moment, j'ai cru qu'il avait l'intention de me torturer. Il me regarda droit dans les yeux et me dit :
-Ton annulaire gauche s'il te plaît. Dit-il sur un ton sérieux.
-Vous rigolez j'espère ?! Disais-je tout en ricanant.
-Ais-je seulement l'air de plaisanter ?
Sur cette phrase, je tendit ma main immédiatement vers lui tout en écartant les doigts pour qu'il ne touche que mon annulaire.
Karim posa la pince sur mon annulaire pendant trois secondes, cela me procurais une douleur horrible, mais je serrais les dents pour ne pas crier et nous faire remarquer.
Lorsqu'il retira la pince, je pouvais voir une cicatrice en forme de bague sur laquelle se trouvait le même symbole que sur les murs de la pièce où l'ont se trouvaient. Au même moment où je regardais mon doigts, interrogé, Karim me prononça la même phrase que mon père, toute ma vie :
-N'oublie jamais cela : Rien est vrai, tout est permis.
Sur le coup, j'étais tellement choqué que je n'entendais plus rien d'autre que cette phrase qui résonnait en moi en répétition, dès que cette phrase se terminée, elle recommençait.
Une fois que j'entendais de nouveau normalement, j'éxpliqua à Karim que durant toute ma vie, avant de me coucher, mon père me répétait cette phrase.
Il baissa les yeux et commença :
-Yazane, avant de continuer il faut que tu sache quelque chose d'important, quelque chose qui va bouleverser ta vie à jamais.
Sur ces paroles, j'avais peur d'entendre la suite, l'atmosphère me paraissait irrespirable, je craignais quelque chose de terrible..
-Tes parents font parties d'un ordre d'Assassins, et toi, tu vas prendre le relais.
Je n'avais pu croire ce qu'il me disait, c'était impossible. La seule question qui me venait à l'esprit c'était :
-Et mon père ?
-Ton père est entrain de fuir le pays, les Templiers sont de retour, et il l'ont retrouvé, ils vous ont retrouvés. Dit-il en insistant sur le vous .
-Mais... qui sont les Templiers ? Demandais-je frustré.
-C'est un ordre cherchant à instaurer la paix dans le monde. Disait-t-il.
-Et qu-y a-y-il de mal à cela ? Disais-je.
-Ils veulent instaurer la paix, oui c'est bien beaux, mais à quel prix ? Ils veulent détruire le libre arbitre de l'homme. Et nous, les Assassins, sommes là pour les empêcher à détruire le libre arbitre de l'humain. Tout en instaurant la paix.
-J'ai du mal à comprendre..
Puis intervînt John :
-Ben en gros les Templiers c'est le mal, et nous on est là pour les buter ! Capiche ?
Anthonio baissa les yeux et murmurait :
-Imbécile d'anglais, aucun tact ceux-là.
-Oui je vois. Disais-je impressionné par le ton de voix que John prenais lorsqu'il prenait la parole.
-Bon, il faut aussi que tu sache que ta mère est morte durant une mission contre les Templiers, et pas naturellement. Maintenant il est temps de te donner tes équipement. Ajouta Karim.
-Tiens, épée, dagues, couteaux de lancer, lames secrètes, pistolet caché, arbalètes, poisons, carquois, flèches. Voilà pour les armes, et maintenant, enfile ta tenue d'Assassin.
Elle était blanche avec des foulards bleu turquoises au niveau de la taille, des gants et bottes en cuirs, une cuirasse faite en acier trempé, des épaulières en fer, un foulard rouge sang dépassait du foulard bleu se laissant tomber vers le bars. Un ceinture en acier en forme du symbole gravé à mon doigt. Apparemment c'est le symbole de l'ordre des Assassins.
Une fois ma tenue enfilée, et mes armes équipées, il m'ordonna de le suivre. Il se mît sur les barrières qui se trouvaient autour de nous, puis sauta dans le vide aussi bien que mon père, pour enfin atterrir dans la motte de foin, je fis pareil, pendant mon vol, j'avais l'impression d'être un aigle, c'est peut-être ça, être un assassin. Puis les trois autres Assassins nous suivirent. Arrivés en bas, Karim me dit :
-Voila le début de ta nouvelle vie..
N'hésitez pas à faire des critiques, ça m'avancera dans mon écriture
Pas mal c'est le début, il faut voir ensuite sur le long terme au niveau du scénarion c'est là où une fic se démarque vraiment sinon c'est bien.
Merci beaucoup ! Sinon, quelques conseils, remarques .. ?
Personne ?