Mais mon ami Robert, dans le BTP, s'y connaît en chantier http://blog.bouygues-construction.com/wp-content/_mg_4956.jpg
Aide-moi et il t'aidera. Nous formerons un bon trio.
C'est la fin du cycle.
Ce cycle est un espace fermé, étouffant, mais quand il se reproduit, il est liberté, il s'aligne à l'infini dans une succession qui atteint l'être divin, c'est à dire l'infini.
Devant tant de sagesse, je ne peux que me laisser pénétrer et, en paix, partir me coucher (en boîtant).
C'est donc avec regret, que je me vois m'incliner et avec une pointe de mélancolie, te souhaiter bonne nuit.
Mais la fin existe peut-être ? Peut-être la percerais-je ? Alors sois je créerais un nouveau Dieu à la fin du Dieu qui est responsable de l'état d'extase où je me trouve régulièrement, ce Dieu sera une sorte de forme supérieure du genre terrestre, jusqu'alors inconnue de l'humanité entière, savants, analystes, idôlatres, je serais ce Dieu et la reine d'un nouveau genre humain. ou alors je créerais un Dieu par fusion de mon coeur avec le tiens, puis celle de mon corps avec le tiens.
Mais quoi qu'il en soit, je serais au sommet de toute création.
L'humanité n'est pas prête à être guidée, peut-être devrions-nous, ensemble, les gouverner de façon ferme mais éclairée. Ils apprendront à te respecter, ô toi, qui a su m'illuminer.
Je suis fascinée et en réalité, mon amour bouillonnant n'est pas moins intense que ma curiosité de toujours, mais au fond, comment décortiquerais-je cet incroyable specimen ?
La conclusion semble là, dans son dernier message, mais, c'est étrange, peut-être est-ce involontaire de sa part.
Si ce n'est pas le cas...
alors c'est bien cool.
Tu me laissera te plaquer contre mon lit, puis soulever ton corps en te tirant par les cheveux et en mettant ma main sous ton ventre et te chevaucher en te branlant ?
Pour toi mon coeur, je serais ta catin d'un jour et de toujours. Ma crinière, et mon corps te sont déjà acquis.
Faudraient qu'ils poussent quand même, tes cheveux ridicules.
Mais mon amour, comment pourraient-ils poussaient si tu ne t'amuses plus à les tirer ? Ce va-et-vient qui nous sied si bien, en ces temps troubles me manquent de façon double.
Maintenant tu va me réciter un poème, sinon je me casse.
Dans le fronton d’un temple antique,
Deux blocs de marbre ont, trois mille ans,
Sur le fond bleu du ciel attique
Juxtaposé leurs rêves blancs ;
Dans la même nacre figées,
Larmes des flots pleurant Vénus,
Deux perles au gouffre plongées
Se sont dit des mots inconnus ;
Au frais Généralife écloses,
Sous le jet d’eau toujours en pleurs,
Du temps de Boabdil, deux roses
Ensemble ont fait jaser leurs fleurs ;
Sur les coupoles de Venise
Deux ramiers blancs aux pieds rosés,
Au nid où l’amour s’éternise
Un soir de mai se sont posés.
Marbre, perle, rose, colombe,
Tout se dissout, tout se détruit ;
La perle fond, le marbre tombe,
La fleur se fane et l’oiseau fuit.
En se quittant, chaque parcelle
S’en va dans le creuset profond
Grossir la pâte universelle
Faite des formes que Dieu fond.
Par de lentes métamorphoses,
Les marbres blancs en blanches chairs,
Les fleurs roses en lèvres roses
Se refont dans des corps divers.
Les ramiers de nouveau roucoulent
Au coeur de deux jeunes amants,
Et les perles en dents se moulent
Pour l’écrin des rires charmants.
De là naissent ces sympathies
Aux impérieuses douceurs,
Par qui les âmes averties
Partout se reconnaissent soeurs.
Docile à l’appel d’un arome,
D’un rayon ou d’une couleur,
L’atome vole vers l’atome
Comme l’abeille vers la fleur.
L’on se souvient des rêveries
Sur le fronton ou dans la mer,
Des conversations fleuries
Prés de la fontaine au flot clair,
Des baisers et des frissons d’ailes
Sur les dômes aux boules d’or,
Et les molécules fidèles
Se cherchent et s’aiment encor.
L’amour oublié se réveille,
Le passé vaguement renaît,
La fleur sur la bouche vermeille
Se respire et se reconnaît.
Dans la nacre où le rire brille,
La perle revoit sa blancheur ;
Sur une peau de jeune fille,
Le marbre ému sent sa fraîcheur.
Le ramier trouve une voix douce,
Echo de son gémissement,
Toute résistance s’émousse,
Et l’inconnu devient l’amant.
Vous devant qui je brûle et tremble,
Quel flot, quel fronton, quel rosier,
Quel dôme nous connut ensemble,
Perle ou marbre, fleur ou ramier ?
C'est beau mais j'ai pas fait l'effort de comprendre.
Bon, grosse merde soumise, tu me fais un massage des pieds ?
Mais ma déesse, je voulais te lécher les pieds !
Mes pieds, c'est l'endroit le plus sensible de mon corps, tu sais que je trébuche et tombe souvent dans la nature hostile, c'est pourquoi tu veux les chatouiller, petit pervers, je hais ton âme et ta coiffure détestable.
Mais voilà que nous sommes liés. Trop tard, tu t'es laissée attraper, et c'est maintenant à mon tour de te pénétrer. Ma nature, enfin elle t'est dévoilée et c'est sûr, tu vas prendre ton pied.
Vaginalement ?
Par tous les pores de ta peau.
Okay, on va s'amuser entre amants, je frémis rien qu'à la pensée de poser un baiser sur ton gland si doux.
Heu, ça se fait ça ?