Certains moments d'inattention ou de faiblesse, comme chez tout être non divin, de celui qui étouffe la flamme de sa paume noircie peuvent contracter le diaphragme de ces émotions qui nous séparent des êtres sans conscience réfléchie, mais bien vite, comme chez tout être, qu'il soit d'ombre ou de lumière, tant qu'il a été crée avec une attention extrême, ou tout simplement une inspiration désinvolte qui en fait un avatar de puissance imparfait, il reconstitue sa carapace, s'il est vraiment à un niveau de perfection humain, autrement, il sombre dans la maladie, au cas où une fragilité ou simplement des circonstances irréversibles le font plonger dans les persécutions de son entourage.

A cette époque on pouvait pas faire un jeu complet à cause des limitations techniques, mais à notre époque on ne peut pas non plus à cause des joueurs casuals.

Lisaline/korsak, en même temps quelle idée d'éteindre un feu à mains nues ?

1. A cette époque on pouvait pas faire un jeu complet à cause des limitations techniques

Entre complet et "à l'arrache", il y a deux poids deux mesures. Regarde la tronche des villes, les maisons ressemblent à celles des vieux rpg jap sur les vieilles consoles...

Et le plan des donjons est quasi toujours le même, sauf le donjon final. On te fait tourner en spirale jusqu'à atteindre ton but.

Certains s'en croient capables, ils ne créent qu'une sorte de stagnation, mais ce n'en est pas une, cela y ressemble, mais c'est une évolution lente vers les solitudes désertes et exotiques, où, sans conteste, l'oasis nouveau s'extirpe avec une nouvelle innocence, plus naïve, plus fraîche que celle des deux êtres réunis, indestructibles, dont l'un se sert du mal secrété par sa moitié pour se projeter indéfiniment vers les cieux, l'autre du bien à l'intérieur duquel il habite, pour s'enfoncer sous l'eau afin de contempler la vie obscure des êtres colorés et visqueux qui se trouvent à cent mille lieues sous les mers.

Arcanum pas un jeu complet... Fût un temps où tu aurais été pendu haut et court pour de telles paroles vermine. Vraiment, ce monde n'est plus ce qu'il était.

La seule chose assez complète est la création de personnage avec les caractéristiques et l'histoire associées.

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Ose me dire que c'est beau et que c'est du boulot bien fait.

Vraiment, toute cette décadence est à gerber. ô gloire passée de ce forum, te retrouverons-nous un jour ? Nous, tes fidèles serviteurs ? Aide-nous à repousser ces impies qui nous révulsent tant, cette masse immonde, suintante, parasites sans vergogne. Ô Dieux de Tarante, déchainez votre fureur sur ces putrides créatures qui pénètrent ce lieu Saint.

Les comportement ayant l'apparence de la souffrance cachent-t-ils une vraie souffrance ou s'agit-t-il simplement d'une attitude certes très compulsive mais simplement marginale, ayant de saines raisons d'être ?

Ca ne répond pas à la question.

La solitude est-t-elle un gouffre sans fond ou peut-t-on trouver les ressources à l'intérieur même de son être courbé sous le rejet des êtres sans envergure, en exploitant les facettes de son âme, qui peuvent se révéler étonnantes et multiples ?

milions oiseaux prend la maison et la medre dans le ciel et du va bousser la maison a la foret mai en verite il tom barter en verite il rever

Lisaline

Donner en cascade ; On ne trouve que ce que l’on attend ; Franchir les obstacles ; Éloge de la fatigue ; Cette croix me pèse ; Si j’étais ; Je te souhaite ; Petites béatitudes ; 7 souris dans le noir ; La preuve... La stratégie de la réussite ; A la suite de Pierre et Paul, allons porter la bonne nouvelle ; Si tu veux éviter la peur ; L'arbre à soucis ; Va vers toi-même ;

Il n'y a rien de plus plat qu'un être prévisible qui ne cache rien, et montre toute sa simple nature aux regards révulsés, ils ne tromperont même pas cette nature même par leur physique, qui ne signifie rien, et ne procure aucun agrément.

Je parle de personnes absentes. Mais il arrive qu'un être surprenant s'enferme dans un cycle, qu'il rompt parfois pour en commencer un autre, la seule surprise étant l'apparition d'un nouveau cycle.

Peut-être l'immobilité des choses autour de nous leur est-elle imposée par notre certitude que ce sont elles et non pas d'autres, par l'immobilité de notre pensée en face d'elles.

Sur cette nature même*

Je te le concède Lisaline.

Ce n'est pas à un autre homme intelligent qu'un homme intelligent aura peur de paraître bête.

Ce n'est pas à un homme intelligent qu'un éphèbe étonnant, clair comme le jour et la nuit, mauvais dans son coeur pur comme les nuages du septième ciel, d'une beauté qui surpasse la splendeur qui émane de la perfection, aura peur de paraître laid.

Bien sûr, je ne suis pas exactement un éphèbe.