Les saucisses...
Arrête de te moquer Lovkvist
Je ne me moque pas.
France: Paris
Espagne: FC Barcelone
Italie: Milan AC / Inter Milan
Allemagne: Bayern Munich / Dortmund
Angleterre: Arsenal
Pays Bas: Ajax
En fait tu es un peu footix.
Non mais y a des raisons
Je surkiffe Ronaldinho et le beau jeu
Donc vire Dortloose.
Non Dortmund
Le stade
Le public
Frei et Le Tallec
Un stade renommé.
Un maillot horrible.
Un buteur qui n'en est pas un.
Une équipe sans âme.
Tous comme Paris
Non Paris c'est un mythe
Lovkvist co toi sur msn
Il y aura une suite ce soir.
Blabla 2 !
3.
Suite pour la nouvelle page.
Okay
Bon ba on attend
Hickersberger le retour
C’est fait, l’entraineur du Zénith Saint Petersburg et les hautes instances de la fédération autrichienne étaient arrivés à trouver un accord, le coach de 60 ans, passé par de nombreux clubs tout au long de sa carrière professionnelle, dirigera la « Wunderteam », jusqu’en aout 2014, si toutefois ses résultats sont satisfaisants, car en effet, déjà sélectionneur de 1988 à 1990, puis de 2006 à 2008, chaque fois avait échoué, ne dépassant le premier tour d’aucune compétition internationale, ne parvenant même pas à qualifier son pays pour les quarts de finale d’un Euro disputé à domicile, avec certes une équipe faiblarde pour l’entourer.
Andreas Herzog – Eurosport
Siège de la Fédération d’Autriche de Football – Salle de presse
---> Que vous inspire votre nomination au poste d’entraîneur de l’Equipe nationale ?
C’est une nomination que je salue, déjà. C’est une preuve de confiance de la part de la fédération en ces temps difficiles. Cela constitue un véritable test pour moi. Rebondir après tant de déceptions serait fantastique ! Les joueurs évoluant en Bundesliga étant le socle de l’équipe nationale A, il s’agit donc de poser les meilleurs jalons pour retrouver une équipe compétitive et conquérante, habituée à évoluer ensemble, au quotidien, et sur le terrain. La nomination à ce poste suppose plusieurs défis à relever. Il s’agit de nous qualifier pour les futures compétitions dont la plus immédiate est la Coupe du Monde en Afrique du Sud, de montrer notre véritable statut de nation de football, mais aussi préparer le terrain de la relève, qui s’annonce forte, très forte.
---> Vous parlez de l’Autriche comme une nation de football, mais le ski alpin y est omniprésent, pensez vous que le ballon rond puisse se faire un vraie place ?
Bien sur, si l’équipe joue bien, produit du beau jeu, les gens se tourneront immédiatement vers notre sport. Pourquoi les sports d’hiver sont-ils aussi populaires ? Parce que les autrichiens y obtiennent de bons résultats, cette relation de cause à effet est inévitable.
---> Quels sont vos projets pour l’équipe nationale dans un bref avenir ?
Je pense qu’une équipe nationale a besoin d’être construite, construire veut dire, changer les mentalités tout d abord au niveau de la gestion, de l’approche des matchs. Tout se joue dans le mental aussi bien au sein de l’équipe nationale, des dirigeants, et des supportes. Et ce changement de mentalité doit s’opérer en accord avec le changement de nos acteurs, les footballeurs, qui doivent retrouver l’amour du maillot, de leur patrie.
---> Ne craignez-vous pas d’avoir perdu de la crédibilité auprès des joueurs, après l’échec de l’Euro 2008 ?
L’Euro n’était pas un échec. Nous avons joués avec nos moyens, nous avons perdus 1-0 contre des adversaires, à cette époque, bien meilleurs que nous, et nous avons décochés un nul contre une très forte équipe de Pologne. Rappelez-vous qu’à quelques mois de la compétition, tout le monde nous voyait perdre ridiculement à chacune de nos apparitions. Mais avec un esprit combatif, et surtout un bon tempérament offensif, nous avons réussis à nous en tirer, à sortir de la Compétition la tête haute, fiers du travail accomplis, fiers d’avoir réduits la marge qui nous séparait des grosses équipes !
--> En fait, c’est comme si vous n’étiez jamais parti ?
Exactement.
Bien
Mais bon allez les bleus