Tu as oublié les pneus courses tendres.
cest evident
moi je crois que la sorbonne me donerons un diplome car mon pilotage est un pilotage classique un pilotage haut de game
Midnight-GT6 t'es un petit joueur
Mais c'est quoi ces no life de GT6 ?
Gabi29200 Voir le profil de Gabi29200
Posté le 15 octobre 2014 à 20:41:24 Avertir un administrateur
Ce troll qualité Low Cost
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Comme je le dis toujours : cette blague qualité Leader Price
Quentin j'ai eu le jeu en juin donc bon
Quentin Petit joueur, j'ai environ 1 700 heures désoler j'ai pas de photos pour prouver car je n'ai pas de papier pour écrire mon pseudos et en plus j'ai pas accès à ma ps3
La schizophrénie est un trouble psychique se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec d’autres individus, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.
Les facteurs connus pour être liés au développement d'une schizophrénie sont multiples : d'ordre biologiques (génétique, neurobiologique, prise de toxiques (comme le cannabis), infectieux), psychologique (stress) et encore social (environnemental, isolement). Au début du XXIe siècle, ils sont cependant largement incompris. Les mécanismes de cette pathologie sont eux aussi incomplètement compris.
Elle se manifeste souvent au début principalement par un sentiment d'étrangeté, une bizarrerie, des intérêts étranges, ésotériques, des incohérences dans le discours, un manque de motivation, des troubles de concentration, parfois un sentiment de persécution. Ceci peut aboutir au développement d'un délire paranoïde. On retrouve une désorganisation de la pensée et du discours. Dans 20 à 30 % des cas, la personne peut avoir des hallucinations, surtout auditives. Ces voix imaginaires (souvent les mêmes), parlent au malade pour commenter ses actes et ses choix. La schizophrénie engendre des dysfonctionnements qui évoluent avec des phases aiguës et des phases quasi asymptomatiques1.
Le diagnostic se fonde sur l'observation du comportement et sur les symptômes rapportés par le patient et grâce à son histoire. La période diagnostique permet aussi d'éliminer d'autres pathologies neurologiques et psychiatriques. Il n'y a pas à ce jour d'examen complémentaire qui permette de confirmer ou d'infirmer le diagnostic. Les nombreuses combinaisons de symptômes observés chez les personnes vivant avec une schizophrénie ont ouvert un débat pour savoir si ce diagnostic représentait une seule et même maladie ou plusieurs syndromes distincts.
La schizophrénie a une prévalence globale d'environ 0,3-0,7 %2,3. Les patients atteints de schizophrénie souffrent souvent d'autres maladies psychiatriques : dépression, troubles anxieux, addictions (50 % des cas environ).
L'espérance de vie des personnes touchées est ainsi estimée inférieure de 12 à 15 ans à l'espérance de vie moyenne, à cause du risque plus élevé de problèmes de santé (lié à la pathologie et/ou à son traitement) et d'un plus fort taux de suicide (risque absolu de 5 %4,5,6,7). Cette pathologie peut évoluer favorablement dans un délai plus ou moins long.
La schizophrénie est couramment traitée par la prise de neuroleptiques. Ces médicaments agissent sur les récepteurs de la dopamine et parfois de la sérotonine. La psychothérapie et la réhabilitation sociale font également partie de la prise en charge, et sont accompagnées d'une réinsertion sociale et professionnelle du patient. Une aide familiale par la psychoéducation a démontré son efficacité. Dans les cas les plus sévères — lorsque l'individu présente un risque pour lui-même ou pour les autres —, une hospitalisation sans consentement peut être nécessaire. De nos jours, les hospitalisations sont moins longues et moins fréquentes qu'elles ne l'étaient auparavant8. Cependant, seule une petite minorité de personnes souffrant de troubles mentaux adopte un comportement dangereux pour les autres.
Bien plus souvent, ce sont les patients qui sont les victimes9, de leur fait ou de celui d’autrui ou de la société (discrimination à cause de la maladie et/ou des complications du traitement, difficultés de logement, précarité économique, isolement, difficulté d'accès aux soins non psychiatriques. Dans certains cas, afin de compenser les difficultés liées à la maladie même traitée dans l'insertion sociale ou professionnelle, il est possible à la personne souffrant de schizophrénie de bénéficier d'une reconnaissance du handicap : on parle alors de handicap psychique
De rien l'auteur
streetlife cest ma streetlife qu est ce tu raconte ta jamais vendu meme pa un grame
that topic
Maldonadieu on dit merci qui ?
MERCI WIKIPEDIA
adidi amin roieunuque mon lancement tentends