Note : Cette FIC est dans un monde fictif, dans un temps fictif, donc toutes règles deviennent fictif.
Note2 : Mature Audience Only : Strong Coarse Language and Strong Violence.
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Ramona's Government's secret files :
Case n°124 : Assassin's Crisis
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Chapitre 1 : Mort dans l'âme
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Sombre affaire pour moi ce jour là.

Sous un ciel de plomb, un homme beuglait des avertissements à toute la population. Il parlait de danger, de pouvoir, de gouvernement, de menace, de mort, et de tout ce qui aller si bien avec ce temps gris et ces vents frais.

Que des conneries, comme chaque être humain sait si bien le faire.

Cet homme devait avoir la quarantaine.

Voir plus, mais pas moins.

Il parlait d'un Roi, d'un royaume de Ramona.

De notre Roi. De mon employeur personnel. Et cela d'une manière négative. Il était donc ma cible. Salopard.

Un œil sur le viseur, une oreille sur un appareil d'écoute à longue portée, je me trouvais à 320 kilomètres de là. Je pouvais malgré tout distinguer ses dents, et j'ai d'ailleurs repéré une carie sur une gencive. Faut pas être étonné, ce mec est une véritable ordure.

Mais le temps presse.

La simple pression de mon indexe fit partir la balle à une vitesse approximative de 8500 kilomètres-heures. Elle parcouru la distance nous séparant en se décomposant, afin de lâcher du poids et “flotter” dans l'air plus longtemps. Ainsi, elle traversa toute la capitale de Ramona : Oberto.

Le Royaume de Ramona... c'est 340 millions d'habitants, c'est 918 000 kilomètres carrés, c'est un bordel politique monstrueux en permanence. Chaque habitant de ce Royaume possède un don. Une magie personnelle.

Ma cible pouvait par exemple créer une zone de chaleur autour de lui, se protégeant ainsi de la pluie et du froid. Cette magie pouvait-être utiliser parfois comme un outil bénéfique, parfois comme un outil maléfique. Parfois pour rien. Comme toute magie.

La hiérarchie dans ce monde était particulière :
En haut, celui qui a le plus de pouvoir, le Roi. Niveau magie, le roi de cette époque était capable de ne pas dormir. S'il le voulait, il pouvait vivre sans dormir. C'était assez pratique pour un Roi. En dessous se trouvait la Cour, les nobles et les gardes, ceux qui avaient un pouvoir offensif capable de maltraiter les gens quoi. En dessous encore se trouvait les “ouvriers”, qui eux n'avaient que de petits pouvoir, comme couper du bois, ils avaient quand même un place importante dans la société car ils procuraient les ressources. En dessous enfin se trouvait ceux qui avaient les pouvoirs inutile (faire pousser des poils sur le front par exemple) et moi.

Sauf que moi je m'en sortais.

En ce moment régnait un climat orageux sur la politique, avec d'un côté le Roi et ses hommes et de l'autre certains traitres qui cherchait à diviser le peuple et le pouvoir, car ainsi ils pourraient prendre aisément le pouvoir. Ma cible faisaient partie de ces enfoirés.

La balle arriva à destination. La tête de ce connard gonfla le temps d'une centième de seconde avant d'exploser, rependant du sang bleu partout autour, le corps restant debout sur place une bonne seconde avant de chuté à son tour.

Hélas pour moi, j'étais tellement concentré sur cette cible que je n'avais pas vu les policiers, qui m'avaient aperçu sans doute grâce à un pouvoir de longue vision que devait avoir l'un d'entre eux. Ainsi, au moment où je tirais, les sirènes se firent entendre.

Au passage, je me présente, je suis un des assassins du Roi. Je n'ai pas de nom, pas besoin. Ma fonction est secrète bien entendu, c'est pourquoi la police me poursuit d'ailleurs, je ne suis pas un assassin “officiel”.

J'ai été formé comme assassin dès mon plus tendre âge, car personne n'aurait voulu de moi. Je n'avais ni famille, ni pouvoir, et du sang rouge. J'étais différent, encore plus bas dans la hiérarchie que ceux qui avaient des pouvoirs inutiles comme parler en rotant.
Et pourtant, en moi-même, je sentais que je les dépassais tous...

Sur ce balcon d'hôtel abandonné, au 79ième étage, avec ascenseur hors service, je me sentais plus puissant. Inatteignable. Mais c'était faux bien entendu.

Les coups de feu commençaient à venir d'en bas, raflant de très près ma tête. Fallait partir. Je me mis à courir vers la porte de la chambre quand soudain, une explosion derrière moi pulvérisa le sol où je me tenais un instant avant.
La scène se passa alors comme au ralentit : les poutres lâchèrent, faisant chuter les balcon des étages aux dessus qui tombèrent sur le balcon où j'étais, qui chuta sur le balcon d'en dessous, et cette réaction en chaîne dura une trentaine d'étage.

Ok, un d'entre eux pouvait créer de lourdes ondes de chocs. Une magie bien offensive dîtes-moi !

Je parvint à franchir la porte et me retrouva dans le couloir principale de l'étage. La porte en face menait dans une salle rempli de colonnes soutenant le bâtiment. A tout les coups je devais être dans le cœur de l'hôtel, accessible du au fait que le bâtiment étaient abandonné depuis longtemps.

Parfait pour le combat.

Pendant ce temps, les officiers de police avaient déjà envoyé des grappins sur le balcon détruit et commençaient à se hisser à mon étage...

Planquer derrière une colonne, je rechargeais mes pistolets. Le temps semblait se dérouler au ralenti. Je sentis une contraction dans l'air. A l'œil nu, je pu voir cette espèce de surpression qui se déplacé... Une onde de choc à retardement, de la même nature que celle qui avait détruit le balcon.

Je m'écrasais contre la colonne, prenant le moins de risque inutile possible. La masse d'air se déplacé lentement... Très lentement... puis s'agita sur elle même, créant une mini réaction en chaîne dans l'air et provoqua l'explosion. Au même moment, des tirs fusèrent de partout, j'entendais de là où j'étais les munitions des mitraillettes de la police tomber par terre, je voyais des morceaux de colonnes s'échapper dans tout les sens, un nuage de poussière se soulevant jusqu'au plafond. Parmi les balles qui passaient, une d'entre elle avait une trajectoire étrange, sans doute contrôler par un des flics. Cela voulait dire que si un d'entre eux pouvait contrôler la balle, il pourrait l'arrêter, comme il arrêterait les miennes.

Merde.

C'est alors qu'une voix fit cesser le feu. Ils attendaient sûrement une réponse de ma part. Les larmes aux yeux, serrant les dents, prenant le seul choix qui me restait, je sortis de ma cachette en hurlant, tirant dans le tas avec mes deux pistolets. La plupart de mes balles furent arrêté magiquement, mais d'autres passaient par delà leurs attentions et atteignaient les cœurs des officiers, mon entraînement m'ayant donné une précision excellente. Du sang bleu gicla à nouveau, tout comme du rouge, car pendant ce temps, eux se remirent à tirés, mais leurs propres balles étaient stoppées elles aussi par la même magie qui bloquait mes balles. Je finis mon intervention en me cachant derrière une autre colonne.

J'avais aucune chance avec une gunfight. Pas très loin de ma cachette se trouvait une fenêtre, donnant accès à un toit. A dix mètres. Je n'ai pas de pouvoir, alors non je ne sais pas faire des sauts de dix mètres. De plus, ils savent désormais où je suis.

Une nouvelle fois, une masse d'air se déplaçait dans la salle. Une idée insensée me vint alors. J'attendis quelques instant que la masse soit à mon niveau et couru alors vers la fenêtre. L'onde de choc explosa, et je fus projeté à bien plus de 10 mètres de là sur l'autre toit. Le contacte contre le sol du toit fut dur et mon corps le traduisit à mon cerveau comme un coup de fatigue violent, mais je ne pouvais pas arrêter. Je ne pouvais plus. Il fallait que je me relève sous la douleur, sous la brulure, face à la mort.

A la fenêtre, ils recommençaient déjà à me tirer dessus. La course poursuite ne semblait pas être prêt de s'arrêter. La peur de la mort me donna plus de force que le courage et me fis remettre sur mes jambes. Les balles sifflaient près de mon oreille alors que j'arrivais au bout du toit. Un saut d'un bon mètre qui s'ensuivit d'une roulade me permis d'atterrir sur l'autre toit. Les policiers continuaient inlassablement leurs tirs. Moi, je ne sentais plus rien. Je savais que mon oreille avait été percé par une balle. D'autres se sont logés dans mon bras gauche, et une a touché la hanche. Mais je ne montrais aucune réponse physique. Je me remis à sprinter sur le toit, priant Dieu pour qu'aucune balle n'atteigne mes jambes ou mon cœur. Ce fut le cas. Mais ma nuque se prit une sacrée balle, heureusement que j'avais des protections, sinon je n'aurais plus de corps ni de tête. Et ne parlons pas de mon bras. J'ai continué ainsi jusqu'au bout du toit où un hôtel-appart, vraiment énorme, se dressait. Impossible d'atteindre le toit une quinzaine de mètres plus haut. Il y avait deux mètres d'écart entre les deux bâtiments... J'étais en pleine course, en train de me demandais comment franchir cette obstacle. C'est alors que je vis une fenêtre... Je ne m'arrêta pas me jeta les bras en croix... Et me pris une balle en plein dans le dos, au niveau du nombril, traversant mon gilet par-balle. Le choc contre la fenêtre n'arrangea pas les choses, mais ma protection me protégea des morceaux de vitre.

Hors de vue des policiers, ils arrêtèrent enfin de tirer... Mais un d'entre eux, maigrichon, invoqua sa magie pour faire léviter une dizaine de shurikens et les lançait à toute vitesse contre moi. Je me suis précipité vers la porte, avec cette impression que mon dos se déchiré, ne prêtant pas attention au couple dans le lit qui me regardait, effaré. J'eus le temps de me voir dans un miroir. J'avais la gueule en sang, un bras qui pendait, des trous plein le gilet, et une flaque de sang se formait sur mon cou. Ma barbe naissante donner un aspect crade, et j'avais de la poussière plein les cheveux. On aurait dit un mendiant qu'aurait fait la guerre. Mais en pire.

Il était temps de rentrer.

La sortie de secours de l'hôtel était comme toujours signaler par le petit bonhomme vert, qui m'emmena jusqu'au tube de sortie. Oui, je devais être dans les étages 76-77, j'allais pas prendre un escalier ! Je glissa donc le long de ce toboggan durant trois bonnes minutes, voyant chaque étage défilé devant mes yeux, me prenant d'innombrable choc statique, et l'arrivé se fit brutalement sur un amas de coussin au rez-de-chaussé. Les employés de la réceptions furent surpris de me voir, mais je ne leurs prêta même pas attention et fonçais vers la sortie. Devant l'hôtel se trouvaient une panoplie de voiture et une chouette moto. Afin d'éviter de se faire avoir par des embouteillages à la con, je choisis logiquement le véhicule à deux roues.

J'avais à peine tourné deux rues que d'autres policiers me poursuivaient déjà sur leurs motos. Zigzaguant entre les voitures, ils ne pouvaient me tirer dessus. Cependant, ils en profitèrent pour gagner du terrain. J'accélérais brutalement afin de tenter de refaire un écart, d'autant que l'on arrivait à la fin de la zone ayant un trafique...
Je passa alors à droite d'un long camion tandis que mes poursuivant passèrent à gauche, et quelle fut leurs surprises quant ils se rendirent compte que j'en avait profité pour faire demi-tour. Essayant de les semés, je tourna sur une grande rue vide qui menait aux quartiers administrant la ville. Je souffrais beaucoup trop pour continuer à conduire, surtout avec les bulles de sang qui se formaient sur mes yeux. J'ai alors utilisé un parchemin de soin. C'était une nouvelle invention, un prototype, une sorte de magie jetable, et ça marchait à peu près, ça m'a soigné quelques plaies. Même si je continuais à souffrir, je pouvais à nouveau conduire au moins jusqu'à ma destination. J'espérais.

Pendant que je me soignais, ma moto a légèrement ralenti, et cela laissa le temps nécessaire à la police pour me rattraper. Nouvelle accélération. On était à une vitesse proche de 400 kilomètres par heure sur une longue ligne droite de plusieurs centaines de kilomètres. En d'autre terme, aucun moyen pour eux de sortir une arme, vu l'impossibilité de tenir une moto à une main à cette vitesse. Cependant, la magie était toujours praticable. Ce que n'hésita pas à utiliser le capitaine de la garde qui faisait partie de mes poursuivants.

Alors que la course poursuite continuait, les policiers des mirent dans une forme d'arc (comme une parenthèse), le capitaine devant. Ses yeux devinrent étincellent. Du moins je le devinais. C'est alors qu'un mouvement magique fonça sous terre et une explosion éclata soudainement juste devant moi. Heureusement, j'eus le réflexe de foncer à droite, évitant ainsi ma perte d'équilibre. Rapidement, je fus dominé par les vingtaines d'explosions qui s'ensuivirent, m'obligent toujours à faire des zigzagues, tandis que eux utilisés la magie pour se protéger. J'eus alors la simple idée de lancer une grenade, histoire de combattre à la loyale. Je programma ma “bombe” afin qu'elle explose quant elle se trouve à cent mètres du capitaine, identifié à l'aide de capteur ADN à longue distance. C'est ça la nouvelle technologie. Je lâcha le projectile par terre, et mes poursuivant n'en virent rien, concentrés sur leurs explosions. Lorsqu'ils furent à cent mètres de la grenade, elle explosa, et le temps de la détonation mes poursuivants étaient dessus.

En une fraction de seconde et un jet de lumière aveuglante, il n'y eu plus d'ennemi dans le secteur.

Et voilà, boulot fini.

Je m'étais fait éclaté la gueule et j'ai du tué je ne sais combien de policier à cause d'une maladresse de ma part.

Encore pour mon état de santé la magie allait sans doute me réparé, mais pour l'incident avec les policiers le Roi allait me tuer... J'étais censé être une ombre, un reflet, un truc que l'on voit pas directement. J'ai échoué sur toute la ligne.

Et ce fut le début des horreurs pour moi.

très belle histoire

Owii trop bon

Merci

Continue c'est trop !

5 page word
je vais lire sa dès maintenant

crysis powa
et les pouvoir de l'armure crysis t'y a penser? nan mais oh!

Aucun rapport avec Crysis

thicace2 Oui 5 pages, et te plaints pas, le chapitre 2 (en construction...) est déjà plus long
Mais il y aura plus de dialogue

Merci encore pour vos coms

aucun rapport? pourquoi tu l'apelle crysis alors?
sinon je me plains pas, au contraire, va voir ma bibliothèque, mon plus petit bouquin fais 700 page, alors tu sais, j'aime les truc TRES LONG!!!!

Crisis = Crise en anglais

La Crise De L'assassin si tu préfère

" j'aime les truc TRES LONG!!!! " Fait gaffe, j'ai un esprit TRES pervers

m'en fout, quand je dis que j'aime, c'est que j'adore par dessus tout
j'ai déjà fini un livre de 1500 page en 3 jours alors tu sais
PS: han ok la crise de l'assasin je capte maintenant

bon aller, 20 page word pour le chapitre 2, et tu va en multipliant par 2 a chaque chapitre ok?
Ps: bizarre, maintenant que je connais trichelieu et sa religon, ce que tu m'as dis ne sonne plus trop pareil...

... Ah? Vive le cul-te de Travia !

ouais vive travia, surtout pour me faire comprendre des truc comme sa
" j'aime les truc TRES LONG!!!! " Fait gaffe, j'ai un esprit TRES pervers

OMFG
C'est énorme !
Ce 1er chapitre est 10 fois mieux que celui que tu m'a montré , sérieux.
Chapitre 2 stp .

PS : Le titre =
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Ma FIC : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22575-41612-1-0-1-0-fic-assassin-s-revenge.htm

Trich reveille toi et écrit la suite .
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Ma FIC : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22575-41612-1-0-1-0-fic-assassin-s-revenge.htm

c'est de celle-la donc t'écris la sweet?