PROLOGUE:
Nous sommes en 788.
Tous nos amis ont repris le cours normal de leur vie, coulant des jours heureux, ignorant alors qu’une grande menace, oubliée depuis des siècles, se précise et va réduire au ridicule tous les ennemis qu’ils ont pu connaître par le passé.
Mais, la Grande Menace ne viendra pas seule.
Avec elle, viendront le sang, la sueur et les larmes.
Avec elle, viendront le chaos et la peur.
Avec elle, viendra la Mort.
**
Nous sommes en 788.
Une véritable guerre des mondes se profile à l’horizon, opposant le Bien au Mal. Comme toujours, il en va de l’orientation du monde : soit vers le Bien. Soit vers le Mal. Mais, les enjeux sont différents, cette fois-ci. De la disparition de l’un, naîtra celle de l’autre.
Quelle sera donc l'issue de cette sempiternelle querelle ? Que va t-il se passer ? Réponse dans une cinquantaine de chapitres à consommer sans modération.
La suite, dans l'apres-midi.
C'est La quête ultime ou une nouvelle?
Heureux de voir que tu as suivi mon conseil master18...bonne chance
P.S: Bien trouvé le nouveau nom de ta fic^^
Master, tu triches
Non, je dec, j'y réfléchis fortement aussi
Subla Une nouvelle fiction ?? Ah non, on se fait vieux, trop vieux pour écrire des nouvelles fictions. Et là, je pense que tu vas me répondre "parle pour toi "
Kinroi Je prends de l'avance
Mike
Bon, le 1er chapitre d'une très longue série.... c'est maintenant.
Enjoy it
Ya du temps à la maison de retraite pourtant
Degage Kuto.
master > Eh eh oui, comme ut le sais, je suis en train d'en écrire une.
Mais c'est cool que tu la fasses partager ici, d'autant plus qu'il nous manque des ficeurs de talent pour de futures palmes d'or. ^^
DRAGON BALL APOCALYPSE
SAISON 1 : LE TOURNOI MILLEANIRE
CHAPITRE 01 : LA FIN DU DEBUT
Quatre années se sont écoulées jour pour jour depuis le 28ème Tenkaïchi Budokaï. Ledit tournoi n’avait consacré aucun des douze participants suite à la défection de plusieurs combattants dont Uubu et Son Goku.
Ce dernier était alors parti entraîner celui qu’il annonçait comme le futur sauveur de la Terre, sur une petite île, située à l’est de la capitale du sud. Il s’agissait d’une vaste région, couverte de forêts sur laquelle plusieurs factions vivaient en parfaite harmonie en dépit de la misère et de la précarité qui sévissaient.
**
Du haut de son Palais Céleste, le Dieu de la Terre, Dendé observait les quatre milliards d’âmes qui peuplaient la Terre. Il s’agissait là de l’une de ses occupations favorites. Un passe-temps que nombre de ses prédécesseurs avaient apprécié de leur règne.
Certains d’entre vous lecteur, se demanderont quel plaisir trouvait-il à épier les faits et gestes de vulgaires Terriens.
La réponse tenait en trois éléments. Tout d’abord, le namekseijin ne pouvait que s’amuser à regarder les terriens courir mener une vie de vanité, ne reconnaissant que seuls maîtres : le pétrole, l’argent, le pouvoir quand ce n’était pas la gloire.
Ensuite, il fallait bien admettre qu’il se sentait particulièrement esseulé depuis le départ de Piccolo sur la Planète Namek il y avait six mois de cela. Enfin, sa surveillance lui permettait de garder un œil sur ses amis. Parmi eux, Son Goku….
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Nous étions le 4 Septembre, 788. Il était sept heures et quatorze minutes.
Après quatre ans de loyaux services, le guerrier saiyajin s’apprêtait à rentrer auprès de sa famille. Il considérait avoir accompli la mission qui l’avait conduite à délaisser les siens.
Les progrès du jeune adolescent allaient au-delà de toutes ses espérances. Ils étaient tels qu’il en venait même à le comparer à Végéta. De son pupille, il ne tarissait pas d'éloges et en faisait un combattait supérieur à son vieil ami. Cela en disait long sur les capacités du terrien, désormais âgé de quatorze ans. Dès lors, il pensait l’apprentissage de son élève parachevé. Mais avant de lever les voiles, il se laissa une fois de plus à contempler le garçonnet qui dormait paisiblement sur le lit qui lui faisait face.
Pour une raison qui lui échappait, il lui rappelait étonnamment Son Gohan à ses heures de gloire. Mais, quelque chose le différenciait de son fils. Le précieux sésame : un amour aveugle du combat. Un large sourire s’étala sur le visage du saiyajin.
Il venait de passer les quatre meilleures années de sa vie. De sa vie, jamais, il ne s’était senti aussi épanoui, aussi serein, aussi heureux. Et il devait cette plénitude à ses hôtes qui l’avaient chaleureusement accueilli comme s’il eut toujours fait partie des leurs. Il avait développé une telle complicité avec eux qu’il lui semblait se sentir davantage à ses aises ici qu’au sein de sa famille.
Alors, à certains moments, il avait voulu rentrer, tenaillé par cette honte et cette culpabilité qui lui donnaient l’impression de deux parasites qui se tortillaient lui. Après tout, comment était-il possible d’aimer à la limite du possible une famille qui n’était pas la nôtre ?
En somme, au contact d'Uubu et de sa famille, il avait pu retrouver une seconde jeunesse et cette félicité qu'il avait progressivement perdu. C'étaient autant de raisons qui l'auraient conduit à prolonger son séjour s'il n'avait pas été habité d’un mauvais pressentiment qui l’incitait à craindre le pire. « Quelque chose de grand va arriver », ne cessait-il de se répéter, et il lui fallait en savoir plus, ce qu’il ne pourrait pas faire en restant avec Uubu.
Sans plus attendre, il termina de se préparer et troqua son pyjama contre la tunique qu’il avait portée au soir du 28ème Championnat du Monde des Arts Martiaux. Il caressa les cheveux en forme de crête de l'adolescent avec une tendresse dont on ne lui reconnaissait pas et déposa sur sa table de chevet une lettre d’adieu qu’il avait eu tant de mal à écrite la veille au soir.
Prends soin de toi, mon fils, lui murmura t-il d’une voix à peine audible. Il soupira, s’approcha de la fenêtre et s’envola à travers l’entrouverture…
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Goku avait négligé les conséquences de sa décision en allant ainsi entraîner Uubu, songea Dendé. Il serait donc surpris d’apprendre que ses proches avaient été profondément marqué par son départ. A commencer par son épouse : Chichi…
Elle était entrée depuis quatre ans dans une grave dépression, sanglotant à chaque fois qu’elle entendait prononcer le nom de son mari.
Elle avait perdu goût à la vie, et le décès de son père il y a cinq mois n’avait rien arrangé. Guymaoh avait en effet été retrouvé mort, à quelques kilomètres de sa demeure, les yeux arrachés, le corps en lambeaux, rejetant de gigantesques flots de sang. On eut beau tenté de le ressusciter grâce aux dragon balls mais Shenron refusa, prétextant que le défunt était mort de manière naturelle.
La nouvelle suscita la polémique au sein du Senshi Z, mais aucun d’entre eux ne parvint à convaincre le dragon de l’absurdité de ses propos. Dès lors, Chichi s’était renfermé sur elle-même, délirant, répétant à tous ceux qui voulaient l’entendre qu’elle mourrait seule et folle.
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Des proches les plus marqués par le départ de Goku et la mort de Guymaoh, il avait également Son Gohan.
Un an s’était maintenant écoulé que depuis qu’il avait démissionné de son poste de vice-président de la Capsule Corporation pour se consacrer à son entraînement.
Le récent trentenaire passait désormais le plus clair de ses journées à combattre un adversaire invisible lorsque Pan, huit ans, ne lui servait pas de sparring partner. Certains d’entre vous s’interrogeront sans doute sur les raisons d’un tel émoi. Mais, le fait est que Gohan se sentait responsable du malheur de sa mère et de la détresse de son petit frère. Et les rares fois où il avait songé voir son père pour arranger les choses, il avait été pris d’un malaise grandissant qu’il n’arrivait à expliquer.
Entre-temps, le mariage du demi saiyan battait sérieusement de l’aile, et il ne semblait pas s’en soucier davantage.
Les relations entre Videl et son mari étaient des plus froides, voire inexistantes.
Gohan n’avait plus de rien du jeune homme qui avait fait chavirer son cœur. Il était d’un flegme irritant et d’une passivité incroyable. Enfin, il négligeait son apparence, arborant une longue chevelure noire, en forme de banane, semblable à celle qu’il affichait enfant.
C’étaient autant d’éléments qui expliquaient la vie solitaire que menait désormais la fille de Hercule au sein de cette famille où Goten faisait office de sérieux concurrent à Chichi dans la course à la dépression...
Le jeune homme de vingt et un ans ne digérait toujours pas sa double peine : l’assassinat de son grand-père et l’attitude odieuse de son père. Ce même père qui lui avait promis de venir pour son dix huitième anniversaire. Ce même père qui n’était même pas venu à l’enterrement de son beau-père.
Tout comme son frère aîné, le fils de Chichi s’était emmuré dans le silence, restant cloîtré dans sa chambre. Il ne s’affichait désormais que pour manger ou pour aller rejoindre sa petite amie, Marron, quand il ne s’isolait pas dans les dunes ensablées du côté de la capitale de l’est.
A de nombreuses reprises, il eut voulu trouver réconfort chez son meilleur ami, Trunks, mais ce dernier menait une vie pleine, entre la présidence de l’entreprise familiale, les sorties du samedi avec sa petite amie du moment et son entraînement dominical avec son impitoyable père.
Et Gohan ? Pourquoi ne se confiait-il pas à lui ? se demanderont des lecteurs ébahis. Etaient-ils en froid ? Loin de là, lecteurs.
Les deux frères n’avaient sans doute jamais été aussi proches. Néanmoins, ils prenaient soin d’éviter les questions qui fâchent. Ils n’en avaient pas besoin, à vrai dire. Un simple regard, un simple geste suffisait à exprimer leurs émotions. Parmi vous, lecteurs, il devrait en avoir qui s’exaspéreront de voir leur héros, Goten, aussi émotif, aussi…faible.
Mais, telle était la vérité. Goten n’avait plus rien de l’être charmant, jovial et innocent qu’il avait été. Au contraire, il était devenu un être mélancolique, solitaire, vide.
Le comble de sa déchéance fut atteint lorsqu’il fut battu en combat singulier par sa nièce, Pan. Ce serait injurier Goten de déclarer que Pan pouvait rivaliser avec lui. En réalité, lecteurs, le demi saiyan s’était délibérément laissé malmener par son opposante, qui ne s’était, par ailleurs, pas privée pour l’amocher.
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A présent, Dendé porta son attention sur Végéta. Depuis presque dix-huit mois, il n’avait de cesses de s’entraîner tous les matins avec Buu, lorsque sa salle gravitationnelle lui semblait d’un ennui incroyable.
L’idée de se confronter au bonhomme rose ne le réjouissait guère, mais il le considérait comme le guerrier le plus puissant après Kakarotto. Il vint donc à la conclusion que seul son ancien ennemi lui permettrait de défier ses limites et ainsi s’améliorer.
Ses autres passe-temps tournaient autour de Bra, avec laquelle il s’était découvert une sensibilité jusque-là insoupçonnée, et de son autre enfant, qu’il aimait à provoquer.
A ce sujet, il n’était pas rare de le voir prendre un malin plaisir à le couvrir de honte en venant le chercher au bureau ou à faire irruption au beau milieu d'une réunion. Enfin, le soir venu, il faisait jouir de plaisir Bulma au cours de nuits chaudes et voluptueuses.
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Sur l’île de la Kame House, Krillin vivait en harmonie avec C-18, Marron, devenue une magnifique jeune famille. A ces dames, on pouvait ajouter Tortue Géniale et son acolyte Oolong dont l’activité majeure tournait autour du sexe : revues et programmes pornographiques, voyeurisme à l’égard de Marron et de C-18, escales nocturnes et débauchées du côté des grandes métropoles du Sud.
Et l'on dit que les hommes ne savent plus s'amuser...
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Yamcha partageait son temps entre l’entraînement de jeunes équipes de base-ball et des rendez-vous coquins qui se succédaient les uns après les autres. Admettre une telle évidence lui était difficile mais il n'avait jamais complètement oublié Bulma. Depuis sa rupture, il y a maintenant quelques décennies, l’ancien guerrier du Senshi Z avait collectionné les aventures. Mais, n'est pas Bulma qui veut, et Yamcha en faisait à présent les frais.
Vous comprendrez sans doute mieux pourquoi le terrien restait parfois des heures entières à se perdre en d'inutiles regrets, songeant au bonheur et aux enfants qu'il aurait pu avoir avec Bulma s'il avait préféré l'épouser plutôt que de jouer les playboys.
Et à chaque fois, il ne pouvait contenir l’immense flot d’amertume qui l’inondait et lui faisait verser ses larmes de tristesse et de colère qu'il rechignait à sécher. Pourquoi t’ai-je laissé partir, se répétait-il, enragé. Pourquoi ?
**
Dans les contrées enneigées du Nord, Tenshinhan et Chaozu vivaient avec Lunch loin du stress et de l’activité incessante des grandes métropoles du monde. Loin de leurs amis.
Dendé n’était peut-être pas aussi proche de ces deux combattants qu’il pouvait l’être avec Goku et ses fils, ou même Piccolo. Cependant, il devinait que les deux anciens pupilles de Tsuru Sennin (Corbeau Génial), et plus particulièrement Tenshinhan, ne s’identifiait plus au groupe d’amis que formaient Krillin et les autres. Il n’était jamais parvenu à accepter l’intégration de Végéta dans cette bande à laquelle il se sentait totalement étranger.
Mais plus que tout, Tenshinhan n’avait jamais accepté l’essor des Super Saiyajins, ces individus dont la puissance colossale le tournait en ridicule. Il avait beau s’acharner à l’entraînement, trouver de nouvelles techniques, jamais, il ne comblerait le gouffre qui le séparait désormais de Goku, Végéta, voir d’un simple Piccolo.
Alors, il lui arrivait parfois de s’asseoir sur le rebord de la fenêtre et de s’interroger sur les raisons d’un tel retard ?
« Pourquoi progressent-ils plus vite que moi ? » se demandait-il, la mort dans l’âme. « Pourquoi ? Qu’ont-ils de plus que je n’ai pas ? » Pourquoi Goku, avec lequel, il arrivait jadis à rivaliser, pouvait-il le tuer d’un simple coup de tête ?
Injuste. La vie est vraiment injuste, finissait-il par conclure, désespéré. Injuste…
Alors que Dendé s’apprêtait à rentrer à l’intérieur de son palais, son attention se porta de nouveau sur Son Goten. Cette fois-ci, il le vit nappé par une nappe brumeuse, ténébreuse, qui n’annonçait en aucun cas de bons présages…
Et voilà le chapitre le plus long de la saison. J'ai fait un grand effort pour raccourcir les chapitres.
Ah ouais, balèzes les chapitres...
Bon, je m'y met, je poste un commentaire une fois ma lecture achevée
Ca y est, j'ai lu!
Tout d'abord, j'ai entendu à d'innombrables reprises parler de ta fiction, si bien que j'en suis venu à déduire que tu étais le meilleur écrivain actuel sur les forums dbz.
J'ai voulu te lire mais, au même titre que kinroi, c'est le nombre trop conséquent de chapitres qui m'a rebuté. Pourtant, Dieu sait à quel point je savais que lire ton texte ou celui de kin' ne pourrait être que bénéfique à ma fiction et même à mon niveau d'écriture en général.
Donc je dois t'avouer qu'à la fin de ma lecture, j'ai ressenti une certaine amertume, voire de la déception. Peut-être est-ce parce que j'ai voulu trop te considérer comme un écrivain digne de Flaubert ou autres, car en prenant du recul, je n'ai pu que valider ton talent indéniable.
Déjà, je ne peux que saluer l'incroyable richesse de ton début de scénario. Tous les personnages se sont crées une identité propre, et ton texte est délicieusement sombre et, par la même occasion, réaliste. Tous les personnages semblent remplis de défauts, on quitte donc enfin l'aspect enfantin et irréel de la série originale pour ce plonger dans ce qui ressemble au vrai monde.
Ensuite, je m'incline également face à ton talent pour narrer et ton orthographe quasi irréprochable. Les descriptions physiques et psychologiques sont d'une précision et d'un justesse impressionnantes. De plus, la scène du rêve de goten est bluffante de réalisme, malgré son absurdité. On arrive avec une simplicité presque inquiétante à se représenter ce cauchemar qui est aussi tordu que notre esprit peut l'autoriser.
En revanche, le point négatif qui ma vraiment braqué dans ma lecture est la manière avec laquelle tu tournes tes phrases. Je t'ai fait une correction rapide pour que tu voies ce qui ne va pas, mais il y beaucoup trop de phrases incohérentes. C'est dommage car je suis parfois "stoppé" dans ma lecture par ces fautes parfois franchement grossières.
Les voici:
"De la disparition de l’un, naîtra celle de l’autre." on ne sait pas ce que désigne "celle".
"LE TOURNOI MILLEANIRE" faute de frappe
"Certains d’entre vous lecteur" "lecteurs"
"De son pupille, il ne tarissait pas d'éloges et en faisait un combattait supérieur à son vieil ami." "combattant"
"il avait voulu rentrer, tenaillé par cette honte et cette culpabilité qui lui donnaient l’impression de deux parasites qui se tortillaient lui" Phrase incompréhensible. Je pense que tu voulais dire: "Tenaillé par cette honte et cette culpabilité qui pesaient en lui comme deux parasites."
"avec une tendresse dont on ne lui reconnaissait pas et déposa sur sa table de chevet une lettre d’adieu qu’il avait eu tant de mal à écrite la veille au soir" Deux fautes en une phrase! Voici une meilleure tournure: "Avec une tendresse qu'on ne lui connaissait pas[...]une lettre d'adieux qu'il avait eu tant de mal à écrire, la veille eu soir"
"ses proches avaient été profondément marqué" "marqués"
"Chichi s’était renfermé sur elle-même" "renfermée"
"Gohan n’avait plus de rien du jeune homme qui avait fait chavirer son cœur." le "de" n'a rien à faire ici.
"il devinait que les deux anciens pupilles [...] ne s’identifiait plus au groupe d’amis" "s'identifiaient".
Et surtout, la suite!!
Ce qui est bien, c'est que meme lorsqu'on commente la Fiction de cet etre Torturé qu'est Master, on parle de moi
Le Jour et la Nuit .
Veyppe Les Chaps réecrits sont toujours pleins de fautes de toute façons . Sachant qu'il l'a écrit il y'a 2 ans environs, voir plus ( T1 me semble-t-il ), bof quoi
Ce n'est pas la meme chose lorsque que tu lis cces derniers chaps
Master Prends de l'avance, moi, je crois que je vais pas tout reposter mais uniquement la suite ici en fait... Et la-bas aussi pour les Nécro and Co
Veyppe Ouais, les fautes... bah écoute, c'est comme la poussière, il faut s'y prendre à plusieurs fois. Demande donc à Kuro. Plus sérieusement et sincèrement, j'ai manqué de concentration et de patience surtout. La paresse... Mais, cela ne se reproduira plus. Et tu t'en apercevras d'ici mardi.
Ah oui, j'oubliais. pour le point orthographe. Concision, franchise. Ca change de Cooler
Kinou Erreur. Je l'ai commencé en 2005. A l'époque, tu savais même pas marcher.
Tu parles de Kin là, il a appris à écrire avant même de savoir marcher.
Gribouiller serait plus exact noel:
Excellent chapitre comme d'habitude, des erreurs par ci par là mais la qualité de ton texte comble parfaitement le vide du reste...
Sweat
J'ai envie d'écrire mais je sais que personne ne va aimer.
J'aurais jamais le niveau de sub, master ou jiji.
Il ne faut pas partir défaitiste.