... Après que The-Major-Bryan ai repris la Fic de Strategieman, je décide donc de reprendre cette même suite après qu'on met dis que j'avais du potentiel.
Je remet donc ici ma première suite de la Fic. Les votes de l'ancien topic sont donc déjà comptabilisés si les personnes intéressés se reconnaissent, si vous poster de nouveau votre vote, il comptera comme nul.
Voici donc la suite de la Fic. Enfin, un petit moment d'attente encore, je vous souhaite bonne lecture. Je vous signale que toute bonnes critiques bonnes comme mauvaises est bonne à prendre.
Capitaine Laroche: Soldats! Regroupés vous. Bien, voilà la situation, comme le plan prévue nous avons rencontrés les Yankees! D'autres ont du atterrir non loin de là, pour les Allemands, ce n'est pas encore le débarquement, pour eux ce n'est qu'un commando.
Sgt Walter: Exactement, tout ce passe comme prévue.
Cpt Laroche: Alors voilà comment on va faire, les Yankees! Nous ne sommes pas loin de Saint-Come du Mont, on va s'y rendre en passant par les routes.
Daniel: C'est pas un peu dangereux par la route?
Cpt Laroche: 'Minute. Laissez moi finir, on va s'y rendre par la route, mais en longeant par les fossés, dans le noir, même si des patrouilles allemandes passent avec de la chance on pourra se planquer.
Sgt Walter: Ça m'a l'air d'être un bon plan. On va pas rester ici comme des planqués.
Cpt Laroche: Alors suivez moi section.
C'est alors que dans le noir, en silence, la section marchait le long de la route qui relie les champs pour aller de Saint-Mère l'Église vers Saint-Côme du Mont.
C'est alors, que, passant non loin de fourré, ils entendirent tous des craquement de branches causé par des pas, ces craquements se rapprochaient, Laroche ordonna se planquer dans le fossé et mettre armé à l'épaule.
Sgt Walter: Attendait Laroche, laissons approché jusqu'au dernier moment, je vais tenter quelque chose.
Cpt Laroche: Si vous êtes sûr de vous. Mais tout le monde garde l'arme à l'épaule pour être prêt à faire feu.
Les craquement se rapprochent, Walter utilisa son criquet, un coup, normalement, réponse: Deux coups. Rien à pars des craquements...
Sgt Walter: [D'une voix clair mais faible] Nom de Dieux! Aller, dernière solution. Foudre!...
Pas de réponse... Walter ordonna de préparer les armes pour faire feu.
Sgt Walter: Foudre!!...
Sgt Walter: Stop! Baisser les armes et sortai(ent) du bois.
Sgt Walter: Présentez vous soldats.
Cpt Laroche: Bien, bienvenue à tous. Vous trois vous êtes désormais sous mon commandement. Continuons, en vous expliquera où on va en chemin.
La section était désormais paré pour faire face à toutes éventualités. Mais mal armé pour faire face à des Panzer. Le groupe de combat continue sa route dans les fossés pour relier Saint-Côme de Mont, ils arrivent à un pont éclairés par un feu de bois...
Cpt Laroche: Chut! Tout le monde se tait! Là! Un pont éclairé.
Soudain, ce fis entendre la bruit d'un blindé, mais pas un chenillé.
Sgt Walter: Bizarre cet engin. C'est pas un Panzer, on entend pas de chenille.
Cpt Laroche: Resté calme. Vous les trois nouveaux, avec Daniel et Walter dans le bois à droite, de l'autre coté de la route. Mes hommes et le reste de la section avec moi dans le bois de gauche. Vous laissez nous le Browning calibre 30. et grimpez le pont, revenez me dire ce que c'est.
Le soldat 'Ricain, reviens un peu plus d'une minute plus tard: Un Sdkfz 222, canon de 20mm et une MG42 à environ 1km, il arrive doucement, il devrait être là dans 2 minutes, il roule avec des hommes sur ses flancs qui marchent, des Grenadiers avec des MP 40.
Cpt Laroche: Bien, aller prévenir Walter et emporté une radio.
Le travail fait, Walter de fit entendre: Il m'a mis au courant. Qu'est ce qu'on fait nom de dieux!?
Cpt Laroche: Du calme. Chacun reste à sa place, Daniel avec son Springfiel va tué le servant de la mitrailleuse au dernier moment, dés qu'il aura tiré, vous tuerez les soldats sur et à coté de blindé, nous on va faire de même avec le Browning.
Sgt Walter: Bien reçue. Préparez vous.
Cpt Laroche: Et surtout silence radio. Terminé.
Tout le monde se prépare à faire feu. Le Sdkfz arrive, comme prévue, Daniel tua le servant, les soldat de gauche fut vite tués grâce au Browning, de l'autre coté, deux grenades explosèrent. Après une minute sans bruit, le conducteur sortie, et Walter le dégomma avec son Garand.
Cpt Laroche: [Brisant le silence radio] "Nice shot Man!"
Sgt Walter: On a un blessé, un nouveau, le 2nd classe Garnet, une grenade à explosé à deux mètres de lui, il a l'oreille gauche d'atteinte, un léger saignement.
Cpt Laroche: Bon, mettait un peu de sulfamide là dessus. Tout le monde se réunit auprès du Sdkfz, à l'arrière... (tout le monde est réunis). Bon comptez vous... Bien tout le monde est present, comment vas le blessé?
Garnet: BIEN. J'ENTEND PLUS GRAND CHOSE.
Cpt Laroche: Moins fort mon gars! On va se faire repérer. Ne parlez plus, et baillez autant que vous pouvez. Bon, on va détruire ce truc et mettre la patrouille teuton dans le bois.
Hawk: J'ai un peu de Compo B. En le posant sur le moteur...
Sgt Walter: Ça a faire du bruit...
Cpt Laroche: Oui mais là, on sera bien obligé. Allez on commence par mettre les macabés dans le bois.
Tour s'opéra comme prévue. Sauf que Hawk, à cause d'une fausse manip' déclencha la charge, alors qu'il resté encore trois frisés à caché.
Sgt Walter: Hawk!!! Merde alors!!
Cpt Laroche: Bon trop tard maintenant. On coupe à travers les bois, on se rapproche de Saint-Côme. Là d'autre gars doivent déjà y être. Et au pas de course, les renforts allemands vont sans doute venir voir ce qu'il s'est passé.
Sgt Walter: Ou alors...?
Cpt Laroche: Alors?
Sgt Walter: On s'écarte de cette zone pour éviter les renforts, mais on recherche encore quelques soldats pour arriver plus nombreux à Saint-Côme.
Hawk: Une ferme! Là bas! 2kilométres! Pas de lumières. On pourrait essayer de soigner Garnet au calme avant de repartir!?
A/ Aller à Saint-Côme.
B/ Trouver encore des soldats pour ensuite aller à Saint-Côme.
C/ Aller dans le corps de ferme.
B/ Meilleur solution
Ta fic est bien, seulement il faudrait que tu passe d'un style de dialogue théâtrale à un style roman genre:
Soldats! Regroupés vous. Bien, voilà la situation, comme le plan prévue nous avons rencontrés les Yankees! D'autres ont du atterrir non loin de là, pour les Allemands, ce n'est pas encore le débarquement, pour eux ce n'est qu'un commando. dit fièrement le capitaine Laroche.
J'espère que tu vois se que je veux dire
Pas de soucis. Mais c'est par ce que j'ai voulue continué sur la lancé du créateur de la première fic. Donc si d'autre personne partage ton avis, je changerais.
Oui j'ai su que c'était le C/C du créateur, mais je te dis sa pour la suite.
Je crois que tu peux balancer la suite maintenant car ça doit faire 3 votes au total.Ah nan merde ça fait 1 vote pour le a),1 vote pour le b) et 1 vote pour le c)!
Ben je crois que c'est à toi qu'appartient l'ultime décision sinon attends encore un jour pour poster la suite.En attendant tu peux peut-être faire chez toi la "suite de la suite" si tu vois ce que je veux dire comme ça tu aura de l'avance.Ce qui te donneras le temps de bien préparer ta fic.Enfin c'est ce que je pense mais bon apparemment tu ne dois pas être à court d'idées.
Aller bonne chance et j'attends la suite avec impatience
B
C'est donc partie pour la suite B/
Suite dans la soirée, vers 21h ou 22h au plus tard.
Attendez mes frayres.
Cpt Laroche: La ferme se serait prendre trop de risque Hawk. On pourrait y rencontrer de l'infanterie bien installés et donc en position de force.
A cet instant, tout le monde se tus, comme pour réfléchir à une solution. Le Cpt Laroche interrompu le silence pour dire à ces soldats que la meilleur des solutions dans cet instant de désappointement était encore d'aider les bleus qui auraient pu se perdre avant d'aller à Saint-Côme.
C'est donc dans le silence que cette petite armée de braves se mit en route à travers les haies et les bois pour retrouver des survivants.
Une demie-heure, puis une heure sans jamais entendre de mot de code, de criquet ni même d'avoir croisé une seule patrouille allemande.
Cpt Laroche: Bon soldats stoppez là. Nous sommes à couverts dans un petit bois on va se poser et étudier la carte. avant toute chose, vous les deux nouveaux restez là, vous avez la boussole et une carte. Le reste de l'escouade se disperse dans les bois pour nous maintenir à couvert au cas ou. Laissez les radios ici! Walter vous restez aussi ici.
Un petit quart d'heure est nécessaire pour que tout le monde soit en place, après étude de la carte il s'avérait en fait que les troupes aéroportés de Walter avaient été largués à l'ouest de Sainte-Mère l'Eglise... Aux alentours de... Turqueville...
Sgt Walter: Sans doute à cause de ces foutus canons de 88!
Cpt Laroche: Sûrement, quand on voit ce que ces saletés font sur un PzkfwIV!
Hawk: Donc deux solutions s'offrent à nous... Ou on continue vers Sainte-Mère l'Église en coupant à travers champs... Ça ferait un peu moins de 3,2 kilomètres, on pourrait y être, au pas de courses, en approximativement, une demie-heure
Sgt Walter: [Coupant Hawk] Ça me parait un bon plan.
Cpt Laroche: Laissez le finir avant. Quelle est l'autre proposition Hawk?
Hawk leur expliqua alors qu'il était aussi possible de rejoindre la Madeleine, lieu du débarquement sur Utah Beach. (Il était déjà 5h00 du matin, le ciel s'éclaircissait), Le débarquement n'allait pas tardé à commencer sur Utah, Hawk expliqua alors que par la marche, ils pourraient rejoindre la position pour 7h00 au plus tard. Le débarquement aura déjà commencé et un coup de mains aux G.I. ne ferait pas de mal contre leur attaque sur la forteresse Europe.
Cpt Laroche: Je ne sais que faire...
Capitaine!!! Trois PanzerIII avec un Sdkfz 251 et un Ausf M en approche!! Ils nous ont repérés!
Cpt Laroche: On se replie! Tant pis, tout le monde dans la ferme! On ne peut pas savoir ce qui se passera, mais au moins à travers ces bois épais ils nous suivront plus, et devront faire un détour d'au moins 5 kilomètres.
Tout le monde se replie activement sur la ferme. Là c'est avec surprise que le Cpt Laroche s'aperçut qu'il n'y eu aucune résistance.
Frank:: Sergent Walter! Un autre Panzer avec un Ausf M en approche, ils ne nous ont pas vue mais ils arrivent.
Garnet: Il y deux PanzerFaust et des recharges pour détruire au moins une dizaine de PanzerIII.
Cpt Laroche: Parfait. Walter! Vos hommes tiendront la ferme avec la mitrailleuse, moi et mes hommes allons dégommer ses blindés.
Sgt Walter: Quoi!? Non non je préconise pour plus de sécurité de les laisser avancer et au dernier moment vous tirerez au panzerfaust, et nous nous tuerons avec le Browning les allemands qui essayent de s'enfuir. S'ils donnent l'alerte ce sera finit pour nous.
Cpt Laroche: Bon on fait ça. Garnet et Hawk vous remontez les panzerfaust de la cave, ensuite Hawk vous soignerez Garnet. Que tout le monde prenne place.
Tout se déroula comme prévue, et sans aucun soucis, le PanzerIII et le canon motorisé Ausf M furent détruis, l'équipage du char fut tuer sur le coup, ceux du canon essayèrent de s'enfuir, mais sans succès.
Cpt Laroche: Sacrement efficaces ces saletés!
Sgt Walter: Qu'est ce qu'on fait maintenant?
Le Capitaine s'adresse à la Cave, Hawk répondit que Garnet aller retrouver l'ouïe d'ici peut, c'était pas infecté en plus.
Cpt Laroche: Bon tout va bien, il peut donc se battre. Alors on va ramasser quelques uns de ces panzerfaust, le reste de la section, rentrer les teutons qui sont morts hors du canon dans la ferme, mettez les dans la caves.
Servant du Browning: Capitaine, il nous reste plus qu'une centaines de balles à tout casser!
Le Capitaine resta perplexe et dit ensuite que cela servira sans doute jusqu'à Utah.
Tout les hommes: [En cœur] ON VA A UTAH!?
Cpt Laroche: C'est ce qui me semble le mieux.
Sgt Walter: Tout est prêt mon capitaine! On peut se remettre en route dés que vous en aurez donné l'ordre.
Le Capitaine ordonna alors de se mettre en route, direction vers l'ouest, pour Audouville-la-Hubert, de là nous pourrons rejoindre La Madeleine répliqua-t-il.
C'est après trois quart d'heure de route qu'il trouvèrent accroché aux branches d'un arbres avec son parachute et se débattant un caporal, à première vue il était de la 82éme airborne. Après l'avoir décroché de son perchoir, l'escouade appris qu'il s'agissait d'un éclaireur partit de la RAF North Witham. Il était malheureusement le seul survivant de la section, Il n'avait plus que son Colt et deux grenades. Il se présenta sous le nom du Caporal G. Bernard. Haliert.
Cpt Laroche: C'est un honneur de vous incorporer dans notre groupe de combat, comme vous pouvez le voir nous disposons de moyens efficaces pour faire face à tout types d'éventualités.
Aprés avoir parlé longuement de tout ce qu'il s'était passé jusqu'alors pour l'escouade, B. Heliert proposa alors de rejoindre la ferme, d'y prendre du repos, installé un QG de campagne pour y amené d'autres hommes en utilisant le code d'urgence.
Hawk proposa de continué à rechercher des survivants.
Quant au Capitaine Laroche il proposa de se rendre à La Madeleine et de continuer le plan prévue juste avant.
Il était 6h30, le matin de 6 Juin 1945 se levé, le ciel était clair. A Omaha, sur la Pointe du Hoc et à Utah les chalands Higgins se devinent à l'horizon...
A/ Choix de G.B. Heliert.
B/ Choix de Hawk.
C/ Suivre Laroche?
Ah là là trop de faute...
Mais sinon pas mal. On se croirait dans un visual novel de Second guerre mondiale 'fin bref.
Pour moi c'est le choix "A".
Réponse c) enfin!
Il faut suivre le capitaine pardi!
C'est lui le capitaine!
Les renforts?
Le caporal et les autres pourront en avoir autant qu'ils veulent quand le débarquement sera un succès
Par contre c'est vrai qu'il faut que tu fasses gaffe à ton orthographe.Et éviter des invraisemblances du genre des PanzerFaust dans une cave de ferme WTF
Mais bon c'est tout de même toujours un réel plaisir à lire la fic que tu fait J'aime bien aussi les références que tu fait à des films géniaux(Le jour le plus long,par exemple)
Et désolé Kanonno mais comme disait Patton (en l'occurrence ici pour le QG de campagne) à partir de 4min18: http://www.youtube.com/watch?v=q_VfGsuj0rA
désolé double post mais: "Tout le monde se replie activement sur la ferme. Là c'est avec surprise que le Cpt Laroche s'aperçut qu'il n'y eu aucune résistance."
Je l'avais bien dit qu'il fallait aller dans la ferme puisque du coup ils n'ont retrouvé personne dans les bois.
The-Major-Bryan Disons que pour pas faire trop long, j'ai évité de dire que cette ferme était en réalité un corps de ferme avec des dépendances, et qu'il y avait des munitions, mais aucune résistance comme le débarquement était un commando pour les allemands.
Donc 1 vote pour Heliert et 1 vote pour le Capitaine.
Ok j'attends la suite
Choix A Il vaut mieux se reposer ! Et Fuyou, t'es vraiment une fille ?
Charlie_Woods Pourquoi cette question?
Bon je crois que le choix est porté sur la proposition a)
Suite
Je la ferrais demain soir je pense, là je suis sortie toute l'après-midi, j'ai un peu mal aux bras et la flemme... Désolé
Ça me permettra de paufiner mon histoire.
La suite tant attendue par The-Major-Bryan est enfin arrivé.
Elle est plus longue que les précédentes. Enfin, il me semble.
Bonne lecture à tous.
Cpt Laroche : Messieurs, nous allons tout de même nous rendre sur les plages de La Madeleine, de cette façon nous pourrons prendre les allemands qui fuient par devant et ainsi ils seront coincés entre deux feux.
La section le capitaine Laroche, comme toujours ils suivent les petites routes de campagnes, en passant dans les fossés et dans les petits bois qui longent ces routes.
Ils arrivent prés de Audouville-La-Hubert.
Sgt Walter : Laroche ! Ecoutez ! Ce sont des Haubitz 150mm, ils doivent pilonner les nos pauvres gars sur les plages d’Utah Beach.
Hawk : On a assez de CompoB pour qu’ils ne puissent plus modifier leurs trajectoires, on les ciblera vers une cible trop longue au-delà des plages et le tour est joué.
Cpt Laroche : Alors on tente le coup. Le Browning sur ce talus avec les français et Garnet. Nous on va faire le tour par derrière les hais, Daniel et Franck pourrons tuer en même temps que les canons font feu leurs servants, une fois les deux premiers servants tués ils nous auront repérés, on ne sait pas combien ils sont et s’il y a des renforts de fallschirmjäger, c’est pour cette raison que le reste de la section ainsi que Walter, vous venez avec moi. Les français, une fois que vous entendrez des coups de feu autres que ceux des springfields vous aller à l’assaut en les prenants par la gauche, le Browning vous couvrira.
Aucune perte américaines ou françaises n’est à dénombrer pour notre section, il n’y eu aucun renforts que ce soit, justes des servants armés de leur Kar98K, sans aucune MG.
Les voilà désormais après Audouville, ils n’ont toujours pas rencontré une patrouille aux alentours de la ville.
Soudain, alors qu’ils sont dans les champs après Audouville, ils entendent parmi les craquements des branches le très distinctif bruit du criquet. Walter se saisit du sien et répond comme il se doit deux clitequis. Une voix se fait entendre :
Cpt Laroche : Ne baissez pas les armes, je donnerais l’ordre de faire feu.
Le Sergent-chef Clark avance, Laroche ordonne de baisser les armes.
Clark informe Laroche et Walter que lui et ses hommes sont de la 101éme, son unité a été anéanti par les Flak88mm, les pilotes sont morts sur le coup, ils ne sont plus avec le Sergent-chef que quatre. Clark présente le 2nd classe Helder, le 1re classe Mistchell et le caporal Nowk. Ils ont des munitions pour le Browning la leur étant inutilisable, un B.A.R. et un bazooka.
Cpt Laroche : Bien, nous voilà donc armé pour faire face à des blindés sur la route d’Utah.
Sgt-Clark : Désolé de vous décevoir capitaine, mais avant de décoller nous avons reçue l’ordre de ne pas intervenir directement sur les plages, les allemands doivent être persuadés le plus longtemps possible que ce n’est qu’un commando, mais pas encore le débarquement.
Sgt Walter : Si j’ai bien compris on retourne au dépôt de munition allemand ?
Sgt-Clark : Vous avez découvert un dépôt ?
Cpt Laroche : Oui, un peu plus loin après Audouville, en repartant vers Turqueville. Ils y a des armes antichars.
G.B. Heliert : J’avais propos d’y rester et d’y installer un QG provisoire pour y amener par radio d’autres paras américains et britanniques qui serait dans la zone.
Sgt-Clark : Bien, de toute façon nous n’avons que ça à faire, ainsi nous aurons une position fortifiés en avant poste pour les troupes qui vont avancer depuis les plages.
Cpt Laroche : Bon… Tout le monde en marche, on y sera dans 20 minutes au pas de courses et si rien ne nous retarde.
Ils prennent donc la direction ouest vers Turqueville, pour rejoindre le corps de ferme. Ils croisent non loin de cette ferme un groupe de PanzerIII et un Sdkfz 251.
Hawk : Ce sont les même qui nous ont surpris dans le bois, vers 5h00.
Sgt Walter : Nous avions du nous résoudre à aller dans la ferme justement…
Cpt Laroche : Sauf que maintenant nous avons les moyens de nous défendre, de plus on va arriver par la cour de la ferme, nous auront l’avantage du terrain. J’espère juste que d’autres soldats n’ont pas rejoint cette ferme…
Hawk : Maintenant qu’on a un bazooka et des PanzerFaust on peut tenter quelque chose.
G.B. Heliert : Voilà ce que je propose…
Heliert leur proposa un plan simple, mais un véritable piège, les G.I. mettrons dans les bois des boites métalliques remplis de pierres, relié par un fil à la ferme. Ainsi lors ce que la patrouille allemande mis en devant des chars approchera, les G.I. feront tinter les boites, et d’autres briseront des branches. Les soldats soucieux de savoir quel est ce bruits, ils demanderont aux chars de rentrer dans la cours, et remonterons dans le Sdkfz.
Aussitôt dis, aussitôt fait.
A l’approche de la patrouille, on entendit les cailloux fait un bruit de tous les diables dans les boites métalliques. Même le bruits des moteurs et des chenilles des Panzer ne purent masquer le bruits des rebonds dans le métal et des craquement de branches.
Les soldats remontent dans le Sdkfz, tout ceci est rapporté par Daniel qui depuis le grenier assiste à la scène et rapporte ce qui ce passe à Laroche.
Le groupe de blindés arrive dans la cours, avant même que les allemands eus le temps de sortir, déjà un char était éventré et des débris jonchaient le sol, en pleins dans le blindage arrière, sur les réserves de carburants. Il reste les deux chars qui étaient à l’arrière et qui arrivent sans comprendre ce qui à pu se passer pour le premier Panzer étant donner qu’il a pris feu.
Les soldats commencent à descendre du Sdkfz alors que les deux panzerfaust éventrent l’autre char, les soldats on repérés les soldats avec leurs antichars.
Ils entrent dans la ferme par le bâtiment de gauche, mais les antichars se sont déjà réfugiés dans le bâtiment au nord, à leur place le Browning et la B.A.R. transforment le couloir de la maison en véritable marre de sang.
Les antichars sont désormais tous les trois prêts à faire feu, mais alors que les soldats rechargés leurs armes, ils entendirent le char faire feu avec son canon de 50mm. Personnes ne savaient où il avait pu tirer. Au moment où le bazooka et les panzerfaust tirent à l’avant du char pour percer le blindage de 50mm, une rafale de MG provenant du char se fit entendre, elle ne fut pas bien longue, mais suffisante pour tuer un soldat français qui passait devant une fenêtre pour rejoindre le grenier, le même endroit où le char avait fait feu.
Cpt Laroche : [A la radio] Tout le monde se rejoint autour de la carcasse du Sdkfz. Nous allons faire état des munitions et des blessés.
Walter et Daniel qui étaient dans le grenier sont les deux grands absents de ce rassemblement.
Laroche ne savait pas encore qu’ils étaient tous les deux morts. Ce n’est que dans la cours qu’il comprit ce que le fantassin français voulait faire, il s’aperçut que le grenier au niveau de la fenêtre était totalement détruit, un énorme trou. Le français voulait sans doute voir si Dany et Walter étaient blessés.
Laroche contempla ce spectacle de désolation, Dany était mort, posait sur le rebord de la fenêtre.
Il demanda à Garnet d’aller faire l’état de la situation à l’étage.
Garnet : [Parlant du grenier, la voix clair du au trou qui laissait passer les sons] Walter est mort ! Ecrasé ! Daniel est mort sur le coup, son Springfiels est cassé, il a encore le canon dans la main.
Cpt Laroche : Redescendez Garnet. Bien, tout le monde, on a subit des pertes, Walter, Dany et un résistant, nous allons les enterrer dignement, comme il se doit dans le potager de la ferme, préparez moi des croix, et enlever leur une de leur plaques qu’ils ont aux coups. Les autres, vous ramassez ces saloparts de bosh et vous me les foutez dans la cave. Ramassez également tous ce qui peut l’être, bandage, sulfamide, munitions, armes.
Quand tout le travail fut terminé, ils se retrouvèrent tous au même endroit que précédemment.
Devant eux étaient entreposé, deux mallettes nazies de premier secours, un mortier allemand avec deux caisses de minutions, une FG, et des tas d’autres bandages, fusils, pistolets-mitrailleurs et luger pris sur les cadavres.
G.B. Heliert : Bon, messieurs, je vais organiser la salle de radio. Apporter moi une antenne d’un des chars ou du chenillé, ainsi que toute les pièces de réparations pour moteur, clés, pince, etc…
L’antenne d’un blindé fut monté dans le grenier, et solidement attaché à l’endroit où le panzer avait fait un trou. Elle fut raccordé au poste de radio avec du fil de fer standard.
Heliert commença à émettre en code, il donna les positions de la ferme, les forces en présence et de ne pas s’inquiéter des carcasses calcinés dans la cour.
Les hommes aménagèrent la ferme en position fortifiée, avec trois mitrailleuses, trois antichars, un mortier dans le grenier, des guetteurs et des soldats prêts à intervenir quand il fallait.
Il était 10h00 du matin, le 6 juin 1944. Une petite cinquantaine de soldats étaient présents dans la ferme, ils y amenèrent encore des armes antichars, des munitions, des radios, de quoi manger, des mortiers, des snipers, pour n’en citer qu’une partie.
Le capitaine Laroche étant toujours le plus gradé, il continuera de donner les ordres à suivre.
Dans sa tête, trois solutions se présentent.
A/ Rester dans la ferme et attendre les unités venant des plages en continuant à émettre, et se préparer à des contre-attaques allemandes le jour s’étant levé.
B/ Diviser le peloton pour couvrir une vaste zone de défense.
C/ Faire jonction en abandonnant la ferme avec les unités d’Utah Beach.
Je dirais b)
Walter est mort!Du coup,qui est à la tête des Bulldogs Devils maintenant?Pourras-tu préciser?
Par contre des fois c'est bizarre mais j'ai l'impression que Laroche,bien qu'étant capitaine,il "obéit" aux ordres de ses subalternes Comme par exemple là:
Sgt-Clark : Bien, de toute façon nous n’avons que ça à faire, ainsi nous aurons une position fortifiés en avant poste pour les troupes qui vont avancer depuis les plages.
Cpt Laroche : Bon… Tout le monde en marche, on y sera dans 20 minutes au pas de courses et si rien ne nous retarde.
D'après ce que j'ai compris voici l'effectif de la section (je sais pas si on peut dire comme ça vu qu'il y a des français,des anglais et des américains):
http://s2.noelshack.com/upload/15869268514440_hirarchie_du_groupe.png
Voilà j'ai fait un petit croquis de ce que je pense de l'effectif qui reste depuis le début de la fic de Stratégieman.Si le mien n'est pas assez explicite/bien, pourras-tu en faire un qui récapitule la disposition du groupe...,qui commande qui...,qui reste t-il..enfin tu vois ce que je veux dire
Aller bonne continuation c'est bien
Déjà grosse erreur de ma part, j'ai oublié l'infirmier, le saboteur et les ingénieurs dans ma fic
Sinon c'est bien ça.
Pour qui commande maintenant, suite au prochaine épisode :p
Bah Laroche n'obéit pas vraiment, mais comme il ne peut plus faire son plan, il se résout à accepter la suggestion de plan du Sgt-Clark.