La Feuille de Match
PORTUGAL
1.A.RICARDO PEREIRA
14.J.NUNO VALENTE
16.RICARDO CARVALHO
13.L.MIGUEL
5.J.FERNANDO MEIRA
6.F.COSTINHA (DA COSTA)
7.L.FIGO
20.S.DECO
18.MANICHE
17.CRISTIANO RONALDO
9.P.PAULETA
FRANCE
16.F.BARTHEZ
5.W.GALLAS
19.W.SAGNOL
15.L.THURAM
3.E.ABIDAL
7.F.MALOUDA
4.P.VIEIRA
10.Z.ZIDANE
6.C.MAKELELE
22.F.RIBERY
12.T.HENRY
1/0 pour la france !! But de Zidane sur pénalty
On ne mérite pas vraiment au vu de la premiere mi - temps mais la faute est flagrante !
Deco est bien cerné , Ribéry ne défend pas assez sur Ronaldo.
Sinon Malouda toujours aussi catastrophique et c´est Abidal qui se tappe 2 joueurs pour lui tout seul...
ON EST EN FIIIIIIIINAAAAAAAAAAAAAAAL
trop content!!!!!!!!!!!!!!!!! EN FINALLLLLLLLLL
PTDRRRRR Platini avec son verre de vin à la main
FIER D´ETRE FRANCAIS !
DIMANCHE 9 JUILLET TOUS AU PARC DES PRINCES POUR VOIR LA FINAL PUTAIIIIINNN ON EST FINAL PUTTTAAAAIIINNNNN
ON EST EN FINALE c´est magnifique !! finale de la coupe du monde
E-N-O-R-M-E ^^j´en peu plus là ...
bah tout etait prevu par domenech il avait bien dit rdv le 9 juillet en final il avait raison
Les Lyonnais font un peu tache dans cette équipe de France...
Malouda catastrophique.
Wiltord tres tres tres en dessous de son niveau
Abidal qui reste moins bon que pendant ses matchs de préparations , mais reste encore potable.
Govou catastrophique...
Coupet , rien à dire , il cire le banc donc...
quel homme ce raymond
Govou faut vraiment qu´on m´explique pourquoi il rentre.
Le gars, il était même pas sélectionné, et maintenant il rentre à chaque match. Il avait aucun plan avant d´arriver en Allemagne le Raymond ou quoi????
Allez, encore un match les gars, et vous arriverez à faire pleurer tous les français de bonheur
ON REFAIT LE MATCH
TRÈS CHÈRE FINALE
Au terme d´une rencontre crispante dont elle n´a pas toujours maîtrisé le rythme, l´équipe de France s´est qualifiée pour la deuxième finale de Coupe du monde de son histoire en battant le Portugal sur un penalty de Zidane (1-0). Il reste à tout donner face à l´Italie.
Thuram digne de tous les superlatifs
Comme d´habitude, le Portugal ressentira sa défaite en demi-finale contre la France comme une profonde injustice (1-0). Il a plus frappé au but que les Bleus. Mené au score dès la 33e minute, sur un penalty de Zidane, il s´est donné les moyens d´imprimer le rythme du jeu la majeure partie du match. Il a donné à Barthez et à la défense tricolore son premier match vraiment chaud de cette Coupe du monde. Il manque encore une pièce au puzzle à la Selecçao : penser davantage au ballon qu´au bénéfice escompté de plongeons plus grossiers les uns que les autres, d´une intimidation de l´arbitre détestable, équitablement partagée entre le banc de touche et les joueurs de champ. Voir Pauleta, l´un des meilleurs amis de la L1, tomber avec les autres dans cette attitude ne fut pas le moins décevant des spectacles. Il ne faudrait pas pousser beaucoup plus loin pour affirmer que la défaite portugaise s´est jouée sur ce détail. Pour tout dire, tout ceci a presque étouffé (pas longtemps...) le bonheur qui se dessinait : voir l´équipe de France se qualifier pour la deuxième finale de Coupe du monde de son histoire, huit ans après 1998. La génération des Barthez - Thuram - Zidane sera allée trois fois en finale sur les six grandes compétitions de son épopée. Elle a déjà assuré sa place dans l´histoire, même si une défaite contre l´Italie serait une douleur implacable. Mais après tout pourquoi perdrait-elle ? Elle a gagné les deux précédentes (1998 et 2000) et n´a jamais été battue par l´Italie depuis 1978. Et aucun des titulaires menacés de suspension n´a reçu de carton jaune. A voir le 9 juillet, comme dirait Raymond Domenech.
La France sort de cette épreuve plus lessivée et moins sûre de sa force qu´après l´Espagne (3-1) et le Brésil (1-0). Pendant qu´une partie du banc explosait au coup de sifflet final, la plupart des titulaires se sont contentés de prendre du souffle et du répit après vingt dernières minutes très pénibles. Nuno Valente venait de tenter un ultime centre-tir rasant la lucarne de Barthez (92e), un quart d´heure après une tête de Figo plein axe mais au-dessus à la reprise d´un coup franc flottant de Cristiano Ronaldo (77e). Avec la frappe de Pauleta à ras du poteau (53e), ce sont les occasions auxquelles Scolari repensera le plus dans la nuit. Il y a deux semaines et quelques jours, la Corée du Sud avait égalisé contre une équipe ainsi décidée à conserver sa courte marge (1-1). La France n´a pas lâché l´affaire cette fois, menée par un Thuram digne de tous les superlatifs dans la défense de la forteresse. En trois matches, face à trois grandes nations, l´équipe de France n´a encaissé qu´un but sur penalty (celui de Villa devant l´Espagne). Mais elle a inscrit ses deux buts à la suite de coups de pied arrêtés. Ce sont sans doute ces petits riens qui font la différence.
Deux milieux resserrés qui se ressemblent
Le seul but du match fut inscrit par les Tricolores peu après la demi-heure de jeu. Henry avait été crocheté par Ricardo Carvalho et Zidane avait transformé l´essai contre Ricardo, l´homme aux trois tirs au but arrêtés devant l´Angleterre. La France ne reverrait de près le but portugais qu´au tout début de la seconde période sur un beau numéro de Henry mal terminé (48e) puis une frappe flottante de Ribéry (49e). En début de première période, déjà, les Bleus avaient enquillé trois situations mal conclues. Le reste du temps, défendant plus bas que lors des matches précédents, l´équipe de France a eu du mal à gagner cette bataille du milieu promise par le Portugal. Le sens du duel des uns et l´oubli de soi pour l´autre, comme dirait Thuram, a maintenu l´ordre dans la maison. L´impression que cette demi-finale allait peut-être accoucher d´une rencontre technique et débridée s´est close à la 27e minute, sur deux duels Caravalho - Zidane puis Vieira - Deco qui ont définitivement sali les débats et crispé l´atmosphère. Il fallait avoir du nerf et de la réussite pour sortir d´un tel guêpier. Les Bleus n´en avaient pas eu besoin jusqu´ici. Il faut de tout pour faire un grand parcours.
A RETENIR
LES REACTIONS
Raymond Domenech (au micro d´Eurosport) : «J´ai toujours parlé du 9 juillet mais je n´ai pas dit quelle heure. Au moins jusqu´à 23h30, il faudra y être. Ça ne suffit pas le 9 juillet. Ce qui compte maintenant, c´est d´aller au bout. (concernant les recettes d´ici dimanche C´est récupération, concentration, repréparation, c´est garder tout ce qu´ils ont fait depuis plus d´un mois pour faire un match de haute intensité, un match solide et être présent complètement pour cette finale. Et la jouer à fond sans regret. Une finale, c´est un truc particulier. il faudra la jouer.»
Luiz Felipe Scolari : «Nous avons tout donné et tout essayé, mais cela ne nous a pas réussi. La France a mérité sa victoire : nous ne sommes pas sortis en perdant contre n´importe qui. Ce qui fait la différence, c´est le but qu´on n´a pas réussi à marquer. Je ne peux que féliciter les Français pour leur victoire». (AFP)
JACQUET REVOIT 1998
Chroniqueur régulier pour «Le Monde», le sélectionneur des Bleus champions du monde en 1998 a cautionné, mardi, toutes comparaisons établies entre le parcours de la France il y a huit ans et celui d´aujourd´hui. Elles concernent essentiellement l´engouement populaire et le style de jeu de l´équipe. «C´est vrai que tout cela se ressemble, écrit l´actuel DTN dans le quotidien du soir. Certains feront peut-être un parallèle entre la manière de jouer de l´équipe de France d´aujourd´hui et celle des Bleus de 1998. Il y a effectivement des similitudes. L´esprit et l´identité sont les mêmes». Il rappelle le credo sur lequel il n´avait lui-même pas été compris. «Ce qui compte, c´est de respecter un certain nombre de principes. Par exemple : une défense de fer. Je sais que cette idée déplaît en France, mais si on veut faire partie des meilleures équipes du monde, il faut commencer par avoir une bonne défense». Interrogé sur toutes ces comparaisons, William Gallas a déclaré que tout cela «ne le dérange(ait) pas». «Si on va jusqu´au bout, tant mieux. Si on dit que c´est le même style de jeu qu´en 1998, tant mieux aussi. On attaque ensemble et on défend ensemble.»
06/07/2006
Foot - CM : La France explose
La victoire des Bleus sur le Portugal en demi-finale de la Coupe du Monde a suscité des scènes de joie dans toutes les villes de France. Des dizaines de milliers de personnes en liesse ont afflué les Champs-Elysées à Paris, dès le coup de sifflet final. Les supporteurs français, ivres de joie, klaxonnaient, dansaient et chantaient en choeur, fiers de la victoire des Bleus.
«On est en finale ! On est en finale», criait le public à l´unisson. Un hymne repris en choeur sur le Vieux Port de Marseille. Environ 2.000 personnes s´étaient rassemblées devant un écran géant pour voir la retransmission de la demi-finale de Coupe du monde, dans une ambiance assez crispée. A la fin du match, ce sont 5000 personnes qui attendaient avec nervosité que le calvaire s´achève, selon un comptage de la police municipale.
Réaction opposée à Lisbonne. La tristesse s´est abattue sur la capitale, frappée d´un silence de consternation mercredi soir après l´élimination de la Selecçao. Les milliers de supporteurs sont restés silencieux après le coup de sifflet final, rentrant chez eux avec les bannières rangées dans les poches. Beaucoup restaient prostrés, le regard perdu. Des larmes coulaient çà et là.
ET VOILA ^^ allez les bleus ...
merci à lequiqe.fr
Zizou! Zizou! Zizou! Zizou! Zizou! Zizou!
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Vive l´équipe de France pour tous et maintenant on veut notre deuxième étoile
Mon seul regret est que Govou n´ait pas pris un carton rouge à la fin du match, Domenech cva encore se sentir obligé de le faire rentrer en fin de match contre l´Italie
1998
2006
2 Etoiles
06/07/2006
Foot - CM - FRA : Thuram n´a pas d´âge
Raymond Domenech avait reconduit, contre le Portugal, la même équipe qu´en huitième contre l´Espagne (3-1) et en quart devant le Brésil (1-0). Ce n´était pas une surprise, mais ça ne veut pas dire que ce n´était pas un événement : jamais une équipe de France n´avait eu trois fois de suite le même visage en Coupe du monde depuis 1958. Logiquement, le système de jeu n´avait pas évolué non plus. Confiance a été maintenue dans le 4-4-1-1 qui avait étouffé Espagnols et Brésiliens, même si le défi proposé par le Portugal était différent. Mise en difficulté par la vitesse portugaise, son jeu sur les côtés, et au début par plusieurs tentatives de Maniche dans le jeu direct, l´équipe de France a répondu par une très grosse présence dans les duels (Sagnol, Thuram) plus que par le bloc-équipe des étapes précédentes, plus distendu cette fois-ci. Elle a essayé de se projeter vers l´avant en situation de possession du ballon, mais face à la qualité de la défense portugaise, elle a dû compter sur le dribble et la vitesse individuelle pour forcer le verrou Ricardo. C´est au mental et à l´expérience que tout s´est joué. Ceux de Zidane sur le penalty transformé, par exemple.
BARTHEZ : Il a eu plusieurs occasions de se mettre en valeur en première période avec notamment deux tirs de Maniche (9e et 36e), une frappe de Deco (4e), une autre de Figo (16e) et une sortie aérienne sur un centre de Miguel (35e). Il fut moins sollicité après la pause malgré quelques situations très chaudes sur la fin qu´il a très bien négociées. Au final, une bien meilleure impression que lors des précédents matches.
SAGNOL : Avec Cristiano Ronaldo sur le dos, il ne s´est pas ennuyé et n´a eu à rougir de rien. Mais le Munichois, chez lui, n´a pas mis son élan offensif au placard. Un peu moins tranchant en début de seconde période, il a toutefois fini très fort en écartant le remuant et tout frais Simao, qui est allé se placer ailleurs.
THURAM : Chargé de s´occuper de Pauleta, il ne l´a pas lâché. Un premier sauvetage décisif en début de partie a donné le ton. Une multitude de gestes aussi importants a suivi, plus impressionnants les uns que les autres. Toujours bien placé, il a éteint un grand nombre d´actions chaudes en jaillissant, en taclant et ses relances ont été précises. Il était partout. Un très, très grand match.
GALLAS : Il a bien tenu son rôle même s´il n´a pas touché un grand nombre de ballons puisque le Portugal a surtout taquiné les Bleus sur l´autre aile. Il n´a commis aucune erreur d´appréciation, ni devant Figo, ni face à Helder Postiga et Cristiano Ronaldo sur la fin. Sobre, il a joué juste.
ABIDAL : Le défenseur lyonnais s´est parfois mis en difficulté seul et a eu du mal face au rusé et expérimenté Figo. Cela n´a pas duré plus d´une mi-temps. Quand les opportunités se sont présentées, il n´a pas hésité à monter et à centrer. Plus le temps est passé et moins Figo a trouvé les espaces et le bon timing. Solide, mais...
MAKELELE : La présence de Deco dans sa zone ne lui a pas facilité la tâche mais il s´en est acquitté sans trop de problème. Coureur infatigable, il a surtout cherché à poser le jeu, à transmettre le ballon très proprement et à couvrir Vieira les rares fois où le Turinois a choisi de percer.
VIEIRA : Il a toujours autant de coffre mais cela lui aura d´abord plutôt servi pour accompagner les attaques que pour harceler le porteur, le bloc français étant un peu plus étiré que lors des deux matches précédents. En seconde période, une fois les lignes resserrées, il a au contraire mis l´habit du grand défenseur pour dégager plusieurs ballons chauds.
MALOUDA : Comme souvent, il a brillé par un abattage défensif plus que par sa capacité de percussion, même si c´est lui qui place Henry en position dangereuse sur le penalty. L´infatigable a quand même été remplacé par WILTORD (69e), qui a défendu avec aplomb et fut découpé par Ricardo Carvalho sur un bon ballon de contre (82e).
RIBÉRY : Bombardé de consignes tactiques par le banc et un paquet de titulaires, il a d´abord eu du mal à se situer et à jouer sans retenue. Il s´est progressivement décontracté pour apporter sa qualité de dribble et son jeu en première intention, sans parvenir à mettre le feu comme il est capable de le faire. Remplacé par GOVOU (72e), qui s´est mis au diapason d´une résistance héroïque. Pour lui qui n´était pas dans la première liste des 23, c´est un conte de fées.
ZIDANE : Techniquement, il en a encore fait de belles choses, toujours dans le sens du jeu, avant de convertir le penalty avec sang froid malgré la belle détente de Ricardo. Il a enchaîné par une joie très sobre, conscient que le collectif allait souffrir avant la fin. Et comme d´habitude, il a défendu avec le volume physique de saison. Le dernier match de sa carrière sera une finale de Coupe du monde. Tout est dit.
HENRY : Une telle activité entraîne mécaniquement du déchet, et celui d´Henry sur certains choix et des premiers contrôles approximatifs a parfois agacé. Mais il pèse et pèse encore par sa vitesse et sa capacité d´élimination : c´est parce qu´il était sur le point d´éliminer Ricardo Carvalho que le Portugais a laissé traîner le pied et provoqué le penalty. Remplacé par SAHA (84e). Il a défendu avec tellement de zèle qu´il sera suspendu pour la finale en raison d´un deuxième carton jaune en deux matches, ce qui a pollué sa fin de match de deux passes ratées.
Pour plus d´interview -> lequipe.fr
on est finale !
aller marco fait pas la tete... ^^
ouaiiiiiiiiii on est en final !! !!!!!!!!! allez ls bleusssssssssssssss