http://puu.sh/8Y402.png fdp
LordBendtner Voir le profil de LordBendtner
Posté le 23 mai 2014 à 20:12:25 Avertir un administrateur
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Ce bache
Balekouye j'ai recruté Reyes
D'ailleurs je remercie Shoko pour son conseil
Shokola_T Voir le profil de Shokola_T
Posté le 23 mai 2014 à 20:06:46 Avertir un administrateur
Vela, Fabregas...
Allons rechercher Anelka et Reyes les gars
Alexis Sanchez
LordBendtner Voir le profil de LordBendtner
Posté le 23 mai 2014 à 20:12:25 Avertir un administrateur
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La même dans ma partie, dommage parce qu'il est à 4m€ seulement
Ouais c'est un enculé
On pouvait l'avoir avant la MAJ en plus.
Maintenant qu'il veut bien revenir IRL, il ne veut plus venir
saha saha
louis saha
Gidieu goals and skills https://www.youtube.com/watch?v=sicYaSQ9ICw
Le Ibra francais
Vivement la vidéo de 2h30 sur la saison de Ramsey
Extrait d'une big interview d'Arteta.
Arteta revient sur les défaites subies à l'extérieur en Pl lors des grands rendez vous. Il évoque le fait qu'il veuille rester impliqué dans le football après sa carrière en devenant pourquoi pas entraîneur. Il parle aussi des entraîneurs qui l'influencent, des moments difficiles vécus dans sa carrière et de la sélection espagnole.
Q : "Pour vous à quoi sont dues ces défaites à l'extérieur face à Chelsea, Liverpool, Man City ou encore Everton ?"
M.A : "C'est de notre faute, je ne peux pas trouver d'autre explication. Quand vous vous rendez à Chelsea et qu'ils marquent trois buts incroyables, ok, mais nous leur avons offert le ballon dans notre moitié de terrain. Ils nous pressaient et nous savions que c'est ce qu'ils feraient mais nous avons continué à faire des erreurs et dans un grand match, vos adversaire ne manqueront pas l'occasion. Les matchs étaient pliés après 15-20 minutes et cela ne devait pas arriver. Cela n'a rien à voir avec la préparation - tout le monde était préparés et quand cela arrive une fois, nous nous attendons à ce que cela ne se reproduise pas lors du prochain grand rendez vous. Mais cela s'est à nouveau reproduit. Psychologiquement, cela a été un coup dur pour tout le monde de perdre des points de cette manière. Cela été difficile à encaisser. De notre point de vue, les buts que nous avons encaissés étaient largement évitables et nous les avons payé pendant un certain temps."
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Q :" Comment vous êtes vous senti sur le terrain? Vous avez 32 ans actuellement et vous venez de jouer un peu plus de 40 matchs cette saison."
M.A : "Je me suis senti vraiment bien tout au long de la saison mais évidemment je ne veux pas revivre des matchs comme ceux vécus à Chelsea ou à Liverpool. C'était dur à accepter- je suis un grand compétiteur et quand je perds comme ça je deviens fou. Mais physiquement je vais bien, j'ai joué assez souvent dans un rôle de sentinelle et légèrement différemment lorsque j'ai évolué aux cotés de Mathieu (Flamini). Les choses se sont bien passées."
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Q : "En regardant où nous sommes actuellement et en remontant au début de votre carrière, diriez vous que vous êtes là où vous l'aviez espéré et rêvé lorsque vous aviez 16-17 ans ?"
M.A : "Quand j'étais plus jeune, mon rêve a toujours été de jouer à Barcelone. Mais après ça, lorsque j'ai débarqué au Royaume Uni (aux Rangers tout d'abord), si vous me demandiez où j'aurais aimé jouer, la réponse aurait été Arsenal et c'est la vérité. La manière dont ils jouaient, l'équipe qu'ils avaient, la philosophie de football offensif, ils prenaient plaisir à jouer comme je le faisais et je les aurai choisi au profit des autres équipes. Maintenant que je suis ici, je me sens tellement fier de faire partie de ce club de football. Ce qu'ils ont fait de ce club, la façon dont ils l'ont géré et construit, tout cela est incroyable. Nous nous sentons tous privilégiés d’être là où nous sommes."
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Q : "Si votre carrière s'était terminée la semaine dernière, Quels sentiments auriez vous par rapport à votre carrière ?"
M.A : "Que j'ai accompli ce que je voulais faire, mais avec un regret particulier - le fait de ne pas avoir profiter autant que j'aurai du le faire. Et cela parce que je me mets toujours beaucoup trop de pression, en essayant d'améliorer les choses qui ne vont pas bien, pas seulement mon propre jeu mais toutes les autres choses autour des joueurs et du club. Je pense toujours que dans 5-10 ans je regarderais en arrière et je me dirais : "Mikel, est ce que tu te rends compte que tu as joué à Arsenal ?, que tu as joué dans une équipe pratiquant un bon football, que tu as eu de bons entraîneurs, de bons coéquipiers, une bonne vie à Londres ?". Peut être que je devrais juste profiter plus de tout cela, mais ça fait partie de mon caractère et c'est ce qui me motive."
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Q : "Quelle a été la période la plus difficile dans votre carrière ?"
M.A : "Probablement lorsque je me suis fais les croisés en 2009. J'étais à Everton et j'étais surement dans la meilleure forme de ma vie. J'étais si proche d'intégrer la sélection espagnole et je pensais que j'allais être convoqué. Puis je me suis fait les croisés, mon ligament antérieur, mon ménisque- tout s'est cassé. Après 4 mois et demi, alors que j'étais presque de retour, j'ai eu besoin d'une autre opération car mon ménisque me posait encore problème et puis après ça, j'ai eu une infection, donc en tout il a fallu 11 mois pour me remettre. A certains moments je me disais : "Hé bien, je ne sais pas si je peux revenir", car l'infection était vraiment sérieuse. Mais je savais ce que je devais faire. Je suis passé par beaucoup de souffrance et beaucoup,beaucoup d'heures de rééducation et aussi beaucoup de temps à parler avec ma femme car j'étais tellement concentré sur mon rétablissement que je ne pouvais rien faire d'autre. Trois ou quatre heures après, elle donnait naissance à notre premier enfant. J'ai placé une table de traitement à coté d'elle à l’hôpital, et j'ai fait venir mon kiné. Elle (sa femme) voulait me tuer, elle me disait : "Tu peux manquer un jour!" Mais pour moi c'était inconcevable, je ne pouvais pas, et c'était très important pour mon genou car j'avais déjà manqué 8 heures. Maintenant on en rigole, mais nous avons eu des moments très difficiles à l'époque. J'aurais aimé être en mesure de prendre plus hauteur par rapport à toutes ces choses lorsque ça n'allait pas bien mais c'est seulement la façon dont j'aborde mon travail. Le point positif c'est que si mon garçon, lorsqu'il sera un peu plus âgé, fait la même chose, je ne le laisserai pas faire comme son père !"
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Q : "Beaucoup de personnes vous voient entraîner lorsque vous raccrocherez vos crampons, est ce une chose à laquelle vous pensez ?"
M.A : "Mes coéquipiers me demandent toujours :"Qu'est ce que tu vas faire Miki? tu va être entraîneur, tu dois être entraîneur !" J'ai conscience de ce que représente ce travail et je sais combien il est difficile, surtout lorsque j'observe le Boss et que je vois le temps qu'il consacre à ce métier. Une fois de plus, vous devez sacrifier votre famille, ce que j'ai fait depuis l'age de 15 ans. Mais j'adorerais manager un groupe de joueurs et un staff. J'ai ça en moi, c'est vrai et je veux le faire. Avant tout ça, j'aimerais profiter au mieux de ma carrière car j'ai 32 ans et dans ce sport, vous ne savez jamais si vous arrêterez à 34,35 ou 36 ans. Après ça, je resterais surement impliqué dans le football car je pense que j'ai quelque chose à faire. J'aimerais me prouver que je suis capable de faire valoir mes idées en ce qui concerne le management et encourager les gens à faire des choses de la meilleure manière qu'il soit selon ma vision."
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Q : "Donc imaginons que vous prenez en charge Mikel Arteta Fc demain, quelles seront vos idées ?"
M.A : "Ma philosophie sera clair. Je ferai en sorte à ce que tout le monde s'implique à 120%, c'est la première chose. Si non, pour moi vous ne jouez pas. Quand c'est l'heure de travailler, c'est l'heure de travailler et quand c'est l'heure de s'amuser je suis le premier à le faire, mais cet engagement est primordial. Ensuite je veux que le football soit expressif, divertissant. Je ne peux pas avoir un concept de jeu où tout est basé sur l'adversaire. Nous devons dicter le jeu, nous devons être ceux qui prennent l'initiative et nous devons divertir les personnes qui viennent nous voir jouer. Je suis convaincu de ces choses à 100% et je pense que je pourrais les mettre en place.
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Q : "Adopterez vous un système particulier ? Ou les joueurs passeront avant le système ?"
M.A : " Je crois que vous devez vous adaptez. Vous pouvez avoir une idée d'un système mais vous devez être en mesure de le transformer en fonction des joueurs que vous avez - (des questions que vous vous posez) disposez vous d'assez de vitesse à l'avant ? Votre équipe est-elle assez technique ? Quels types de risques pouvez vous prendre ? Et est ce que vos joueurs sont prêts à prendre ces risques ? Il est important d'analyser vos joueurs car vous ne pouvez pas toujours jouer de la même manière. Il doit y avoir des détails différents et des changements dans la façon dont vous abordez les choses et vous devez essayer de trouver comment faire mal à l'équipe contre laquelle vous jouez. Y a t-il quelque chose qu'ils n'aiment pas faire ? Si c'est le cas, nous ferons en sorte de leur servir ce qu'ils n'aiment pas. Ensuite, la chose la plus important pour le manager, c'est d'imaginer, vendredi avant le match, ce qu'il se passera samedi. Et si ce qui se déroule samedi, n'est pas ce que j'avais prévu alors c'est que je n'aurai pas été assez bon."
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Q : "Y a t-il un entraîneur actuel qui vous influence particulièrement
M.A :"Bien sûr, l'un d'eux c'est Arsène Wenger- il a une philosophie qu'il ne changera jamais car il croit vraiment en elle. C'est la chose la plus importante car si vous ne croyez pas vraiment en quelque chose alors il vous suffira juste de la changer après un mauvais résultat et cela rendra dingue vos joueurs. Il y aussi Pep Guardiola, que je connais depuis l'age de 15 ans. Sa manière de voir le football, en regardant toujours devant puis encore plus loin et de toujours progresser. Puis il y a aussi Mauricio Pochettino, c'était mon capitaine au PSG et j'ai toujours su qu'il deviendrait entraîneur. Il a énormément été influencé par Marcelo Bielsa, qui était son entraîneur en Argentine; ils avaient l'habitude de discuter de beaucoup de choses, et maintenant vous pouvez voir que ses équipes sont très agressives, que ce soit en attaque ou en défense. Il prendre pas mal de risques, les joueurs apprécient de jouer pour lui, ses décisions sont toujours respectées et il a une bonne personnalité. J'ai toujours admiré Pochettino depuis que je suis jeune; il a vraiment pris soin de moi lorsque j'étais au PSG."
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Q :" Tout à l'heure vous avez souligné le fait que votre blessure au ligament est intervenu alors que vous poussiez pour vous faire une place en sélection. Pensez vous que c'est la principale raison qui a fait que vous n'avez pas pu intégrer la sélection espagnole depuis ?"
M.A : "Non, je pense que ce qui m'a stoppé c'est que nous avons eu la meilleure génération de milieux de terrain que le football européen n'ait jamais connue en Europe. Je sais que j'étais très proche d'y entrer et j'ai eu un coup de téléphone de quelqu'un disant que j'allais avoir ma chance, mais ça fait partie du football. J'aimerais jouer à coté de ces joueurs un jour, mais ça n'arrivera pas et je dois l'accepter car ce qu'ils font est génial."
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Q : "Regarderez vous la coupe du monde? Et pensez vous qu'ils sont capables de la remporter une seconde fois ?"
M.A : "Bien sûr. J'espère qu'ils donneront tord aux gens qui disent qu'ils n'ont plus faim et qu'ils la gagneront. Je ne pense pas qu'ils la remporteront mais évidemment une coupe du monde se joue sur des petits détails - il y a 4 ans, ils étaient fantastiques mais ils ont eu aussi des moments dans lesquels la chance était avec eux comme lorsque Casillas fait un énorme arrêt du pied face à Robben en finale. Ils auront besoin de plus que ça car ça va être un tournoi très intéressant et il pourrait y avoir une surprise. Regardez le Chili par exemple - je les ai regardé récemment face à l'Allemagne et ils ne méritaient pas de perdre, et ils avaient battu l'Angleterre à Wembley avant Noel. Ensuite vous avez L'Uruguay qui a une attaque de feu. Et bien sûr il y a le Brésil qui joue à la maison et L'Allemagne, dont les joueurs ont tout gagné au cours de ces dernières années et qui ont l'habitude d'atteindre les finales. J'ai hâte de voir ce qui va se passer."
http://www.arsenal.com/news/features/20140522/-i-am-so-proud-to-be-part-of-this-club-
Mikel.
"si vous me demandiez où j'aurais aimé jouer, la réponse aurait été Arsenal et c'est la vérité"
Le meilleur capitaine qu'on ait eu depuis longtemps.
ça parle de Juanfran pour remplacer Sagna, là ce serait cool.
normalement soit un français , un anglais , un espagnol ou un allemand qui remplace
50M sur Luiz.....
le psg.....
Très bonne affaire
Juanfran en n°1, Aurier en n°2, Jenko en prêt.