On va se faire racheter par le chinois, il sera en co-présidence avec Seydoux. On aura un budget de 240 millions.
J'aimerais tellement qu'on vende les bide, et qu'on reparte sur une base solide, qu'on achète des jeunes pépites et genre une star
Genre out les Kalou, Martin, Roux, Sidibé.
Mavuba va surement partir, et Balmont jouera de moins en moins avec son âge
Mais par contre, faut garder Kjear-Basa, God, Gueye.
Sidibé est pas un bide du tout
Replacé à gauche il a l'air encore plus fort, il a quelques lacunes défensives normales pour un jeune qui ne joue pas régulièrement
J'aimerais bien voir un milieu Sidibé Martin devant Mavuba l'année prochaine
Faut garder Sidibé hein
Martin aussi d'ailleurs, quand il reprendra confiance il sera bon, il était énorme à Sochaux.
Dire que Sidibé est un bide alors qu'il joue 1 match sur 5 et qu'il a 21 ans.
GuizInsigne ?
Posté le 8 mai 2014 à 10:34:03 !
Faut garder Sidibé hein
Martin aussi d'ailleurs, quand il reprendra confiance il sera bon, il était énorme à Sochaux.
Ouais bah on attend toujours après 2 ans
https://www.youtube.com/watch?v=XNQ23BOZmuU
cette tristesse
perso Souaré commence à me saouler. Faut que Girard le calme.
j'veux juste faire un nul contre Paris.
Et puis faudra gagner à Lorient.
Non mais si on arrive pas accrocher la 3ème place, c'est même plus une faute professionnelle à ce niveau
7 pts d'avance à 3 journées de la fin, si Girard se chie dessus il dégage.
fin j'abuse mais là ça va me ruiner ma CDM
Non mais 5 points d'avances alors qu'il reste 2 matchs.
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Il n’est jamais trop tard pour atteindre le foot de haut niveau. Jonathan Delaplace, 28 ans, en sait quelque chose. Milieu de terrain du Losc depuis un an, il est en train progressivement de se faire une place dans l’effectif de René Girard. L’été dernier, il faut dire que son arrivée a été discrète à l’heure où le club de Michel Seydoux s’était imposé une cure d’économie drastique. Excepté Simon Kjaer, la recrue «phare» du club, Jonathan Delaplace a débarqué dans l’anonymat de Zulte-Waregem (Belgique), l’équipe qui lui a donné sa chance au haut niveau alors qu’il semblait ne plus croire en ses chances.
Pour le natif de la Seyne-sur-Mer (Var), tout aurait pu commencer bien avant. Ses premières idoles se nomment Jean-Pierre Papin et Chris Waddle («ça n’a pas duré bien longtemps»), il espère alors devenir footballeur professionnel comme il l’explique rapidement à ses parents. A treize ans, il est refoulé du centre de formation de Liévin (Nord) et opte finalement pour un cursus de sport étude à Lambersart, toujours dans le Nord, où habitent ses grands-parents. En parallèle, il joue dans les clubs de la région, dont au RC Lens, qui le vire un an après son arrivée. «Selon eux, je n’avais pas le gabarit nécessaire pour percer (NDLR : il mesure 1,67 m aujourd’hui). Cette petite taille m’a desservi. On m’a fait comprendre que physiquement, je ne passerai pas le cap du niveau pro.»
Guy David, «le déclic»
A 18 ans, aucun club ne s’intéresse à lui. Pire, il n’obtient pas son bac. «Je savais que si je ne travaillais pas bien à l’école, mon père me retirait le foot. Le bac a été mon premier gros échec. A l’époque, je crois encore en mes rêves mais je me dis que le monde professionnel s’éloigne. Mon père me propose de redescendre dans le sud pour enfin avoir mon bac.» Encore au lycée, le jeune Jonathan joue en même temps dans une équipe de neuvième division et obtient enfin son bac, sans mention. «Je n’ai pas trop forcé non plus», lâche-t-il en explosant de rires. Ici commence son ascension.
Trois ans à Hyères, en CFA 2, puis vient la rencontre qui va tout changer. Celle de Guy David, ancien entraîneur de Toulon, Le Havre, Caen ou Rennes notamment, qui est alors entraîneur de Fréjus, en CFA. «C’est le déclic. C’est lui qui me fait prendre conscience de mes qualités. Il vient boire un café pendant deux heures chez mes parents. Avec son bagage et son côté humain, c’est vraiment un entraîneur exceptionnel. Il veut me faire franchir un cap et me prouve que j’ai les qualités pour être un joueur professionnel.» Si la première saison se passe normalement, le début de la seconde va être terrible. «Après un match face à la réserve de Saint-Étienne (NDLR : le 30 août 2008), on fait 1-1. A la sortie du vestiaire, Guy David s’effondre et fait une crise cardiaque. Je suis à vingt mètres, je ne le vois pas tomber mais j’entends rapidement les cris. Les secours n’ont pas réussi à le réanimer. Ça m’a marqué, je peux refaire la scène. C’est une soirée que je n’oublierai jamais.»
Putain, c'est ça la Ligue 1, une minute, pas un ballon, mais j'ai joué quand même !
Toujours soutenu par son père, Jonathan Delaplace poursuit ses études en parallèle. Un père et un frère infirmiers, il aspire donc à être dans le milieu médical, pourquoi pas kiné. «Mais concilier ça avec le foot, c’était très compliqué.» Finalement, après une prépa, il intègre l’école d’infirmier pendant deux ans et demi. Janvier 2010, la carrière de Delaplace effectue un virage à 180 degrés. Des émissaires belges, venus le voir déjà à huit reprises, l’interceptent à la fin d’un match pour savoir s’il est encadré par un agent. En fin de contrat, Jonathan n’hésite pas longtemps. «J’obtiens mon diplôme d’infirmier juste avant ! Je signe mon contrat dans mon appartement de Fréjus avec mon agent et les dirigeants de Zulte-Waregem qui ont même fait venir le médecin pour passer la visite médicale. Je lis mon contrat sans vraiment y faire attention, je laisse ça à mon agent ! J’étais juste pressé de signer», rigole-t-il encore aujourd’hui.
S’il connaissait un peu la Belgique après son passage à Lambersart, il a dû s’habituer au côtéfFlamand de son nouveau pays. «Une autre culture, une autre langue. J’ai suivi des cours de flamand pendant dix mois. C’est très difficile à parler, c’est un mix d’anglais et d’allemand. C’est moche !» Trois ans pour apprivoiser le haut niveau. Et une dernière saison en apothéose avec un titre de vice-champion. «Une année de folie ! Mais là-bas, il ne faut pas croire, ce n’est pas facile. En France, on a l’impression que c’est de la DH. Ça équivaut à un bon niveau de Ligue 2 voire même de Ligue 1 quand tu joues des équipes comme le Standard, Genk, Bruges, Anderlecht.» Le Chievo Vérone et des clubs grecs le suivent, mais quand son agent lui annonce que le Losc le veut, il ne le croit pas. «Je lui dis : "Mais t’es sûr ? C’est pas des conneries ?" Quand je comprends que non, je lui demande de tout faire pour que je signe. C’est un sacré symbole ! Ma famille est du Nord, j’ai suivi mon sport étude ici, je ne pouvais pas passer à côté.
A 28 ans, il intègre l’un des cinq grands championnats européens. La consécration après des années de galère. «Lille, c’est plus qu’un palier. On monte en gamme ! Quand je suis arrivé, mon caractère m’a un peu desservi. Je suis timide, introverti, c’est difficile quand on a de fortes personnalités en face. J’ai débarqué dans un groupe qui vivait bien, qui a connu des choses ensemble. Ce sont surtout Franck Béria et Flo' Balmont, les deux vieux, qui sont venus vers moi.» Son premier match de Ligue 1 à Rennes (0-0, le 31 août, 4e journée) ne l'a pas forcément rassuré. «Je m’échauffe, le coach (René Girard) me rappelle pour me rasseoir car c’est presque la fin du match. Un joueur devait rentrer et finalement Rio (Mavuba) demande le changement. Le coach se retourne vers moi : "John, tu rentres". Je joue une minute, je ne touche pas un ballon (il explose de rires). Et là je me dis : "putain, c’est ça la Ligue 1, une minute, pas un ballon, mais j’ai joué quand même"». Depuis deux mois, excepté la semaine dernière à cause d’une petite blessure au mollet, Jonathan Delaplace participe toujours aux rencontres du Losc. «Je ne jouais pas trop au début. Là, j’ai bénéficié de la blessure de Rio. J’ai été assez bon pour que le coach me refasse confiance, c’est ça qui est important.» Son prochain objectif : s’imposer comme titulaire. Un défi qui ne lui fait plus peur après tout ce qu’il a traversé pour arriver au Grand Stade.
Timothé Crépin, à Lille (@T_Crepin)
http://www.francefootball.fr/news/Delap ... eve/463019
Delaplace
"«Selon eux, je n’avais pas le gabarit nécessaire pour percer (NDLR : il mesure 1,67 m aujourd’hui). Cette petite taille m’a desservi. On m’a fait comprendre que physiquement, je ne passerai pas le cap du niveau pro.» "
déjà là ça m'énerve
" «Je lui dis : "Mais t’es sûr ? C’est pas des conneries ?" Quand je comprends que non, je lui demande de tout faire pour que je signe. C’est un sacré symbole ! Ma famille est du Nord, j’ai suivi mon sport étude ici, je ne pouvais pas passer à côté. "
Delaplace
j'aime beaucoup ce gars en tout cas.
C'est ça le LOSC, un mélange de jeunes joueurs du centre de formation, de vieux à relancer et de joueurs pas connus dans la force de l'âge.
Même si j'aime bien ces joueurs, Kalou, Roux, Martin et Payet n'ont pas été au niveau de l'investissement misés sur eux.
Enfin Payet il était quand même phénoménal en championnat la saison passée, c'est déjà ça.
Payet c'est l'irrégularité personnifiée. Sérieux tu peux rien construire avec lui. Sur une année il peut être monstrueux puis... plus rien.