Mais bon l'équipe aligné n'était l'équipe type, une équipe avec Sankharé, J.E Maurice et L.Arnaud n'ira pas loin ... pour moi, le match à observer sera certainement celui qui opposera les rouges et bleu à l'équipe Espagnole composé de Forlan, Aguero et autres Maxi Rodriguez ...
De toute manière, selon la hierarchie des équipes nous ne méritons pas mieux que la 3eme place.
Bref ... de toute manière la vrai compétition commencera face à Montpellier dans une semaine.

Le Parisien du jour a balancé son petit scoop. Le sénégalais de Fulham, Diomansy Kamara, aurait été proposé au paris sg. Jusque là, rien d’extraordinaire.

Mais il semblerait, toujours selon le quotidien, que les dirigeants parisiens soient intéressés par l’attaquant de 28 ans. Formé au Red Star, à l’école des Marlet et Boutal.

Kamara traîne ses crampons en Angleterre depuis 2004. Pas sûr que cette rumeur plaise à Mateja Kezman par contre. Kamara aurait néanmoins donné sa priorité à Bordeaux.

C'été une équipe B pour tout a l'heure. Maurice et Arnaud invisible , un très bon Erding , ...

Le 2 janvier 2001, appelé à redresser RTL, Robin Leproux débarque rue Bayard sur des béquilles, le genou en compote. Rupture des ligaments croisés. Sa passion vient de le rattraper. Comme presque tout footballeur qui se respecte, Leproux s’est tordu la jambe sur un terrain quelques semaines plus tôt. Le nouveau président du PSG, qui s’est présenté hier aux joueurs à l’occasion du match contre Glasgow, est un fondu de ballon rond.

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Les stars de RTL l’adorent
BIO EXPRESS
Un vrai malade.
Depuis quarante ans, il arpente tous les gazons de la capitale, les jeudis durant son enfance, les dimanches depuis qu’il construit sa carrière de dirigeant, principalement dans l’audiovisuel. Chaque fin de semaine, il retrouve ses partenaires sur un synthétique de Rueil-Malmaison, où il est licencié. Du coursier au grand patron, la mixité sociale est au rendez-vous. « On aime le vivre ensemble et le mélange des cultures », souffle Pierre Bonnier, un intime de vingt ans, patron de Canal 33, un réseau de télé-vidéo dans les salles de médecins. Bonnier est ailier, Leproux défenseur central. Sur la pelouse, il est comme dans la vie : « Le manque de rigueur l’indigne, rapporte son ami. Il monte vite mais redescend aussi très vite. Sur un terrain, il est volontaire. Surtout, il court tout le temps. Je l’ai surnommé le Diesel ».

Un titi parisien

Dans sa jeunesse, Leproux a fréquenté des clubs qui décrivent un autre Paris, comme le FC Ternes. C’est qu’il dispose d’un double ADN qui en fait a priori le candidat idéal pour présider aux destinées du PSG : amateur absolu de foot mais aussi titi parisien. Il a grandi dans le XIe, quartier Oberkampf, quand cet arrondissement populaire abritait encore les cités qui désormais peuplent la banlieue. Son grand-père conduisait un taxi, son père était barman au Lido et sa mère caissière. Robin Leproux aurait pu se faire connaître en tant que fils de, puisque ses parents sont les créateurs du Golf Drouot, transformant le seul golf miniature de Paris en une salle de concert très prisée entre 1955 et 1982. Leproux va grandir dans les pattes des stars des yé-yé. « Je me souviens que Johnny créait des émeutes dans les rues de Paris quand il allait m’acheter ces soldats en plastique démontable que j’adorais », dit le nouveau boss parisien sans étoile dans les yeux.
Ce dernier apparaît parfois comme une machine un peu froide promis à tous les succès, qu’il collectionne. « Il cache son affectif et veut protéger sa vie privée », soutient Nicolas de Tavernost, son patron à M 6. Noël Couëdel, aujourd’hui directeur éditorial du groupe Amaury (« le Parisien », « l’Equipe », notamment), jadis son directeur de l’info à RTL, relève : « Robin sourit à l’intérieur. » Ce bon vivant aime explorer des contrées originales pour un homme de 50 ans. Il passe ainsi des heures dans une pièce de son domicile uniquement dédiée aux jeux vidéo. Philippe Bouvard l’a visitée. « Il était comme un gosse en me montrant son installation », rit l’animateur de RTL. « Je suis quelqu’un de très sérieux dans les métiers pas sérieux, dit Leproux. Parce que c’est sérieux ! Il existe une attente du public. On travaille pour lui. Au PSG, je viens aider. Je ne suis pas là pourm’amuser », prévient ce bon joueur de tête servi par son mètre quatre-vingttrois.

Créatif et perfectionniste

Sa méthode est éprouvée et redoutable. Ses proches décrivent invariablement un homme qui va réussir au PSG. Christian Blachas, ex-animateur de Culture Pub, l’a côtoyé à M 6 : « Il est doté d’un caractère d’entrepreneur qui aime lancer des nouveautés. Il a un bon pif, une bonne intuition et une approche pragmatique ». Noël Couëdel apprécie cet homme au sang-froid : « Il est extrêmement perfectionniste, pointilleux et maniaque. Il ne lâche jamais le morceau. Il est bon dans la négociation et c’est un gestionnaire rigoureux. Il sait qu’un actionnaire a toujours raison. Il remplit beaucoup de paramètres pour diriger un club de football ». Régis Ravanas, son bras droit àM6 Interactions, aujourd’hui président de TF 1 entreprises, reste sous le charme : « Il a un sens de l’organisation hallucinant et une intelligence très vive qui lui permet de garder les pieds sur terre. Il trouvera les solutions pour rendre le PSG plus prospère ». Emmanuel Chain, l’ex-présentateur de Capital sur M 6, le connaît de longue date. Présent hier au Tournoi Emirates qui accueillait le PSG, Chain appuie sur le côté créatif que développe naturellement Leproux : « Il sert plus les entreprises qu’il ne se sert d’elles pour son profit personnel. Il a déjà compris ce qu’était le PSG et ses valeurs. A l’heure du football moderne, il va exploiter toutes les potentialités de la marque PSG. » De toute façon, comme dit Christian Blachas : « Un homme qui aime le foot et le rock ne peut pas être mauvais. »

C'est quand le match contre l'Athletico ?

Courtisé un temps par le Paris Saint-Germain afin de pallier à l’indisponibilité de longue durée de Zoumana Camara, l’international Espoirs ne quittera finalement pas les Ardennes.

Les récentes déclarations de Sébastien Bazin et d’Antoine Kombouaré (NDLR : les deux hommes ont déclarés ce vendredi que le « mercato parisien était terminé sauf départ »), avaient plus ou moins mis fin à la rumeur envoyant Paul Baysse au PSG.

Cette piste est désormais close, comme en témoignent les propos de Pascal Urano et de Landry Chauvin, respectivement président et entraîneur de Sedan, après la victoire de leur club en Coupe de la Ligue hier (2-0 contre Caen) :

« Paul Baysse restera à Sedan cette saison. […] C’est une bonne chose car c’est un garçon qui bonifie incontestablement le groupe. »

Même si ce ne serait pas la première fois qu’un joueur parte après de telles déclarations, il ne fait désormais plus de doute que Paul Baysse ne rejoindra pas le club de la capitale cet été. Espérons que les responsables parisiens n’auront pas à s’en mordre les doigts.

Jwt : 15H , W9

Alors que Jérôme Rothen pourrait avoir disputé sa dernière rencontre sous les couleurs parisiennes hier lors de la défaite contre les Glasgow Rangers (0-1), les responsables du club de la capitale n’auraient pas dit leur dernier mot sur le dossier menant à Kim Källström.

Jérôme Rothen rejouera-t-il un jour pour le Paris Saint-Germain ? Si personne ne peut, à l’exception de l’intéressé lui-même, répondre à cette question, la cellule de recrutement du PSG n’entendrait pas attendre le dernier moment pour trouver son remplaçant.

Si Stéphane Sessegnon peut dépanner comme en témoigne sa prestation de haut niveau mercredi contre la Fiorentina, Antoine Kombouaré désirerait avoir à sa disposition un spécialiste du poste, et aurait, selon le quotidien L’Equipe, son choix sur le Lyonnais, Kim Källström.

Le PSG n’est toutefois pas le seul club à suivre avec attention l’ancien Rennais, puisque le club turc du Galatasaray a fait ces derniers jours une offre de 5M€ pour s’attacher ses services.

Sous contrat avec le club rhodanien jusqu’en 2011, l’international Suédois (63 sélections, 12 buts) n’aurait pour l’instant pas envie de quitter l’ancien champion de France, mais attendrait d’en savoir un peu plus sur le rôle que compte lui confier Claude Puel cette saison.

Les responsables parisiens pourraient, qui sait, consentir à quelques efforts financiers pour attirer dans les filets du PSG ce joueur talentueux : l’enveloppe budgétaire prévue pour le transfert de Patrick Vieira, et non utilisé pour faire revenir Gabriel Heinze, pourrait ainsi servir à la réalisation du transfert de Kim Källström.

Mais Jean-Michel Aulas sera-t-il disposé à transférer son joueur chez l’un de ses concurrents ? Rien n’est moins sûr…

Et bien voilà ... malgré une décision complétement débile d'expulsé un joueur en match amical ... le PSG à su tenir tête au 4eme du championnat espagnole en arrachant le nul grâce à une jolie action de Sessegnon sur le côté, bien lancé par notre chère Silvain Armand, pour ensuite repiqué dans l'axe, un peu a l'image du but de Luyindula face à la Fiorentina, pour offrir un caviar en retrait à Ludovic Giuly, qui de part son expérience et son talent, à su concrétisé cette action et mettre le ballon au fond des filets. Les Parisiens n'on pas manqué de réussite pour autant puisque les Espagnols ont déposés par trois fois le ballon sur les barres Parisiennes.
Au final, les parisiens ont sû construire le jeu, malgré une inférioté numérique qui en championnat serai mérité ... mais en amical, je trouve cette réaction quelque peu excessive.
N'empèche rien au fait que Sessegnon à gauche c'est que du bon, puisqu'en deux match à gauche il à déversé deux belles passes décisives.

Beau match et surtout bon nul :D

Ouais
1-1 avec le gardien remplacant dont j'ai oublié le nom c'est pas mal

Réduits injustement à dix peu avant la mi-temps, les Parisiens n’ont pu faire mieux que match nul (1-1) contre l’ancienne formation de Grégory Coupet. Les efforts de Stéphane Sessegnon et de ses co-équipiers n’auront pas été récompensés à leur juste valeur, mais tout n’est pas à jeter, loin de là !

Sessegnon homme du match
Sessegnon illumine le jeu
Kombouaré : « Comme une victoire »
Baning : « Difficile à accepter »
Sessegnon : « On a su relever la tête »
Arsenal reprend son trophée

Deuxième match londonien et deuxième match sans victoire pour le Paris Saint-Germain : on ne peut donc pas dire que l’air britannique aura été des plus accueillants pour l’équipe Parisienne. Si le compte n’y est bien évidemment pas en termes de résultats, le Paris Saint-Germain a toutefois offert un visage plutôt séduisant sur cette deuxième rencontre, et l’entente affichée par le quatuor offensif s’annonce des plus prometteuses.

Composition: Apoula Edel / Sylvain Armand (capitaine) / Albert Baning / Sammy Traoré / Marcos Ceara / Stéphane Sessegnon / Granddi Ngoyi / Jérémy Clément / Ludovic Giuly (remplacé pat Yannick Boli à la 76ème) / Mateja Kezman (remplacé par Jean-Eudes Maurice, à la 80ème) / Pegguy Luyindula

Joueurs non entrés en jeu : Willy Grondin / Younousse Sankharé

Arbitre : Alan Wiley

Couleurs : le PSG a évolué pour dans son nouveau maillot domicile bleu, short bleu et bas bleu; l’Atletico Madrid a quant à lui évolué dans sa traditionnelle tenue rayée rouge et blanche. Quelques minutes après le coup d’envoi, l’arbitre de la rencontre a du enfiler un chasuble bleu, son maillot noir portant à confusion avec le maillot du PSG.

Beau temps et doux (22°C)

Première mi-temps : « C’est quoi ce bordel ! Are you crazy ?!? »

Au cours d’une première mi-temps rythmée et plaisante à regarder, le Paris Saint-Germain a offert aux spectateurs présents à l’Emirates Stadium et à ses supporters un visage séduisant. En utilisant à merveille les combinaisons à une ou deux touches de balle, le PSG a réussit, par intermittence, a semer un vent de panique dans la défense espagnole.

Menée de main de maître par Stéphane Sessegnon, l’attaque parisienne semble d’ores et déjà affutée. Si Mateja Kezman et Pegguy Luyindula ne semblent pas titulaires dans l’esprit d’Antoine Kombouaré, les deux compères de l’attaque sont loin d’avoir démérités.

Leur complicité avec Ludovic Giuly et Stéphane Sessegnon n’a pas été bien loin de mettre au supplice une défense madrilène bien en peine, notamment sur le côté droit où le Béninois a une nouvelle fois marqué les esprits : accélérations, crochets, passes courtes ou en profondeurs, tout y est passé ! Les reins de Valera, chargé de le marquer, ont soufferts !

Malheureusement, le PSG pêchera, comme contre les Glasgow Rangers, dans la finition et n’arrivera jamais à attraper le cadre du but madrilène, malgré de bonnes situations : Jérémy Clément (7ème), Stéphane Sessegnon (14ème), Marcos Ceara (20ème) et Ludovic Giuly (32ème) tenteront, en vain, leur chance.

Mais voilà, il était écrit que le PSG serait mis en difficultés pendant son séjour londonien : après avoir été sauvé par la barre transversale (10ème), la défense parisienne pliera en fin de mi-temps : lancé en profondeur, Sergio Agüero prend de vitesse Albert Baning, finalement placé en défense à la place de Jérémy Clément, et sera stoppé irrégulièrement par le Camerounais.

Pénalty et carton rouge très sévère sorti par Alan Wiley : cette décision de l’arbitre anglais fera sortir de ses gongs Antoine Kombouaré, qui exprimera son mécontentement envers le corps arbitral depuis le bord du terrain : « C’est quoi ce bordel Monsieur l’arbitre ! Are you crazy ?!? »

Cela n’empêchera pas Sergio Agüero de se faire justice lui-même, et de prendre à contre-pieds Apoula Edel. Le PSG ne méritait pas ça, mais le voilà mené juste avant le retour aux vestiaires…

Deuxième mi-temps : le PSG revient au mental

Sous les yeux de Fabio Capello et d’Arsène Wenger, le Paris Saint-Germain ne va se laisser abattre et va prouver que même à un moins, cette équipe a quelque chose.

Alors que quelques ajustements tactiques sont réalisés par Antoine Kombouaré pendant la mi-temps (Granddi Ngoyi repositionné défenseur central, Jérémy Clément seul à la récupération et Pegguy Luyindula un peu plus en retrait de Mateja Kezman), Ludovic Giuly semble bien décidé à remettre les pendules à l’heure (47ème, frappe à côté).

Le petit lutin parisien est par la suite imité par ses coéquipiers : Stéphane Sessegnon (62ème) et Mateja Kezman (64ème) tentent de nouveau leur chance sans succès.

Les parisiens se verront néanmoins récompensés de tous leurs efforts à la 71ème minute : lancé par Sylvain Armand, l’intenable Stéphane Sessegnon accélère et laisse sur place Valera. L’international Béninois prend alors tout son temps pour délivrer un caviar à Ludovic Giuly, qui, d’une frappe au point de pénalty, trompe le portier espagnol !

Réduits à dix, les Parisiens auront donc réussi à revenir dans le match, mais mieux encore, ne se satisfont pas de ce résultat nul. Alors qu’on aurait pu les croire émoussés par la répétition des efforts produits en infériorité numérique, les joueurs du PSG vont accélérer la cadence et se créer un certaines nombre de situations intéressantes :

Sylvain Armand ne réussira ainsi pas à trouver Yannick Boli, pourtant seul devant le but (77ème), et Mateja Kezman, parti à la limite du hors-jeu, et quelque peu excentré, n’arriva pas à prendre le dessus sur le gardien de but adverse. La dernière tentative parisienne sera l’œuvre de Stéphane Sessegnon (83ème) qui, d’une frappe pure, trouvera les gants du portier madrilène.

Bien en place défensivement parlant, le Paris Saint-Germain n’est pas spécialement mis en difficulté malgré son infériorité numérique, mais peut néanmoins remercier ses poteaux qui l’on sauvés à deux reprises sur des frappes lointaines (Jurado à la 57ème et de Pacheco à la 86ème).

Quel que soit le résultat d’Arsenal – Glasgow, le Paris Saint-Germain terminera donc, avec 2 points, dernier de ce tournoi et pourra avoir des regrets. Mais souvenons-nous qu’il y a deux ans, le PSG avait écrasé Valence (3-0) et terminé deuxième de l’Emirates Cup, avant de devoir lutter toute la saison pour rester en Ligue 1…

Mister Edel

Dix ans après avoir quitté le Red Star et la France, Diomansy Kamara est aujourd’hui plus proche que jamais d’un retour en Hexagone. Attaquant de Fulham, le Sénégalais de 28 ans devait en effet rencontrer les dirigeants de Bordeaux qui l’ont placé parmi les favoris pour la succession de Marouane Chamakh. Également courtisé par le Paris Saint-Germain, celui qui affiche un bilan de 9 buts en 40 matches de Premier League se laisse toutefois séduire et ne compte pas se précipiter.

Contacté par nos soins, son agent nous a confirmé l’intérêt des deux clubs et l’attirance de Kamara pour le PSG. Mais pour le moment, l’intéressé attend de voir comment vont se dérouler les choses et notamment le dossier Chamakh avant de prendre une décision.

« Pour le moment, il n’y a rien de concret. Oui, Diomansy est intéressé par le PSG, mais aucune offre n’a été faite. On attend aussi Bordeaux, notamment à cause du dossier Chamakh. Un transfert ne sera toutefois pas facile, car Fulham l’a acheté pour 9 M€ à WBA. Mais bon je sais que le club recherche un attaquant donc cela pourrait faciliter un départ. »

Après ses déclarations pour le moins fracassantes en juin dernier et sa mise à pied début juillet, on imaginait mal Jérôme Rothen rester au Paris Saint-Germain. Et pourtant, l’ancien Monégasque est toujours présent dans l’effectif parisien, et continue sa préparation avec ses coéquipiers. Il a même participé à l’Emirates Cup la semaine dernière avec le PSG.

Si la presse s’accordait à dire que cette apparition sous le maillot parisien était la dernière, Alain Roche a tenu à démentir catégoriquement. Dans France Football, le responsable du recrutement au PSG a été catégorique. « Jérôme fera partie de l’effectif cette saison. Il honorera son contrat. » On se rappelle que Rothen avait ouvertement critiqué Alain Roche dans les colonnes de l’Équipe en juin dernier. Visiblement, l’ancien joueur du PSG est passé à autre chose.

Allez l'OM !

Casse toi.

Ouais casse toi vieux marseillais

Riolo : « Heinze a craché sur le maillot de l’OM » Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
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Écrit par Nico Junior
04-08-2009

Très remonté contre la signature de l’ancienne idole du Parc des Princes sur la Canebière, Daniel Riolo, spécialiste du Paris Saint-Germain, n’y est pas allé par quatre chemins.

Interrogé sur le « bras d’honneur » (dixit France Football) du joueur envers les supporters parisiens, Daniel Riolo , auteur du livre « L'histoire du Paris Saint-Germain », a fait un carton hier soir dans l’After Foot de RMC :

« Il faut savoir qu’Heinze est allé plus loin dans la bêtise que d’autres anciens parisiens passés par l’OM : au camp des Loges un jour, on lui a tendu un maillot de l’OM et il a craché dessus ! C’est fort, et aujourd’hui il est à Marseille. If faut que les supporters aient conscience de ça. »

Faisant le parallèle entre le tollé provoqué par Mateja Kezman lors de son jet de maillot, Daniel Riolo n’en démord pas : « L’année dernière, on a fait tout un scandale quand Kezman a jeté son maillot, sur un geste d’honneur où on en est venu à se commémorer Cantona qui jette son maillot : les supporters détestent ce genre de chose, car c’est quelque chose qui les touchent au plus profond d’eux même. Voila, les supporters de l’OM, sachez qu’Heinze à craché sur votre maillot. »

Alors qu’un journaliste lui fait remarquer qu’il a parfaitement le droit de signer où bon lui semble, Daniel Riolo fait alors appel au sens de la parole donné :

« Il a bien sur le droit de signer à Marseille, mais moi je parle d’une chose qui n’existe malheureusement plus dans le football, c’est peut être utopique…. Je parle d’avoir une parole, avoir un lien d’affection avec un club. Il y a certains joueurs qui restent attacher de longues années à un club. […] A Marseille, ils ont des mecs comme Eric Di Méco qui restera attaché au club pour toujours, et dans le cœur des supporters. A Paris, tu as aussi des gens comme ça (NDLR : Luis Fernandez), mais au milieu, tu as aussi des garces et Heinze a choisi ce camp. Pour moi, ce mec ne vaut rien humainement ! Personne ne l’a obligé à parler. Son attitude me dégoute. »

Le journaliste reste par ailleurs persuadé que, même si les supporters marseillais l’accueillent à bras ouvert, ce n’est simplement que parce qu’il vient d’humilier les parisiens. Mais au fond, « des joueurs comme lui ne seront pas aimé par les gens, c’est bien simple. »

Conscient d’être un brin cynique, Daniel Riolo ne fait finalement qu’exprimer tout haut ce que ressentent les supporters du PSG : « On peut dire que le foot est comme ça aujourd’hui. Acceptons-le et puis basta… » Que rajouter de plus après ces propos…

Faut se calmer deux secondes et relativiser...
Heinze voulait revenir, on l'a refusé, Marseille lui a proposé de venir avec un super challenge sportif , il a accepté.
alors que lui il est journaliste il a un devoir d'objectivité

On critique pas Daniel sinon on a a faire a moi

L'after