A ben ça alors! J'ai passer du temps sur GBt sans jamais le trouver. Mais non l'intrigue principale est basé sur un Usurpateur mais celui auquel on pourrait penser... Essayer un peu de deviner =P .
J'attend avec impatience ta critique BD =) . ( Evite le " Faut Aerer plus , j'ai compris ça ^^).
Up up powa
J'aime bien ton style d'écriture notamment le premier paragraphe quand il se bouffe le sol, je le trouve magistralement bien expliqué et bien mis en scène
Sinon j'attend de voir la suite mais pour l'instant ça m'a l'air bien parti
Merci encore. J'ai longtemps travaillé sur le début car je voulais qu'il soit mémorable et je suis une personne modeste mais a part la répétition sol-sol deux fois pas assez éloigné je trouve que c'est juste énorme ^^ .
Bon voilà, j'ai lu, et j'admets avoir soufflé du nez à quelques reprises.
Maintenant, faut voir ce que tu veux en faire, une fic humoristique ou plutôt un truc sérieux avec un vrai scénario bien profond et une longue aventure bien rodée ?
En l'état, je dirais que ça ferait une excellente fic humoristique en tout cas, le style vif et subtilement précipité s'y prêtant parfaitement bien.
Maintenant faut voir avec quelques chapitres de plus pour bien cerner la fic et son ambiance évidemment.
J'éspère dès demain pouvoir pster le chapitre deux puis je vous dirai a la semaine prochaine! Bon c'est dommage de pas pouvoir être là dans la semaine pour répondre aux questions ou relancer le topic.
Concernant ta remarque BD la fic que je compte faire va garder un ton léger pendant un ou deux chapitre et j'esserais de refaire des petits passages sympas et décalé mais malheuresment pour ce qui aiment une fic entièrement humoristique ben ca sera pas la cas :/ . Le héros ( mais il sera pas seul....) va se retrouver dans une situation qui ne prête pas vraiment à la rigolade. Cependant j'aime tout à fait faire rire et me faire rire donc si j'arrive à finir honorablement cette fiction pourquoi pas écrire pour faire rire ?
Concernant le style vif , ce chapitre était vraiment un test mais bon rien que ce chapitre ca fait long surtout si j'aére pas donc je pense pouvoir maintenir ce style vif qui nous laisse immédiatement rentrer dans l'action mais varié avec de vraies description et des analyses poussées digne d'un psychanalyste allemand fou !
Voila =) .
PS :
Le " Voila =)"R est une marque déposée Legendtime009 , toute copie de ce " Voila =)" pourrait faire l'objet de poursuite judiciare, cependant le "voila " lui n'est pas une marque déposée.
Saviez vous que le " Voila =)" est certifié sain pour la santé et les gencives irritées ?
Up
Up !
Voila =)
Bon maintenant je up que quand y aura le deuxième chapitre.
Super fic , j'adore ! Et bon courage pour la suite
J'adore, et pas besoin d'aérer, je la trouve vraiment super ta fic.
J'attends la suite!
Voilà =)
Tres sympa ta fiction, même si a la fin de ton premier chapitre je n'ai pas pu m’empêcher de penser au donjon de naheulbeuk par contre les dialogues sont un peu irréguliers. Ils manquent un peu de réalisme part moment.
Merci a vous . Pour les dialogues ( et en general ) je suis toujours a la recherche de l'amélioration.
Je sais un c'est moche cpa beau ^^ . Mais il est pas inutile, ce pti up car il est là pour dire que le Chapitre 3 arrivera cet aprem ou ce soir =P .
Bien excusez-moi de l'inactivité mais peut-être ( ou pas) que les deux rochains chapitres seront en ligne ce soir et sinon ben la semaine prociane désolé...
Hey voici le chapitre 3. Désolé pour l"histoire qui avance très lentement ....
Chapitre 3 : B.A.N.D.I.T.S: Bande d'Analphabètes Niais Dangereusement Imbéciles et Très Stupides.
Je marchai sur le chemin depuis pas mal de temps. Pendant les trois pauses que je m'étais accordé il ne m'avait pas échappé que je continuais d'être suivi. Le soleil n'avait cessé sa course et plongeait dans l'ouest lointain. Je me trouvai à une intersection. Par manque de chance, mon départ précipité de Helgen m'avait empêché d'acheter une carte des environs. Trois panneaux de bois usés m'indiquaient la direction à prendre pour se rendre à Epervine, Rivebois ou Blancherive. Je relus la lettre reçue deux jours plus tôt.
« Bonjour monsieur Valtieri. Connaissant votre réputation, je vous serais gré de venir me voir le plus vite possible à l'échoppe du Marché de Rivebois, pour un travail bien payé. Je vous expliquerai les détails sur place.
Respectueusement, Lucan Valerius. »
Quel que soit l'objet de la mission, j'étais confiant quant à mes chances de réussite ; savoir si elle me permettrait de subsister quelques temps, ça, c'était une autre affaire.
Au moment même où je prenais le chemin de Rivebois, quatre individus masqués surgirent. Pour le plaisir, je les écoutai répéter une phrase tellement connue et banale qu'il n'y avait plus d'effet de surprise.
« La bourse ou la vie ! ». Je me rappelai de cette fois où une bien belle femme m'avait abordé dans une auberge douteuse en disant d'un ton langoureux: « Vos bourses ou la vie . ». Charmant souvenir. Mais ces hommes n'étaient pas là pour échanger des paroles intimes. Ils devaient sans doute s'attendre à ce que je hurle de peur et lâche mes biens en courant, ce qui expliqua leur air dépité lorsque je mis ma main droite sur la garde de l'espadon d'acier accroché dans mon dos.
En voyant mon geste l'un d'eux eut le (mauvais) réflexe de foncer vers moi, le poing levé.
Faisons une courte pause.
Un bandit comme nous le savons, n'est pas foncièrement intelligent, le célèbre Gros-Bain des Doigts mis à part. Un scientifique Bréton réputé avait réussi à démontrer que si une personne charge tête baissée, ses capacités cognitives sont réduites de un quart. Si la personne en question est Nordique ou Orc, ses facultés mentales sont encore diminuées d'un quart. En cas de traumatisme lors de l'enfance, on retranche un quart supplémentaire.
Considérant que le Nordique en face de moi avait dû subir un GRAVE traumatisme pour foncer tête baissée, en oubliant sans doute que son épée était encore au fourreau, on pouvait dire que j'avais affaire à quelqu'un de relativement con.
Reprenons.
Je sortis mon épée et d'un geste souple tranchai la main de mon adversaire qui hurla. Je lui enfonçai le pommeau de l'épée dans le ventre, ce qui devrait être à l'origine de ses futurs problèmes gastrique. Il s'effondra avec un léger soupir.
Les trois autres bandits en restèrent sans voix, me fixant bizarrement, sans doute en train de connecter les quelques neurones disponibles pour analyser la scène qui s'était déroulée devant eux. Une fois ce petit exercice mental (qui dura quand même trente secondes ) accompli , ils se regardèrent et poussant un cri de guerre se ruèrent vers moi, l'épée à la main cette fois.
Le jeu était terminé.
A trois contre un j'étais désavantagé aussi décidai-je de rester en position de parade. Les bandits m'encerclèrent. Analysant mes chances d'en réchapper, je rangeai doucement mon espadon dans son fourreau en priant intérieurement que l'un de mes adversaires ne décide pas de m'attaquer. Mes prières ne fonctionnèrent pas et l'ennemi à ma droite attaqua. Avant que sa lame ne s'abatte sur moi je réussis à lui attraper fermement le poignet, à lui faire baisser son arme et de l'autre main je lui mis un violent coup de poing. Il ne me restait que quelques secondes avant que les deux autres adversaire réagissent, alors d'un geste vif je ressortis ma chère épée. Je levai la lame d'un geste expert au dessus de ma tête, adoptant la pose du faucon. Une invitation lancée à mes assaillants pour qu'il attaquent avec un coup d'estoc. Ma ruse marcha et les deux bandits foncèrent sur moi comme pour m'embrocher. Lentement, je basculai la lame pour qu'elle vienne contrer les épées adverses. Avec un grand fracas les armes se rencontrèrent. D'un geste puissant je fis glisser mon espadon de droite à gauche ce qui envoya valser les épées des bandits. L'un d'eux sortit une dague qui ne servit pas car je leur lacérai le buste avant. Ils chutèrent et je dus les achever en leur passant ma lame au travers du ventre.
Je soupirai tristement. Deux morts de plus en Bordeciel. C'est alors que je réalisai que le bandit qui avait fait connaissance avec mon poing n'était plus inconscient. Trop tard. Je vis l'ombre d'un homme derrière moi qui ricanait et se préparait à m'empaler. Étouffant un juron, je me retournai prêt à affronter enfin la mort. Mais une dague passa au travers du corps du bandit qui blêmit en le constatant. Des gouttes de sang m'atteignirent. Le cadavre tomba et mon sauveur émit un rire.
« Ça fait deux fois que je vous sauve la vie. Le prix vient de monter. ». Encore cette elfe... Je savais bien qu'elle me suivait depuis mon départ de Helgen. Ceci dit son aide fut précieuse cette fois. Je la regardai dans les yeux. « D'accord, dis-je, mais avant on a beaucoup de choses à se dire je crois. »
Pour toute réponse elle me sourit.
Chapitre 4 : Autour d'un bon feu de camp.
L'excitation qu'avait engendré le combat était passé depuis plusieurs heures lorsque nous décidâmes de monter un petit bivouac pour la nuit. Pendant les quelques heures de marche qui nous avait resté à faire ni moi, ni Macaria n'avait prononcé une seule parole. Je réfléchissais de mon côté à ce qu'elle pouvait avoir pour me suivre partout. Je suspectais une autre motivation que celle de l'or qu'elle c'était elle même promis. Enfin, lorsque le nuit prit place, j'installai le camp composé uniquement d'un peu de bois ramassé en chemin et de couvertures en guise de lit. Comme oreiller, j'utilisais mon sac. Macaria avait une sorte de sac où elle pouvait se glisser tout entière à l'intérieur, puis qu'elle refermait à l'aide d'un mécanisme étrange. Sans doute de composition purement elfique me dis-je.
Je lança un vague « bonne nuit » avant de m'allonger sous ma couverture et de tourner le dos à celle qui était selon moi l'intruse. Elle ne dit rien et s'allongea à son tour. Pas très longtemps après mon ventre gargouilla et je fis la grimace. Mes provisions s'épuisaient et le temps me manquait pour chasser, aussi dus-je me rationnait un minimum même si nous atteindrons Rivebois demain car je devais rester prudent. Ne trouvant pas le sommeil, je me retournai et essayai d'engager la conversation avec Macaria. La première question me venant à l'esprit fut.
« D'où viens-tu ? ». L'elfe me regarda quelques secondes avant de déclarer : « J'habitais sur l'Archipel de l'Automne il y a peu. Mais des raisons personnelles m'ont forcé à venir trouver refuge en Bordeciel. ». Perplexe, je répondis : « Pourquoi ne pas t'être arrêté à Cyrodiil ? ». D'un ton froid elle rétorqua: « Comme je viens de le dire, j'ai mes raisons et elles ne vous concernent pas. ». Le message était clair. Je décidai de changer de sujet, espérant détendre un peu l'ambiance.
« Pourquoi me suis-tu depuis Helgen ? Je sais que tu veux tes septims mais je te l'ai déjà dis: je n'ai
pas une telle somme. ». Réponse immédiate de mon interlocutrice : « En vous voyant pour la première fois j'ai tout de suite su que vous étiez aventurier. Alors tôt ou tard je récupérerais ce que vous me devez en prélevant automatiquement un pourcentage de tout ce que vous gagnerez. Et je peux être très tenace lorsqu'il s'agit d'argent. ». Elle marqua une pause puis reprit : « A vous maintenant. D'où venez vous, pourquoi ne pratiquez-vous pas la magie alors que vous êtes Bréton, où allez-vous et quels sont vos plans pour le futur ? ».
Je réfléchis sérieusement avant de répondre. Est-ce que je pouvais lui faire confiance ? Après tout elle a tenté de me voler. Mais elle m'a sauvé deux fois la vie alors qu'elle aurait pu se contenter de rafler ce qu'il y avait sur mon cadavre. « Très bien jeune fille. Je suis Thorley Valtieri comme je l'ai déjà dit, j'ai trente ans. Je suis originaire d'un petit village situé à côté de Dagerfall. La magie m'est vite apparue comme ennuyeuse et je préférais apprendre à manier l'épée pour impressionner les demoiselles de mon âge. Je devais avoir dans les dix-neuf ans lorsque à la suite d'évènements tragiques ( Macaria frémit et son regard se fit plus intense ) je fus forcé d'abandonner mon village, d'abandonner Dagerfall, d'abandonner ma vie. J'ai parcouru une partie de Tamriel pendant les dix années suivantes voyageant à pied , à cheval, ou en bateau. J'ai vu les plus beaux endroits du monde connu et les pires horreurs possible. J'ai observé des peuples, leurs coutumes, leurs croyances, partager leurs peurs et leurs espoirs. J'ai trouvé l'amour plusieurs fois et plusieurs fois il me fus retiré. En combattant des monstres ou en affrontant des bandits, j'ai presque toujours triomphé sans jamais m'en enorgueillir ni manquer de respect à mes adversaires. Au nom de dieux ou de régimes politiques j'ai vus les pire atrocités être commises, et dès que cela arrivait je priais pour qu'il n'en y ait pas d'autres.
Des paysages magnifiques se sont offerts à moi, des vallées, des collines, des forets, tous recelaient une part de beauté et de mystère. Des grands monarques aux chefs de tribus, beaucoup m'accueillirent avec bonté. En explorant je me suis forgé une expérience que je n'aurais jamais acquis dans les livres ou en restant coincé à Haute-Roche. J'ai appris des choses sur bien des races. Enfin, n'ayant jamais trop visité Bordeciel, je me décidais à y aller depuis Bruma. Parcourant par monts et par vaux cette région montagneuse et peu accueillante à certains endroits, j'atterris à Helgen au bout d'un mois de visite en Bordeciel. Je cherche maintenant toute sorte de travail et je parcours cette région sans but précis que de pouvoir aider tout en m'enrichissant personnellement. Voilà une partie de mon histoire. »
Un silence agréable s'installa et je laissai à Macaria tout le temps qu'elle voudrait pour réfléchir à ce que je venais de dire. Le feu crépitait doucement et la nature était calme. C'est dans ces moments là que j'atteignais une plénitude presque extrême.
Lorsqu'elle reprit la parole ce fût d'une voix calme et posée. « Je pense que je vous dois des excuses pour la froideur dont j'ai fait preuve. Cela fait deux semaines que je suis en Bordeciel. Je ne connais presque rien ni personne et j'ai du me fier à mon instinct pour survivre. Je continuerais à vous suivre tant que je n'aurais pas eu mon dû, mais n'ayez crainte : je vous serai utile dans vos missions. Je ne suis là que pour l'argent. N'essayez pas de me semer car je vous retrouverais. ».
Des paroles dures dans la bouche d'une personne si jeune. J'acquiesçais et proposai d'aller dormir. Garder cette elfe avec moi pour l'instant ne me déplaisais pas. Je me disais que l'affaire se corserait lorsque j'aurais touché mes premiers gains... Avant que nous nous couchions Macaria lança : « Au fait, mon père était un haut-elfe et ma mère un elfe des bois. Je suis mixte. »
Roo d'accord je craque : UP
Alors voila j'ai un petit souci. Par manque de temps je ne poste plus mais il y a aussi le manque de motivation. Certains auteurs de fic écrivent sans attendre spécialement des " j'aimes' ou n'ont pas besoin de up . Mais moi je suis pas comme ca^^.
Donc voilà si des personnes peuvent me remotiver je leur en seraient reconnaissante =) .