dis Devil les mouvements de Sedris pendant le combat contre la confrérie noire ca le fait trop c est quel mod ?
Sinon pour le fic c 'est toujours bien le conseil qu'une personne t avait donne (excuse moi d avoir oublie ton nom) la personnalité de Sedris ressort mieux et c'est bien romance avec des clins d’œil en plus je dis bravo a une fic comme ça !

Merçi pour la petite leçon d'histoire les gars!au moins je me coucherait moins bète ce soir.

http://www.confrerie-des-traducteurs.fr/oblivion/mods/gameplay/mod_de_poses_deddy.php

Pour les poses.

ps: suite en prépa.

oki merci dommage je croyais que c etait un mod de combat et bonne suite ^^

Bon désolé pour finir ça sera demain, j'ai rencontré un sale problème avec le mod Valenwood et ai du le corriger, ce qui m'a pris beaucoup de temps...

Donc suite demain désolé...

Ah... Les bug, que serait oblivion sans ?

PS: pour les fausses jois

Suite dans quelques heures.

J'espare bien.

yesss bientot la suite ^^ si ca t interesse sur la confrerie des traducteurs y a un mod dans gameplay je crois qui permet de rediger ses propres notes de journal ses livres ses parchemins etc... avec couleurs ecritures et pleins d autres choses differentes ^^

Oui j'ai vu, je m'en servirai peut-être.

BMG mais c'est quoi l'abréviation "fic" ?

Fiction je me tais

A quand la sweet?

Chapitre 37: nouveaux horizons.

Après avoir repris ma route, je gagnai rapidement les collines, et en commençai l’ascension, pensive.

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Je ne comprenais toujours pas ce qu'il venait de se passer, mais fus forcée d'admettre que cette expérience m'avait touché...

A vrai dire, j'étais heureuse pour l'homme, qui avait finalement retrouvé le chemin de sa maison, mais éprouvai également un sentiment de mélancolie. Finalement, cette étrange rencontre signait définitivement mon adieu à Elsweyr.

Sans savoir pourquoi, j'avais également l'impression de perdre quelque chose...Peut-être parce que les bruits de l'homme, caché dans les collines, m'avaient accompagné durant une bonne partie de mon aventure dans cette province. Ils avaient marqué mon arrivée, et mon départ...

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Je fus interrompue dans mes pensées par le soudain changement de décors. Visiblement, j'approchais de la frontière du Val-Boisé. D'après la carte, elle était d'ailleurs au sommet de cette colline.

Je me retournai, scrutant le désert une ultime fois.

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Décidément, cette région me manquerait...

Ne souhaitant pas m'éterniser, de peur d'être frappée par la même nostalgie qui m'avait assaillie au départ de Vvardenfell, je repris directement ma route, avant de m'arrêter de nouveau quelques mètres plus loin.

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Le chameau avait beau être un animal diablement utile dans le désert, il ne me serait d'aucun utilité dans les épaisses forêts du Val-Boisé. De plus, il n'était probablement pas fait pour supporter le climat très différent de cette province. Il me fallait donc le quitter ici.

Heureusement, l'animal, comprenant probablement la fin de notre collaboration, prit finalement le chemin dans le sens inverse, et s'éloigna silencieusement, retournant probablement à son point d'ancrage, comme le faisaient la plupart des montures.

J'eus de nouveau une bouffée de nostalgie en le voyant s'éloigner seul sur le chemin, mais ne pouvait décemment pas me laisser submerger de la sorte par mes émotions. Je repris donc rapidement ma route, en évitant de repenser à ma vie à Elsweyr.

Non, désormais, c'était de l'histoire ancienne. Il fallait oublier, pour mieux continuer.

Le petit chemin de pierres sur lequel je me trouvais m'amena rapidement à un grand pont, enjambant un précipice.

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Je l'empruntai, mais m'arrêtai en son milieu pour consulter la carte et la destination à atteindre.

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Concrètement, il me fallait traverser le Val-Boisé sur toute sa largeur pour rejoindre la côte ouest, la longer, et y trouver un petit village de pêcheurs où m'attendrait Samia.

La traversée ne serait probablement pas trop longue, et me prendrait moins d'une demi journée de marche. Je me remis donc en route, et pris plein ouest.

Hélas, la route de pierres se termina rapidement sur un cul de sac, me forçant à prendre par les forêts.

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Après une bonne heure de marche, je ne pus réprimer un rictus en constatant que les immenses forêts du Val-Boisé n'avaient rien à envoyer au gigantesque désert de Elsweyr en terme de difficulté au nouveau du repérage. En effet, dans une province comme dans l'autre, tout se ressemblait. Il était donc assez difficile d'y progresser sans se perdre, et il fallait fréquemment sortir la carte.

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Je tombai néanmoins sur un petit cours d'eau que j'empruntai sur quelques centaines de mètres pour mieux me repérer.

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Après une bonne heure de marche supplémentaire en ligne droite, j'aperçus enfin un nouveau chemin de pierre, qui plus est au moment même où le soleil se levait, ce qui facilita nettement la suite de ma progression.

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Arrivée sur le haut d'une petite colline, je jetai un oeil autour de moi, et fus consternée de remarquer que le paysage se répétait inlassablement au fil des kilomètres parcourus. Je me surpris même à espérer une petite tempête de sable pour casser cette monotonie...

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Je repris néanmoins mon chemin, passablement blasée.

Après une bonne heure de route supplémentaire sur le chemin, j'aperçus les remparts d'une ville droit devant moi.

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Question de discrétion, je décidai néanmoins de la contourner, et de prendre le chemin des collines sur ma gauche.

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Après une rapide ascension, j'arrivai finalement au sommet d'une deuxième colline, et fut frappée par le spectacle qui m'y attendait.

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Vu d'ici, on pouvait apercevoir la mer, ce qui signifiait que je n'étais déjà plus très loin de ma destination. Mais plus intéressant encore, on pouvait même apercevoir Anvil au loin, là où j'avais débarqué à mon arrivée à Cyrodiil. Était-ce toujours au manoir Gravius que se cachaient Reesa et Mathieu Bellamont ?

Probablement pas, mais en tout cas, cette vision de la ville portuaire au loin me rappela pas mal de souvenirs, même si je n'y étais restée que quelques jours.

J'avais déjà tellement voyagé, mine de rien...

Je repris finalement mon chemin, en entamai la descente vers la côte ouest, à travers la forêt, pour finalement arriver en bord de mer après quelques minutes.

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Je jetai un rapide coup d'oeil à la carte. D'ici, il me fallait longer la côte vers le sud, pour finalement atteindre le village situé quelques kilomètres plus loin.

Je continuai donc ma route vers l'endroit indiqué, que j'aperçus finalement après une petite heure de marche.

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Vu d'ici, le petite village semblait calme. Néanmoins, j'en fis rapidement le tour pour me trouver une position en hauteur, et mieux observer les environs, au cas ou...

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Apparemment, rien d'anormal. Juste un petit hameau retiré...

Je quittai mon rocher, et descendis à même le village.

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Bien, il était à peine dix heures du matin, le voyage avait été plus rapide que prévu. Il me fallait maintenant trouver Samia.

La sweet après la PUB

encore bravo et félicitations si tu veux cherche le mod deadly reflex tu nous fera des combat a cheval (en akatosh mount ca doit clasher ^^) continue ca continue bien

Rien à dire, comme d'hab...

A quand la suite ?

Elle arrive mais je suis parti mangé et j'ai regardé une partie d’Amélie poulain entre temps donc j'ai perdu une petite heure

Chapitre 38: comme au bon vieux temps...

Le village n'était pas très grand, j'en fis rapidement le tour.

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Néanmoins, aucune trace de Samia dans les environs, ce qui m'inquiéta assez rapidement. En effet, la lettre ne m'avait pas clairement indiqué de la rejoindre, mais plutôt de regagner sa planque au Val-Boisé, d'établir un contact avec elle, pour ensuite seulement attendre les ordres.

La manière dont était tourné le contenu de la lettre me fit rapidement prendre conscience que Samia n'était "peut-être" plus là, et qu'elle n'avait "peut-être" plus donné signe de vie depuis quelques temps.

Si "ils" étaient surs qu'elle était toujours là, pourquoi ne pas m'avoir simplement demandé de la retrouver elle ?

Cette constatation me mis rapidement mal à l'aise, et me tracassa même de plus en plus au fur et à mesure que je parcourais le village à sa recherche.

Et si il lui était arrivé quelque chose ? Le courrier du cheval noir avait bien mentionné la mort de deux agents de la Morag Tong durant les représailles de la Confrérie Noire, et le silence de Vivec vis à vis de ces évènements ne m'avait clairement pas rassurée...Et si Samia était finalement l'une des deux à être tombée ?

Alors que je tournai pour la troisième fois au coin du même bâtiment durant ma recherche, quelqu'un se jeta sauvagement sur moi, et m'embrassa langoureusement sur la bouche.

J'envoyai valser le malotru d'un bon coup de coude, et me mis à cracher par terre, dégoutée, tout en dégainant mon katana.

-Olala ! Tout ça pour un petit bisous ! T'es vraiment coincée ! Moi qui était si heureuse de te revoir enfin ! Me lança Samia, qui malgré son air goguenard, recula tout de même d'un bon mètre pour sortir de l'allonge de mon katana, au cas ou...

Même si je connaissais désormais la Bosmer sur le bout des doigts, et la savais parfaitement capable de ce genre d’âneries, son geste eu tout de même le mérite de me dégouter, ce qui la fit glousser de plus belle.

-Cela dit, malgré ton caractère rugueux, tes lèvres sont d'une douceur incroyable et...

Je la stoppai directement dans sa tirade en lui expliquant que le moindre mot qui sortirait encore de sa bouche à ce sujet vaudrait un tranchage de gorge dans les règles de l'art.

-Bon bon très bien. Répondit Samia d'un air moqueur, alors que je rengainai mon katana, et la regardai un peu mieux.

En réalité, j’avais à mon tour une belle opportunité de me moquer d'elle.

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Premièrement, Samia avait grandi de quelques centimètres, et arrivait désormais presque à ma taille. Continuer sa croissance à dix-huit ans étant assez rare, j'en profitai pour complimenter la Bosmer sur le bon déroulement de sa puberté, ce qui me valut un grincement de dents en guise de réponse.

Deuxièmement, son teint était beaucoup plus foncé que lors de notre séparation, ce qui, couplé à la proximité des plages, m'amena directement à la conclusion que la Bosmer avait visiblement passé pas mal de temps à faire bronzette au bord de la mer, ce qui n'était finalement pas très glorieux pour un assassin d'élite de la Morag Tong.

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Troisièmement, sa robe était affreuse !

-Toujours aussi cinglante ! Mais ça te rend d'autant plus attir...Bon bon ça va je me tais. Et si on allait chez moi ?

Sur ses mots, elle m'entraina dans une rue un peu isolée, et me poussa à l'intérieur d'une petite maison lambda.

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Bien qu'un peu vieillot, et surtout presque entièrement vide, l'intérieur ne manquait pas de charme.

-Oui j'ai déjà tout rangé, et "ils" sont venu reprendre le reste. Lorsque l'ordre arrivera, je n'aurais plus qu'à enfiler ma tenue et à prendre mon paquetage et on pourra directement partir. Me lança Samia en réponse à mon regard interrogateur. Elle se plaça ensuite face à moi, et me regarda quelques secondes dans les yeux, silencieuse.

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-C'est quoi ça ? Questionna-t-elle enfin en pointant mes gants.

Je lui montrai rapidement ma lame secrète, sous son regard hébété.

-Et ben ça alors...Bon et maintenant, si tu me racontais ce qui te tracasse ? Me répondit la Bosmer, ce qui m’arracha un rictus.

En réalité, et malgré mon caractère renfermé, elle me connaissait peut-être encore mieux que je ne la connaissais elle. Il est vrai que durant notre année de vie commune, nous avions fini par établir des liens très étroits, à ne rien nous cacher, à partager tous nos secrets. Et même si ma froideur naturelle aurait pu être un frein à ce genre de relation fusionnelle, sa lucidité et son ouverture parvenaient facilement à compenser. En gros, il arrivait souvent qu'elle devine mes confidences sans même que j'ai à les formuler. Ou du moins savait-elle me décrisper, et m'amener plus facilement à raconter mon secret.

Après quelques secondes d'hésitation, je lui racontai enfin l'histoire des tempêtes de sable, des rêves, du cimeterre, et de l'étrange rencontre.

Elle resta quelques secondes silencieuse, ce qui me fit presque instantanément regretter ma confidence, tant j'avais l'impression qu'elle ne me prendrait pas au sérieux. Néanmoins, elle prit enfin la parole.

-Je te crois...Mais c'est tout de même très étrange. D'après ce que tu me dis, ça semble lié aux tempêtes...Tu en as parlé à Eris ? C'est lui le spécialiste après tout...Mais c'est vrai qu'il vaut mieux ne pas lui en parler en fin de compte, il risquerait l'arrêt cardiaque. Gloussa Samia.

Nous passâmes le reste de la journée à nous raconter nos aventures respectives, et à examiner les divers reliques que nous avions rapportées l'une et l'autre de nos divers voyages.

Visiblement, la vie de Samia au Val-Boisé avait été beaucoup plus monotone que la mienne à Elsweyr, du moins jusqu'à la rencontre avec la Confrérie Noire. Après avoir assassiné sa cible, elle s'était faite prendre en chasse par deux autres assassins, et avait été forcée de les tuer sur la place centrale d'une ville située à quelques kilomètres au sud d'ici, ce qui lui avait valu, contrairement à moi, un rejet pur et simple de la part de la population locale. Elle avait alors du changer de planque, et se réfugier ici, dans ce petit village isolé.

Concernant les reliques, elle avait simplement ramené une étrange épée, visiblement forgée dans de la pierre de Welkynd, durant l'exploration d'une ruine Aleyde.

Alors que la nuit tombait, et que nous passions à table, je la questionnai à propos des autres membres, mais elle ne semblait pas en savoir beaucoup plus que moi.

-Non, aucune nouvelle de Urven, et pour les autres, rien non plus.

D'après le courrier du cheval noir, l'assassin de Hauteroche, soit Evos, avait sauvagement démembré ses trois poursuivants. Il était donc fort probable qu'il soit encore en vie. A vrai dire, il ne restait plus tellement de choix concernant les autres...Il ne restait que Tanel, et Gulena en activité dans les autres provinces, et l'article avait mentionné deux morts...

-D'après l'article d'aujourd'hui, ils n'ont pas retrouvé les corps des assassins de la Morag Tong, contrairement à ceux de la Confrérie Noire. Fit remarquer Samia. Peut-être qu'ils n'ont été "que" capturés...

Capturé par la Confrérie Noire...C'était pire que mourir, et Samia semblait le savoir aussi bien que moi vu son air embarrassé.

Nous passâmes le reste de la soirée sans trop nous parler. De fait, la conversation à propos de nos frères et soeurs de la Morag Tong nous avait assez bien minées, l'ambiance maussade le montrait clairement.

Nous nous couchâmes assez tôt, et faute d'un lit double, j'entrepris de dormir par terre.

-Non non non ! Tu viens ici avec moi ! On va se serrer ! Me lança Samia d'un air faussement amusé.

La vérité, c'est qu'en plus d'être très affectueuse, la Bosmer avait une sainte horreur de dormir toute seule, qui plus est dans les moments difficiles. Son appel n'était pas tant un signe d'affection qu'un véritable besoin en ces temps douloureux, où il fallait encaisser la perte de nos frères et soeurs, et constamment changer de vie au gré de nos affectations.

Ainsi, en dépit de son exubérance et de son éternelle bonne humeur, Samia cachait en réalité une angoisse et un manque d'assurance constants, et avait réellement besoin de m'avoir à ses côtés, là où l’inverse n'était pas forcément vrai, même si je l'aimais beaucoup malgré tout.

De fait, malgré mes quelques états d’âme, notamment lorsqu'il me fallait quitter un endroit en abandonnant tous mes repères, et de nouveau repartir à l'aventure, j'étais beaucoup plus indépendante que la Bosmer sur le plan sentimental, et avais clairement appris à me passer des gens.

Probablement nos éducations diamétralement opposées...Nous avions beau avoir grandi toutes les deux dans la rue, la vie à Morrowind restait bien plus rude que celle de Cyrodiil...

Finalement, je me glissai dans le lit, à côté de Samia, qui vint presque instantanément se coller à moi. J'avais beau avoir passé beaucoup de nuit à ses côtés, cette affection débordante avait toujours eu le don de me gêner un peu. Néanmoins, j'avais finis par m'y faire, et par accepter son caractère si spécial.

Comme d’habitude dans cette circonstances, elle s'endormit en quelques minutes à peine, et je restai de mon côté éveillée pendant encore quelques temps, à réfléchir à la suite des opérations.

Qu'aurions nous à faire à partir de maintenant ? Nous faudrait-il regagner Cyrodiil ? Ou partir vers d'autres provinces ? Que faudrait-il faire à propos de la Confrérie Noire et de nos collègues disparus ?

Nous le saurions bien assez tôt, et après quelques minutes de réflexion, je finis par m'endormir à mon tour.