Bon voilà, je reposte ma fic ici vu que l'on change de forum.
Je laisse comme c'était mais je verrais si je ne modifierai pas les chapitres, surtout par leurs longueurs.
Bonne lecture.
Prologue : Sangoku était à terre : les coups de son compère Thalès l’avaient gravement blessé. Il tourna la tête à droite et aperçut les corps inanimés de Chaozu, Tenshinhan et Yamcha. Heureusement, les serviteurs de Thalès étaient hors de combat aussi.
Sangoku leva la tête et vit Krilin et Piccolo se prendre chacun une vague déferlante qui les assomma. Désormais, il ne restait plus que Sangohan qui luttait avec l’énergie du désespoir.
- Courage mon fils ! pensa Sangoku. Tu dois le battre !
Le jeune sayen envoya un kikoho sur son vil ennemi qui para facilement avant de plonger sur son adversaire. Au corps-à-corps, Thalès était plus fort. Il nargua Sangohan :
- C’est tout ce dont tu es capable ? Je suis déçu ! Si j’étais ton mentor, tu serais infiniment plus fort !
- Jamais ! Je ne peux pas m’allier avec un monstre comme toi !
Et la fureur de ses coups décupla. Thalès était en difficulté mais il était très rusé : il attrapa la queue de Sangohan et ce dernier devint inoffensif. Le maléfique Sayen dit :
- Je ne peux pas t’abandonner et en plus, tu me plais. Je vais t’offrir un cadeau qui changera ta vie !
Sur ce, il sortit un fruit maléfique de sa poche.
-
Ne fais pas ça ! implora Sangoku, qui avait compris les conséquences que cet acte aurait.
Lorsqu’il avala le fruit, le fils de Carot poussa des cris de douleurs. Sa peau devenait plus sombre, ses traits moins naïfs et il prit quelques centimètres. Son père sentit sa puissance.
- Il est devenu le plus fort ! Allez, élimine Thalès !
Hélas, ce n’était plus le petit et gentil Sangohan : c’était un guerrier de l’ombre désormais. Il portait une marque sur le front : un T bleu foncé. Pour tester sa puissance, Sangohan envoya un Kaméhaméha sur l’Arbre aux Fruits Maléfiques planté il y a quelques jours. Il fut brûlé en un instant ! Thalès s’écria :
- Ce n’était pas nécessaire !
Sangohan lui lança un regard noir et le pur sayen reconnut, forcé :
- En même temps, nous n’en avions plus besoin… Partons, Sangohan