Super, content que les deux forums se soient réconciliés si vite !
Merci de ta fidélité, et bonne continuation à toi.
Ketch, n'en soit pas si sûr.
Ah quand la sweet?
Bon, je vais ENFIN pouvoir poster la fic;
N'étant pas sur mon ordi, je pouvais pas continuer l'histoire, mais mes parents m'ont enfin envoyé la fic par mail !
Donc, la suite demain, assurément !
Après une interminable attente, je post ENFIN la suite de ma fic !
Pas d’illustrations, je suis pas chez moi et j'ai pas de scanner...
Voilà, bonne lecture !
CHAPITRE 6
CHAPITRE 6
Le jour se levait sur le Royaume Champignon, et le soleil perçait parmi les nuages. Le ciel était rosâtre, et une douce chaleur se répandait à travers le pays. Notre petite troupe s’était réveillée, et s’était mise à la recherche de Mario. En effet, il avait subitement disparu sans laisser aucune trace. Bowser avançait de bon pas, il avait hâte d’éliminer les ombres. Goomby, somnolant, était traîné par Masskou qui croulait sous le poids de son coéquipier et Parapounet était coiffé d’un étrange chapeau blanc. Après une demi-heure de marche, Parapounet repéra une vague forme dans le lointain, sur le haut d’une falaise. En s’approchant, ils découvrirent Mario. Il arborait une mine dépitée, et son regard fixait vaguement l’horizon. Le plus troublant fut que son ombre paraissait s’effacer. Il avait passé une nuit éprouvante, et n’avait pas envie d’en parler. Il redoutait la nuit prochaine, et profitait de la journée dès le petit matin.
- Vous voilà enfin ! Ca fait une heure que je vous attends. s’exclama Mario.
- Quoi ?! riposta Bowser. Tu es parti sans laisser aucune trace, et nous t’avons gentiment cherché pendant tout ce temps.
- J’avais écrit sur un papier que je vous attendais à la falaise Cheep-cheep, ici même.
Tous les regards se tournèrent vers Goomby, et sa bouche dessina un grand sourire.
- Pour une fois, je n’ai rien fait !
- Bien sûr, on te croît ! dit Mario.
- Euh… en fait… je crois que… bafouilla Parapounet.
- Ton chapeau. Où as-tu trouvé ton chapeau ? demanda fermement Bowser.
- Eh bien, avec cette chaleur je me suis dit que… le papier était sur la table alors... pourquoi pas en faire un chapeau ... ?
- C’est bon, on a compris. Je vais te tuer abruti ! cria Bowser en empoignant fermement Masskou.
Il l’étrangla et le secoua dans tous les sens, puis le jeta sur son dos tel un sac de paille. Il s’approcha de la falaise, et jeta le pauvre Paratroopa dans le vide. Comme il ne savait pas encore bien il atterrit avec grand bruit au pied de la falaise. Il se releva, et remonta avec grand peine, pour finalement s’écrouler devant Mario.
- Merci Mario…. Ton chapeau… m’a sauvé la vie… sans lui je serais mort écrasé…
- Un jour je vais vraiment le tuer, et il va rien sentir venir ! fulmina Bowser.
- Bon, mettons-nous en route vers la fameuse forêt, nous commencerons la recherche des herbes de lumière par là.
- - Quelle forêt ? Et c’est quoi cette histoire d’herbe ? demanda faiblement Parapounet.
- T’avais qu’à écouter au bon moment ! explosa Bowser. Je vais te… t’écarteler, puis je vais t’arracher la tête, te brûler, t’ouvrir le ventre et bousiller tout ton intestin !
- Non merci, j’y tiens !
Bowser se mit à courser Parapounet, qui dans sa veine tentative d’évasion trébucha sur une énorme racine et s’écroula, face contre terre. Après s’être excusé, Parapounet et ses acolytes partirent vers l’inconnu, en quête de l’emplacement de la Forêt Frou Frou.
Après une éprouvante journée de marche ponctuée des siestes de Goomby et des tortures de Parapounet, nos cinq amis firent halte à un petit village portuaire, « Fort Brouillard ». En effet, ici on ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. Goomby avait une faim de loup, malgré la demi-tonne de sandwich gruyère-jambon qu’il avait ingurgité pendant la route. La ville était relativement petite, mais ils mirent quand même une bonne demi-heure à trouver une auberge convenable. La moitié de la ville était en pleine beuverie ; apparemment un Toad avait gagné un jeu local, c’était sa soirée et presque toutes les auberges de la ville étaient remplies.
L’auberge avait un fort étrange nom : « Chez le Père Horace ».
Ils firent tinter une Clochette en entrant, et fut accueilli par un aubergiste à l’air pataud. Ce dernier, en voyant Mario et Goomby, blêmît ; en effet, l’aubergiste en question était celui qui les avait attaqués à côté du lac. Malgré tout, il prit un air accueillant et servit à boire à ses clients.
- Je t’ai déjà vu quelque part… remarqua Mario en désignant l’aubergiste.
- Qui ? Moi ?! s’écria le pauvre Toad, pris de peur.
- Oui, c’est toi qui nous a attaqué, l’autre soir ! s’exclama Mario.
- Désolé… je crois que j’avais trop bu… pourtant je fais toujours très attention avec l’alcool d’habitude…
- Je comprends. Tu es tout excusé. Connaitrais-tu quelqu’un qui pourrais nous indiquer l’emplacement de la forêt Frou Frou ?
- Quoi ?! Vous voulez aller là-bas ? Mais c’est un endroit très dangereux… Il paraît que des bruits bizarres se font entendre la nuit… Certains pensent que ce ne sont que des animaux, mais la majorité penche pour une invasion extra-terrestre dont la base se situe là-bas…
- Nous irons donc régler ce problème une fois pour toutes. Dit Mario.
- Bon, comme vous voudrez. Dans le vieux port, se situe un grand phare, le plus ancien de tout le Royaume. Avant, il était très prisé mais depuis quelques temps la brume s’est abattue et depuis plus personne ne vient. Tout le monde fait faillite. Heureusement, ce soir, grâce à notre jeu, le « Fort Trouillard », on peut renflouer nos caisses. Enfin, revenons à nos moutons. En haut de cette tour, se trouve un vieux sage, le grand Horace. C’est lui qui tenait cette auberge et qui conseillait les voyageurs, mais il me l’a légué, en fait j’étais son apprenti ! Il saura vous indiquer l’emplacement. de la Forêt Frou Frou.
- Merci beaucoup pour toutes ces informations. Nous allons passer la nuit ici.
- Bien, bonne nuit à vous, donc !
Chacun se retira dans sa chambre, et le soleil se coucha derrière la mer, d’une pâleur effrayante. Mario était angoissé à l’idée de passer une nouvelle nuit, seule dans une chambre sans issue. Nous ne savions rien de sa nuit précédente, mais apparemment il n’en était pas revenu indemne ; son ombre s’effaçait progressivement. Impossible de fermer l’œil, il décida donc de prendre un peu d’air frais, et ouvrit sa fenêtre. Etrangement, la brume s’était complètement dissipée, et une atmosphère surnaturelle pesait sur la petite ville portuaire. Ce n’est qu’après quelques minutes que Mario remarqua un étrange détail : la lune était rouge. Comme la nuit dernière. La température chuta brutalement. La flamme de la cheminée vacilla, puis s’éteignit. Tout à coup, la porte se mit à grincer. C’était tout bonnement impossible, car elle était fermée à clé, mais elle s’ouvrit. La créature réapparut, encore plus grande qu’avant. Désormais, le haut de son torse se fit entrevoir. Sur son dos, de grands pics pointus luisaient. Ils faisaient au moins trois fois la taille de ceux de Bowser, et auraient pu embrocher l’énorme Vito de la brigade Toad sans problème. Soudain, il se mit à parler. De sa gueule bavante ne sortaient pas des mots, mais plutôt des chuchotements plaintifs entrecoupés de cris d’agonie. Puis, une voix distincte se fit entendre. Elle était rauque, et faiblarde, mais effrayante.
- Je suis… le mal qui sommeille en toi… En vérité, tous ces gens, tu les déteste. Je suis ton ombre, les ténèbres qui obscurcissent ton cœur… Chaque nuit, je monte en puissance… En toi sommeille le plus puissant d’entre tous… Tu ne peux rien faire contre mon armée… Bientôt… nous nous vengerons...
Soudain, la créature se dissipa, le feu se ralluma et la température remonta. Pourquoi avait-elle fuit ? Mario était encore sous le choc, quand Masskou entra dans brusquement dans la chambre.
- Mario ! Mario ! s’écria-t-il avec désespoir.
- …
- Tu m’entends ?!
- Je… répondit-il faiblement.
- Mais où est la cuisine ?!
- Que… quoi ?
- J’ai une faim de loup, et quand j’ai le ventre vide impossible de dormir ! s’exclama-t-il, en se massant le ventre.
- Tu… tu l’as vu ? s’enquit Mario.
- Qui ça ?
- Le… le monstre…
- Tu délires, mon pauvre ! Bon, je vais me remplir la panse, à plus !
- Oui… c’est ça…
Masskou referma doucement la porte de la chambre, puis se dirigea vers les cuisines. Mario songea à l’étrange mésaventure qui venait de lui arriver. Le monstre aurait-il eu peur de Masskou ? Et si oui, pourquoi ? Toutes ces questions qui trottaient dans la tête de Mario finirent par l’endormir, et il passa une nuit sans encombres. Le lendemain, nos amis traversèrent la vieille ville, et traversèrent un épais brouillard pour arriver au pied du phare. Il était très haut, et nos héros n’en apercevaient pas la pointe. Ils s’engagèrent dans un long escalier en colimaçon, et, arrivés en haut, ils poussèrent une lourde porte de bois qui donnait sur une petite salle décorée de poissons morts et de tableaux marins. Un vieux Toad était affalé sur un rocking-chair, et il se balançait lentement de droite à gauche. Il avait une longue barbe qui traînait sur le sol, et paraissait très vieux. En voyant la petite troupe arriver, il se leva et se mit à parler d’une voix grave :
- Je vous attendais. Parmi vous cinq, se trouvent les trois élus, qui doivent trouver les trois herbes de lumière dans trois lieux dangereux. Il vous reste encore huit jours avant l’éclipse totale, et vous allez chercher la première herbe dans la Forêt Frou Frou.
- Comment savez-vous tout ça ?! S’exclama Masskou qui avait enfin compris pourquoi il était là.
- Je suis le vieux Horace, ancien un leader de la Révolution. Tel Sounion, j’ai combattu les ombres, mais contrairement à lui, je n’ai rien perdu de ma forme originelle. Ah, ça ne me rajeunit pas ! Ca doit être mon jeune apprenti qui vous a envoyé ici. Bon, je vais vous indiquer l’emplacement de la fameuse Forêt. D’ici, il faut au moins deux jours de marche, mais vous n’aurez pas le temps d’y aller. Je vais donc vous prêter mon avion, construit par le Professeur K.Tastroff en personne ! Avec ça, en deux heures vous y êtes. Les coordonnées sont inscrites, vous n’avez plus qu’à les suivre sur le tableau de commande. Bonne chance, et attention, on dit que des martiens vivent là-bas... Mais je n’y crois pas un mot.
- Ouah ! s’exclama joyeusement Bowser.
- J’y crois pas ! Vite, allons-y ! dit Mario.
- Bonne chance, les jeunots !
Ils redescendirent le phare, et soulevèrent une bâche qui entourait le petit avion. En fait, c’était plus une machine volante quelque peu défectueuse qu’un avion de ligne, mais ils acceptèrent quand même l’offre. Ils décollèrent avec difficulté, puis parcoururent les airs à une vitesse plutôt basse. Soudain, un magnifique jet argenté les intercepta. Il portait le logo « B.G ».
- Stop ! La brigade Toad vous a enfin retrouvé. Vous allez payer ! s’exclama Toador, le robot qui faisait partie de l’élite. Mon canon à rayon plasma va vous désintégrer !
Il appuya sur un petit bouton rouge, et un canon pointa la petite bicoque de nos héros. Un rayon multicolore fut projeté et on ne vit plus trace de nos amis.
Voilà, c'est peut-être un peu long, si vous voulez des chapitres plus courts dites-le moi !
Enjoy !
Des coms please !
Effectivement, plus court est l'idéal
J'ai quand même deux question:
1] Tu t'es trompé dans le début et pour 2 fois
- C'est Parapounet qui portait le chapeau papier et pas Masskou
- Tu nous à dit "Fort Brouillard" et après "Fort Trouillard", faut savoir
2] Ne cerrai-ce pas Bowser l'élu, mais oui Masskou ?
Sinon, très bien, depuis le début de cette fic, je me suis dit "Wouaw"
Continu + SWEET
Merci BD, désolé pour la taille du chapitre, mais je savais pas où le couper en deux, alors j'ai fait un gros pavé.
1]
- C'est bien masskou qui portait le chapeau, désolé, j'ai fais une coquille.
- J'ai fais une autre coquille, désolé, j'ai du mal me relir.
2] Peut être, sait-on jamais ? Vous verrez tout ça au dénouement.
M*rde, je deient curieux !
Je veut savoir avant tout le monde !
T'es tellement curieux que tu sais plus écrire...
"veut" prend un "x" à la première PS.
M'kay, prof de français
Très bien , c'est peut-être long mais pas dérangeant avec une qualité comme celle-ci .
Les erreurs relevées on déjà été mentionnées par BD, et je pense également que Bowser sera un des élus, certainement avec un abruti de la bande GPM .
Sounion... Ce nom me dit quelque chose... N'apparaît-il pas dans M et L VACDB ?
Oui, Sounion est une vieille tortue décrépie qui fait des puzzle.
J'avais pas d'idée de nom, alors j'ai pris celui-ci.
Père Horace vient de Père Fouras.
Encore des coms !
Pour meubler son appartement, non ?
Oui...
Concernant les 3 élus, je ne vais encore rien dire...
Mais ce n'est pas Sounion qui a perdu sa forme : c'est Norius, enfermé dans la bibliothèque de Bowser
T'as raison.
Mais alors, où est-ce que j'ai écris Sounion ?
C'est peut être parce que tu as pensé a lui alors au lieu de mettre Norius tu as mis Sounion.