Rien que le nom de ce sujet me dit que tu plagie sur une vieille histoire: o))

Je plagie sur rien du tout.
Demande aux autres, je me suis inspiré de nombreux livres, en particulier pour mon style et pour parodier certains chapitres, mais ma fic est, je le crois, unique.

Sinon, déjà 200 posts, c'est bien, encore 10 fois ce nombre et je rejoins SL.

En tout cas moi, J'ATTEND LA SUITE !!! J'EN PEU PLUS D'ATTENDRE

Bah attend quand même, mon coco. :ha:p

~ Les lingettes rince-doigts, c'est comme le PQ: on s'essuie avec, mais mieux vaut ne pas les mettre dans la bouche après ~

Proverbe copyright by me .

Vraiment une fic bien unique vivement la suite

ps :Tu ne mets pas la suite ?

La suite entre jeudi et dimanche, je fais le pont et j'ai plein de temps !

OUIIII c'est pour bientot

J'ai tous lu

Très bonne fic, rien à dire, bravo

Euh ... Elle est ou la suite ?

Y a pas a dire ici c'est ,mais alors vraiment .

C'est pas faux.

Préférez la suite aujourd'hui avec un risque de très longue attente derrière, ou que je m'avance encore d'un ou deux chapitres ?

Je m'avance d'un chapitre, alors.

Tu poste dès que tu as fini. Au fait j'ai du tout relire car j'ai presque tout ouublié. Ah oui encore une chose DEPECHE TOI STP

Mais ou est passé la suite. Je cherche la suite, je la cherche... Mais pas trouvée.

Tu ne l'auras pas avant vingt jours bro.

Je reprend les choses en main.

CHAPITRE 8

Le roi des Koopas ne savait plus quoi faire. La lave incandescente montait, perturbée par le vent violent s’engouffrant dans le cratère. Un second flash aveugla Bowser, il tituba, et trébucha. Il manqua de chuter dans le magma, mais il se rattrapa in extremis au rebord de la corniche. D’où venait cette aveuglante lumière ? Encore un flash. Bowser se couvra les yeux, mais il repéra l’origine de la lumière. De l’autre côté du ravin, se tenait un tunnel illuminé d’un étrange reflet. Entre lui et Bowser, il y avait trois blocs de pierre qui dépassaient du mur. Il n’avait que trois sauts à effectuer pour atteindre l’autre corniche, mais s’il tombait, il serait roussi en moins d’une seconde. « Je peux le faire ! » pensa-t-il. Il était attiré par cette lumière blanchâtre, comme mu par une énergie venue d’on ne sait où. Il effectua un saut vertigineux, et atterrit sur la première plateforme, perchée au-dessus de la lave. Il ne disposait que d’une poignée de minutes avant d’être englouti. Il jaugea la distance, prit sont élan, et effectua un second saut. Il atterrit de justesse, mais dégringola, et chuta en arrière. Il rétablit son équilibre au dernier moment, puis se remit en route. Il lui fallait faire un ultime saut, de plusieurs mètres de longueur. Il ferma les yeux. L’air brûlant tailladait son visage, son cœur cognait contre sa poitrine. Il s’élança, et se propulsa avec aisance sur la corniche. Incroyable ! Il avait réussi l’impossible. Il n’avait plus que quelques mètres à parcourir. Il ne savait pourquoi, mais cette lumière représentait son dernier espoir. Bowser avait confiance. Il marcha vers le cœur de la petite grotte, et découvrit une chose incroyable. L’objet de toutes les convoitises, le Graal de Mario. Une herbe de Lumière. Elle était resplendissante, ce n’était pas à proprement parler une herbe mais une fleur d’un blanc immaculé, avec une petite tige verdâtre et de longs et fins pétales blancs eux aussi. Il songea que le pouvoir était à lui, qu’il pourrait vaincre Mario et contrôler les Ombres, qu’il serait enfin le Maître. Perdu dans ses rêves, il ne vit pas l’évènement terrible qui se profilait derrière lui. Le sol tremblait, la chaleur était accablante, et un bruit sourd perçait les tympans de Bowser. La lave déboulait vers lui à une vitesse folle.

Parapounet marchait déjà depuis plusieurs heures et il était épuisé. Il songea à trouver un ruisseau car ses réserves d’eau commençaient sérieusement à manquer. Au fur et à mesure qu’il s’enfonçait au cœur de la forêt, les arbres devenaient plus grands, plus impressionnants. Ils atteignant parfois plusieurs dizaines de mètres, si bien qu’ils masquaient de plus en plus le soleil. Le sol devint boueux et le sentier se fit plus sinueux. Le Paratroopa avait l’étrange impression d’être observé, et il sentait un profond malaise grandir en lui. Désormais, le soleil ne perçait plus. Il mourrait d’envie de courir dans la direction opposée et de rentrer chez lui, mais il devait retrouver Mario et les autres. Soudain, il fut pris d’un léger tremblement. Rien d’alarmant, mais sa vue se brouilla et des spasmes l’agitèrent. Les arbres tournoyaient tout autour du Paratroopa, qui semblait minuscule et chétif à côté de ces chefs d’œuvre de la nature. Ils étaient plus sombres que jamais, Parapounet était effrayé. Il avait l’impression milles paires d’yeux malveillants l’observaient. Le vent s’écrasait contre son visage, lui procurant un intense picotement qui le faisait atrocement souffrir. Il se sentait si faible, perdu dans un lieu inconnu et livré à lui-même…
Un silence pesant s’était installé, et il commença à courir, s’enfonçant encore plus profondément dans la forêt. Les arbres s’affolaient autour de lui, voulant le fouetter de leurs nombreuses branches effilées. Des gémissements plaintifs sortaient de bouches des cris sinistres résonnaient dans sa tête. Il eut une atroce vision et se vit gisant par terre dans une mare de sang. Mario se tenait à côté de lui, un couteau à la main, essuyant son visage tâché du sang de Parapounet qui giclait encore d’une profonde entaille dans le ventre. Puis, Mario se démultiplia, et des centaines de clones planaient en tous sens. Des centaines de fois il revit la scène, terrifiante. Tous ses amis étaient aussi déposés par terre, le corps meurtri, et les membres déchirés.
Soudain, il se réveilla, couvert de sueur. Il était affalé dans la boue, mais bien vivant. Il se releva péniblement, mais fut violemment rejeté. On lui plongea la tête dans le liquide gluant. Une étrange créature le tabassait, lui assénant nombre de coups de pied dans les côtes. Puis, elle sortit une lame effilée et brillante, qui se recourbait légèrement à son bout. Le genre d’épée qui vous tranche avant que vous ayez pu dire un mot. Et c’est ce qui arriva à Parapounet. La créature au regard noir lui plongea la faucille dans le ventre, ouvrant une blessure béante qui saignait abondement.

Parapounet était mort.

De son côté, Mario s’en sortait très bien : il avait des réserves d’eau et se dirigeait vers l’emplacement de l’Herbe de Lumière. Une seule chose lui posait problème : cette histoire d’extra-terrestre. Il était vrai que depuis qu’il s’était remis en route, il avait constamment l’impression d’être observé. Les buissons de ronces et les épais feuillages bougeaient un peu trop à son goût, mais il faisait mine de ne rien remarquer. Il était aux aguets, prêt à faire face au moindre danger. Malgré les précautions qu’il avait prises, Mario se sentait plus vulnérable que jamais, il pressa donc le pas. Quelques minutes plus tard, un étrange ronronnement résonna à travers le bois. A mesure que Mario avançait, le bruit s’accentuait, allant même jusqu’à faire trembler les arbres. Un sentiment d’angoisse envahit notre moustachu, mais il garda son calme, et avança avec plus prudemment que jamais. Il suivait un petit sentier. Le chemin de terre aboutissait dans une clairière parsemée de fleur. Des roses. Violettes, avec un éclat noir qui brillait au fond de chacune d’elles. Comme dans chacun d’entre nous. A l’extérieur, nous pouvons être bons, attentionnés, mais au fond de chacun de nous sommeille les ténèbres. En songeant à cela, Mario se souvint de son double maléfique qui sommeillait en lui, mais il chassa cette idée pour se concentrer sur la route. Le bruit reprit, plus terrible encore, et Mario se mit à courir le long d’une bordée de pins. Il parvient essoufflé au cœur de la Forêt. L’air qu’il respirait, le brouillard argenté qui régnait, tout lui rappelait des souvenirs. Mais quoi donc ? Et ce bruit incessant qui lui déchirait les tympans était des plus étranges. Il remarqua un réceptacle qui se dressait au centre de la clairière il s’en approcha, mais fut soudain projeté violemment en arrière par une force invisible. Il se cogna contre un arbre, se releva péniblement et se massa le crâne. Il s’approcha du « mur » invisible et découvrit que c’était un champ magnétique qui protégeait quelque chose. Quelque chose d’énorme, à en croire la longueur du mur.
Soudain, le ronronnement se transforma en déchirement, et une faille courut le long de cet étrange mur. Il s’approcha de la faille, pour l’étudier de plus près. Soudain, elle se fissura, laissant place à une ouverture béante qui s’engouffrait dans une sorte de grotte très sombre. De cette ouverture, sortit une créature étrangère à la Terre. Elle ressemblait vaguement à un Toad, mais était de couleur violette. Des yeux noirs et cupides rentrant dans des orbites creux. Elle portait une combinaison blanche, et avait un étrange pistolet dans chaque main. Mario, n’hésita pas une seule seconde : il s’approcha furtivement du Xhampi, le désarma, et l’assomma d’un coup de crosse à l’arrière du crâne. Ce devait être un ces fameux extra-terrestres qui l’observaient depuis un moment. Il rentra dans la faille, qui se referma rapidement derrière lui. Il faisait noir autour de lui. Il était bloqué. Chacun de ses pas résonnait dans cet endroit lugubre, et au fur et à mesure de sa progression, des lanternes bleues s’allumaient, lui montrant la voie à suivre. Il continuait à marcher dans cette étrange salle, quand une petite porte se dressa devant lui. Elle avait l’allure d’un sas de sous-marin. Il la poussa, mais elle ne cédait pas. Il dut peser de tout son poids pour l’ouvrir, et il déboucha dans une petite salle carrelée du sol au plafond. Il remarqua une forme gisant par terre, juste sous ses yeux. C’était Masskou. Il était très amoché et avait perdu beaucoup de sang. Inconscient, il pointait du doigt une longue traînée de sang qui s’étendait dans un sombre et long couloir. Il se réveilla, et chuchota doucement un mot à l’adresse de Mario : « Parapounet ». Mario se précipita vers le corridor, un long cri sinistre parvenant à ses oreilles. Une dizaine de Xhampis armés jusqu’aux dents sortirent de nulle part et firent face à Mario, qui était seul.

Mais il était prêt à en découdre.

Enjoy !

Bonne suite, je suis ravi du retour des Xhampis .

Merci Mini, je savais que ça allait faire plaisir à certains, le retour de nos monstres violets.