J'poste juste pour garder un peu le topic la tête hors-de-l'eau
Je suis toujours vivant !
Mais ça n'avance pas, en de moment.
Au moins, Viktoo est en vie, c'est le plus important
Ouais. Et pusi pour ma défense j'viens un peu de passer le brevet.
Défense ?Quelle défense ?
JE T'AIS FAIS SIGNE UN CONTRACT APRES T'AVOIR DROGUE ME PERMETTANT DE TE TRAITER COMME UN EXCLAVE AU BOULOT, ALLEZ
Mouarf, non, sans rire, t'as toutes les excuses que tu veux vus la qualité de ta fic
Un chapitre assez court (6 ou 7 pages au lieu de 20 habituelles), ça vous dit ?
Parce que là j'ai une méga-occasion de faire une coupure révélationnesque, mais ça semble court
Ca fait un paquet qui votent POUR Allez, plus sérieusement, vas-y, poste-le, de toute façon, à chaque fin de chapitre, c'est déjà tellement mystérieux
Qui est d'accord avec moi
http://www.google.be/imgres?q=vote+unanime&hl=fr&biw=1024&bih=658&tbm=isch&tbnid=k9NbSsLsdvF9hM:&imgrefurl=http://www.gaz-naturel.ch/gazorama/2012/numero-52012/news-052012/&docid=yfeeY5MnYMaldM&imgurl=http://www.gaz-naturel.ch/fileadmin/customer/gasorama/2012/5/gaso5_12_holdigaz_actionnaires.jpg&w=1000&h=750&ei=RDnPUeLWNcTMPYrwgKgB&zoom=1&iact=hc&vpx=722&vpy=281&dur=1375&hovh=194&hovw=259&tx=212&ty=96&page=1&tbnh=140&tbnw=174&start=0&ndsp=20&ved=1t:429,r:19,s:0,i:136
Moui, on verra.
Avec du recul, je me rends compte que c'est un bien long et inutile post que j'ai mis là juste pour dire que je suis Pour
Franchement pour moi, peut importe d'avoir un chapitre moins long tout de suite ou d'attendre pour la même quantité, tant que la suite arrive et que la qualité reste la même ça me va
Wesh, je verrai.
re vikto sa baigne cool pour le brevet cest simple moi cest le bac ( je me suis foir )bon aller bonne continuation
sweet
Bon, la suite arrive.
Je vous préviens tout de suite :
Je ne sais pas où elle me mène, j'y vais à l'aveuglette, il y a des chances que ça se finisse avec une fin à la con.
Vous ne trouverez pas ce "chapitre 17" sur Fanfic-fr.net, pour la pure et simple raison qu'il n'est que la première partie du chapitre 17. Le chapitre n'est pas fini, c'est juste que je vois que vous vous impatientez et que j'ai beaucoup de mal à reprendre la plume, donc je vous envoie ce que j'ai en réserve. Aussi vous comprendrez que je ne vous fournirai aucune date pour la suite du chapitre 17.
Aussi ne me balancez pas de pierres, il sera court (7 pages OpOff seulement), j'ai expliqué pourquoi. Merci.
Chapitre 17, partie 1
-Silver ! Light ! On dirait que ça va dégénérer, avertit Palutena.
-Ouais, et en mode méga dangereux ! Lança le petit frère.
-Je vous ai confié une mission. Accomplissez-la. Profitez de la pagaille. Bonne chance.
-A vos ordres !
Un javelot de lumière apparut dans la main de la déesse et partit se ficher dans l'armure sombre d'un des humains. Elle se détourna. Elle avait confiance. La mission serait accomplie, et le seul véritable danger éliminé. Un glaive se matérialisa, et elle commença à faire semblant de défendre la vie de ses semblables.
Phosphora aurait pu s'envoler pour prendre du recul et mieux voir la bataille. Elle avait essayé, puis elle avait vu les dizaines, les centaines d'arcs et fusils dressés dans sa direction. Elle avait oublié cette idée. Ça ne l'avait pas empêché de prendre de la hauteur quand même, rejoignant les archers de la Lumière sur un des toits du Palais de l'Assemblée.
Les hommes du Corbeau étaient bien plus nombreux que les dieux et leurs escortes, mais les renforts de la Lumière arrivaient, sans compter les hommes de Viridi, en chemin. En attendant, Nina et Joshua avaient disparu, et Raven et Pit se regardaient dans les yeux au milieu du champ de bataille. La distance, les tirs, le fracas de l'acier et les hurlements des hommes la rendaient incapable d'entendre ce qu'ils disaient, mais ils parlaient : le mouvement de leurs lèvres ne trompait pas. Elle nota les deux sous-fifres de Palutena qui progressaient sur le champ de bataille en direction de Pit, armes à la main. Ça ne présageait rien de bon.
Elle se laissa tomber entre eux et Pit, et frappa le sol en atterrissant. L'électricité s'y propagea et en surgit sous les pieds des ennemis, dégageant le terrain des hommes du Corbeau comme de ceux de la lumière sur un diamètre de dix mètres.
-Vous ne toucherez pas à Pit.
-Casse-toi, pétasse ! Répliqua celui avec les cheveux bruns rasés, Light. Casse-toi ou je t'arrache les tripes et je t'étrangle avec.
-Il ne s'exprime peut-être pas très élégamment, reprit l'autre, mais mon frère a malheureusement raison. Si vous persistez à traîner sur le chemin, on devra vous en écarter.
-Vous ne m'écarteriez pas, même avec le double de l'armée de la Lumière derrière vous. Alors à deux, laissez-moi rire !
Phosphora provoquait, mais son assurance n'était que de façade. Elle ne savait rien de ces hommes, de leurs armes et de leur façon de les manier, de leurs techniques de combat... Mais elle n'avait pas le choix. Elle devait les vaincre, sinon elle mourait. Sinon Pit serait en danger, et à cause d'elle. Et ça, elle ne se le permettrait sous aucun prétexte. Ils se lancèrent en avant.
Elle tendit ses deux mains, desquelles jaillirent des éclairs impressionnant de luminosité. Aucun n'atteignit sa cible. Le premier ne rencontra de Silver que sa lame, le second partit se perdre parmi les noirs guerriers. La riposte ne se fit pas attendre. L'éclair revint de la lame de l'ennemi, tandis que l'autre frappa de ses griffes. Phosphora esquiva, esquiva, puis trébucha sur un javelot planté dans le sol.
Le sol se précipita à sa rencontre, et, impuissante, elle regarda le monde basculer jusqu'à ce que son dos touche la terre souillée de sang. Déjà Light était sur elle. Il leva son pied, au-dessus du visage de la demi-déesse, puis l'abattit violemment.
Impact. Impact. Impact.
Light cracha au visage de cette femme, faible créature, qui s'était cru capable de les vaincre, puis reprit sa route en direction de Pit, aux côtés de son frère. Un homme se jeta sur eux par derrière, mais Silver fut plus vif que lui, et lui planta son épée dans la gorge, avant de l'en extraire d'un coup de pied.
-Qui es-tu ? Qui es-tu vraiment ?
Pit avait presque murmuré, dans le vacarme du champ de bataille. Et malgré le sifflement des flèches, malgré les coups de feu, malgré les cris des blessés, malgré le fracas de l'acier sur l'acier, Raven l'avait entendu comme s'il avait hurlé.
-Qui je suis ? Je suis toi. Nous sommes liés, Pit, plus intimement que tu ne peux l'imaginer. Aucun de nous deux ne pourra vraiment vivre tant que l'autre ne sera pas mort. Tu comprendras donc sans peine mes agissements. Adieu, Pit !
Raven s'élança. Sa façon de bouger, sa voix, ses mouvements... La vérité éclata dans l'esprit de Pit. Il savait qui était Raven.
Abasourdi par cette révélation, il faillit ne pas lever sa garde à temps, et voir son ventre et son torse entaillés par les branches de l'arc ennemi. Il bondit en arrière en décomposant le sien, et ils commencèrent leur danse macabre. Les ennemis autour d'eux s'éloignaient, captivés par le combat, et leurs lames virevoltaient, se croisaient, se heurtaient. Chacun des combattants, dans cette danse effrénée, cherchait à la fois une faille et un signe de fatigue chez l'ennemi. Tous deux savaient que le premier à lâcher prise serait le premier à mourir.
Pit avait l'habitude des combats, que ce soit à l'entraînement en situation réelle ou sur le champ de bataille, toutefois ce combat ne ressemblait en rien à ceux qu'il avait l'habitude de mener. Jamais aucun duel ne l'avait soumis à une telle pression, jamais aucun ennemi ne l'avait autant harcelé, jamais aucune garde n'avait été aussi parfaite, jamais une pluie de coup n'avait été si rapide...
Raven se battait comme l'ange, avait les mêmes gardes, les mêmes coups, les mêmes mouvements d'esquive, les mêmes réflexes, le même style de combat, style qui avait maintes fois fait ses preuves et mis à mal de nombreux, de très nombreux adversaires, à l'entraînement comme sur le terrain. Les adversaires étaient de niveau égal, et bientôt un cercle respectueux s'était formé autour d'eux.
Là ! Une faille ! Non, un leurre ! Pit envoya tout de même sa jambe, avant de la ramener contre lui tout aussi vite et de regarder la lame ennemie fendre le vide. Alors il frappa. Sa première lame percuta celle de l'ennemi, la seconde fusa vers sa gorge. Un coup rapide, violent, parfaitement calculé, absolument imparable.
Pourtant, Raven le para. D'un mouvement du bras, il dégagea sa lame, opposa à celle de l'ennemi son canon d'avant bras, et ramena sa seconde lame en garde. Honteux d'être tomé dans le piège, il reprit le combat avec encore plus de fougue et d'énergie.
Raven se jeta en arrière, brandit son pistolet, tira, et le jeta pour reprendre ses lames et parer les assauts rapides et nerveux de son ennemi.
-IL EST A MOI ! Hurla-t-il. A MOI ET A PERSONNE D'AUTRE !
Derrière Pit, à genoux, les mains pressées sur son ventre, où sa tunique rougissait à vue d'oeil, Silver cracha un juron.
-Merci ! Lança Pit sans arrêter une seconde ses assauts frénétiques.
-Ce n'est pas pour toi que je l'ai fait, répondit Raven tout en parant. Je déteste que quelqu'un d'autre tue mes adversaires. Même si tu me bats, Pit, mes hommes te tailleront en pièces. Mais si tu abandonnes, on ne retiendra de toi que ta lâcheté. Choisis ta mort, Pit ! Péris de façon honorable sur le champ de bataille, face au chef du Corbeau ou après son meurtre, ou crève comme un chien en jetant tes armes !
-Mon choix est fait, et depuis longtemps !
Une pluie de javelots s'abattit sr le Corbeau. Arès se permit un sourire. Les renforts. Il pouvait enfin souffler un peu. Au milieu d'un tas de cadavres, il commençait à fatiguer.
-T'es mort ! Cracha Nina en surgissant derrière lui.
Il se retourna, préparant son revers du marteau, célèbre pour sa capacité à rendre n'importe qui méconnaissable en l'envoyant instantanément de vie à trépas. Il n'acheva pas son geste. Les chaînes enroulées autour de ses chevilles le précipitèrent au sol, sur le ventre, aux pieds de la jeune femme.
-J'aime cette chaîne. Elle reste le meilleur moyen d'abattre un titan.
Elle brandit sa dague pénètre-armure, et l'abattit.
Elle tenta de l'abattre, plutôt, et s'envola, percutée à la poitrine par le plat d'une lame gigantesque. Magnus se mit en garde.
-Je m'occupe d'elle, sire. Vous imaginez pas à quel point je suis honoré, je suis votre plus fidèle serviteur, je n'honore d'ailleurs que vous, toussa toussa. Je suis pas doué pour les discours, j'espère que vous m'en voudrez pas.
-Voilà au moins une chose que je partage avec mes fidèles, grommela Arès en saisissant la chaîne.
Il serra le poing. Elle explosa. Il se releva.
-Mais mon honneur m'interdit de laisser des mortels s'occuper de mes problèmes. Je règle son cas à cette femme moi-même.
Magnus jaugea le dieu, puis le jeune femme allongée sur le sol, reprenant peu à peu sa respiration, puis décida de ne pas contrarier le dieu de la guerre.
-Comme il vous sied.
Il se détourna. Il y en avait bien d'autres, des ennemis de choix.
Light sourit, de son sourire sadique qui lui venait parfois aux lèvres face à un ennemi puisant. Le chauve face à lui était rapide, précis, et fort, et ses griffes volaient, tournoyaient, virevoltaient, tentaient de percer ses défenses. En vain. Il était juste trop fort pour lui. Il était trop fort pour tout le monde. Nul, pas même la Garde Blanche, ne lui arrivait à la cheville. Et il allait le prouver en saignant cet enfoiré comme le porc qu'il était !
L'assaut de l'ennemi fut prévisible. Dolph para le premier coup, puis le second, avant de prendre l'initiative. Il leva ses mains accrochées à celles de l'ennemi par leur griffes entrecroisées, avança d'un pas, vérifia la distance, puis lui envoya un violent coup de genou dans les valseuses, puis un second, et encore un, et un autre, et un autre, avant de libérer sa main gauche, de fermer le poing, et d'en frapper le torse du guerrier de la Lumière. Son expression de douleur s'intensifia, Dolph retira ses griffes, le sang gicla, une fois, deux fois, trois fois, puis arrêta. Light tomba.
-Ta force n'était qu'illusion, mais elle t'a conduit à une mort bien réelle.
Dolph abandonna le cadavre.
-Toi !
-Hmmm ?
Joshua se retourna nonchalamment en haussant un sourcil. Le combat ne l'avait pas gâté. S'il n'avait pas été blessé, ses vêtements étaient maculés de boue et de sang, et déchirés depuis longtemps, et ses cheveux rouges étaient tellement sales qu'on les reconnaissait à peine. Qu'importe. Ça l'énervait, bien sûr, mais il s'amusait. Il avait trouvé sur un cadavre une seconde lame, qui lui convenait, et se battait à deux épées. L'homme face à lui était encore plus sale : des longs cheveux noirs dégueulasses, un visage grossier et mangé par une barbe de trois jours, une armure noire disparate, et une épée de bourrin.
-Ton heure est venue !
-Ah oui ?
-Ouais.
-Allons, ne sois pas idiot, Magnus. Mes lames sont rouges du sang du Corbeau.
-Pourtant les cadavres à tes pieds sont ceux de la Lumière et de la Nature.
-Ils ne comprennent pas que j'ai trahi. Ils ne comprennent rien.
-J'suis pas super bien placé pour parler de ça, mais les trahisons, ça va cinq minutes. Quand t'as trahi tout le monde, à la fin t'es seul face aux colères combinées. T'as bossé pour Palutena, puis pour nous, puis pour Hadès, puis pour le Corbeau, c'est ça ? Et maintenant, vers qui te tournes-tu ?
-Mon bonheur est dans ma solitude. Ne m'attaque pas, Magnus, tu y perdrais des plumes.
-Des plumes ? Ha ! C'est pas moi, le corbac, ici ! Tu nous as trahis, et les traîtres méritent la mort ! ADIEU !
Il se jeta en avant, et envoya violemment son arme, en un revers mortel à hauteur de torse. Inévitable. Mortel.
Joshua l'évita, adressa à son ennemi un sourire désolé, et se jeta à son tour dans le combat.
Magnus était rapide. Très rapide, vu qu'il arrivait à soutenir sans reculer les assauts de Joshua, bien plus vif. Sa deuxième arme augmentait encore plus sa vitesse, rendant l'exploit de l'homme en noir légendaire.
-Mais tu vas mourir, oui ! S'exclama le guerrier rouge.
-Pas d'main la veille ! Ha ! Répliqua le mercenaire noir, en repoussant son adversaire et en lançant un assaut risqué.
Les flèches sifflaient autour d'eux, les balles volaient les hommes mouraient, mais ils n'en avaient cure, captivés par leur combat. Les trois lames volaient, s'entrechoquaient dans un fracas d'acier assourdissant, ponctué par les hurlements de Magnus qui criait en frappant. Ils étaient dans leur bulle, à l'écart du monde et de la bataille environnante, concentrés uniquement sur leur ennemi, décidés uniquement à survivre. Tous deux anticipaient les mouvements de leur adversaire, et le combat était à son point mort : Il se jouerait à l'usure.
Magnus était trop intelligent pour ne pas l'avoir compris, et changea de régime pour passer en « mode endurance ». Sa lame, plus lourde que celles de l'ennemi, et ses mouvements plus amples le fatiguaient bien plus, et il refusait d'être le premier à faiblir. Il resta donc sur la défensive, lançant de temps en temps quelques assauts violents, plus pour empêcher Joshua d'imposer son rythme que pour vraiment le blesser. La joute promettait d'être longue.
Les lames volaient toujours aussi vite devant Pit et Raven, quand ce dernier augmenta encore la cadence. L'ange n'eut pas d'autre solution que de se concentrer uniquement sur les coups qui pleuvaient pour pouvoir les parer, aussi il fut pris totalement au dépourvu quand le pied de son ennemi lui faucha une cheville, au moment précis où, ouvrant sa garde, son épaule vint brutalement le projeter au sol. Il était tombé. C'était fini.
-Merde ! Phosphora... Désolé.
La lame de Raven s'éleva vers le ciel, et allait commencer sa chute mortelle quand elle tomba au sol, accompagnée de l'autre. Raven tomba à genoux, la main gauche serrée sur son épaule droite, où s'épanouissait une fleur écarlate.
Le coup de feu n'avait pas surpassé le fracas du champ de bataille. C'était un coup de feu parmi les coups de feu. Pourtant, le tireur avait eu la mauvaise idée de se placer à l'orée de la forêt, derrière Pit, à une cinquantaine de mètres du combat. Juste en face de Raven, qui croisa son regard tout de suite.
-Tu ne veux pas qu'on tue tes ennemis, intervint le soldat de la Lumière qu'il avait blessé, Silver. Mais on peut tuer ceux qui t'en empêchent, non ?
-Vas-y, grogna le chef du Corbeau, tendis qu'au loin son ennemi rechargeait.
Le bretteur sourit, vérifia la solidité de son bandage, défeurra, puis s'élança.
Il parcourut à une vitesse folle la distance que le séparait de son adversaire. William changea de cible. Il n'aurait pas de seconde chance.
-NON ! RAVEN ! TUE RAVEN !
Un homme s'interposa entre Silver et son ennemi, une lance tournoya et frappa, forçant le guerrier de la Lumière à reculer.
Sa longue cape blanche flottant derrière lui, son armure d'argent réfléchissant la lumière, son heaume surmonté d'un aigle majestueux qui lui rajoutait trente centimètres, autant de détails qui rendaient Grey proprement impressionnant.
-Excusez-moi, vous n'êtes pas ma cible. Je peux vous épargner.
-Bien sûr, gamin, bien sûr. Je te conseille d'abandonner cette idée.
-Ôtez-vous de mon chemin.
Pour toute réponse, Grey se mit en garde.
Cinq secondes passèrent, puis Silver feinta une attaque, se jeta au sol, se releva après une roulade, et frappa en direction de William, qui eut le réflexe de parer avec la lame de son fusil Dickson, avant de reculer d'un bond. La lance de Grey fusa et déchira la tunique de Silver, dessinant sur son flanc une longue estafilade, et profonde, qui saignait pas mal. Le bretteur se retourna pour faire face au lancier, et attaqua.
Très vite Grey fut submergé par la pluie de coups qui s'infiltraient dans tous les défauts de son armure, et très vite son sang s'échappa de lui par de nombreux orifices, ruisselant le long de son corps maigre sous sa cotte de mailles, lui prouvant sa faiblesse, son impuissance, son incapacité à protéger ceux qui lui étaient chers. Il tomba à genoux, la tête lui tournait. Il avait tenu trente secondes, à peine. Un résultat pathétique, même pour un homme de son âge. Sa fin était venue. Et il ne pourrait même pas dire à William ce qu'il savait...
-Eh, toi !
Une main se posa sur l'épaule de Silver. Il se retourna dans un revers court à hauteur de gorge. Son adversaire esquiva souplement, et lui emboutit les parties d'un coup de genou, avant de lui paralyser d'une clé son bras d'épée, de le faire basculer au-dessus d'elle jusqu'à ce qu'il s'écrase, le visage dans la boue. Une fois là, elle le retourna, et posa un pied sur son torse.
C'était la femme qu'il avait affrontée précédemment avec son frère.
Mais ce n'était pas elle.
Son beau visage était maculé de boue et d'un sang écarlate qui coulait encore de son nez brisé. Ses vêtements déchirés était bruns de terre et rouges de sang. Mais surtout au fond de ses yeux se lisait une détermination mortelle.
-Je n'sais pas qui tu es. Et franchement j'en ai strictement rien à foutre. Ton frère, ou ton amant, j'en sais rien, est mort. Pas de ma main, malheureusement, je viens de me réveiller. Et tu sais quoi ? Tu vas suivre.
Phosphora chargea sa main de toute sa rage, de toute sa détermination, de toute sa colère, contre lui, contre elle-même, contre le monde, puis la leva.
-Un dernier mot ?
-Je...
-Ça fait un, ta gueule, merci, adieu.
Elle lui asséna une gifle monumentale, qui déchaîna dans son corps tellement d'ampères qu'il était parti pour se convulser encore une demie-heure après la mort, qui le prit sur le coup. Elle lui asséna pour faire bonne mesure un revers aussi chargé, et une seconde baffe, avant de se relever, abandonnant le cadavre qui tressautait et s'agitait en envoyant un peu partout des étincelles électriques.
-Iris. Soigne Grey. Je vais aider Pit.
-Tout de suite ! S'exclama la petite soeur de William en surgissant de derrière Phosphora, avant de se précipiter vers le vétéran agonisant.
Les bras de Magnus étaient rougis de sang et lardés de plaies, à l'instar de ses jambes. Face à lui, son ennemi était encore intact, mais il fatiguait visiblement, alors que Magnus avait encore de l'énergie en réserve. Bientôt la faille fut là, et il s'enfonça dedans. Son épée quitta sa position défensive et frappa, taillant la chair comme les vêtements. Joshua écarquilla les yeux, puis tomba à genoux, lâchant ses armes, referma les bras sur son ventre que barrait une immense plaie rouge qui crachait le sang. Un genou de noir vêtu lui emboutit le visage, l'étalant au sol, et Magnus se détourna. Il devait se soigner.
-William...
-Tu dois te ménager, Grey. Ne parle pas, garde ton énergie. Tu vas survivre, tu vas rester avec nous. Ma soeur va te sauver.
-Je ne me fais plus d'illusion, William. Les blessures sont trop nombreuses, et trop profondes. La vie s'écoule hors de mon corps au même rythme que ce flot écarlate. Mon heure est venue, William, il te faut l'accepter.
-Ne dis pas ça, Grey ! Tu vas survivre !
-Non. Mais tu dois m'écouter. Dans ma chambre, au palais de Viridi, il y a un bureau. Sous ce bureau, il y a six tiroirs, trois de chaque côté. Dans celui du milieu à droite, il y a un faux-fond. Sous ce faux-fond, tu trouveras une lettre. Lis-la. Elle t'est adressée. Promets-le-moi, William.
-Je le ferai, Grey. Je la lirai, dit le jeune homme, le visage inondé de larmes, serrant entre ses deux mains celle du vétéran.
-Promets-le.
-Je te le promets.
-Bien... Je n'emporterai pas mes secrets dans la tombe. Vis heureux, William. C'est tout ce que je te demande.
-TOI !
Jyn interrompit sa course vers la bataille qui s'était déplacée, et se tourna vers la voix puissante qui l'interpellait.
-Oh. Oui ?
Hadès avait un genou à terre, et son sang faisait à ses pieds une mare dans laquelle il baignait jusqu'aux chevilles. De son dos sortaient comme des chaînes qui s'enfonçaient dans le sol.
-Tu manies l'épée longue à une main, c'est ça ?
-Oui.
-Il y a ici un soldat de la lumière, Silver, qui possède une arme sacrée, du type que tu affectionnes. Retrouve-le, tue-le, prend-lui son arme, et reviens me voir.
-Je... Je peux vous demander pourquoi ?
-Mes chaînes s'affaiblissent avec moi, Chronos se déchaîne, et les Nécropaladins galèrent. Ils meurent même par dizaines. Il faut une arme sacrée pour le remettre à sa place le temps que je me rep... Que je renforce les chaînes.
-Nous sommes ennemis, Hadès.
-Non. Les seuls ennemis, maintenant, c'est le Corbeau et Chronos. Dépèche-toi !
-Tout de suite !
OK, ils ont foutu quoi chez JVC ? Les messages trop longs, ils passent pas, même avec un code de confirm'. En plus j'ai l'impression qu'ils les ont raccourcis.
super cool je vais méme pas exagérer en disant sa:CEST GENIAL CONTINU MEC CEST LE TRUC LE PLUS COOL DE TOUTE LA TERRE OUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE. vla cété ma minute de délire
non sérieux cest super mais moi aussi jaicri en se moment sa sapelle ultimatum bon je vous en dis pas plus pour l'instant mais jai une bonne nouvelle (pour moi) mon manga et paru dans un magazine ouééééééééééééééééééééé mais je dois bausser dur pasque je dois faire 19 page en 1semaine et je buuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuug pour les nemu aolr please donner moi des idée surtous toi viktoo vu que tes un spécialiste
pour plus de renséniement go skype moi cest: nunch2 vla merci davnce