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y'a quand meme pas grand chose dans les alpes
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signé par scoob
l'homme possédant 6 orteils au pied gauche
Je trouve quand meme que c'est plus interressant que l'année dernière.
L'équipe de la Caisse d'Epargne compte à ce jour 27 coureurs pour la saison 2009 : Alejandro Valverde sera le leader d'une équipe qui perd Vladimir Karpets et José Rujano mais qui pourra compter sur le blé qui lève et qui répond aux noms de Amador, Jeannesson, Costa, Uran ou Madrazo. Comme de coutume la formation de l'écureuil présentera un effectif impressionnant pour les courses à étapes montagneuses avec Arroyo, Lopez, Luisle Sanchez, Losada, Moreno, Pereiro, Rodriguez ou Zandio. Cependant elle pourra aussi s'appuyer pour les épreuves plus plates sur les éternels Lastras, Garcia ou Gutierrez mais également sur Rojas et Drujon, Arnaud Coyot emmenant l'équipe sur les "flandriennes".
Andrey Amador (Crc, néo, Lizarte)
David Arroyo (Spa)
Anthony Charteau (Spa)
Rui Costa (Por, Benfica)
Arnaud Coyot (Fra)
Mathieu Drujon (Fra)
Imanol Erviti (Spa)
Vicente García Acosta (Spa)
José Iván Gutiérrez (Spa)
Arnold Jeanneson (Fra, Auber 93)
Pablo Lastras (Spa)
David López (Spa)
Luis León Sánchez (Spa)
Alberto Losada (Spa)
Angel Madrazo (Spa, Scott amateur)
Daniel Moreno (Spa)
Luis Pasamontes (Spa)
Óscar Pereiro (Spa)
Marlon Pérez (Col)
Francisco Pérez (Spa)
Mathieu Perget (Fra)
Nicolas Portal (Fra)
Joaquín Rodríguez (Spa)
José Joaquín Rojas (Spa)
Rigoberto Urán (Col)
Alejandro Valverde (Spa)
Xabier Zandio (Spa)
Source: http://www.velo-club.net/article.php?sid=48648
L'effectif de la Liquigas version 2009 sera emmené par les Italiens Ivan Basso, Daniele Bennati, Vincenzo Nibali, Franco Pellizotti et le Tchèque Roman Kreuziger.
En outre l'équipe pourra également compter sur Enrico Franzoi, Manuel Quinziato et Frederik Willems pour les classiques du Nord, Oliver Zaugg et Sylvester Szmyd venant reforcer le secteur des grimpeurs emputé notamment de Manuel Beltran, et la partie sprinteurs qui possède déjà outre Bennati, Fischer, Chicchi et Corioni, se voit agrandie par les venues du jeune Jacopo Guarnieri issu de la structure amateur tout comme Gianni Da Ros (tous deux stagiaires fin 2008), et de Fabio Sabatini (Milram). Daniel Oss très en vue cette saison chez les espoirs est le troisième néo-pro tandis que Brian Vandborg en perte de vitesse chez GLS tentera de se relancer. Sport.be a également annoncé il y a quelques jours (ainsi que qu'un certain nombre de sites internet slovaques) la venue du jeune Slovaque Peter Sagan adepte des labourés.
LIQUIGAS 2009 :
Valerio Agnoli
Ivan Basso (suspension)
Daniele Bennati
Maciej Bodnar
Kjell Carlstrom
Francesco Chicchi
Claudio Corioni
Gianni Da Ros (néo, Marchiol Emisfero Liquigas Site)
Murilo Fischer
Enrico Franzoi
Jacopo Guarnieri (néo, Marchiol Emisfero Liquigas Site)
Roman Kreuziger
Aliaksandr Kuchynski
Vladimir Miholjevic
Vincenzo Nibali
Andrea Noè
Daniel Oss (néo, G.S. Zalf Desiree Fior)
Franco Pellizotti
Manuel Quinziato
Fabio Sabatini (Milram)
Ivan Santaromita
Gorazd Stangelj
Sylwester Szmyd (Lampre)
Brian Bach Vandborg (GLS Pakke Shop)
Alessandro Vanotti
Frederik Willems
Oliver Zaugg (Gerolsteiner)
Peter Sagan (néo, CYS Zilina) ?
Source: http://www.velo-club.net/article?sid=48638
La formation Euskaltel ne comptera "que" 22 coureurs dans son effectif 2009 : l'équipe comptera notamment sur le champion Olympique Samuel Sanchez, sur le grimpeur Igor Anton revanchard après sa Vuelta 2008 écourtée pour cause de chute et secondé par Amet Txurruka, sur les expérimentés Mikel Astarloza, Inigo Landaluze et Egoi Martinez mais également sur le sprinteur Koldo Fernandez épaulé qu'il sera par Pablo Urtasun voire Aitor Galdos et Inaki Isasi. Mikel Nieve tentera de confirmer les espoirs qu'il a fait naître notamment lors de son passage chez Orbea.
Josu Agirre
Igor Antón
Javier Aramendia
Mikel Astarloza
Jorge Azanza
Koldo Fernández de Larrea
Aitor Galdos
Aitor Hernández
Markel Irizar
Iñaki Isasi
Andoni Lafuente
Iñigo Landaluze
Egoi Martínez
Mikel Nieve (ex-Orbea)
Juanjo Oroz
Alan Pérez
Rubén Pérez
Samuel Sánchez
Amets Txurruka
Pablo Urtasun (ex-Liberty Seguros)
Ivan Velasco
Gorka Verdugo
Départs :
Beñat Albizuri
Lander Aperribay
Jon Bru
Dioni Galparsoro
Antton Luengo (arrêt)
Haimar Zubeldia (Astana)
Source: http://www.velo-club.net/article?sid=48645
Chaud, que 22 coureurs
Jean-Paul Poppel, directeur sportif chez Cervélo, a évoqué le prochain Tour de France de Carlos Sastre “Carlos a joué un grand rôle dans la composition de l’équipe qui est désormais constituée. L’équipe n’est pas à comparer avec l’équipe actuelle Team CSC mais c’est aussi parce que Sastre sait qu’il débutera le prochain Tour de France, non pas comme top-favoris mais comme outsider” .
Carlos Sastre participera aussi au Tour d’Italie à l’instar de Armstrong, Basso et Cunego “Il est motivé pour rouler un bon Giro l’année prochaine. Ensuite, son regard sera porté sur le Tour de France pour y terminer le plus haut possible
Carlos Sastre n’a jamais terminé dans les dix premiers du Tour d’Italie.
Source: http://www.velo-club.net/article?sid=48640
Sastre au Giro et sans doute pas a la Vuelta
LE PARCOURS DU TOUR DE FRANCE 2009 A LA LOUPE!!
Christian Prudhomme a dévoilé mercredi un Tour de France 2009 novateur où les cartes pourront être redistribuées chaque jour. Du difficile chrono monégasque à la terrible ascension du Mont Ventoux, tour d'horizon avec ses futurs protagonistes d'un parcours qui suscite nombre de commentaires.
¤¤ Le grand départ de Monaco ¤¤
Le départ de la Grande Boucle en Principauté promet une belle bagarre. Avec un contre-la-montre inaugural de 15 km comportant une longue ascension jusqu'à la moyenne corniche ainsi qu'une descente technique et un final tracé sur le circuit du Grand Prix de Formule 1, les écarts à l'arrivée pourraient déjà être importants. Un premier rendez-vous à ne pas manquer pour les favoris du Tour comme Cadel Evans qui a noté la difficulté du parcours monégasque: "On rentre dans le vif du sujet dès le départ. Le contre-la-montre à Monaco est technique, assez long et surtout très dur avec des pentes raides à escalader. Pour moi, c'est un bon chrono."
¤¤ La plongée vers Barcelone ¤¤
La 2e étape vers Brignoles empruntera les routes vallonnées de l'arrière pays et devrait être propice à une course de mouvements. "Ça risque de partir sur les chapeaux de roue" estime Sandy Casar. Le lendemain, du Vieux-Port de Marseille à la Grande-Motte, il conviendra de veiller à ne pas se laisser piéger par un coup de bordure sur des routes très exposées au vent tout en gardant le jus nécessaire au contre-la-montre par équipes du mardi. Autour de Montpellier, cet exercice si particulier, aussi apprécié des spectateurs que redouté des coureurs livrera un verdict attendu. "On va en tenir compte pour structurer l'équipe", explique Roberto Damiani, le directeur sportif de la formation Silence-Lotto, conscient que si l'on ne gagne pas le Tour sur ce type d'étape, on peut en revanche facilement le perdre. Ensuite, ce sera direction Perpignan avant une étape pour puncheurs entre Gérone et la colline de Montjuic, sur les hauteurs de Barcelone où il faudra là encore demeurer vigilant. "Ça va être beaucoup de bord de mer, beaucoup de ronds-points, beaucoup de vent, beaucoup de chutes. En première semaine, il y a souvent énormément de nervosité dans le peloton parce que tout le monde est encore frais", affirme l'expérimenté Cyril Dessel.
¤¤ La traversée des Pyrénées ¤¤
Pyrénées allégés cette année au menu avec d'abord la première arrivée au sommet de ce Tour 2009 dans la station andorrane d'Arcalis (10,6 km à 7,1%) qui avait si bien réussi à Jan Ullrich en 1997. "La montée d'Arcalis est vraiment très, très dure. Je la connais bien. Cela pourrait être un avantage", confie malicieusement Andy Schleck, 12e et meilleur jeune à Paris cette année. Les deux jours suivants, des cols difficiles (Port d'Envalira, Agnes, Aspin, Tourmalet) seront encore au programme mais, trop distants de l'arrivée à Saint-Girons le samedi et à Tarbes le dimanche, ils devraient davantage constituer le terrain d'expression des grimpeurs distancés au général que des cadors en lutte pour le maillot jaune. Amaël Moinard, 15e du dernier Tour de France, ne voit pas les choses autrement: "Dès le lendemain d'Andorre, le général sera décanté et des échappées pourront aller au bout."
¤¤ La France d'Ouest en Est ¤¤
Après une première journée de repos bien méritée à Limoges, le match entre les sprinters et les baroudeurs débutera. Les hommes véloces, frustrés par un début d'épreuve accidenté, devront maîtriser les multiples tentatives d'échappée qui devraient sans nul doute émailler cette deuxième semaine. Face à des organismes déjà éprouvés, les combatifs pourraient se voir récompensées. "Les sprinters voudront leur part du gâteau mais le scénario ne sera pas figé. On l'a vu cette année, j'ai remporté une étape qui leur était soi-disant réservé. Pour les baroudeurs comme moi, il faudra aller de l'avant et ne pas avoir peur de se lancer dans des raids pour décrocher une victoire", explique le spécialiste du genre Samuel Dumoulin qui rêve sans doute, comme tous les autres tricolores, d'un succès de prestige le 14 juillet du côté d'Issoudun. Les Vosges, rarement empruntés par la Grande Boucle, reviendront ensuite à l'honneur avec une étape piège par excellence en direction de Colmar où l'inédit Col du Platzerwasel (8,7 km à 7,6%) pourrait en surprendre plus d'un.
¤¤ La grande bagarre des Alpes ¤¤
Tout commencera par une incursion helvétique en direction de la station de Verbier. Escaladée cette saison par les coureurs du Tour de Suisse, Kim Kirchen en tête, la montée finale (8,8 km à 7,1%) pourrait donner lieu à une "course de côte" digne du finish de Prato Nevoso (le profil de ces deux étapes ainsi que des ascensions finales sont assez proches) cette année. Après la seconde journée de repos, le peloton reprendra la direction de l'Hexagone via les Cols du Grand-Saint-Bernard, toit de ce Tour du haut de ses 2474m, et du Petit-Saint-Bernard. L'arrivée à Bourg Saint Maurice, en bas d'une longue descente conviendra aux funambules de la trajectoire. Une étape idéale pour un garçon comme Cyril Dessel. "Quand j'ai vu le profil de l'étape de Bourg Saint-Maurice, j'ai tout de suite vu une similitude avec Jausiers. Il faudra savoir grimper mais aussi ne pas avoir peur de descendre à fond" , confie celui qui s'était imposé au mois de juillet dernier au terme de la descente de la Bonette. La dernière étape alpestre, très dense avec pas moins de cinq ascensions, propose l'attrayante et inédite montée du Col de la Romme (8,8 km à 8,9%) avant celle plus classique de la Colombière qu'il faudra ensuite dévaler sur une chaussée très technique jusqu'au Grand-Bornand. Pour Amaël Moinard, le kilométrage réduit de ces étapes devrait favoriser les offensives: "Comme les étapes alpestres ne sont pas trop longues, elles devraient susciter une course de mouvement et non une course d'attente pendant laquelle tout le monde se regarde et ne bouge que dans le dernier col." Enfin, le contre-la-montre tracé le long des rives enchanteresses du Lac s'Annecy concluera ce copieux menu. "Un chrono trop court (ndlr: 40 km) pour être décisif", selon le vainqueur de l'édition 2006 Oscar Pereiro.
¤¤ Le Ventoux en apothéose ¤¤
Après une nouvelle étape vallonnée sur les routes de l'Ardèche, le géant de Provence se profilera à l'horizon. Le Mont Ventoux escaladé par Bédoin (21,2 km à 7,6%) fera figure de dernier épouvantail et de juge de paix de cette 94e édition de la Grande Boucle. Pour l'aborder dans de bonnes conditions, il faudra, selon Alberto Contador, "avoir gardé des réserves et ménagé ses forces" . Il faut dire que cette ascension émerveille autant qu'elle effraie. "Le Ventoux la veille de l'arrivée, ça promet une sacré bagarre" , pronostique Frédéric Moncassin, retraité de l'équipe de France et futur directeur sportif de la formation H2O. "Le Ventoux, c'est une montée mythique, une ascension vraiment dure où personne n'est à l'abri d'une défaillance", explique Sandy Casar tandis que Pereiro classe le géant de Provence "au niveau de l'Alpe d'Huez question difficulté". Une chose est sûre: il faudra avoir gardé du jus pour ne pas risquer de tout perdre sur cette excroissance terrestre de la lune. "Il faudra vraiment être très fort et je dois reconnaître que pour moi qui ai plutôt l'habitude de bien marcher en troisième semaine, c'est un parcours très intéressant" annonce satisfait le vainqueur sortant Carlos Sastre qui a visiblement déjà hâte d'y être. Il n'a plus que huit mois à attendre. Ça risque de faire long pour tout le monde...
Source: http://www.eurosport.fr/cyclisme/tour-de-france/2009/le-parcours-a-la-loupe_sto1734835/story.shtml
le ventoux
le col de romme va etre chaud
théo eltink(rab) chez skill
source eurosport
Ivan Basso 3ème au Japan Cup devant Giovanni Visconti et Damiano Cunego, pour une premier course c'est ouah. On va le revoir au premier plan sur le giro
(blabla)
quelqu'n sai ci le contre a la montre par équipes le temps est reéle prix ou pas?
il y a le retour des bonifications ou pas a la fin des étapes?
merci!
contre la montre a Annecy
a 30 km de chez moi
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signé par scoob
l'homme possédant 6 orteils au pied gauche
quelle chance,moi ca passe a 75 km au plus près
75 klm ça va, moin je suis en Normandie ...
Bah moi je suis en Bretagne a la pointe, le tour doit passer a 600 Km
tu l'as eu l'année dernière donc c'est mormal
bernucci chez lpr
apres avoir purgé un an de suspension,l'italien reviens chez l'equipe lpr,l'equipe de di luca
source l'equipe
Simonet le plus près de chez nous c'est Saint Girons (151 kms)