Cette fable est tiré du Loup et l’Agneau, mais version chapatiz.
Le modo et le p´tit tiz
La raison du plus fort est toujours celle de l’heure
Nous l´allons montrer tous à l´heure
Un p´tit tiz se baladait,
Prés d´une plage vraiment pure
Un modo survint à jeun qui cherchait l´aventure
Et que la faim en ces lieux attiré
Qui te rend si hardi de troubler mon bronzage ?
Dit ce modo plein de rage
Tu seras châtié de ta crétinité
Sire, que votre majesté ne s´embête pas de colère
Mais qu´elle m´exaspère
Que je me vas baladant dans le courant
Plus de cent pas au dessous d´elle
Et que, pour que je m´humiliant
Je ne puis troubler ses chaussons
Tu les troubles, répond cette bête habituelle
Et je sais que de moi,
Tu faillais dans l´passé
Comment l´aurais fait si j´me la ramener ?
Ces leçons m´exaspèrent !
Si tu nettoie, c´est pas l´parterre
Je n´le fais point
C´est donc un des pantins,
Car vous ne m´épargnez guère
Vous, vos insultes et vos failles
On m´la pas dit
Mais faut que je me venge !
Là-dessus, au fond des lois
Le modo boude, et puis le kick
Sans même forcer le p´tit crochet
P.S. : Je tiens à vous informer qu’en aucun cas, j’insulte les modos.
J’espère qu’elle vous a plut. C’est un peu n’importe quoi, mais c’est pour faire des rimes.